Marine fait tout en douce, ses actions montrent qu'on ne peut pas lui faire confiance.
Elle a renoué avec toutes les factions d'extrême-droite, actions qu'elle a rebaptisées "dédiabolisation", c'est Dorian Gray, elle pactise avec le diable sous le masque d'une beauté vertueuse, mais ce sont bien les bas fonds qu'elle fréquente.
Des lobbies de l'Institut de Formation Politique dont l'objet est de répandre la politique américaine la plus extrême-droitiste, jusqu'aux ligues racistes du Nord et du Sud, en passant par les décentralisateurs de l'Action Française-à-l'anglo-saxonne, tout y passe.
Marine soigne sa droite via sa niaise, une nièce qui racole sur les terres extrémistes avec ses gros sabots, mais les sillons sont tracés droits, la petite fait bien le boulot.
Les pieds dans le purin de l'AF ne fera pas tache dans son parcours, cela n'a étonné que les commentateurs politiques qui ne semblent toujours pas avoir compris quel jouet Marion Maréchal Le Pen est entre les mains des lobbies les plus influents du système.
L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré
Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.
Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.
Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.
Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.
Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.
Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.
L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.
La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.
Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.
Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.
La terre des pères fondateurs des Etats-Unis ou l'âme des patriotes à côté de la plaque
On trouvera difficilement plus atteint de libéralisme aigu que la « droite royaliste et traditionaliste », les deux termes étant totalement usurpés puisqu’il s’agit souvent d’une aristocratie issue de l’ancienne noblesse qui combattait les pouvoirs du Roi pour asseoir le leur, quant au traditionalisme, on fait là aussi difficilement plus anti catholique que ces gens-là dont le prochain n’est qu’un de leur caste, la France éternelle est pour eux celle qui défendrait leurs privilèges et caste.
D'ailleurs, Les chouanneries furent en réalité l'utilisation de l'ignorance des paysans par la noblesse et le clergé locaux à des fins de conservation de privilèges, de refus d'intégration nationale et de velléités décentralisatrices anti esprit français.
C'est un de nos principes fondateurs, l'Etat intervient dans l'économie depuis toujours, c'est un des éléments constitutifs de la France.
Avant, l'Etat et le Roi se confondaient, aujourd'hui, c'est l'Etat et le peuple.
C'est le seul moyen de brider les intérêts particuliers et de faire valoir l'intérêt général dont l'Etat est garant.
Et c'est tous ce que les prétendus royalistes mettent en cause, mais comme ils n'ont jamais rien compris de la France, ils ne s'en rendent même pas compte et vont défendre une position anti nationale dans pratiquement tous les domaines.
Les Jacqueries, à l'origine des Chouanneries, sont parties de ces volontés de remettre en cause le pouvoir royal.
Ils étaient contre l'impôt royal qui était naturellement destiné aux prérogatives de l'Etat unitaire.
Ce sont des Tea Parties dans l'âme.
Il faut bien comprendre pourquoi les libéraux trad actuels font corps avec les lobbies libertariens de Washington aujourd'hui, ils ont une vision opposée à celle de la France, ce sont des Anglo Américains dans l'âme, soit nos pires ennemis en tant que Nation libre française.
La Fayette est un de leur porte drapeau, La Fayette l’Américain qui n’a rien trouvé de mieux que de vouloir importer l’idéologie issue des Mayflowers en France, la patrie de ces gens-là est un no man’s land.
On les entend déjà, "La Fayette, ce franc-mac, jamais !", il n'empêche que cela reste une référence dans les réseaux, tout comme Tocqueville, les lobbies libertariens auxquels l'AF est rattaché n'en font pas mystère.
Et puis Aymeric Chauprade, et Mathieu Decosse Maréchal le Pen, leur franc-maçonnerie ne les dérange pas vraiment ...
Et puis quoi, dénommer sa fille Olympe, d'accord, c'est un truc pour les dieux, mais on se demande si c'est franchement catholique.
Il en est qui lutte contre le libéralisme, mais vraiment tout contre, Alain de Benoist mène aussi ce jeu trouble.
Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants
A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.
Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.
D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.
Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.
Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.
Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.
Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.
On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.
Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.
Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?
Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.
Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.
Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.
La dernière saloperie en date est celle, non nouvelle, mais sans cesse renouvelée de l'agent de Jihad Watch, Michel Thooris
Non seulement, Marine pratique le communautarisme couramment, mais encore ne se contente-elle pas de couper les gens en rondelles de salami, de cette viande dont elle découpe notre unité nationale et nos principes fondateurs, encore faut-il qu'elle prenne les pires morceaux.
Elle n'entend pas que considérer les juifs comme bande à part de notre communauté nationale, elle souhaite ardemment récupérer les sales juifs.
Comme Marion Maréchal drague les prétendus chrétiens des fanges, qui cachent (mal) leur religion libérale, leur racialisme et leur anti républicanisme, derrière un nuage de bondieuseries, Marine compte sur son apôtre en service commandé Thooris pour amener à elle, les petits enfants de l'extrémisme se revendiquant du judaïsme.
Même racialisme, même libéralisme, même communautarisme, que les ouailles de la Maréchal, la démarche est cohérente.
A défaut d'être respectable et avouable ...
Le libéralisme, un repli étriqué des esprits bornés
Le communautarisme est un libéralisme.
Dans un pays comme la France, il n’aurait pas lieu d’être, nos institutions ne reconnaissent pas cette cellule et sont faites justement pour faire disparaître ce genre de replis.
Ce sont les avancées du libéralisme qui empêche l’unité nationale, à tout point de vue.
L’uberisation ne fonctionne que dans un pays où on laisse les lois du marché devenir supérieures à celles de l’Etat, c’est-à-dire où on déserte la civilisation, le vrai sens du politique qui est d’exercer un contrôle sur les affaires de la société.
Le prétexte de la mondialisation a bon dos, la loi de la jungle ailleurs n’implique pas que nous devions nous aligner sur le moins-disant protecteur.
La civilisation, c’est la protection ; la protection, c’est la politique ; la politique, c’est l’Etat, l’Etat, c’est nous.
Mettre les échecs sur le dos d’un prétendu « assistanat » est une vaste escroquerie distillée par les lobbies libéraux, qui sont les ennemis des nations (une nation étant constituée des citoyens de la Cité, la Cité étant la société obéissant à des lois communes dans l’intérêt général).
Les règles de l’économie doivent être celles « de la maison » (oikos nomos), le système anglo saxon, libéral, étant un contre-modèle, il faut imposer notre modèle social, plus juste, par exemple, et surtout pas par la force ni par la ruse comme le fait justement le système ennemi.
L’organisation d’une Cité qui tient debout, c’est-à-dire en ne laissant personne sur le bord du chemin, est celle de l’organisation des protections économiques, sanitaires, sociales, de la transmission.
A l’heure des Panama Papers, nous savons que les problèmes économiques des pays viennent des gros tricheurs et de personne d’autre, l’Etat doit se renforcer là encore, pour mettre les moyens à son service, c’est-à-dire au service de tous.
Les cotisations sociales et fiscales sont notre contribution au fait de vivre dans un pays digne des plus grandes civilisations, et là encore, il faut se méfier des conneries libérales répandues, un pauvre contribue proportionnellement bien plus à la richesse de la Cité, la TVA étant l’impôt qui rapporte le plus et de loin.
A ce propos, les IFRAPiens ont encore frappé
La tête-à-claque porte-parole de l'IFRAP est effrayée par les aides sociales réservées à la jeunesse qu'elle préfère aux abois pour servir de proie à ses commanditaires.
Cela les "désincit(erait)" à travailler, selon elle.
Elle qui n'a jamais naturellement cherché de travail de sa vie, n'est pas à une ineptie réac près.
La jeunesse ne demande que ça, du travail, c'est seulement que le libéralisme total prôné par la secte dans laquelle la demoiselle est embullée, mène irrépressiblement aux minima d'emplois et à leur précarité, salaires de misère que la jeunesse a raison de refuser, un minimum de dignité oblige.
Il faudrait que ce genre de bourgeoises filles à papa arrête de faire semblant de penser pour ceux qui vivent dans le réel, ça fait parasite à éliminer ...
Et pourtant, les vers sont dans le fruits, les trois têtes de listes de l'extrême-droite candidates putatives à la présidentielle sont sur les rangs.
Emmanuelle Macron, Rama Yade, il ne manque plus que Marion Maréchal Le Pen et l'extrême-droite a placé tous ses pions.
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L'extrême-droite pour les Nuls
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Nul ne gouverne la France s'il n'est historien du droit
Pour comprendre, comment à la fin, c'est la France qui gagne, c'est-à-dire son Etat garant de l'unité nationale.
Comment les velléités d'une certaine noblesse puis bourgeoisie d'usurper le pouvoir royal puis le pouvoir étatique, ont lamentablement échoué.
Et comment percevoir que le combat est toujours de mise.
"Au début du Moyen Âge, la cour du roi, Curia Regis entourait le roi pour toutes les affaires du royaume. Mais le développement du pouvoir royal entraîna la séparation de la Curia Regis en trois organes distincts : le Conseil du roi pour les affaires politiques, la Chambre des comptes pour les questions financières, et le Parlement pour la justice. C'est l'origine du parlement de Paris au xiiie siècle. Le parlement de Paris a compétence sur tout le royaume jusqu'au xve siècle. Les clercs en sont exclus en 1319. L'ordonnance du 11 mars 1344 l'organise définitivement.
À partir de 1422, de nouveaux parlements sont créés : à Toulouse, à Bordeaux puis dans les grands fiefs rattachés au domaine royal. En tout, quatorze parlements ont été mis en place du xiiie au xviiie siècle.
Les parlements, et notamment le parlement de Paris, ont toujours été un appui de la royauté face à la papauté pour la défense de l’église gallicane. Durant les guerres de religion, ils s’opposent ainsi à l’introduction de la réforme tridentine en France, qui renforcerait les pouvoirs du pape, puis éclatent entre ligueurs et royalistes : ainsi, les membres du parlement de Paris fidèles au roi forment de 1589 à 1594 le parlement de Tours.
Frondes parlementaires
Les droits d’enregistrement (qui consiste à publier les actes royaux : édits, ordonnances, déclarations, lettres patentes) et de remontrance (qui consiste à faire des remarques en cas d'irrégularité ou d'incompatibilité avec des lois ou coutumes existantes dans leur ressort), donnèrent aux parlements l'idée qu'ils avaient un pouvoir de contrôle, voire de censure, des décisions royales. C’est notamment le cas pendant la première période de la Fronde, la Fronde parlementaire, (1648-1649). Le Parlement de Paris réclame le droit de contrôler les finances du royaume.
Ce faisant, après la Révolution anglaise, les parlements revendiquent les compétences du Parlement de l’Angleterre dont une des deux chambres, la Chambre des communes, est composée d’élus, alors que les parlements français sont à l’époque composés de magistrats dont les charges sont des offices royaux inamovibles et souvent héréditaires.
En 1673, Louis XIV interdit aux parlements de faire quelque remarque que ce soit avant l’enregistrement des édits. Ceci musela les parlements pendant tout son règne.
Les parlements relèvent la tête après la mort de Louis XIV en 1715, en négociant leur droit de remontrance avec le régent Philippe d’Orléans, à qui ils attribuent, en cassant le testament de Louis XIV, les pouvoirs que ce dernier, oncle du régent, avait très fortement limité. À partir de 1750, les parlements bloquent les réformes du pouvoir royal, notamment le principe d'égalité devant l'impôt.
Le 3 mars 1766, Louis XV, frustré de n'avoir pas pu faire la série de réformes qui devaient permettre au royaume de se remettre, va au devant du parlement et tient un lit de justice. Cette séance s'appelle la séance de la Flagellation3 du nom de la fête du 3 mars. Louis XV y fait donner un discours appuyant le principe d'absolutisme royal, et le fait que le droit de remontrance des parlements n'est qu'un pouvoir de justice délégué, que le roi reste la seule source de pouvoir du royaume.
Louis XV est désormais décidé à limiter les parlements. En 1771, le chancelier Maupeou, nommé en 1768, enlève aux parlements de Paris et de provinces leurs attributions politiques et les divise en six Conseils supérieurs, les cantonnant à rendre la justice.
Mais en 1774, Louis XVI, conseillé par Maurepas (« Sans parlement, point de monarchie ») et inquiet de sa popularité, fait rappeler les anciens Parlements, ce dont se charge son nouveau chancelier Lamoignon. Louis XVI reculera désormais chaque fois devant leur opposition. Ils jouent un rôle important dans l’agitation pré-révolutionnaire des années 1780. Ils sont soutenus par une partie du peuple dont ils prétendent être les protecteurs contre le « despotisme » royal. En empêchant toute réforme de celui-ci, ils préparent la Révolution, dont ils sont les premières victimes : dès 1790, les parlements sont remplacés par des juges élus et appointés par l’État."Lien permanent Catégories : culture -
Marine Le Pen continue de soigner sa droite au détriment de nos principes fondateurs
Le site racialiste FDesouche -que Marine et certains de ses partisans n'arrivent toujours pas à bannir de leur entourage proche- fait naturellement ses choux gras d'une maman victime des attentats du 13 novembre.
Cette mère refuserait que "ses" impôts servent à la défense d'un terroriste.
Il faudrait expliquer à cette maman perdue ce qu'est la France et comment notre justice, attribut de notre Etat, fonctionne.
Nous ne sommes pas Daech ni Poutine, les droits de la défense sont une marque de civilisation.
Lutter contre la barbarie, c'est commencer par comprendre cela.
La seule menace contre la France, est la destruction de ses principes civilisationnels, dont notre justice est un des piliers.
Depuis nos Rois, nous avons des principes de droit de la défense.
Saint Louis fut un de nos grands rois juristes, il a beaucoup fait pour la justice de notre pays, nos Rois étaient garants des attributions judiciaires de l'Etat.
La justice était rendue au nom du Roi et était la même dans tout le royaume, même si la noblesse a toujours voulu récupérer les prérogatives du pouvoir royal, les Parlements des provinces françaises étaient les sanctuaires territoriaux de l'autorité du Roi.
Saint Louis réforme profondément la justice en promulguant, en 1256, la grande ordonnance. Ce texte général, très novateur, insiste sur l'importance de la présomption d'innocence.
" Nul ne sera privé de son droit sans faute reconnue et sans procès ", est-il écrit. Cette ordonnance, le souverain l'adresse aux baillis et aux sénéchaux, mais également à leurs subordonnés, les prévôts, les vicomtes, les maires, les sergents et " aux autres ".
Elle s'applique donc à tout le royaume. Saint Louis conservera ce souci impérieux d'une bonne justice. A sa mort, il léguera à son fils un texte, un vade-mecum, dans lequel il lui rappelle que " le pouvoir royal doit vérifier que les villes font bien appliquer la justice ".Lien permanent Catégories : Brèves, culture -
Connaître la France n'est pas "royaliste", sauf à être plus royaliste que les prétendus "royalistes"
C'est un de nos principes fondateurs, l'Etat intervient dans l'économie depuis toujours, c'est un des éléments constitutifs de la France.
Avant, l'Etat et le Roi se confondaient, aujourd'hui, c'est l'Etat et le peuple.
C'est le seul moyen de brider les intérêts particuliers et de faire valoir l'intérêt général dont l'Etat est garant.
Et c'est tout ce que les prétendus royalistes mettent en cause, mais comme ils n'ont jamais rien compris de la France, ils ne s'en rendent même pas compte et vont défendre une position anti nationale dans pratiquement tous les domaines.
Les Jacqueries, à l'origine des Chouanneries, sont parties de ces volontés de remettre en cause le pouvoir royal.
Ils étaient contre l'impôt royal qui était naturellement destiné aux prérogatives de l'Etat unitaire.
Ce sont des Tea Parties dans l'âme.
Il faut bien comprendre pourquoi les libéraux trad actuels font corps avec les lobbies libertariens de Washington aujourd'hui, ils ont une vision opposée à celle de la France, ce sont des Anglo Américains dans l'âme, soit nos pires ennemis en tant que Nation libre française.Lien permanent Catégories : culture -
Les repères des libéraux trad, toujours contre la France, l'exemple des Chouanneries
Les chouanneries furent en réalité l'utilisation de l'ignorance des paysans par la noblesse et le clergé locaux à des fins de conservation de privilèges, de refus d'intégration nationale et de velléités décentralisatrices anti esprit français.
" Jean-Clément Martin a indiqué que, si les paysans sont passés à la Contre-révolution, selon les provinces, pour des raisons très diverses, y compris entre les différentes zones de la Vendée, les mots d'ordre religieux et de la défense communautaire leur sont communs. Ces mots d'ordre sont dus au maintien du poids des impôts et des fermages, à l'aggravation du sort des métayers, à l'incapacité des petites élites rurales à acheter des biens nationaux, accaparés par les élites urbaines, à la perte de l'autonomie des petites communes rurales face aux bourgs, où sont installés les pouvoirs politique (le district) et économique, aux atteintes de la Constitution civile du clergé, aux libertés des communautés, qui défendent leur prêtre et leurs cérémonies religieuses. Les tensions montent jusqu'en mars 1793, sans trouver d'exutoire, quand la levée en masse fournit l'occasion aux communautés de s'unir contre les agents de l'État, dans un mouvement qui renvoie aux jacqueries traditionnelles, et de former des bandes à la tête desquelles les élites locales sont placées, de plus ou moins bon gré.
Dans la Sarthe, ce sont les fermiers aisés et leurs alliés qui se soulèvent, alors que les ruraux dépendants des villes et leurs voisins tisserands représentent le fer de lance de l'insurrection dans les Mauges. Quant aux chouans d'Ille-et-Vilaine, ils sont recrutés essentiellement parmi les métayers et leurs proches. Dans tous les cas, c'est la défense de l'équilibre communautaire, mis à mal par les lois civiles et religieuses de la Révolution, qui pousse vers la révolte. Le royalisme y semble peu profond, comme dans le Midi en 1791-1792, et les haines personnelles et locales jouent un rôle important, avec des oppositions entre communes voisines ; dans la majorité des cas, les soulèvements commencent par « des règlements de compte, des chasses aux révolutionnaires et le pillage. "Lien permanent Catégories : culture -
Si la France était une phrase, elle serait celle-là
La France est un continuum, il s'agit d'une idée politique de départ, la grande idée d'unité nationale contre le tribalisme.
Toutes nos institutions, notre histoire, découlent de ce principe.
Si vous ne comprenez pas cela, l'esprit de nos lois, c'est que vous n'avez rien compris à la France.Lien permanent Catégories : Brèves, culture -
Pourquoi l'Europe sera TOUJOURS une impasse
Il est assez simple de comprendre pourquoi et comment l'Europe, qu'elle soit politique ou économique est une impasse.
Les divergences européennes, et sociales, viennent des principes de base de chaque pays et notamment de la place qu'ils attribuent à l'Etat, ce dernier étant le seul rempart protecteur des populations contre les intérêts privés.
Or la plupart des pays européens ont choisi ou se sont vu imposer par les aléas de l'histoire et de façon constitutive, une conception anglo saxonne de l'Etat, qui est celle du moindre Etat et de la place accordée au régionalisme pour fixer la norme.
Le système éducatif anglo saxon est caractérisé par une large décentralisation, et une grande autonomie accordée aux établissements scolaires, par exemple.
C'est d'ailleurs ce qui classe les écoles ayant ce modèle, dans le lot de tête des classements de l'OCDE qui sont des baromètres anglo saxons, qui vont donc accorder des satisfecits aux systèmes les plus éloignés de notre façon française d'envisager l'instruction dans un but plus intellectuel qu'utilitaire au sens du marché.
C'est ce qui permet la main-mise du privé, du monde de l'entreprise, sur le système scolaire, et la formation à la demande du monde marchand qui n'envisage la transmission que comme la fabrique d' entités jetables adaptées à la flexibilité d'exige la rentabilité.
C'est une conception de l'homme qui nous est étrangère, nous envisageons les hommes comme égaux, nous ne les condamnons pas socialement s'ils ne s'accordent pas avec la vision de la réussite selon les lois du marché.
C'est ainsi que tous les enfants de France auront droit à une école publique de qualité, une médecine publique de qualité, une justice publique de qualité, la sécurité physique, sociale, l'accès aux services, à l'énergie, etc.
Notre modèle national français est assez unique, avec un Etat conçu à la base pour être protecteur, unificateur, interventionniste.
Autant dire que la seule Europe possible est une Europe à l'anglo saxonne, tournée vers la responsabilité individuelle et donc le libéralisme, c'est-à-dire vers le moins disant socialement protecteur.Lien permanent Catégories : culture, Education, Européennes, libéralisme mondialisme, Régionales -
La république est plus royaliste que l'Action Française et dérivés anti-France
S'il faut bien comprendre une chose de l'extrême-droite, c'est sa volonté de s'en prendre à l'Etat.
C'est le point commun, le point de ralliement, de Maréchal Le Pen à Macron, en passant par Rama Yade, Bruno Le Maire, La Manif Pour Tous, Nuit Debout, Pierre Rabhi, Soral et tant d'autres, l'idée est de déstabiliser l'Etat.
Et vous trouverez toujours le soutien des réseaux libertariens issus des grands think tanks de Washington, autour de ces entités qui servent de tremplins pour atteindre l'Etat.
L'AF n'est pas plus royalistes que MMLP, nos Rois ont toujours eu à lutter contre les velléités décentralisatrices des baronnies locales qui voulaient s'accaparer une partie du pouvoir royal.
Petites maffias voulant s'approprier des pans de souveraineté en sabrant dans l'unité nationale qui fait la France.
"Marion Maréchal-Le Pen se dit d'une "génération saoulée par les valeurs de la République qu'on...
Marion Le Pen se dit d'une "génération saoulée par les valeurs de la République qu'on nous serre en permanence".
LELAB.EUROPE1.FR"
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Et les révélations de l'année sont ...
VA, le propagandier de service qui t'aide à révéler le facho qui sommeille en toi ...
Anti-démocrate, anti-républicain, anti-Etat, VA est fait pour toi. :
Choix numéro 1, Valeurs Actuelles de l'extrême-droite :
"Chiva Christian
46 min ·
Le sondage caché et révélé par Valeurs actuelles .....
Enfin, un sondage qui n'est pas truqué !
Sondage caché stupéfiant dans (Valeurs Actuelles n° 4026, page 19) Aïe, aïe, aïe... infos qui font mal !!!
C'est un véritable bouleversement d'opinion chez les Français.
On comprend pourquoi le gouvernement et la Presse musellent cette information.
Sondage "caché", une véritable bombe !
La publication des résultats de l'enquête annuelle publiée chaque année dans le Monde, menée par l'institut Opinionway et le Centre
de Recherche Politique de Sciences Po, intitulé "Baromètre de la confiance politique".
C'est la 5e édition mais, pour la première fois cette année, le 13 janvier, la presse n'en a dévoilé que 41 pages sur 84.
Cela a mis la puce à l'oreille de Valeurs actuelles qui s'est demandé ce qu'on voulait nous cacher, et s'est procuré les résultats de l'enquête, qu'elle publie dans son n° 4026.
Les résultats sont stupéfiants, c'est un séisme politique.
En voici le résumé fidèle :
1. 75% des Français ne font plus confiance à l'État, ni à la république.
2. 88% rejettent catégoriquement les partis politiques.
3. 87% jugent que Hollande n'a pas l'étoffe d'un président, ça c'est moins étonnant.
4. 61% sont prêts à manifester, alors qu'ils n'étaient que 30% en 2010
5. 71% ne font pas confiance aux syndicats.
Mais la stupeur :
1. 50% ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays un homme fort (ou une femme) qui n'a pas à se préoccuper du parlement ni des élections.
Traduction en clair : un roi ou un dictateur, ou du moins un pouvoir personnel fort ?
2 . 12% souhaitent même que l'armée dirige le pays !
C'est du jamais vu depuis 200 ans et ça montre la crise où ces gouvernements d'énarques coupés des réalités du pays, et d'hommes politiques profiteurs de droite ou de gauche ont plongé le pay Sans surprise
1. 30% placent Sarkozy en tête,
2. 34% Marine Le Pen, tous les autres hommes politiques de tous
bords sont très loin derrière.
3. 67% pensent qu'il y a trop d'immigrés en France,
4. 50% sont pour le rétablissement de la peine de mort(ils n'étaient que 35% en 2001
Quelles que soient les réflexions que nous suggèrent ces résultats,
on voit en tout cas à quel degré de crise profonde nous a mené la politique de ces dernières décennies.
Les Français ne veulent plus être gouvernés par les énarques, ils aspirent à un changement radical.
Fantastique : Enfin la FRANCE réagit.
C'est bon à faire savoir car ça redonne le moral et l'espoir !
(Valeurs Actuelles n° 4026, page 19
Il est inadmissible et regrettable que les médias ne diffusent pas ce genre d'information, cela prouve bien qu'ils sont à la botte du pouvoir
Il est important que les vrais Français soient informés du résultat de cette enquête. Partager pour le faire savoir , yalla et fissa."
Choix numéro 2, un valeur à crédit toxique jaugée par les spécialistes du marché :
PDR.
Si après ça ce groupe n'est pas la "révélation" de l'année ...
Bah, ils ne sont plus à une secte près dans le milieu dans le fan-club de Marion Maréchal Le Pen.
Bon, Bourbon a beau être aussi illuminé et bedonnant, pas sûre qu'il rallie à lui des raéliens en puissance, la concurrence est rude à l'extrême-droite.
Les Brigandes : quand une secte antichrétienne et occultiste tente de subvertir la droite...
« Les Brigandes », un groupe de jeunes filles maniant la guitare et abordant des thèmes politiquement incorrects : il n’en fallait pas plus pour susciter l’engouement soudain…
CONTRE-INFO.COM
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Commentaires
Oriane Borja
Oriane Borja http://www.medias-presse.info/deprogrammation-par.../53470
Déprogrammation par Civitas du concert des brigandes le 8 mai 2016
MEDIAS-PRESSE.INFO
Choix numéro 3, enfin une valeur sûre :
En parlant de révélation, mais bon, à sa décharge qu'il fait pâle figure à côté de la Verdier-Molinié.
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Nuit Debout, Frédéric Lordon s'est couché
Frédéric Lordon tient de ses amis des réseaux libertariens de dire "néolibéralisme" au lieu de "libéralisme" tout court.
A-t-on entendu Lordon dénoncer Jacques Sapir comme jouet de John Laughland (Institut pour la Démocratie et la Coopération) ?
John Laughland, grand thatchérien de la première heure et aujourd'hui agent du Ron Paul Institute en Europe et en Russie.
Lordon a, comme d'autres (Soral, Chouard, Sapir) était approché par les réseaux libertariens, là où les autres ont pris le wagon en route, Lordon avait envoyé bouler Contrepoints (de vue de Washington).
Mais le mouvement de Démocratie Directe, autre moyen d'action internationale des libertariens, aura eu raison du Haut Commercial.
Tout déstabilisateur de l'Etat, qu'il vienne de l'extrême-gauche à l'extrême-droite en passant naturellement par les Ni droite Ni gauche Moins d'Etat, est un flanqué de la véritable extrême-droite internationale dont l'objet est l'expansion du libéralisme pur, et pour qui ce qui reste de France est à abattre.
Vous avez des tas d'opposants au libéralisme ou prétendus opposants, qui luttent contre, mais tout contre.
Et ils parlent tous toujours de "néolibéralisme", pour expliquer que le véritable "libéralisme" n'a pas encore été adopté, le libéralisme actuel, si on leur accorde qu'il n'est pas encore entièrement poussé à son paroxysme, est encore trop bridé par l'Etat pour être considéré par eux, comme non liberticide.
Ils ne se rendent parfois pas compte qu'ils ont été cooptés, ou comme Chouard, sont au courant (je lui ai mis cent fois le nez dedans, pareil pour Soral, qui lui, a au moins reconnu devant moi que c'était son business), mais préfèrent prendre les gens pour des cons en prenant un air de benêt innocent, et ça marche pas mal. Demandez à Ruffin.
La démocratie directe est le paradis des libertariens, c'est le royaume des lobbies et des puissances d'argent.
C'est la négation absolue du politique dans son sens noble, qui est un projet de civilisation, ce qui compte, c'est l'idée, pas les bonhommes.
La démocratie directe fait l'inverse, elle part de la table rase, elle prétend construire sur du néant alors que le politique est un empirisme qui s'étend sur le temps long, justement pour corriger les erreurs de la démocratie représentative le cas échéant et pour s'adapter au moment en fonction des principes de base.
Dans "démocratie" il y a le "demos", le territoire et les habitants de la Cité 'équivalent de notre conception française de nation), et le "kratos", celui qui est capable de gouverner.
Le gouvernement par et pour le peuple, or la démocratie directe ignore le gouvernement, gouverner, c'est prévoir.
La seule démocratie possible est la démocratie représentative, que rien n'empêche d'améliorer, une civilisation est sans cesse en mouvement, elle s'affine toujours en s'ajustant face aux défauts que le réel fait surgir.
Une grande civilisation comme la France a d'ailleurs su bâtir sa civilisation avec plein de garde-fous, lorsque son Etat a les moyens de sa puissance, il fonctionne le mieux du monde, même s'il est toujours perfectible.
Nos échecs sont dus, sous les coups de boutoir du libéralisme, à l'altération des prérogatives de l'Etat, qui vont pour la France, bien au-delà des attributs régaliens, notre Etat étant garant de notre unité et de notre prospérité, tous ses services devant être tournés dans cet esprit.
Le tout est de garder l'esprit de nos lois, dont notre Constitution est garante.
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