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culture - Page 17

  • Le projet anti-France d'Aymeric Chauprade

    En écartant JMLP, Marine Le Pen défendait l'esprit français.

    La liberté d'expression s'arrête en France, à ce qui heurte l'intérêt général, l'unité nationale et la rigueur scientifique.

    Nous ne sommes pas aux USA, royaume des sectes, de l'individualisme et des lobbies, où une seule personne ou un petit groupe auraient raison contre tous les autres, et où les propos farfelus auraient le même poids que les vérités scientifiques.

    Le combat du Front National est celui de la France et des Français, pas celui de la liberté de dire des conneries sans que l'on réagisse.

    L'idéologie de Chauprade et de ses réseaux est un combat de libertariens américains pour les "Libertés économiques", anti-Etat, contre les protections sociales, et une fronde de libéraux conservateurs américains pour une théocratie, une dictature de leurs croyances.

    Ils ont la dangerosité des sectes, manipulations, embrigadement, lavage de cerveau, assujettissement, captations, voilà leurs méthodes.

  • Glucksmann, toute une vie à côté de la plaque

    Glucksmann, le penseur aveugle

    Si après 50 ans, tu finis sarkozyste, c'est que t'as raté ta vie.

    Glucksmann fut de ces feuilles mortes qui auront toujours suivi la pensée dominante au fil du temps, cherchant toujours ailleurs, de Chine en Russie aux USA, de quoi remplir une vie médiocre d'avoir oublier de lui donner un sens.

    D'un totalitarisme à une autre impérialisme, de l'URSS aux néocons en passant par Mao, l'homme aux cheveux sur le cerveau n'a jamais su voir le trésor à ses pieds.

    Allant chercher les Etats-terreur toujours, les mains pleines de sang des hommes -voilà l'humaniste-, il a oublié de seulement se pencher pour découvrir une histoire française qui dépassait de si loin ses exotismes idéologiques qu'il n'a jamais pu l'atteindre.

    La France, trop belle pour ces adorateurs du laid, trop signifiante pour ses tenants du vide façon table rase, trop profonde pour ses admirateurs de la dernière idéologie à la mode.

  • Philippe de Villiers et ses réseaux maffieux

    Philippe de Villiers évidemment partenaire du maffieux Malofeev
    Les réseaux de l'Opus Dei ne sont pas impénétrables :

    French politician defends plan for Crimean theme park
    A French eurosceptic politician says EU sanctions will not stop him building a theme park in Crimea and another near Moscow in partnership with a blacklisted Russian oligarch
    TELEGRAPH.CO.UK|PAR DAVID CHAZAN IN PARIS





    Malofeev & the french connection

    medium.com
    MEDIUM.COM



    Mise à jour (27/02/2015) : Contacté, Thierry Mariani nie fermement faire partie de la société CFG Capital. Bien qu’il reconnaisse connaitre Konstantin Malofeev personellement, il affirme que Pierre Louvrier (le créateur de CFG Capital ainsi qu’une connaissance de M.Mariani) a utilisé son nom à son insu, avant de faire marcher arrière lorsqu’il s’est plaint. Pierre Louvrier lui aurait affirmé que les journalistes de Vedomosti ont mal interprété ses propos et ont inséré le nom de Mariani par erreur (ce qui, comme le montre la suite de ce post, est factuellement faux : le nom de Thierry Mariani était inscrit sur le site de CFG Capital). Thierry Mariani affirme enfin ne pas connaitre Alexandre Torchine (homme politique russe, dont le nom a aussi été retiré du site de CFG Capital).
    Mise à jour (01/08/2015) : Pierre Louvrier nie tout lien entre CFG Capital -maintenant en liquidation- et la société de Konstantin Malofeev, Marshall Capitals.
    Pour un suivi concernant cette affaire, vous pouvez aussi consulter cet article : Un achat sous influence ?
    Le 13 novembre 2014, le journal d’affaires russe Vedomosti révélait que la société de Konstantin Malofeev, Marshall Capital Partners, venait de s’associer avec une société européenne, CFG Capital, pour créer un fonds visant à soutenir l’investissement en Russie. Les sommes engagées sont colossales : d’après Vedomosti, CFG Capital investirait 2 milliards d’euros dans le fonds. Surtout, le journal russe liste un certain nombre d’éminentes personnalités, dont le député UMP Thierry Mariani, comme faisant partie de l’aventure CFG.
    Vedomosti ne cite pas de sources concernant cette révélation, et aucun autre journal ou site internet n’a discuté cette nouvelle. En France, et malgré le caractère sulfureux de Malofeev, le silence a aussi été total.
    En procédant à quelques recherches autour du site officiel de CFG Capital, il nous a pourtant été possible non seulement de retrouver une trace de l’implication du député français Thierry Mariani dans cette société, mais aussi de voir que son nom a été effacé du site peu ou prou au moment ou était révélé le partenariat entre CFG Capital et la société de Malofeev.
    Konstantin Malofeev, l’oligarque orthodoxe
    Personnage atypique de l’oligarchie russe, le nom de Konstantin Malofeev a, pendant toute l’année dernière et jusqu’à cette semaine, parsemé l’actualité. Que ce soit en raison d’accusations de financement des séparatistes Ukrainiens, à cause de sa mise sous sanction en raison de ces accusations, ou encore en raison de son partenariat avec Phillipes de Villiers pour la construction d’un “Puy du Fou” russe en Crimée, l’homme a fait parler de lui. Il y a quelques jours, Malofeev est de nouveau apparu sur les écrans radars, cette fois en raison d’un document le présentant comme l’un des instigateurs d’un complot visant à annexer la Crimée ainsi que l’Est de l’Ukraine à la Russie.
    Un type bien différent de Timchenko (autre oligarque russe dont nous avons parlé récemment), ce Malofeev. Pour commencer, il est beaucoup moins proche de Vladimir Poutine. Oh, certes, Valeurs Actuelles, par ailleurs bien connu pour la pertinence de ses analyses sur le monde russe (*rires*), le mentionne comme “l’homme qui parle à l’oreille de Poutine”. Et dans un système où l’enrichissement n’est permis qu’en échange d’une loyauté sans faille, l’homme ne prépare sans doute pas en secret un complot pour renverser l’actuel maître du Kremlin. Mais si Malofeev possédait avec Poutine le niveau d’intimité que lui prête Valeurs Actuelles, il est probable que sa maison n’aurait été pas été fouillé par les autorités russes il y a quelques jours, le tout pour une affaire vieille de huit ans (l’article de Kommersant est titré “les sanctions américaines ne protègent pas des perquisitions”). À ce titre, et en considérant les accusations de financement des séparatistes ukrainiens[1], Malofeev apparaît plus comme un instrument de la politique du Kremlin, qu’on recadre quand le besoin s’en fait ressentir, plutôt que comme quelqu’un capable de peser directement sur cette politique[2].
    Malofeev est aussi loin d’avoir la fortune de l’ancien patron de Novatek, 117ème homme le plus riche de la planète. Il se contente tout de même d’être le propriétaire de Marshall Capital Partners, l’un des plus importants fonds de “private-equity” russe. Et c’est par cette société qu’il s’est, à la fin de l’année dernière, associé avec un fonds d’investissement européen, CFG Capital.
    CFG Capital, une société très politique
    Dans son article, Vedemosti liste les personnalités que compose le “conseil consultatif” (экспертный совет) de CFG Capital. Et c’est une belle liste : on y retrouve Alexandre Torchine, premier vice-président du Conseil de la Fédération (la chambre haute du parlement russe), un ancien ministre luxembourgeois de l’économie et du commerce extérieur, un magnat russe des médias (Viktor Chkoulev, dont la société Hearst Shkulev Media distribue Elle, Marie-claire ou encore Maxim en Russie et en Ukraine), un homme d’affaires français familier de la Russie (Pierre Louvrier) et enfin un homme politique français, membre de l’UMP et député de la 11ème circonscription des Français de l’étranger, Thierry Mariani.
    M.Mariani s’est illustré ces derniers mois aussi bien par ses subtiles analyses de l’Histoire africaine que par ses positions ouvertement pro-russe, qui ont culminé par un voyage à Moscou avec 13 autres parlementaires, ou ils ont notamment pu rencontrer Sergueï Narychkine, le président de la chambre basse du parlement russe (la Douma). Il s’est plus généralement fait un excellent porte-parole de la rhétorique du Kremlin durant le conflit ukrainien, que ce soit pour dénoncer les sanctions, s’indigner de l’arrêt de la vente des Mistrals ou appeler de son coeur à une résolution politique de la guerre.
    Le fait est qu’à l’exception de cet article de Vedomosti, repris par l’agence de presse étatique RIA Novosti, on ne trouve trace de ce partenariat entre l’oligarque russe Malofeev et le député français nulle part. Thierry Mariani ne s’en est certainement pas vanté. Son nom n’apparaît pas sur le site internet de CFG Capital, non plus que celui d’Alexandre Torchine : le site internet ne liste aucun membre.
    Alors, peut-il y avoir eu erreur sur la personne ?
    Eh bien, non.
    Autopsie d’un site web
    Le site web de CFG Capital ne présente au premier abord aucun intérêt : au-delà d’une adresse postale, d’un numéro de téléphone et d’un mail, il est absolument vide d’informations concrètes. Tout juste peut-on y apprendre que CFG Capital “like the people” (oui, “the” people, sans rire) et possède un “focus” sur la Russie. La section “Who We Are” est un concentré de langue de bois dans la grande tradition des sites corporate : il ne s’y trouve absolument rien d’intéressant, ou même de vaguement informatif.
    Mais ça n’a pas toujours été le cas.
    AiHitdata est un site dont l’objectif de centraliser toutes les informations que les sociétés affichent sur leurs sites. Pour cela, des robots parcourent le web et récupèrent chaque jour d’énormes masses de données sur les sites internet de dizaines de millions de sociétés.
    Surtout, AiHitdata détecte et enregistre les changements effectués sur les sites de ces sociétés, et notamment les changements de nom. Et la chose est particulièrement instructive lorsqu’on se rend sur la page du site concernant CFG Capital.

    Screenshot de la page AiHitdata concernant CFG Capital
    AiHitdata a détecté le site le 14 octobre, soit un mois avant l’article de Vedomosti concernant son partenariat avec Marshall Capitals Partners, la société de Malofeev. À cette date, le nom de Thierry Mariani était bien présent sur le site, confirmant de fait l’information de Vedomosti.
    Nous avons tout de même contacté AiHitdata directement, afin de nous assurer que le nom de Thierry Mariani n’aurait pas pu être récupéré sur le site du journal Vedomosti ou de l’agence de presse russe RIA Novosti (qui a aussi relayé l’information) : ceux-ci nous ont assuré que leurs robots ne surveillaient que les sites des sociétés elles-mêmes, et que la présence d’un nom signifie forcément que celui-ci était présent sur le site.
    Le 17 novembre, à peine 4 jours après l’article de Vedomosti, les robots de AiHitdata détectent la suppression des noms de Mariani ainsi que de Torchine. À noter que le 17 novembre n’est que la date de la détection de la suppression : étant donné que ces robots n’effectuent des surveillances qu’à des intervalles espacés (tous les mois environ), il est probable que les noms de Torchine et de Thierry Mariani aient été supprimés quelques jours avant que le partenariat avec la société de Malofeev ne soit conclu et révélé dans la presse.
    Le fait que les deux noms ayant été supprimés sont ceux de personnalités politiques éminentes et toujours en activité est particulièrement notable. L’hypothèse “gentille” — que ces deux personnes aient quitté CFG Capital quelques jours avant que ce dernier ne signe un partenariat juteux avec la société d’un millionnaire russe — parait, sans être impossible, beaucoup moins probable que celle qui verrait un homme politique français s’effrayer de la très mauvaise publicité que représenterait pour lui la médiatisation de son partenariat avec un oligarque russe sous sanctions.
    La suppression de deux noms n’est pas le seul changement qui a été fait sur le site. Grâce au site “Wayback machine”, derrière lequel se cache un puissant logiciel d’archivage du web, il est possible d’observer les modifications réalisées sur le site durant l’année qui s’est écoulée. Dans sa première version de mai 2014, le site dispose de deux onglets, “Advisory board” et “Investment committee” qui détaillent les membres de la société :

    Screenshot du site de CFG Capital en mai 2014
    A la date du 16 décembre 2014, ces deux onglets ont disparu :

    Screenshot du site de CFG Capital en décembre 2014
    Maladresse ou incompétence ? Disparus de la page d’accueil du site, les deux pages sont en fait toujours accessibles par une simple recherche Google :


    Les noms de Torchine et de Mariani ont bel et bien disparu, mais on retrouve ceux de Jeannot Krecké (l’ex-ministre luxembourgeois), de Viktor Chkoulev ou encore de Pierre Louvrier. Non mentionné dans l’article de Vedomosti se trouve aussi M.Emmanuel Quidet, employé du célèbre cabinet Ernst & Young et surtout président de la Chambre de commerce franco-russe, une organisation dont nous avons longuement parlé dans l’article sur Timchenko… décidément, le monde de l’influence pro-russe est petit.
    Il est donc clair que, comme révélé par Vedomosti, Thierry Mariani est impliqué dans un fonds d’investissement en partenariat avec une personnalité russe sous sanctions. Il semble de même probable (bien que pas certain) que le député français ait cherché à masquer ce partenariat potentiellement compromettant en faisant supprimer son nom, ainsi que celui de l’homme politique russe Alexandre Torchine, du site officiel de CFG Capital. Ce qu’il serait maintenant vraiment intéressant de savoir, c’est la teneur exacte de la relation entre CFG Capital et Konstantin Malofeev, et les projets du nouveau fonds.
    Il serait aussi intéressant de s’intéresser à ce partenariat dans le cadre plus large des opérations d’influence et d’espionnage de la Russie en Europe (opérations qui ont depuis quelques mois atteint des niveaux d’intensité jamais vu depuis la guerre froide). Depuis Phillipes de Villiers jusqu’à Thierry Mariani en passant par Emmanuel Quidet ou encore Marion Maréchal Le Pen (on en reparlera dans un prochain article), Konstantin Malofeev dispose en France d’un réseau particulièrement étoffé. Et l’idée que le Kremlin laisserait un tel réseau inexploité parait plus que douteuse.
    [1] Accusations probablement fondées, sachant qu’il a lui-même reconnu des financements, mais seulement à titre “humanitaire”, et qu’il connaît personnellement les ex-leaders de la “République de Donetsk.
    [2] On pourrait du coup débattre du bien fondé de l’appellation “oligarque”, qui désigne à la base un individu s’étant enrichi par des moyens privés et qui, par sa richesse et ses relations, a acquis la capacité d’influencer les politiques de son pays.
    RussieUmpOpen Source

  • L'Opus Déi, si Satan avait un visage

    L'Opus Déi, la réincarnation du diable sur Terre, d'extrême-droite de la face Ouest Atlantique jusqu'à l'Oural, en passant par les maffieux d'Air Cocaïne, ses ouailles sont de tous les coups tordus. Un nouveau Vatileaks ? Ce que l'on sait du scandale financier qui ébranle le Vatican Deux livres qui révèlent des frasques financières. Deux arrestations dans l'entourage papal... Le pontificat de François semble être à un tournant. TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM|PAR PAR MARCELLE PADOVANIVOIR TOUS SES ARTICLES

  • L'extrême-droite comme un seul homme

    Crime de lèse-libertarien On a touché à l'un des leurs, toute la nébuleuse des lobbies libéraux de Washington se mettent en branle. Goldnadel pour l'Institut Pour la Justice à l'américaine. Ils dénigrent nos institutions afin d'abattre de qu'il reste de France. Ils utilisent les méthodes de manipulation propres à leurs lobbies. Et s'étonnent comme des vierges effarouchées, que nos services publics se défendent. Tous les tenants de la France devraient les dénoncer et les combattre, or tous les dirigeants du Front National et mouvements satellites font le contraire, puisqu'ils se sont mis à la botte de ces agents de l'étranger qui travaillent à instaurer les principes des pères fondateurs des Etats-Unis, basés sur l'individualisme forcené quand la France est bâtie sur l'unité nationale dont notre Etat est le garant. Ils sont les plus grands traîtres à la France de tous les temps. "Éviction de Philippe Verdier : la police politique à l'œuvre dans les médias FIGAROVOX/CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel s'étonne de la brutale éviction de Philippe Verdier de France 2 après la parution de son ouvrage qui critique le…" LEFIGARO.FR|PAR GILLES WILLIAM GOLDNADEL

  • Les "néo réac", un réseau encore mal connu

    Ils leur manquent juste toute la partie structure de la nébuleuse, ils ne regardent pas d'assez haut, mais bon, ils ont remarqué quelque chose.

    Je resterai encore la seule à avoir mis au jour leur réseau de lobbies et leur maison-mère américaine.

     
    Les nouveaux réactionnaires » : l’appellation trouve sa source principale dans un bref pamphlet paru en 2002 sous ce titre. La polémique, aussitôt très vive, n’a pas cessé, depuis, d’envenimer l’espace médiatique et intellectuel…
    CNRSEDITIONS.FR

     

     
  • Alain de Benoist, le petit valet des Américains et de l'Opus Déi

    Boulevard Voltaire (Bob Ménard), Novopress, TV Libertés, Institut de Formation Politique, Radio Courtoisie, Alain de Benoist est de tous les combats libéraux cons.


    ADB se lovant dans le lit de Bernard Zimmern (IFRAP), c'est vraiment tout un programme.


    L'idéologue philosopheux n'est qu'un sous-pion de l'avant-garde libérale, directement caniche des plus grands groupes de pression anglo américains et dans le but de défendre leurs principes fondateurs.

  • Philippe Verdier, un être faible avalé par les sectes d'extrême-droite

    Encore un esprit fragile récupéré par les lobbies libertariens aux méthodes de manipulation repoussantes :

     
    Nous avons décrypté le livre Climat Investigation, signé du présentateur météo de France 2. Voici dix raisons pour lesquelles vous pouvez vous en épargner la lecture.
    SCIENCESETAVENIR.FR|PAR PAR RACHEL MULOTVOIR TOUS SES ARTICLES

     

     
  • Il était une fois une petite histoire de l'extrême-droite comme on ne vous la raconte jamais

    Les fondateurs et principaux bailleurs de fonds du Planning Familial aux Etats-Unis, sont des membres de la famille Mellon Scaife des pétrole, aluminium et banques du même nom, dont les richesses proviennent de la captation de matières premières par le père Mellon Scaife, ancien dirigeant de l'OSS, ancêtre de la CIA.

    Proches du Ku Klux Klan, l'idée était de contrôler les naissances des populations noires.

    La famille Mellon Scaife est aussi à l'origine de la fondation du think tank libertarien Heritage Foundation (Fondation du patrimoine).

     

    L'Heritage Foundation, située à Washington, est un des lieux où les cadres de Radio Courtoisie forment les leurs au lobbying via la Bourse Tocqueville et l'Institut de Formation Politique, dans l'objectif de propagation de l'idéologie du libéralisme total et de pénétrer les milieux économiques, médiatiques, culturels, politiques, etc..

    La branche famille de ce think tank, a reçu notamment Christine Boutin, Béatrice Bourges et Frank Margain à Washington dans le cadre de La Manif Pour Tous qui est une ramification de cette organisation, qui en compte également jusqu'en Russie.

    Egalement lié à l'Opus Déi, l'oligarque maffieux russe qui fait le lien -et dont les avoirs à la City ont été gelés-, est Konstantin Malofeev, qui reçoit fréquemment Aymeric Chauprade, parfois affublé de Marion Maréchal Le Pen.

    John Laughland, chef advisor du Ron Paul Institute For Prosperity, lié à Exxon Mobil (dont les cadres viennent former la "dissidence " directement en France et notamment avec l'aimable contribution d'un Alain Soral par exemple), est le pion libertarien en France, Europe et Russie via son Institut pour la Démocratie et la Coopération (IDC).

    Malofeev est aussi un financier et contact des forces rebelles qui ont annexé l'Ukraine au Donbass.

    L'extrême-droite en France est étroitement liée à ces réseaux.

    http://www.phoenixnewtimes.com/…/richard-mellon-scaifes-cas…

     
     

    Commentaires
    Oriane Borja
     
     
    Oriane Borja
     
    Oriane Borja 

    Cordelia Scaife was introduced to Margaret Sanger by her grandmother.
     (Vondas, Jerry, "Philanthropist Cordelia Scaife May dies at 76"], Pittsburgh Tribune-Review, January 27, 2005).

    Dans la Revue pour le contrôle des naissances (1), Sanger écrivit en mai 1919 : "Plus de naissances chez les personnes aptes et moins chez les inaptes ' voilà le but principal du contrôle des naissances". Le numéro de novembre 1921 portait en manchette : "Le contrôle des naissances, pour créer une race de pur-sangs !".

    Les liens entre le mouvement eugéniste et le mouvement de "birth control" sont nombreux, et visibles jusqu'en 1942. Margaret Sanger l'explique :

    "Le contrôle des naissances, qui a été critiqué comme étant négatif et destructif, est vraiment la plus grande et authentique méthode eugénique et son intégration au programme de l'Eugénique donne immédiatement un pouvoir concret et réaliste à cette science. En fait, le contrôle des naissances a déjà été accepté par les plus lucides et les plus clairvoyants des eugénistes eux-mêmes, comme la plus constructive et la plus nécessaire des mesures de la santé raciale"(2).

    "Avant que les eugénistes et tout ceux qui travaillent à l'amélioration de la race puissent réussir, ils doivent d'abord faciliter le contrôle des naissances. Tout comme les promoteurs du contrôle des naissances, les eugénistes, par exemple, cherchent à porter assistance à la race par l'élimination des inaptes. Tous deux poursuivent le même but mais insistent sur des méthodes différentes"(3).

    1. Birth Control Review, Margaret Sanger en fut la directrice de la publication de 1917 à 1928.

    2. The Pivot of Civilization, 1922.

    3. "Contrôle des naissances et amélioration de la race", in Birth Control Review, février 1919.
     
     
    Oriane Borja
     
    Oriane Borja "Quand Scaife a recentré à nouveau son soutien aux personnalités politiques ayant un refus du communisme ainsi qu'aux groupes de recherche anti-communiste, parmi les fonds de défense légaux et les publications, le premier à être soutenu fut la « Hoover Institution sur la Guerre, la Révolution et la Paix » à l'université Stanford.

    Par ses contacts obtenus via la « Hoover Institution » et par son entregent dans divers milieux, Scaife est devenu le partisan majeur, l'un des premiers supporters de l'Heritage Foundation, qui est depuis l'un des instituts de recherches publics de politique les plus influents de Washington. Richard Mellon Scaife est actuellement vice-président du conseil d'administration de l'Heritage Foundation21.

    Plus tard, il a soutenu des organisations conservatrices et libérales diverses comme :

    American Enterprise Institute ..."

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Scaife
     
     
    Richard Mellon Scaife, né le 3 juillet 1932 et mort le 4 juillet 2014[1], est un éditeur de journaux, homme d'affaires, philanthrope et lobbyiste américain.
    FR.WIKIPEDIA.ORG
     
    Oriane Borja
     
     
    "Après le séminaire de niveau I, les auditeurs peuvent participer à toutes les activités de l’IFP, comme les dîners mensuels autour d’une personnalité – l’économiste et entrepreneur Charles Gave, le journaliste Éric Le Boucher, le haut fonctionnaire et théoricien de la démocratie directe Yvan Blot, etc."
     
    "A.P. : Grâce à Contribuables Associés, la Bourse Tocqueville permet à six jeunes de découvrir, chaque année pendant trois semaines, le fonctionnement des « think tanks » et des groupes de pression américains à Washington DC. Ils se rendent à l’Heritage Foundation, au CATO Institute, à l’Hudson Institute, etc. et rencontrent des personnalités politiques (comme le représentant du Texas Ron Paul) ou du journalisme."
     
  • Le prix de l'homme

    Vaut mieux attendre les soldes, voire les braderies en cas de défauts trop voyants.

     

     

     
    FIGAROVOX/OPINION - Un salon de promotion de la GPA s'est tenu à Bruxelles le 3 mai dernier. Pour Xavier Lombard, qui y a assisté, la pratique des mères porteuses éthique est une fiction.
    WWW.LEFIGARO.FR|PAR XAVIER LOMBARD