Exposé des faits :
[Mabinty*, une jeune africaine célibataire de 25 ans vient de se voir refuser son titre de séjour en France. Dans la foulée, son ex-employeur vient de lui envoyer sa lettre de licenciement ce matin et se retrouve aujourd'hui en situation irrégulière .
Le poste de travail concerné ne présente aucune spécificité
- Considérant qu'il ressort de l'analyse des données relatives à la situation de l'emploi en Loire-Atlantique que pour le métier considéré, la situation actuelle et l'évolution prévisible de l'emploi ne permet pas d'envisager une réponse favorable au changement de statut demandé. En effet, Pole-Emploi a enregistré dans le département au 2e semestre 2010 pour le métier de femme de chambre, 193 demandeurs d'emploi pour 28 offres déposées.
- Que le futur employeur n'apporte pas la preuve d'avoir préalablement recherché des candidats disponibles sur le marché du travail par tout moyen à sa convenance.
Il résulte de ce qui précède que l'entreprise ne peut-être considérée comme respectant la législation du travail et de la protection sociale au sens des dispositions de l'arti. R5221.20,3° du code du travail.
Par ces motifs,
la demande de changement de statut présentée par Madame Mabinty* est rejetée. Je vous rappelle qu'en application de l'art.L8256-2, le fait pour toute personne d'embaucher, de conserver à son service un étranger non muni du titre l'autorisant à exercer une activité salariée en France est puni d'un emprisonnement de 5 ans et d'une amende de 15 000 euros. » ]
La politique d'immigration menée depuis les années 70 et notamment initiée par le grand patronat, Bouygues en tête, avait pour but de faire baisser salaires et autres revendications sociales, monsieur Bouygues avouant dans une vidéo que le travailleur immigré ne bronche pas et est corvéable à merci.
Le chômage de masse permettant de maintenir une situation "stable" dans de nombreux domaines, le gouvernement Fillon(Sarkozy) mettait bientôt en place une immigration "choisie" à l'anglo-saxonne (les Etats-Unis ayant conçu un mur par exemple entre eux et le Mexique afin que seuls les plus valides, ceux qui passent le mur, soient accueillis : l'esclave doit être robuste).
L'immigration choisie a cela de pervers, en plus de maintenir un bas niveau de salaire, de vider les pays d'où provient la main-d'oeuvre ou la matière grise, de leurs forces vitales.
Le Front National déplore cette politique et il est bien le seul, il rappelle que chaque pays doit faire de ses citoyens sa priorité, nous réservons notre compassion en priorité pour les nôtres, comme des parents doivent s'occuper en priorité de leurs enfants, les citoyens français ne doivent pas être délaissés au profit d'autres personnes, c'est une question une bon sens et de justice.
Et que l'on ne nous raconte pas que nous ne voulons pas occuper certains postes, la preuve en est avec ses ménages, si des postes sont difficiles à pourvoir, c'est que les salaires y sont trop bas et/ou que la politique en matière de formation est mal menée (apprentissage, parent pauvre au profit de l'éducation-tout-au-long-de-la-vie qui organise la précarité tout au long de la vie quand on n'apprend plus un métier mais on forme à un "job" kleenex pour boucher les trous d'un système économique où ne prévaut que la rentabilité maximale; numerus clausus en médecine pour payer des médecins étrangers moins chers, idem pour des ingénieurs indiens par exemple qui acceptent un Smic et ne comptent pas leurs heures; autres exemples flagrant : Yves Attou, président du Comité mondial de l'Education Tout au Long de la Vie, Lifelong Learning ou LLL, qui maille aujourd'hui toutes nos collectivités territoriales, ventait encore récemment dans nos ministères mais aussi sur toute la planète - il a mis en place la politique éducative en Chine récemment - les nouvelles futures méthodes pédagogiques des "sciences" de l'éducation qui permettent de prendre des cours via le E-Learning à 2 euros de l'heure avec des professeurs indiens avec le logiciel Skype, des millions d'étudiants l'utilisent déjà à travers le monde).
Bref, l'inhumanité du mondialisme règne en maître, faisant des êtres humains des variables d'appoint destinées à la seule amélioration des rentabilités économiques dans un monde qui n'a ni attaches ni sens.