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Ecole - Page 2

  • Une éducation américaine avec son ACADEMI et son Dieu belliqueux

    Le nouveau ministre de l'éducation de Trump rêve de faire "progresser le royaume de Dieu".

    Elle est à la tête du Family Research Council dont j'ai déjà parlé maintes fois sur ce blog.

    Le Family Research Council où se forment Boutin, Béatrice Bourges, Franck Margain notamment, ainsi que de nombreux cadres politiques français.

    C'est également cette branche des lobbies d'extrême-droite qui opère en Russie et en Europe auprès de Konstantin Maloffev et toute l'extrême-droite européenne.



    Erik Prince, le frère de Betsy DeVos (ministre de l'éducation divine de Trump dont le think tank forme de nombreux cadres français, européens et opère jusqu'en Russie), est le fondateur de Blackwater (maintenant appelé Academi), une société militaire connue notamment en raison d'un procès pour une affaire d'assassinat de 17 civils irakiens.

    C'est un fervent supporter de Trump, qui s'en est d'ailleurs vanté sur Breitbart, le site de Stephen Bannon.

    La défense extérieure étant une prérogative d'Etat et l'Etat étant voué à disparition dans l'idéologie au pouvoir, la privatisation de l'armée s'opère(rait) dans une logique théorique.

    Les puissances d'argent à qui profite l'impérialisme ont sans doute besoin de ce genre de plan B car l'opinion publique américaine et mondiale ne supportait plus leur premier support d'Etat américain.

    Ajoutons qu'Academi n'a pas signé la Convention de Genève et que les armées privées n'auront plus à s'embarrasser de quelques détails techniques en matière de barbarie, ce qui doit plus efficace et rentable.

    Ils n'interviendront plus sous drapeau ni sous faux-drapeau, mais sous couvert d'armées privées, quelles responsabilités, quels commanditaires, les peuples ne sauront même plus clairement à qui ils doivent leur malheur.

    Du reste, l'impérialisme US ne repose pas seulement sur la grosse artillerie militaire, les techniques de soft power prenant dorénavant le pli sur les gros rangers des GI américains.

  • Une brève explication de l'avenir

    Il faut bien comprendre ce qu'offrent les "réformateurs" ou autres révolutionnaires conservateurs et assimilés.

    Ils vous présentent un "projet" (oui, ils envisagent les affaires de la Cité comme un packaging commercial à deux balles), vendu à grand renfort de publicité médiatique et naturellement présenté comme la modernité, le progrès en marche, la C5 ou la C6, une Constitution considérée comme un IPhone.

    C'est que l'affaire en question vient tout droit du Nouveau Monde.

    Leur super programme créatif n'est jamais que la vieille idéologie Mayfloweriste d'affairistes qui n'émerge pas dans une Cité où la chose est publique.

    Tout leur système repose sur l'idéologie libérale de la grande liberté, moins d'Etat, moins de règles, moins de protections, tout s'ordonne naturellement.

    La vieille construction empirique qui a bâti la nation la plus robuste et la plus juste ne vaudrait rien comparé à la fluide île flottante anglo saxonne.

    Exit nos Codes, nos protections, nos réglementations, vive la loterie américaine où la vie n'est qu'un jeu, où tu perds, ou tu gagnes en te perdant, mort aux vaincus.

    Voyez, où acheter votre maison en bois apportée et à emporter sur un plateau en trois minutes via un huissier diplômé du seul investissement qu'il a consenti : son chapeau de cow-boy qui, une fois porté, lui donne tous les atours du juge de paix.

    Vous achetez votre vie en trois minutes chrono, tant pis si elle s'écroule en un temps tout aussi record une fois le nid livré et écroulé à demeure.

    Tu as joué tu as perdu, tu as eu ta chance, manque de bol, tu n'en a pas eu.

    Nul recours, nulle loi pour t'aider, la loi de la jungle est légère, a-t-on vu qu'elle soit régie dans un lourd bouquin, pourquoi ne pas avoir une bibliothèque où figure la Princesse de Clèves tant qu'on y est.

    Non, là c'est ou tu es prince ou tu crèves, tout est écrit d'avance.

    Et le récit est déroulé à l'avenant, si ta roue s'est arrêtée à la banqueroute, tes enfants auront une école de merde (où tu n'apprends que la violence. Dans les écoles de riches aussi mais il s'agit de la violence économique, plus subtile), une santé de merde, une justice de merde, un travail de merde, bref, une vie de merde, le tout garanti par le système sans avoir à élaborer de complexes protections venant combler les vides juridiques et de ton existence.

    Mais attention, la fortune peut t'être favorable, si Dieu (eh oui) en a décidé ainsi.
    S'il était écrit dans les lignes de ta main que tu aurais les moyens de te payer des avocats, la complexité peut t'être accessible.

    Car là est tout le vice et toute l'hypocrisie.

    Soit la chose est publique, soit elle est privée, et l'assurance, les garanties, ça existe, au prorata de tes bitcoins.

    Les juristes américains ne sont pas en manque, puisque toute la vie -enfin la vraie, pas celle du pauvre pour qui ça n'en est pas-, est régie par le contrat privé.

    Alléger, alléger le droit public, on va en bouffer comme on nous vend le dernier régime miracle jusqu'à devenir obèse d'avoir vécu de vent.

    Avale ton bol de flexibilité et de liberté tous les matins, arme-toi d'impatience et prends ton abonnement à la national rifle society, tu tiens ta vie comme ta peau de bête, au bout du fusil.

    A ce rythme, il faudra sans doute donner urgemment un statut de personne à la chose animale, question de survie.

  • L'OBS, mauvaise foi ou nullité ?

    Koenig, le libertarien qui cache la forêt des lobbies qui trempent dans le thé.

    Il suffit de se baisser pour savoir que la Bourse Tocqueville des Contribuables Associés et autres IFRAP de Verdier Molinier, et leurs SOS Education, Institut Pour la Justice, Institut de Formation Politique, etc., forment leurs petits lobbyistes au Cato Institute et autres groupes d'influence de Washington.

    Mais encore l'Ecole de guerre économique, le Club de l'Horloge, font-ils le pont du bureau de Ron Paul jusqu'en Russie, John Laughland, Blot et compagnies, et leur TV Libertés identitaire.

    Koenig, c'est au contraire la tendance d'extrême-droite la plus en vogue qui essaime dans tout le spectre politique, de Mélenchon, aux Verts, au Poissons roses du PS, et naturellement jusqu'aux autres cinquante nuances de droite, en passant par une myriade d'individualités employées à déstabiliser l'Etat que les libertariens abhorrent (Soral, Dieudonné, Chouard, Belghoul, Onfray, Zemmour, etc., etc.).

    Des groupes d'influence qui attaquent l'Etat via les attaques -en règle- contre l'école, contre la justice, la manipulation métapolitique, la démocratie directe (énorme vecteur d'atteinte à notre Etat).

    Les ramifications sont tellement énormes qu'elles passent apparemment totalement inaperçues.

    Etrange, non ?


    Les credo de Gaspard Koenig, le seul libertarien de France (ou presque)
    BREVE RENCONTRE. Nous avons rencontré le jeune écrivain et philosophe, auteur des "Discrètes vertus de la corruption" et plus récemment des "Aventuriers de la…
    TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM|PAR PASCAL RICHÉ

  • Prière de s'abstenir

    Le pape de SOS Education, c'est Frédéric Bastiat (avec un pied dans l'école de Chicago pour réclamer son voucher des poches du contribuable)

    Sa théologie : l'Austrian School of Economics

    Ses Séminaires de l'Institut de Formation Politique à Washington (Heritage Foundation, Cato Institute, AEI, etc.)

    Son Saint-Office : Contribuables Associés et l'IFRAP qui contrôlent la légalité libérale de l'idéologie

    Comme secte coupée du réel, on trouvera difficilement mieux.

    Et n'oubliez pas les deniers aux différents lobbies qui entretiennent le business religieusement, vous ferez une BA (business application).

  • Fillon, prends garde aux mères de famille !

    En tant que mère de famille nombreuse monoparentale, je n'aurai pas les moyens de subir une hausse de la TVA pour permettre aux actionnaires de s'engraisser davantage.

    Idem pour mon travail, je n'ai pas les moyens que l'on touche à mon pauvre Smic ni de travailler encore davantage pour toucher tout aussi peu car aller travailler a un coût que les travailleurs pauvres ont déjà du mal à assumer, surtout les mères de famille.

    Je n'ai pas plus l'envie que les moyens de voir l'école publique dépouillée pour permettre aux écoles hors-contrat de s'offrir le marché éducatif.

    Idem pour la santé.

    Je dirais même que si l'on touche à notre école et notre santé publiques, avenir de nos enfants et de nos générations futures dont la France a toujours assuré la gratuité, il verra ce qu'est une mère qui sort de ses gonds.

    Et j'en suis certaine, des millions de mamans avec moi.

  • Il faut sauver notre école et notre santé publiques des griffes libérales de la droite, c'est une question de survie

    Selon Fillon, et sa très thatchérienne femme, la politique de le dame de fer aurait permis de sauver les services publics.

    On se pince, il est vrai que Fillon mettrait sûrement ses enfants dans une école publique britannique, ou se ferait facilement opérer dans un hôpital public anglais.


    La première restructuration importante du système a eu lieu sous Margaret Thatcher.

    Considérant que le grand coût du service national fut au moins partiellement dû à sa mauvaise organisation et au manque de sens commercial des fonctionnaires gestionnaires du système, elle a impulsé des réformes mettant en place une administration décentralisée du service hospitalier, et un marché interne qui mettait en concurrence les fournisseurs de service.

    Contraints de respecter des limites financiers, les NHS trusts ou services régionaux hospitaliers ont souvent limité leurs activités non plus en fonction de la demande des patients, mais en fonction des contraintes budgétaires.

    Les résultats furent prévisibles; d'un côté, le drame des "hospital waiting lists", l'allongement des listes d'attente pour traîtement à l'hôpital, d'un autre côté la réduction de certains traîtements, et enfin un développement de systèmes d'assurance santé privés. Le secteur privé n'avait jamais cessé d'exister, même pendant les premières belles années du NHS; mais pendant les années 1980 il a connu un nouvel essor, les assurances privées offrant, moyennant côtisation, des traîtements de pointe sans liste d'attente. De nombreux employeurs ont commencé à ajouter aux primes offers à leurs employées une couverture médicale privée complémentaire, notamment avec BUPA, société à but non-lucratif qui était déjà, avant la mise en place du NHS, un des grands fournisseurs d'assurance santé du pays.

    Confronté depuis des années à de gros problèmes budgétaires, le service britannique de la santé a été un des grands sujets de la campagne pour les élections législatives de 2015.

    Tous les partis, à l'exception d'UKIP de Farage, ont promis d'en augmenter le budget de fonctionnement et d'améliorer le service.


    Quant aux écoles dignes de ce nom, seules les classes supérieures et la noblesse y ont droit en Angleterre, et encore, même les écoles de merde sont payantes.

  • Le caïda, cet extrême-droitisme à combattre

    Les petits caïds de banlieue ignorent tout de la notion d'espace public, ce qui arrange grandement leurs trafics, pour eux, la cité est le territoire de leur tribu, ainsi s'affrontent-ils entre quartiers en guerres tribales.

    Pour entrer dans leur quartier, ils croient qu'il faut leur demander l'autorisation, voir leur graisser la patte.

    Ce sont vraiment de petits maffieux, comme dans le Sud de l'Italie où les maffia locales ont toujours refusé l'Etat et s'entretuent entre elles au gré de leurs acquisitions de marchés et territoires.

    Les identitaires sont les mêmes ignorants et récalcitrants, les mêmes ennemis de l'Etat qu'ils honnissent.

    Le grand retour de la France sera d'inculquer et de faire respecter nos principes de droit public, il faudra bannir impérativement les écoles hors-contrat avec l'Etat, qui sont les nids et les couveuses de ces sectarismes mortifères.

  • Au Nom de la rose, le retour

    Les lobbies de l'Opus Dei s'en prennent clairement à l'Education Nationale, sous le prétexte de livres qu'ils interdiraient sous prétexte de sexualité, ce sont l'éducation et l'instruction tout court qu'ils visent.

    A mon époque, je me souviens de la lecture de Ravage de Barjavel, en Cinquième, certains parents s'étaient émus d'une scène de viol, sans aucun recul, contextualisation et réel esprit critique vis-à-vis du texte naturellement.

    Texte d'une autre tenue tant sur le fond que sur la forme, et auquel Vigipirategender n'aurait peut-être rien à redire quand l'EN y aurait étant donné le passé sulfureux de l'écrivain, qui s'est sans doute frotté à des talents de son époque, dont le niveau littéraire était aussi vrai que leurs antisémitisme et collaborationnisme.

    On note par ailleurs que Barjavel, s'il fût précurseur de la science-fiction à la française, est bien ce genre de personnage à qui le progrès, la science, l'homme au final, font peur.

    Car sans doute l'instruction éloigne de leur conception sectaire et autoritaire du fait religieux.

    Les privatologues de l'Opus Dei s'acharnent sur l'EN pour des raisons autres que les prétextes qu'ils avancent; c'est l'instruction publique, la science pour tous qu'ils attaquent, leur fonds de commerce charlatanesque qu'ils défendent, et voulant ignorer sans doute que l'éducation sexuelle permettrait d'éviter les avortements.

  • Philippe de Villiers réinvente le servage héréditaire

    C'est avec condescendance de la presse entérine la création d'une école privée hors-contrat (naturellement) par la famille de Villiers et destinée à alimenter son vivier de petits-bras.

    Pas la moindre critique sur celui qui, comme les multinationales, fait valoir le chantage à l'emploi pour se maintenir dans son fief et devant lequel on doit mettre genou à terre même pour lui lécher les bottes.

    Ce sont donc les enfants de ses esclaves qui viennent de se faire enrôler dans sa secte, pour en faire ses futurs dévoués au service de son business, une école spécialement créée pour être adossée à une Société Anonyme, c'est une première, une triste première, une première dégueulasse.

    Evidemment, le prince y va de son couplet d'excellence, il vend bien son produit dérivé, son système tribaliste où l'adepte ne sera rien en dehors de sa micro bulle.

    Gageons que les petits élèves auront droit à une histoire revisitée, comme dans les sectes américaines, ainsi qu'à une science intégriste dans laquelle la biologie est limitée aux remparts des pudibonderies religioso spéculatives.

    Car pour se faire berner, encore faut-il avoir l'esprit bridé, la famille Villiers se charge de tout, en deus ex machina.

    On retrouve le pédagogisme de SOS Education, l'enfant au centre apprenant à son rythme, c'est-à-dire qu'on lui souhaite un bon patrimoine génétique, à l'instruction à la carte, mieux avoir quelques As dans son jeu, mais le but est-il de pousser ces gamins vers des études ou de servir le Puy du Fou ?
    La réponse est dans la question, évidente.

    Et personne pour dire, personne pour prendre la défense de ces petits, aucune colère, on se fout d'eux.

    Ce n'est pas parce que l'on est enfant de serf de monsieur le vicomte que l'on doit être condamné à des études courtes de guignol !

    Le primaire est fait pour l'acquisition des savoirs fondamentaux, pas pour apprendre à jongler pour se limiter à servir un disneyland quelconque, fût-il à prétexte régional.

    L'anglais y sera d'ailleurs enseigné selon les critères demandés par l'Economie de la connaissance chère à l'Union Européenne.

    Villiers se range totalement aux desiderata mondialo européens.

    Ce genre d'école se classe parfaitement bien sur le marché éducatif, c'est exactement ce que souhaiterait l'OCDE à terme, des écoles financées par et pour le privé, dans un but utilitariste où l'intelligence et le savoir ne sont que des pièces accessoires dont il vaut mieux se débarrasser, et le plus tôt sera le mieux.

    Pour ne rien dire des problèmes sexuels rencontrés dans ces tribus, où l'ex épouse de Villiers condamnait son fils victime en le faisant passer pour cinglé parce qu'il refusait de se faire violer éternellement, alors que, disait-elle, cela se faisait dans toutes les meilleures familles.


    L'avantage pour les gosses qui cumulent écoles payantes et bénévolat au sein de la même Société Anonyme de bonnes familles à parts fraternelles, c'est que s'ils sont crevés et n'ont pas fait leurs devoirs, ils ont une bonne raison, Villiers les fait bosser, même le dimanche et même la nuit (Car Dieu a dit au seigneur vendéen, le dimanche tu te reposeras sur le travail des autres).
    Bon, comme les gamins sont bénévoles (comme leurs parents), même pas besoin de les payer et donc aucune entorse au droit du travail.


    Une rentrée haute en couleur à l'école du Puy du Fou
    Pour la rentrée scolaire, les 103 élèves de Puy du Fou académie ont eu droit aux honneurs. Discours, costumes et musiques épiques ont donné de la solennité à ce
    OUEST-FRANCE.FR

  • Le Vrai du faux de France-Info, parfois vrai, parfois à côté de la plaque

    La chronique "Le Vrai du faux" de France-Info est très intéressante et assurément d'un intérêt de service public.

    Hélas, leur jugement est parfois erroné par un point de vue trop restreint des sujets.

    Il faut une culture générale plus vaste que ne l'ont les journalistes qui s'occupent de ce thème pour aborder les sujets.

    Dommage.


    Prenons l'exemple des directives Européennes retranscrites dans notre législations nationale.

    France-Info ignorerait les compétences européennes en matière d'éducation par exemple ?


    L'UE ne peut intervenir que dans les pans de souveraineté où elle s'est subrogée à la France, en matière monétaire, économique, agricole notamment.

    La France reste maître de certains derniers pans des attributs de notre Etat, même si des lobbies poussent dans le sens de leur détricotage vers toujours plus de libéralisme.

    En matière d'éducation, désolée mais les Compétences DéSéCo s'appliquent, le Processus de Lisbonne n'est pas un fantasme, le Lifelong Learning non plus, même si cela se mélange avec les attributions de l'OCDE.

    Je remarque souvent des "Vrai-Faux" pas très vrai, par manque de connaissances globales - il suffit parfois de voir les choses sous un prisme plus large pour que l'observation soit biaisée-, et mon but est, comme le veut cette chronique, d'être le plus objective possible.

    Ce qui est intéressant, pour tout le monde, c'est la vérité.



    Louis Aliot et Florian Philippot exagèrent le pouvoir de Bruxelles
    Les deux eurodéputés et vice-présidents du Front national assurent pour le premier que "90% des textes qui s'appliquent en France sont des décisions de Bruxelles"…
    FRANCEINFO.FR




    L'Union Européenne aligne notre modèle éducatif sur les desiderata du grand patronat européen, cela passe notamment via les cellules régionales qui sont les cellules de base du processus :

    http://infodoc.crefor-hn.fr/doc_num.php?explnum_id=8253


    La politique de l’Union européenne en matière d’éducation et de formation…
    CIEP.FR

    http://www.ciep.fr/.../politique-lunion-europeenne...