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culture - Page 13

  • Le libéralisme enfin compris par une journaliste, on avance

    Koenig, Verdier-Molinié... La nouvelle vague libérale pro-Macron
    Ils détestent l’Etat obèse, les normes, les impôts, et chérissent les entrepreneurs. Certains sont libertaires, d’autres conservateurs. Qui sont ces jeunes loups du…
    CHALLENGES.FR|PAR PAR GAËLLE MACKEVOIR TOUS SES ARTICLES

  • L'extrême-droite pour les nuls

    Marine fait tout en douce, ses actions montrent qu'on ne peut pas lui faire confiance.

    Elle a renoué avec toutes les factions d'extrême-droite, actions qu'elle a rebaptisées "dédiabolisation", c'est Dorian Gray, elle pactise avec le diable sous le masque d'une beauté vertueuse, mais ce sont bien les bas fonds qu'elle fréquente.

    Des lobbies de l'Institut de Formation Politique dont l'objet est de répandre la politique américaine la plus extrême-droitiste, jusqu'aux ligues racistes du Nord et du Sud, en passant par les décentralisateurs de l'Action Française-à-l'anglo-saxonne, tout y passe.

    Marine soigne sa droite via sa niaise, une nièce qui racole sur les terres extrémistes avec ses gros sabots, mais les sillons sont tracés droits, la petite fait bien le boulot.

    Les pieds dans le purin de l'AF ne fera pas tache dans son parcours, cela n'a étonné que les commentateurs politiques qui ne semblent toujours pas avoir compris quel jouet Marion Maréchal Le Pen est entre les mains des lobbies les plus influents du système.


    L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré

    Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.

    Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.

    Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.

    Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.

    Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.

    Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.

    L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.

    La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.

    Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.
    Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.


    La terre des pères fondateurs des Etats-Unis ou l'âme des patriotes à côté de la plaque


    On trouvera difficilement plus atteint de libéralisme aigu que la « droite royaliste et traditionaliste », les deux termes étant totalement usurpés puisqu’il s’agit souvent d’une aristocratie issue de l’ancienne noblesse qui combattait les pouvoirs du Roi pour asseoir le leur, quant au traditionalisme, on fait là aussi difficilement plus anti catholique que ces gens-là dont le prochain n’est qu’un de leur caste, la France éternelle est pour eux celle qui défendrait leurs privilèges et caste.

    La Fayette est un de leur porte drapeau, La Fayette l’Américain qui n’a rien trouvé de mieux que de vouloir importer l’idéologie issue des Mayflowers en France, la patrie de ces gens-là est un no man’s land.

    On les entend déjà, "La Fayette, ce franc-mac, jamais !", il n'empêche que cela reste une référence dans les réseaux, tout comme Tocqueville, les lobbies libertariens auxquels l'AF est rattaché n'en font pas mystère.

    Et puis Aymeric Chauprade, et Mathieu Decosse Maréchal le Pen, leur franc-maçonnerie ne les dérange pas vraiment ...
    Et puis quoi, dénommer sa fille Olympe, d'accord, c'est un truc pour les dieux, mais on se demande si c'est franchement catholique.


    Il en est qui lutte contre le libéralisme, mais vraiment tout contre, Alain de Benoist mène aussi ce jeu trouble.

    Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants

    A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.

    Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.

    D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.
    Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.

    Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.

    Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.

    Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.

    On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.
    Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.

    Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?

    Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.
    Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.

    Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.


    La dernière saloperie en date est celle, non nouvelle, mais sans cesse renouvelée de l'agent de Jihad Watch, Michel Thooris.

    Non seulement, Marine pratique le communautarisme couramment, mais encore ne se contente-elle pas de couper les gens en rondelles de salami, de cette viande dont elle découpe notre unité nationale et nos principes fondateurs, encore faut-il qu'elle prenne les pires morceaux.

    Elle n'entend pas que considérer les juifs comme bande à part de notre communauté nationale, elle souhaite ardemment récupérer les sales juifs.

    Comme Marion Maréchal drague les prétendus chrétiens des fanges, qui cachent (mal) leur religion libérale, leur racialisme et leur anti républicanisme, derrière un nuage de bondieuseries, Marine compte sur son apôtre en service commandé Thooris pour amener à elle, les petits enfants de l'extrémisme se revendiquant du judaïsme.

    Même racialisme, même libéralisme, même communautarisme, que les ouailles de la Maréchal, la démarche est cohérente.
    A défaut d'être respectable et avouable ...


    Le libéralisme, un repli étriqué des esprits bornés

    Le communautarisme est un libéralisme.

    Dans un pays comme la France, il n’aurait pas lieu d’être, nos institutions ne reconnaissent pas cette cellule et sont faites justement pour faire disparaître ce genre de replis.

    Ce sont les avancées du libéralisme qui empêche l’unité nationale, à tout point de vue.

    L’uberisation ne fonctionne que dans un pays où on laisse les lois du marché devenir supérieures à celles de l’Etat, c’est-à-dire où on déserte la civilisation, le vrai sens du politique qui est d’exercer un contrôle sur les affaires de la société.
    Le prétexte de la mondialisation a bon dos, la loi de la jungle ailleurs n’implique pas que nous devions nous aligner sur le moins-disant protecteur.

    La civilisation, c’est la protection ; la protection, c’est la politique ; la politique, c’est l’Etat, l’Etat, c’est nous.
    Mettre les échecs sur le dos d’un prétendu « assistanat » est une vaste escroquerie distillée par les lobbies libéraux, qui sont les ennemis des nations (une nation étant constituée des citoyens de la Cité, la Cité étant la société obéissant à des lois communes dans l’intérêt général).

    Les règles de l’économie doivent être celles « de la maison » (oikos nomos), le système anglo saxon, libéral, étant un contre-modèle, il faut imposer notre modèle social, plus juste, par exemple, et surtout pas par la force ni par la ruse comme le fait justement le système ennemi.

    L’organisation d’une Cité qui tient debout, c’est-à-dire en ne laissant personne sur le bord du chemin, est celle de l’organisation des protections économiques, sanitaires, sociales, de la transmission.

    A l’heure des Panama Papers, nous savons que les problèmes économiques des pays viennent des gros tricheurs et de personne d’autre, l’Etat doit se renforcer là encore, pour mettre les moyens à son service, c’est-à-dire au service de tous.
    Les cotisations sociales et fiscales sont notre contribution au fait de vivre dans un pays digne des plus grandes civilisations, et là encore, il faut se méfier des conneries libérales répandues, un pauvre contribue proportionnellement bien plus à la richesse de la Cité, la TVA étant l’impôt qui rapporte le plus et de loin.


    A ce propos, les IFRAPadingues ont encore frappé


    La tête-à-claque porte-parole de l'IFRAP est effrayée par les aides sociales réservées à la jeunesse qu'elle préfère aux abois pour servir de proie à ses commanditaires.

    Cela les "désincit(erait)" à travailler, selon elle.

    Elle qui n'a jamais naturellement cherché de travail de sa vie, n'est pas à une ineptie réac près.

    La jeunesse ne demande que ça, du travail, c'est seulement que le libéralisme total prôné par la secte dans laquelle la demoiselle est embullée, mène irrépressiblement aux minima d'emplois et à leur précarité, salaires de misère que la jeunesse a raison de refuser, un minimum de dignité oblige.

    Il faudrait que ce genre de bourgeoises filles à papa arrête de faire semblant de penser pour ceux qui vivent dans le réel, ça fait parasite à éliminer ...


    Et pourtant, les vers sont dans le fruits, les trois têtes de listes de l'extrême-droite candidates putatives à la présidentielle sont sur les rangs.

    Emmanuelle Macron, Rama Yade, il ne manque plus que Marion Maréchal Le Pen et l'extrême-droite a placé tous ses pions.

  • L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré

    Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.

    Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.

    Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.

    Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.

    Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.

    Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.

    L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.

    La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.

    Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.

    Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.

  • Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants

    A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.

    Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.

    D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.

    Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.

    Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.

    Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.

    Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.

    On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.

    Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.

    Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?

    Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.

    Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.

    Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.

  • Le libéralisme, un repli étriqué des esprits bornés


    Le communautarisme est un libéralisme.

    Dans un pays comme la France, il n’aurait pas lieu d’être, nos institutions ne reconnaissent pas cette cellule et sont faites justement pour faire disparaître ce genre de replis.

    Ce sont les avancées du libéralisme qui empêche l’unité nationale, à tout point de vue.

    L’uberisation ne fonctionne que dans un pays où on laisse les lois du marché devenir supérieures à celles de l’Etat, c’est-à-dire où on déserte la civilisation, le vrai sens du politique qui est d’exercer un contrôle sur les affaires de la société.

    Le prétexte de la mondialisation a bon dos, la loi de la jungle ailleurs n’implique pas que nous devions nous aligner sur le moins-disant protecteur.

    La civilisation, c’est la protection ; la protection, c’est la politique ; la politique, c’est l’Etat, l’Etat, c’est nous.

    Mettre les échecs sur le dos d’un prétendu « assistanat » est une vaste escroquerie distillée par les lobbies libéraux, qui sont les ennemis des nations (une nation étant constituée des citoyens de la Cité, la Cité étant la société obéissant à des lois communes dans l’intérêt général).

    Les règles de l’économie doivent être celles « de la maison » (oikos nomos), le système anglo saxon, libéral, étant un contre-modèle, il faut imposer notre modèle social, plus juste, par exemple, et surtout pas par la force ni par la ruse comme le fait justement le système ennemi.

    L’organisation d’une Cité qui tient debout, c’est-à-dire en ne laissant personne sur le bord du chemin, est celle de l’organisation des protections économiques, sanitaires, sociales, de la transmission.

    A l’heure des Panama Papers, nous savons que les problèmes économiques des pays viennent des gros tricheurs et de personne d’autre, l’Etat doit se renforcer là encore, pour mettre les moyens à son service, c’est-à-dire au service de tous.

    Les cotisations sociales et fiscales sont notre contribution au fait de vivre dans un pays digne des plus grandes civilisations, et là encore, il faut se méfier des conneries libérales répandues, un pauvre contribue proportionnellement bien plus à la richesse de la Cité, la TVA étant l’impôt qui rapporte le plus et de loin.

  • Le mariage du bonsaï, de la carpe et du lapin

    Il a raison et il a de l'humour, ce dont ses détracteurs sont totalement dépourvus.

    Je trouve le mariage entre homosexuels ridicule, pas loin de penser que le mariage lui-même est ridicule tant il est hypocrite, ce serait presque un truc pour malades mentaux, le seul intérêt est la protection des enfants, ou à la limite, en prescription médicale, pour ceux qui en ont vraiment besoin, par souci de santé publique.

    Et concernant les enfants, je suis contre tous dons, ventes, échanges, vol, de gamètes et/ou ventre, et pour l'accès des enfants adoptés à leurs origines.

    Mais il faut bien reconnaître que vu les horribles personnes que la culture du Bonsai révèle, et dont l'intégralité du programme politique est à l'avenant, on aimerait en marier tous les jours des hommes ou des femmes en manque de reconnaissance.

    Personnellement, je retiens une fois de plus que le plus important est d'être contre le projet d'Union des droites, bannir, répudier les termes de droite et de gauche, et jusqu'au Ni droite Ni gauche si repris par l'extrême-droite parfois.

    Ce qu'il faut impérativement refuser, c'est le mariage avec des salauds d'extrême-droite de tout bord, de Macron à Marion Maréchal le Pen, des noces du Figaro avec VA, de Nuit Debout à Contribuables Associés, le panel est large, il faut bien que l'on réagisse à la publication de tels bans.


    Pour Philippot (FN), l'abrogation du mariage gay intéresse autant que "la culture du bonsaï"
    Florian Philippot, l'un des vice-présidents du FN, relativise mardi dans un article du Monde la nécessité d'abroger le "mariage pour tous", abrogation souhaitée par le…
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  • Tout n'est pas à vendre

    La prostitution est un retard de civilisation, c'est une avancée que de vouloir la réprimer.

    Les hommes, femmes bien comprises, apprendront à faire sans s'ils n'ont pas d'autres solutions.

    Le corps humain n'est pas à vendre, chacun doit apprendre à aller vers l'autre avec une autre conception, et que l'on sache, la prostitution n'a jamais empêché le viol, le violeur est un malade, pas un consommateur.

    Que ceux qui remettent en cause la répression pensent au fait que les prostitué(e)s pourraient être leur enfant ou les enfants de leurs enfants, ils envisageront peut-être la chose avec un peu plus d'humanité.

    S'ils désirent vraiment une femme, ou un homme, ils n'ont qu'à faire quelque effort pour que cela ne donne pas lieu à commerce.

    Le trafic existera certes toujours comme il existe déjà là et dans d'autres domaines, il sera à combattre comme il l'est déjà, le crime ne saurait jamais justifier l'absence de son incrimination.

    L'Etat qui lutte contre tous les marchandages d'êtres humains se hisse au niveau de sa fonction.

  • A Rome fais comme les Romains

    Quand on va dans un pays étranger, on se plie à leurs usages, il faut être Américain pour se croire chez soi chez les autres :

    SOS Enfants d'Irak.jpg

  • Eglise, l'impeccable transmission du péché

    L'Eglise n'est pas toujours la seule responsable de ses brebis galeuses, quid de la responsabilité des familles sachant leurs fils sexuellement perturbés peut-être justement par des crimes perpétrés de génération en génération et reproduits tels que transmis, elles imposent leurs enfants malades à l'Eglise pensant que le sacerdoce va les guérir.

    Le problème de ces prêtres pervers vient de leur éducation perverse, hypocrite, où on plaque, camoufle et couve finalement les péchés à venir.

    La prétendue piété de certains qui savent pertinemment de quoi il en retourne est à vomir, leurs intérêts particuliers petit bourgeois sans tenir compte une seconde des autres, est à l'origine du mal.

    Ils n'ont aucune conscience sinon celle des Tartuffes, qu'ils aient au moins la honte, et qu'on les désigne responsables comme il se doit.

  • L'anneau de carton-pâte au carnaval du Grand-Guignol

    Duperie pour duperie, le précieux fait des siennes ...

    Et refourgué par un gaulliste qui l'aurait vendu aux Anglais, quelle honte.

    Mais c'est très bien ainsi, Villiers, c'est l'anti-France absolue, du vent, du folklore à deux balles dans un gant de fins de race, c'est limite de la justice divine tout ça.



    Jeanne d'Arc : le Puy du Fou s'est-il fait berner ?
    L'anneau acheté par la famille de Villiers en Grande-Bretagne pour plus de 376 000 euros pourrait ne pas être authentique. Alors que Philippe de Villiers, propriétaire du célèbre parc de loisirs Le Puy du Fou, l'affirme, des spécialistes et notamment…
    ACTU.ORANGE.FR
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