Pour booster la croissance et créer des emplois, le Medef va bientôt annoncer des propositions chocs. Le Medef veut profiter de "l'amour" que porte pour les entreprises le Premier ministre Manuel Valls pour...
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"Le député européen italien de la Ligue du Nord Mario Borghezio a été ovationné samedi à la convention du Bloc identitaire, à Orange(Vaucluse), lorsqu'il a crié à la tribune : "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race !" Habitué des dérapages, l'eurodéputé, qui s'exprimait en français, s'est d'abord enthousiasmé pour "notre soleil, notre ciel bleu, comme les yeux de nos femmes". "Bleu, dans un peuple qui veut rester blanc, comme d'autres cultures", a-t-il ajouté. Puis, sous les ovations des quelques centaines de personnes présentes au Palais des princes d'Orange, il a lancé : "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race ! "
Le député européen, invité du mouvement d'extrême droite français, avait commencé son discours sur un ton résolument radical, avant d'attaquer à plusieurs reprises les musulmans. "Il faut être avec le livre, la doctrine", "mais il faut aussi bâtonner", avait-il lancé, "bâtonner" voulant visiblement dire "bastonner". "Et il faut, quand notre patrie charnelle est envahie, il faut bâtonner", avait-il ajouté, s'enflammant à la tribune. À la fin de son discours, il a aussi regretté l'écrivain antisémite et collaborationniste Robert Brasillach, fusillé à la fin de la Seconde Guerre mondiale pour intelligence avec l'ennemi. "Pour nous enthousiasmer, il nous faudrait des poètes comme Brasillach", a-t-il lancé, avant de conclure, très applaudi, sous les "Mario, Mario, Mario..."
Avant lui, le président du Bloc identitaire, Fabrice Robert, s'en était pris à la tribune à la loi Pleven de 1972 qui punit notamment l'incitation à la haine raciale, y voyant un moyen de "bâillonner toute expression de fierté autochtone [...] pour faire passer la pilule de la submersion migratoire"."
Petit cas d'école.
Depuis quelques temps, mes allocations familiales ont un peu augmenté.
Je vis seule avec mes quatre enfants, salaire annuel variant aux alentours des 12 000 euros (un peu moins en 2013), je travaille 6 jours sur 7, et ne prends jamais de vacances.
Je reçois bien les propositions d'aide au temps libres de la CAF, mais elles prennent en charge 40 % d'une location sur sept jours minimum (avec plafond), ce qui reste inabordable.
J'ai droit à des congés payés que je fais passer sur les mercredis des vacances scolaires durant lesquels je ne travaille pas.
J'ai plusieurs employeurs différents, cette année, l'un d'entre eux a oublié de me payer mes congés payés, comme il a oublié également que le Smic horaire avait augmenté pour suivre à peine l'inflation, et me paie donc de la même manière depuis plusieurs années, ce qui m'a fait passer sous le Smic cette année (c'est de ma faute, je n'irai jamais réclamer, il me fait travailler dix heures par semaine, je ne peux pas me permettre de faire la fine bouche).
Je ne suis pas imposable, sauf que je paie quand même des impôts (en plus des taxes comme tout le monde bien entendu).
Depuis deux ans, je dois payer des impôts locaux (un peu moins de 300 euros) pour mon HLM qui est certes très bien, mais dans lequel deux de mes enfants dorment quand même dans la même chambre et où je dors dans le salon, mais bon, nous sommes une famille nombreuse, c'est presque normal.
J'ai donc reçu les bourses de rentrée scolaire pour trois de mes quatre enfants, à partir de 18 ans, il n'y en a plus, mais il n'y a pas idée de faire des études quand on est pauvre sans doute.
Les sondeurs sont curieux de savoir comment sont utilisés ces bourses par les familles, brossant démagogiquement les gens qui sont jaloux des pauvres, en tentant de démontrer que ces sommes sont détournées de leur objet.
Cette année encore, ces bourses vont me servir à payer mes impôts locaux, ça tombe bien, parce que ça correspond parfaitement ...
Le remplacement de population se fera si la population française devient une population américaine, personnellement j'entends préserver la population française et il s'agit d'un combat politique et non pas racial.
Quant à l'occupation du vide dont la nature a horreur, personnellement, j'ai quatre enfants, et vous ?
Au sujet de l'islam, je pense qu'aucun déterminisme ne guide les hommes et que ce sont eux qui décident in fine de la société qu'ils souhaitent.
Une grande partie des gens naissent dans l'islam, ça ne les condamne à rien pour autant.
L'islam est la deuxième religion de France, ça ne pose aucun problème si la France reste la France, évidemment si le communautarisme anglo saxon s'installe, cela sera différent, mais tous les communautarismes poseront problème et atteinte à notre unité et à notre souveraineté, pas seulement celui d'origine religieux.
Les multinationales qui détiennent le véritables pouvoir et donnent les ordres sous forme de directives sont peu nombreuses -une centaine- et tiennent toutes les autres dans les nébuleuses des conseils d'administration, des réseaux et autre sous-traitants.
Or, elles détiennent aussi l'ensemble des matières premières, alimentaires bien comprises.
Le citoyen ne peut rien contre elles, la couillonnerie de boycotter les marques est de la vulgaire propagande démagogique (ce sont de plus les même qui produisent les produits sans marque).
Des marques peuvent même servir aux multinationales de moyen d'éviter ou de baisser leurs impôts, tout est calculé pour faire le maximum de profit.
Une entreprise en déficit par exemple, sert à sucer des subventions étatiques ou à déduire ces dettes du bénéfice réalisé ailleurs.
Seuls les Etats ayant repris tous les leviers de commande -y compris au niveau commercial et au niveau de l'emploi- peuvent lutter contre ces pouvoirs illégitimes.
Ce genre de propagande n'est là que pour asseoir leur hégémonie en détournant le citoyen de la véritable façon de lutter.
La littérature -et Dieu sait combien je l'aime et que je préfère grandement à la philosophie, la littérature nous parlant de vérité quand la philosophie semble vouée à ne jamais l'atteindre, chaque philosophe s’évertuant d'ailleurs à montrer combien ses prédécesseurs étaient dans l'erreur- ne suffit pas à rendre un homme intelligent hélas, car Luchini met la charrue avant les bœufs, s'en prend aux conséquences et en ignore d'autant mieux les causes, c'est Bossuet qui nous apprend que c'est inconvenant.
Ma culture littéraire -même si elle ne peut sans aucun doute pas se comparer à celle de Luchini- me dit que Luchini n'est qu'un liseur, il n'a pas su tirer de notre génie littéraire la substantifique moelle, il n'a assimilé ni Rabelais, ni Montaigne, ni Molière dont on dirait une précieuse, ni La Fontaine et sa grenouille, ni Saint Exupéry et le Petit Prince qui est en chacun de nous, ni la formation des hussards reçue par Pagnol et qui permet de sonder les âmes et les cœurs et d'admirer tout ce qui est admirable, et qu'il demande encore à Voltaire qui l'a formé et comment !
Si grand soit Corneille, Corneille n'est rien sans monsieur Bled ou, pour ne pas faire d’anachronisme, sans la grammaire au sens large, dont nos anciens dressaient des statuts.
On ne vous a pas entendu monsieur Luchini depuis 40 ans que les gouvernements assassinent la transmission de notre langue et par-delà, de la pensée.
Pour ne rien dire des néo misérables et des nouveaux assommoirs.
Personnellement, depuis les socialistes, la bourse scolaire de mes enfants -qui lisent au demeurant beaucoup- passe à payer la taxe d'habitation de mon HLM ...
Bref, Luchini, que nous pouvons beaucoup apprécier par ailleurs, est un con.
Avant que la littérature ne reprenne ses droit, il faut rétablir l'instruction -celle-là même qui permet au cerveau de s'activer progressivement pour le mener le plus loin possible- et avant encore, rétablir l'Etat, et pour cela il faudrait qu'un homme se lève, un homme qui ait la pleine conscience de ce que la France a laissé comme héritage en la matière.
Et pour l'instant, cet homme qui aurait une véritable conscience/intelligence nationale n'existe pas aux portes du pouvoir.
L’Umps vice-préside le Cercle de l‘Industrie (puissant lobby patronal) en les personnes de Pierre Moscovici (il a quitté le poste en entrant au gouvernement) et d’Alain Lamassoure; allié à l'Institut de l'Entreprise, ces organisations regroupent tous ceux que l'oligarchie industrialo financière compte comme donneurs d'ordre.
En février 1993, les membres du futur Cercle de l'industrie (une idée de Dominique Strauss-Kahn et Raymond Lévy PDG deRenault) se réunissent au siège de Publicis. Y sont représentés : Rhône-Poulenc, Lafarge, Pechiney, Elf, L'Oréal, Bull, Schneider,Renault, Total, BSN, …
En juin 1993, Raymond Lévy, PDG de Renault, crée le Cercle qui emménage à Neuilly-sur-Seine, au 171, avenue Charles-de-Gaulle, l'objet déclaré à la préfecture est le suivant :
Le cercle s'efforce de répartir équitablement les pouvoirs entre des membres de l'UMP et du Parti socialiste.
Dominique Strauss-Kahn en devient le vice-président à titre bénévole tout en bénéficiant d'un bureau, d'une secrétaire[2] et de notes de frais[3].
d'après la Plaquette il s'agit d'
Il entretient des contacts avec le MEDEF, l’AFEP, BusinessEurope, la Table ronde des Industriels européens (ERT), le Transatlantic Partnership Network (TPN), ou encore l'Institut de l'entreprise (IE).
Président :
Deux vice-présidents, un de gauche, un de droite :
Trésorier :
Membres du conseil d'administration :
Membres fondateurs
Entreprises membres (représentées par leurs président, directeur général ou président-directeurs général :
Autres membres :
D'après la plaquette : « Des rencontres de haut niveau ».
Régulièrement, le Cercle de l’industrie organise pour ses membres un dialogue autour d’une personnalité, responsable politique ou syndical français ou européen (chefs d’État ou de gouvernement membres de l’Union européenne, président de la Commission, commissaires européens).
Ces échanges, sous forme de dîner, sont l’occasion d’aborder des sujets concrets, de tester ces personnalités sur les sujets industriels et de relayer auprès d’elles les préoccupations des industriels.
Ces rencontres avec des Commissaires, des parlementaires européens et des officiels de haut niveau répondent au souci du Cercle de l’industrie de se situer le plus en amont possible des décisions, de développer un dialogue constructif et permanent avec les responsables politiques et de faire partager les points de vue des industriels.
Le Cercle de l'industrie s'est associé en 2011 à l'UIMM et au Groupe des fédérations industrielles pour créer un think-tank (laboratoire d'idées) "La Fabrique de l'Industrie".