Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

saint-nazaire

  • Accords UMP/FN en Loire-Atlantique

    Les accords UMP/FN en Loire-Atlantique sont une trahison incontestable et notamment vis-à-vis de notre électorat nazairien.

    Suite à des différends entre les protagonistes, on apprend toute la cuisine électorale entre la carpe et le lapin, et notamment que le trostko libéral cons Jean-Claude Blanchard, élu FN de Saint-Nazaire a fait directement élire un maire UMP à la vice-présidence de la gestion de l'eau, faisant également attribuer une manne de 140 000 euros à l'édile UMP.

    Les petits socio-traîtres de Loire-Atlantique, Bouchet en tête, appliquent à la lettre les consignes du Club de l'Horloge et des libertariens d'obédience libérale cons américaine sur les accords locaux d'union des droites.

    De la merde en tube.


     

     
    Gauthier Bouchet  Cinglée
     00:46 -
     
     
     

    Pas deux mais six FN pour les municipales
    Les mensonges de David Pelon, candidat UMP et maire Ump de Trignac, vont très loin. Ils fonctionnent également par l’omission. Monsieur Pelon oublie de dire que durant la campagne municipale, sa proposition, à l’automne 2013 d’une coopération avec le FN trignacais dans le cadre de la constitution de sa liste concernait non pas deux, mais six candidats, sur vingt-neuf à présenter ! Par pudeur et le souci de ne pas politiser à dessein une liste d’intérêt local, Jean-Claude Blanchard s’y refusait, en ne proposant la candidature que de deux de ses militants, qui furent élus.

     

    •  
       
     

    Vice-Président de la CARENE grâce au FN
    Il est piquant d’apprendre, par l’entremise du maire, la « désolidarisation de la majorité municipale de Trignac vis-à-vis de madame Poirier », au prétexte de mon appartenance au FN. En effet, c’est bien ce même FN qui a permis, faute de liste contre David Pelon, l’élection de ce dernier à la Mairie en mars, puis son élection à la vice-présidence de la Communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’Estuaire (CARENE) en avril, alors qu’il était bloqué à trente voix. Manquait-il une seule voix pour le désigner à ce poste influent, au bout du troisième tour de scrutin ? Ce fut celle de Jean-Claude Blanchard… tête de file du FN dans la huitième circonscription de Loire-Atlantique et au conseil municipal de Saint-Nazaire. Le FN « n’existe pas » dans la vie politique trignacaise, à en croire David Pelon. Son portefeuille n’est pas d’accord. Et il rappelle au maire qu’il touchera grâce au FN, 139000 euros au titre de six années d’indemnités comme vice-président de la CARENE, qui n’eurent jamais existé sinon…

     
  • Saint-Nazaire, ville française !



    chantiers stx,saint-nazaire,france,marine le pen,présidentielles,législatives,jean-claude blanchard,ouvriers,paysans,ni droite ni gauche français
    A Saint-Nazaire, nous sommes tous avec Jean-Claude Blanchard, candidat de la France aux prochaines législatives.

    La chute de plus en plus vertigineuse des Chantiers navals et le sacrifice sur l’autel du globalisme des derniers pans industriels français que le Front avait lus dans la lie mondialiste, ne laissent que le choix de la France.

     

     

    Il n’est nul besoin d’expliquer aux nazairiens : 

     

    comment l’immigrationnisme -qui est un mondialisme- fait baisser les salaires et leur spolie leurs emplois

    nul besoin d’expliquer ce que signifie la flexibilité mondialiste

    nul besoin d’expliquer comment les politiques UMPS et les socio-traîtres qu’ils couvent, ont ruiné leur pouvoir d’achat, n’amenant qu’insécurité sociale en particulier et insécurité vitale en général

    nul besoin d’expliquer que les derniers artifices -promesses de contrats achétées contre accords inavouables avec des pays étrangers : saura-t-on un jour ce qui se cachait derrière le dernier contrat coulé avec la famille Kadhafi ?- n’étaient que prémices du feu qui allait s’en suivre quand toutes les mèches avaient été grillées (vente du savoir-faire, location d’ingénieurs jetables pour former les pays étrangers à bas coût à faire chez eux ce que l’histoire nous avait légué en héritage).

                      A Saint-Nazaire, beaucoup connaissent l’histoire de Michel le paludier, qui était des nôtres.

    Michel est un symbole.

    Michel travaillait aux Chantiers à la belle époque où sortait une immense vague d’hommes qui déferlait sur le port où les longues tablées des cantines ouvrières accueillaient et réconfortaient leur labeur.

    Michel a été licencié comme tant d’autres.

    Comme tant d’autres, il a tenté de s’en sortir, il a mis sa vitalité au service de la terre et de l’eau, travaillant une saline abandonnée.

    C’était compter sans l’acharnement des kolkhozes, exploitant une main-d’oeuvre idéologique esclave, qui s’efforçaient de tuer les indépendants.

    Les politiques venant porter le coup de grâce en augmentant d’un coup exorbitant les loyers des entrepôts servant à stocker le sel.

    Michel a mis fin à ses jours par un coup de fusil dans la tête et c’est son père qui est allé nettoyer sa chambre …

    Michel était un homme jeune, vaillant et admirable, nous avons vu souvent à nos BBR, sa vareuse couleur de voiles rouges burinées par l’air marin, il était un ouvrier-poète, amoureux de la langue, amoureux des livres, amoureux de la France.
    Il aimait accueillir sur sa saline, ses amis, les enfants, les étrangers, leur expliquer le vent, l’histoire des marais.

    En Michel, reconnaissons le martyr de ce que nous laisse espérer le système.

    Nous sommes beaucoup des Michel, et à Saint-Nazaire plus qu’ailleurs.

    Et ne nous demandez jamais si nous sommes de droite ou de gauche, nous sommes, comme dans l’Affiche rouge, amoureux de la France, à en mourir !


    http://www.dailymotion.com/video/xpivro_leo-ferre-l-affiche-rouge-piano-solo_music

  • A mon petit orbi et urbi

    SN Août 2011 5.jpg

     

    Ayant reçu récemment divers messages téléphoniques de journalistes locaux désireux de s’entretenir avec moi et me demandant de les rappeler, ce que je n’ai fait à aucun moment, voici la réponse que j’ai donnée à celui qui a finalement réussi à me joindre.

    En préambule, je tiens à dire que je n’ai nullement fait étalage de mes états d’âme politique ni dans la presse, ni sur mon blog, je me suis contentée de livrer mes remarques quotidiennes sur un réseau social, aux personnes qui me connaissent.
    Non que je tienne à les garder secrets, mais simplement parce que ma volonté n’est que d’ouvrir un front effronté au sein de ma famille politique et qu’il m’apparaissait bien plus simple, légitime et efficace, de le faire de l’extérieur du Front. Dont j’ai donc démissionné.
    Et si les journalistes ne comprennent pas vraiment pourquoi, ils n’auront qu’à dire qu’ils ne savent pas, si d’aventure on leur posait la question.

    J’ai annoncé cette démission il y a trois mois maintenant, de la façon discrète que je dis, or, la presse me presse cette semaine.
    J’en ignore les raisons, sauf l’hypothèse que ma fédération ait encore trouvé là un nouveau moyen de faire des siennes ... Peu importe.

    Je trouve cette manière de la presse à chercher du sang, répugnante, moi qui ai toujours eu du mal à me faire entendre d’elle pour des raisons autrement plus importantes que ma petite personne, ça m’insupporte et ne m’étonne guère au demeurant, ce que je n’ai à dire d’ordinaire, ne concerne il est vrai que nos concitoyens et on notera que ceux-ci et l’avis d’un mouvement politique qui n’entend que les défendre, sont bien peu de chose face à ce qui semble bien être une attraction irrépressible pour le tordu : la petite bête, plus que jamais au service de la plus grande bêtise.

    Aux media qui me demandent ce que je pense de la venue de Marine le Pen à la Soucoupe de Saint-Nazaire, j’ai répondu, le plus grand bien.
    Marine a toute sa place et plus que personne sur ces terres perdues aux quatre vents et vendues à la découpe et à petit feu. Cette terre ouvrière irriguée de la sueur des hommes est notre sang.
    C’est le même qui coule dans les veines du Front, partout où un travailleur en puissance ou en repos s’inquiète, est le lieu de celui qui veut autre chose que sa peau.

    Le système Umps a sciemment tué les bassins industriels de notre pays, le dernier arc subsistant était de notre côte, la logique libérale ne devrait pas tarder de l’achever sous les courbettes et les promesses fallacieuses des dirigeants politiques qui se sont succédés depuis quarante ans.

    Quand nous avions vendu savoir-faire et sabordé savoirs, il ne nous restait que de soudoyer d’autres dirigeants en promettant on ne sait quelle entente, pour obtenir une commande, telle union avec la famille Kadhafi a permis une dernière transaction noyée avant de prendre le large, et les autres promesses ne tiennent qu’à coups de subventions dont nous n’avons plus les moyens.
    Le bateau prend l’eau de toute part, les rats sont aux abois.

    Les nervis des sociaux-traître de gauche l’ont bien senti en tentant leurs derniers baroud de déshonneur lors de notre dernière campagne, mais leur sauve-ce-qu’on-peut a fait flop, les équipages se choisissent un capitaine pour les mener à bon port, l’ouvrier sait reconnaître les siens, et jusqu'à l'ingénieur qui participera du même sacrifice, le Front National est bien la troisième puissante force sur le bassin et va crescendo.

    Marine vient donc sur des terres labourées par la réalité et la conformité de ses propos avec la réalité des vies des nazairiens. Le clientélisme  des potentats locaux ne pourra plus longtemps tenir ses digues, leur crise engloutira tout sur son passage, pour acheter la paix civile et la paix sociale, encore faut-il avoir les moyens.

    Marine ne viendra pas à la Soucoupe en extra-terrestre, elle ne s’est pas aliéné le peuple, elle viendra à la rencontre de son électorat naturel, celui dont nous serons le plus fier qu’il bâtisse l’avenir à nos côtés, lui sait les mains dans le cambouis, sur ces hommes-là, on sait pouvoir compter.

  • Saint-Nazaire la rouge devient une terre nationale

    Saint-Nazaire la rouge devient une terre nationale

     
    Sur le marché de Saint-Nazaire

    Ville encore ouvrière et industrielle, située à l’embouchure de l’estuaire de la Loire, Saint-Nazaire est un bastion historique du Parti socialiste, au point que c’est de sa section que sont issus tant le président du Conseil général de Loire-Atlantique que la présidente nationale du Mouvement des jeunes socialistes.

    Oriane Borja au travail

    Cependant, le paysage politique de cette ville est en profonde mutation comme l’a relevé Mediapart au printemps dernier. Le journaliste de ce quotidien en ligne venu enquêter sur place s’était alors inquiété de la migration électorale de nombre de militants de la gauche ouvrière et syndicale vers le Front national. Une migration qui s’était concrétisée lors des cantonales où le candidat FN, Oriane Borja, était arrivé second dans les bureaux de vote correspondant aux quartiers les plus prolétaires (le meilleur score étant réalisé à Penhoet, où sont situés les chantiers navals).

    Cette montée en puissance des idées nationales s’accompagne naturellement d’un travail de terrain important tant par des affichages fréquents que par une présence régulière sur les marchés.

    Comme la politique ne prend pas de vacances et comme il faut préparer très longtemps en amont les échéances électorales à venir, une équipe de militants menée par Oriane Borja, membre du Comité central du Front national qui a demandé à être investi sur la circonscription de Saint-Nazaire pour les prochaines législatives, a multiplié les collages d’affiches et les tractages ces dernières semaines.

    Leurs actions ont suscité de très nombreuses manifestations spontanées de sympathie, au point de surprendre ces adhérents pourtant habitués au terrain… Ce qui augure bien de l’avenir.

  • Quelques remarques sur les élections cantonales 2011 en Loire-Atlantique

    cantonales 2011,fn,loie-atlantique,saint-nazaire

     

     

      

    Nous remercions nos électeurs pour les très jolis scores du Front National en Loire-Atlantique, permettant à nos contrées de l’ouest de lisser notre force au niveau national.

      

    Nous savons que le département de la Loire-Atlantique n’est pas encore aussi atteint par les fléaux qui touchent notre pays, délocalisation, chômage et précarité de masse, immigration engendrant tant des problèmes économiques qu’en terme d’identité et d’unité de notre peuple puisqu’utilisée en ce sens par nos dirigeants irresponsables.

    N’oublions pas que l’ouest est encore un des derniers bassins industriels français, voué comme ailleurs à disparaître puisqu’il en a été décidé au niveau mondial, la partition du "village planétaire" par l’hyperclasse mondialiste ayant établi notre relégation au rayon des musées et du tourisme.

    On voit tout de même saillir les prémices de cette politique inhumaine, les nombreux équipementiers automobiles vont voir leur activité assassinée par la fin de la prime à la casse non tolérée par les dogmes ultralibéraux de la concurrence libre et non faussée européenne.

    Idem pour le bastion industriel de Saint-Nazaire auquel personne ne peut faire croire le contraire étant passé de 12 000 à un petit millier d’emplois dans les chantiers navals, toujours plus touchés par la précarité, même ceux qui ont encore un emploi, connaissent l’incertitude et les conditions de travail de la « flexibilité » fétiche des instances économiques et financières internationales à qui nos dirigeants Umps & Co, ont vendu notre pays : l’Ocde, l’Omc, le Fmi, la Banque mondiale.

    La casse économique étant à la fois alimentée et possible par la folle politique de libre circulation des personnes, des biens et des capitaux et donc l’immigration qui va commencer à changer l’identité bretonne et française de nos quartiers.

    La Loire-Atlantique n’a certes pas encore connaissance, ou partiellement dans certains quartiers, de ce génocide par substitution que l’on peut connaître ailleurs en France, mais son avenir, je le connais pour l’avoir vécu puisque je n’ai rejoint cette région que depuis quelques seize années.

    Mon passé, je l’ai laissé sur les rives nord de la Méditerranée où j’ai vu le cher petit village de mon enfance changer du visage adoré que j’en avais, celui que ma mère et ma grand-mère m’ont conté, les temps paisibles où jadis, l’on pouvait encore sortir à pied chercher des médicaments pour les patients de mon grand-père dans le besoin. Aujourd’hui, la nuit tombée, c’est le couvre-feu, on se fait insulter, cracher dessus, à la sortie des écoles, on ne parle plus notre langue et les parents sont habillés selon des traditions qui nous sont étrangères mais qui nous font passer, nous, pour étrangers en notre propre pays.

    La femme qui s’habille simplement à la française est clairement traitée de « pute » et de « salope » par de petits ou jeunes garçons.

    Le niveau des écoles y a baissé terriblement, la violence des cours de récréation, patente.

    Il y a aurait multiples explications, dont la responsabilité incombe en quasi entière majorité à la politique de nos dirigeants, allant de la politique d’immigration bien sûr, à la politique d’abandon de notre école traditionnelle, en passant par l’idéologie anglo saxonne de discrimination positive et établissant le communautarisme quand la France ne reconnaissait à l’inverse que la communauté nationale.

    J’ai ainsi vu mourir sous mes yeux ma petite patrie, mon combat pour mon pays tout entier est un combat vital, je ne l’abandonnerai jamais.

    A l’instar des peuples du sud - victimes comme nous de politiques mondialistes puisque le Fmi pilotait en sous-main ces dictatures qui ne gênaient pas outre mesure nos tenants de l' hyperdémocratie (comprendre la démocratie sans les peuples) mondialiste - les peuples semblent de nos jours mettre une trentaine d’années avant de comprendre et de réagir.

    ela a laissé le temps au Front d'être fin prêt, au bon moment.

    La réalité prise en pleine figure, la prise de conscience des leurres des dirigeants en place, appelle à la réaction, la révolution chez nous a la chance de pouvoir trouver un réceptacle qui a eu le temps de peaufiner un programme adapté au réel, c’est la révolution patriotique proposée par le Front National.

    A l’idéologie mondialiste, nous proposons le visage enraciné et humain de la réalité nationale.

    Les français ont montré qu’ils en avaient assez d’être baladés de droite à gauche, dans tous les sens du terme, ils ont compris. Ils rejettent en masse les responsables du désastre et nous rejoignent parce que nous leur ressemblons, forcément.

    Tous les voyants sont au vert pour la France.

    Nos résultats émergés sont déjà de bel augure, nous savons que la partie immergée de notre aura est encore plus importante, 27 % des abstentionnistes nous sont favorables, nous sommes les premiers dans le cœur de la majorité des français.

    Nous le sentons sur le terrain, nous sommes reconnus par ceux que nous défendons, c’est naturel.

    C’est donc cœur battant et cœur vaillant que nous serons portés au pouvoir pour remettre chaque chose à sa place.

    Même le théâtre de guignols ne fait plus florès, les dirigeants en place aux abois ne réussissent à peine à se maintenir aux places de notables que grâce aux prébendes qu’ils distribuent et à la clientèle qu’ils arrosent.

    Ils nous ressortent le coup du baou dans la cave, le méchant méchant Front national, arheu arheu.

    Arheu arheu guili guili, on en fait des sketches aujourd’hui, même certains de nos récents adhérents nous avouent avoir défilé contre nous en 2002, la sauce pourrie ne prend plus.

    Non, il n’existe pas une race frontiste différente, j’assure que c’est le même sang qui coule dans nos veines que les autres humains, et si la caste au pouvoir a d’autres croyances, qu’ils fassent des tests génétiques, que notre cas soit résolu dès la naissance, qu’ils nous piquent et que l’on en finisse.

    Nos valeurs ne sont que le courage, l’abnégation, le don de soi, la persévérance, au service de notre peuple, le peuple français.

    La république et la démocratie ne sont en danger aujourd’hui que du fait de ceux qui ne les laissent pas vivre, qui ont abandonné notre souveraineté en d’autres mains, ne permettant plus à la république française d’être maître de son destin ou qui trahissent la volonté du peuple lorsqu’elle est clairement exprimée par le référendum.

    Nos dirigeants croient -ils vraiment qu’ils pourront longtemps prendre les gens pour des imbéciles ?

  • Tribune libre Ouest-france

     

    Saint-Nazaire est : Oriane Borja (FN) - Saint-Nazaire

    lundi 14 mars 2011

     

     

     

     

    Oriane Borja, candidate du Front national dans le canton de Saint-Nazaire est.

     

     

     

    « Oriane Borja est enseignante vacataire, elle élève seule ses quatre enfants. Proche de Marine Le Pen, elle est membre du Conseil National du FN. Voici ses principaux axes de campagne :

    Insécurité sociale

    La politique de « flexibilité » se retrouve au conseil général via l'Éducation tout au long de la vie. Elle transforme les métiers en « job » (faibles salaires ponctués, ou pas, de formations « reconvertissantes »), faisant des êtres humains des variables d'ajustement de l'économie de la rentabilité maximale. Je propose de relocaliser l'emploi et de produire, travailler et consommer au plus proche. Je souhaite revenir sur la loi de 73 qui somme l'État et les collectivités d'emprunter sur les marchés financiers à taux exorbitants.

    Insécurité physique et des biens

    Les violences aux personnes et aux biens sont en constante augmentation. Je demande pour la sécurité :

    - l'éducation : par une instruction qui structure et des sanctions effectives

    - la police : en stoppant la politique libérale qui supprime les postes et instaure des polices privées pour les riches

    - la justice : en rétablissant l'échelle des peines dont la peine de mort.

    Immigration

    C'est une volonté du grand patronat pour tirer les salaires à la baisse. Je veux l'application de la préférence nationale en matière de logement et d'attribution de toutes les aides sociales. Alors que l'on fait des coupes drastiques en matière d'aide sociale, de collèges, des pompiers, des maisons de retraite, des routes, etc. nous ne pouvons pas partager les miettes avec des arrivants récents à qui l'on accorde des privilèges communautaristes diviseurs. »

     

  • A Saint-Nazaire, le PC a la haine aux corps intermédiaires

    Alain Manara CGT PC.jpg

    Etant présente samedi dernier sur le marché de Penhoët

    à Saint-Nazaire, j’ai dû subir la haine du candidat du Parti Communiste qui prétendait en me fusillant du regard, s’opposer à ma haine toute prétendue ainsi qu’à celle tout aussi phantasmée, de notre électorat.

     

    Je lui demandais alors candidement si c’était chez eux qu’ils avaient été formés à cette haine, étant donné que nos voix locales, semblaient en toute état de cause, provenir directement des déçus directs d’un PC qui prétendait lui, défendre les travailleurs mais dans lequel vraisemblablement les ouvriers ne se reconnaissent plus en rejoignant nos rangs.

    Et quand je lui fis cas des membres de la CGT qui votaient FN, il est passé de la haine à l’hystérie, hurlant, lui qui est à la fois, secrétaire CGT de Saint-Nazaire et candidat du PC, qu’il les foutait alors tous dehors, reconnaissant implicitement leur présence.

    Je comprends mieux pourquoi nos membres ont quelques pudeurs à se révéler face à la terreur fascisante que font régner leurs dirigeants syndicaux, ou, politiques, on ne saurait lesquels choisir …

    Je rappelle opportunément aux défenseurs des travailleurs qui nous traitent de "xénophobes" parce que nous entendons seulement défendre les nôtres, qu’il ferait bien de relire Marx dont il n’existe hélas pas de petite version illustrée, ce qui aurait l’avantage de leur faire comprendre la notion d’idiot-utile.

    Il s’agirait enfin qu’il assimile pourquoi le grand patronat demande depuis les années soixante-dix, Bouygues le premier, un politique d’immigration aussi libérale.

    Et l’ « armée de réserve » a bien joué son rôle, les économistes ayant calculé de 1 à 2 %, le taux de baisse des salaires pour 1 % d’immigration.

    Faites le calcul quand on compte en trente ans, l’entrée de dix millions d’immigrés pour une population totale de soixante-cinq millions d‘habitants.

    Je ne doute pas un seul instant que les 17 % de chômeurs de Saint-Nazaire ainsi que les 3 200 demandeurs de logement sociaux de cette commune, apprécient la mise en concurrence avec de nouveaux arrivant reconnus par le grands patronat comme bien plus conciliants que les français installés, et auxquels il est accordé de facto, une préférence étrangère du fait de la composition bêtement mathématique de leur famille.

    Il paraîtrait qu’il rechignent moins devant bas salaire et conditions de travail, toujours selon le leader maximo Bouygues, comme s’il existait une grosse race de français fainéant.

    Sans doute la même race qui naîtrait avec la haine dans le sang et qui rejoindrait par atavisme débile, les rangs du Front National.

    Allez comprendre les secrets de la génétique.

  • Tractage sur marché de Saint-Nazaire et réponse aux guignols de la république

     

    cantonales 2011,saint-nazaire,fn,oriane borja

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nous remercions, avec pitié, la gauche la plus bête du monde de nous avoir fait une publicité terrible en nous accompagnant ce matin sur le marché de Saint-Nazaire au son d'un spectacle que Lionel Jospin aurait qualifié de "théâtr(al)", en nous taxant de toutes les tares du monde, promettant le retour de l'ère glaciaire et des heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire avec notre arrivée.

    Ca faisait même rire les petites mamies.

     

    Nous rappelons opportunément que, comme les banksters et autres multinationales, vous soutenez l'abaissement des protections nationales naturelles, celles qu'ont bâties nos pères par leur sueur et par leur sang, afin de nous léguer une terre où nous puissions nous-mêmes élever nos enfants en toute sécurité.

    Comme le grand patronat, vous soutenez une immigration sans frontières qui n'est là que pour peser à la baisse sur les salaires et toutes les autres revendications sociales, aboutissant à l'homme-nomade, celui qui fait des êtres des numéros-esclaves tout juste bons à consommer (à crédit) et à fermer leur gueule contre des jeux du cirque (Macdo et Disneyland pour tous).

    Nous déplorons toutes formes de détachement, si éloigné de l'humain, nous pensons que nous sommes rattachés à notre terre, à notre histoire, aux nôtres, et que cela constitue notre âme, comme il en est de même pour tous les peuples de la terre dont nous respectons les histoires respectives et dont nous ne souhaitons pas l'anéantissement par un village planétaire qui n'aurait ni sens, ni esprit.

     

    Nous rappelons encore que le régime nazi, que vous semblez avoir vécu tant vous vous souvenez nous y avoir vus, était soutenu par le même empire américain qui rejoue toujours la sérénade des droits-de-l'homme à coup de bombes sur les facétieux pays qui leur résisteraient encore, sous des prétextes qu'ils n'hésitent pas à créer eux-mêmes.

    En effet, c'était l'élite américaine au pouvoir (General Motors, Fords, ITT Bell) qui équipait les chars et avions militaires allemands, leurs usines en Allemagne ont soigneusement été épargnées par les bombardements.

    Le Front National, lui, n'était pas encore né à l'époque, et le jeune Jean-Marie Le Pen, lui, s'engageait alors, du côté de la résistance.

    Le Front ne sera jamais que du côté de la France et des français, l'Allemagne comme l'Italie et tous les autres pays, sont des pays étrangers, si nous participons d'un destin européen commun et d'intérêts géostratégiques qui peuvent être proches, nous ne revendiquons pas la même histoire, ni les mêmes politiques, et encore moins les mêmes idéologies. 

    Je rajouterais, que si vous vous intéressiez davantage au réel qu'à de malsains phantasmes à notre sujet, vous verriez combien notre système éducatif, par exemple, ressemble aujourd'hui à celui qui sévissait tout le long de la montée du troisième reich.

    L'éducation globale qui supplante aujourd'hui l'instruction à la française, est propre à fabriquer de bons gros moutons  inconséquents et manipulables, alors que nous appelons nous, à une école qui ne donnerait que les outils pour bâtir sa réflexion quand elle impose de plus en plus une pensée prémâchée au seul service de l'économie de la rentabilité maximale.

     

    Enfin, et parce que dans votre tragi-comédie, vous vous revendiquiez "élus de la république", je vous exhorte à ouvrir les yeux sur une république qui n'existe plus.

    La république française, c'est la souveraineté, qu'elle soit populaire ou nationale.

    Or que l'on me démontre qu'il reste quelque chose de nos prérogatives souveraines : qu'en est-il de notre monnaie, qu'en est-il de notre pouvoir législatif quand toutes nos lois ne sont que des retranscriptions de textes dont l'initiative revient à la Commission européenne non élue, elle-même courroie de transmission des Institutions économiques et financières internationales que sont la Banque mondiale, le Fmi, l'Omc et autres Ocde ?

    Quid de toutes les autres institutions françaises, de l'armée, à la police et autres services publics, pour ne pas revenir sur l'éducation ?

     Toutes passent sous la coupe de l'impérialisme américain et se calquent sur leur "modèle".

    Réclamez-vous donc de tout, mais pas de la république, vous ignorez de quoi vous parlez ou pire, feignez de croire qu'elle existe encore.

    Vous vous en prenez, par méchanceté ou par bêtise, aux seuls garants de nos institutions toutes françaises, qui seuls, proposent de renouer avec la maîtrise de notre destin passé en des mains si éloignées du peuple.

    L'hyperclasse mondialiste croît sous l'asservissement des ces peuples, elle tente de les manipuler et fabrique des crétins comme vous, qui vous en prenez aux seuls qui n'ont jamais eu le pouvoir et qui n'ont donc aucune responsabilité dans la situation que nous connaissons aujourd'hui, et qui pour beaucoup, est une réalité bien cruelle, cette classe dirigeante mondiale ne propose que précarité perpétuelle et guerre du même nom, et comme pour vous, son seul ennemi : c'est nous.

  • Mabinty, ou, les nouvelles traites humaines pour mieux détruire notre économie

    Exposé des faits :

    [Mabinty*, une jeune africaine célibataire de 25 ans vient de se voir refuser son titre de séjour en refus-de-titre-de-sejour-pour-une-jeune-africaine--904.jpgFrance. Dans la foulée, son ex-employeur vient de lui envoyer sa lettre de licenciement ce matin et se retrouve aujourd'hui en situation irrégulière .


    Le poste de travail concerné ne présente aucune spécificité
    - Considérant qu'il ressort de l'analyse des données relatives à la situation de l'emploi en Loire-Atlantique que pour le métier considéré, la situation actuelle et l'évolution prévisible de l'emploi ne permet pas d'envisager une réponse favorable au changement de statut demandé. En effet, Pole-Emploi a enregistré dans le département au 2e semestre 2010 pour le métier de femme de chambre, 193 demandeurs d'emploi pour 28 offres déposées.
    - Que le futur employeur n'apporte pas la preuve d'avoir préalablement recherché des candidats disponibles sur le marché du travail par tout moyen à sa convenance.
    Il résulte de ce qui précède que l'entreprise ne peut-être considérée comme respectant la législation du travail et de la protection sociale au sens des dispositions de l'arti. R5221.20,3° du code du travail.
    Par ces motifs,
    la demande de changement de statut présentée par Madame Mabinty* est rejetée. Je vous rappelle qu'en application de l'art.L8256-2, le fait pour toute personne d'embaucher, de conserver à son service un étranger non muni du titre l'autorisant à exercer une activité salariée en France est puni d'un emprisonnement de 5 ans et d'une amende de 15 000 euros. » ]

     

    Cette jeune femme est une victime à la fois du système et spécifiquement, de la politique d'immigration choisie.

    La politique d'immigration menée depuis les années 70 et notamment initiée par le grand patronat, Bouygues en tête, avait pour but de faire baisser salaires et autres revendications sociales, monsieur Bouygues avouant dans une vidéo que le travailleur immigré ne bronche pas et est corvéable à merci.

    Le chômage de masse permettant de maintenir une situation "stable" dans de nombreux domaines, le gouvernement Fillon(Sarkozy) mettait bientôt en place une immigration "choisie" à l'anglo-saxonne (les Etats-Unis ayant conçu un mur par exemple entre eux et le Mexique afin que seuls les plus valides, ceux qui passent le mur, soient accueillis : l'esclave doit être robuste).

    L'immigration choisie a cela de pervers, en plus de maintenir un bas niveau de salaire, de vider les pays d'où provient la main-d'oeuvre ou la matière grise, de leurs forces vitales.

    Le Front National déplore cette politique et il est bien le seul, il rappelle que chaque pays doit faire de ses citoyens sa priorité, nous réservons notre compassion en priorité pour les nôtres, comme des parents doivent s'occuper en priorité de leurs enfants, les citoyens français ne doivent pas être délaissés au profit d'autres personnes, c'est une question une bon sens et de justice.
    Et que l'on ne nous raconte pas que nous ne voulons pas occuper certains postes, la preuve en est avec ses ménages, si des postes sont difficiles à pourvoir, c'est que les salaires y sont trop bas et/ou que la politique en matière de formation est mal menée (apprentissage, parent pauvre au profit de l'éducation-tout-au-long-de-la-vie qui organise la précarité tout au long de la vie quand on n'apprend plus un métier mais on forme à un "job" kleenex pour boucher les trous d'un système économique où ne prévaut que la rentabilité maximale; numerus clausus en médecine pour payer des médecins étrangers moins chers, idem pour des ingénieurs indiens par exemple qui acceptent un Smic et ne comptent pas leurs heures; autres exemples flagrant : Yves Attou, président du Comité mondial de l'Education Tout au Long de la Vie, Lifelong Learning ou LLL, qui maille aujourd'hui toutes nos collectivités territoriales, ventait encore récemment dans nos ministères mais aussi sur toute la planète - il a mis en place la politique éducative en Chine récemment - les nouvelles futures méthodes pédagogiques des "sciences" de l'éducation qui permettent de prendre des cours via le E-Learning à 2 euros de l'heure avec des professeurs indiens avec le logiciel Skype, des millions d'étudiants l'utilisent déjà à travers le monde).

    Bref, l'inhumanité du mondialisme règne en maître, faisant des êtres humains des variables d'appoint destinées à la seule amélioration des rentabilités économiques dans un monde qui n'a ni attaches ni sens.