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  • La liberté d'expression et d'information et les Ceausescu-Le Pen

     

    Je reposte ce papier à l'attention expresse des Ceausescu-Le Pen qui cherchent à faire régner la terreur dans leurs rangs en les épiant dans leur vie privée afin de les faire taire.
    Dans cet article, je remarque juste que le principal conseiller de Marine Le Pen, vieux routard des réseaux libéraux, est formateur politique pour les lobbies américains, sans évidemment que ça ne dérange personne.
    Enfin surtout, ne prenez-pas l'air gêné en le lisant, on ne sait jamais que la Stasi le remarque.
    Toujours pas d'explication Marine ?
    orianeborja.hautetfort.com
    Jean-Yves Le Gallou (Boulevard Voltaire, Polemia), Aymeric Chauprade (Marine Le Pen), ils servent la France en instaurant le leadership américain...
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     30/12/2013

    Toujours pas d'explication Marine ?

    Jean-Yves Le Gallou (Boulevard Voltaire, Polemia), Aymeric Chauprade (Marine Le Pen), ils servent la France en instaurant le leadership américain au service direct des plus influents groupes mondialistes financés par les plus grandes multinationales.

     

    http://valeursactuelles.com/politique/exclusif.-%E2%80%9C...

     

    Accueil arrow Le conseil d'orientation 

    Le conseil d'orientation

    Guillaume Bernard
    Docteur en Droit. Maître de conférences à l’ICES.

    Philippe de Bétous
    Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, Mastère Service Public. Conseil en ingénierie territoriale.

    Romain Chetaille
    ISC, Mastère Essec. Dirigeant de PME. Directeur de publication de La Revue Parlementaire.

    Anne Coffinier 
    ENS, ENA. Directrice de la Fondation pour l’école et du site www.creersonecole.com.

    Thibaud Collin
    Agrégé de Philosophie. Professeur en classes préparatoires au Collège Stanislas et à La Faculté libre de philosophie (Paris).

    Renaud Dozoul
    Architecte. Assistant parlementaire.

    Vincent Ginocchio
    Ingénieur. Président de Liberté Chérie.

    Kerry Halferty Hardy
    Diplômée de l’Université du Texas.

    Directeur de Développement à l’Hôpital Américain de Paris.

    Jean-Thomas Lesueur
    DEA d’Histoire moderne.

    Chargé des Etudes et des Publications de l’Institut Thomas More.

    Yorick de Mombynes 
    ESCP, licence de philosophie, IEP Paris, ENA. Cadre d’entreprise.

    Cécile Philippe
    Docteur en Sciences économiques. Directeur de l’Institut Economique Molinari.

    Jean-Yves Robin
    Licence d’Histoire. Délégué général des SUF.

    Aline de Salinelles
    IEP Paris. Directrice générale de la Fondation de l’Université Paris-Dauphine.

    Benoîte Taffin
    HECJF. Ancien maire du 2ème arrondissement de Paris.

    Porte-parole de Contribuables Associés.

    Guillaume de Thieulloy
    Docteur en Sciences politiques. Assistant parlementaire, journaliste, écrivain, gérant des 4V. Prix Raymond Aron 2002.

    Agnès Verdier
    Maîtrise d'Histoire économique contemporaine, diplômée de l'Institut Français de Presse.

    Directeur de la Fondation iFRAP.

    http://www.ifrap.org/La-Fondation-iFRAP-aux-2e-Trophees-d...

     

    http://www.wikiberal.org/wiki/Ifrap

    "Elle exerce également une importante activité de lobbying auprès des autorités politiques, pour faire progresser les idées libérales"

     

    http://www.institutcoppet.org/2012/03/01/decouvrez-lifp-i...



     
    http://fr.irefeurope.org/Pour-reformer-il-faut-preparer-les-leaders-politiques-de-demain,a2363


     
    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/08/06/le-j...

     

    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/12/24/ca-d...

     
  • Responsabilité des femmes et des hommes dans la natalité

    Face à la baisse, toute relative, de la fécondité des femmes françaises l'an dernier, Jean-Marie Le Pen fustige les femmes qui manqueraient à leur responsabilité au niveau de leur fonction reproductive.

    Il ferait bien également de remettre en cause la façon de faire des hommes.

    Comment les femmes peuvent-elles enfanter dans la sérénité quand les hommes n'ont pas évolué face à leur prétendu déterminisme à tromper, à vouloir conforter leur perte de virilité par des coucheries-diversité incessantes.

    Mais sans doute Jean-Marie Le Pen aurait-il lui-même des choses à se reprocher de ce côté-là, lui dont la fidélité laisserait doucement rigoler ceux qui l'ont cotoyé dans la force de l'âge.

    Faire porter la responsabilité de la baisse de natalité uniquement sur les femmes est proprement scandaleux. Pour ne pas du tout parler ici des raisons économiques et du fait que l'on pousse les femmes sur le marché du travail sans qu'elles en aient toujours le choix.


    Aujourd'hui, il aurait fallu que hommes et femmes s'ajustent en fonction de leurs

    défauts respectifs, ils ont au contraire plonger dans une fuite vers le pire encore

    comme des tordus affectifs incapables de faire l'effort de se redresser.

    Le coup de la femme qui trompe son mari est surtout fait pour exciter les hommes, la proportion d'hommes allant voir ailleurs si l'herbe est plus verte est bien plus importante, même si les femmes tentent de rattraper leur "retard". Mais je doute fort qu'elles y trouvent satisfaction.

    L'explication est simple, pendant qu'elle enfante et élève ses petits, elle a peu le temps et peu la tête à s'occuper à autre chose, ensuite, la nature se charge de la rendre moins attractive sur le marché.
    Tandis que l'homme se retrouve le plus souvent perdu dans son rôle de père et cherche à se rassurer comme il peut par les moyens qu'il peut.

    Evidemment, si la femme a les moyens, elle peut s'offrir quelques dérisoires compensations qui ne serviraient qu'à masquer le manque d'affection qu'elle recherche. Une affection qui grandit davantage dans le temps et l'adversité que dans une éphémère rencontre de deux égoismes.

    On dit vulgairement qu' "Une femme a besoin d'une raison pour tromper mais un homme a simplement besoin d'une femme."


    Certes génétiquement, les hommes sont des animaux, mais ce sont aussi des êtres dotés de réflexion et de sensibilité, à eux de déterminer quelle part d'eux-mêmes ils entendent faire prévaloir.




     

  • Histoire de notre découpage administratif

    ACTUALITÉ > POLITIQUE > MOINS DE RÉGIONS ? LE DÉCOUPAGE TERRITORIAL, UN HÉRITAGE ENCOMBRANT

    Moins de régions ? Le découpage territorial, un héritage encombrant

    Publié le 18-01-2014 à 09h06

    François Hollande veut réformer les collectivités locales. Aucun président n'a pour l'heure réussi à mettre de l'ordre dans un découpage lesté de siècles d'histoire.

    Fiction - la carte des régions redessinée. On ignore pour l'instant comment le nombre de régions pourra être réduit... (Mehdi Benyezzar/

    Fiction - la carte des régions redessinée. On ignore pour l'instant comment le nombre de régions pourra être réduit... (Mehdi Benyezzar/

    François Hollande l'a annoncé lors de sa conférence de presse : une réforme des collectivités locales est sur les rails. "Notre organisation territoriale devra être revue" pour "en finir avec les enchevêtrements, les doublons et les confusions" de compétences, il devra y avoir "une clarification stricte des compétences entre collectivités territoriales". Cela concerne notamment "les régions dont le nombre peut aussi évoluer", a déclaré le président de la République.

    En France, on dénombre pas moins de 26 régions, 101 départements et 36.600 communes. Sans parler des métropoles, des intercommunalités ou des nombreuses autres formes institutionnelles locales.

    L'idée est donc de remettre de l'ordre. Mais cette volonté, qui n'est pas nouvelle, n'a pour l'heure jamais abouti. La carte territoriale a du mal à s'affranchir d'un héritage vieux de 200 ans.

    La Révolution française

    En 1789, la Savoie, Nice et Belfort ne sont pas encore rattachés au royaume de France. Avignon et le Comtat Venaissin appartiennent aux Etats du pape.

    Vient la Révolution française. En 1790, l'Assemblée nationale vote une nouvelle division administrative du territoire. Les provinces de l'ancien régime laissent place à 83 départements et aux communes - cellule de base de ce nouveau découpage.

    Les 83 départements de 1790 :

    "Les contours des départements ont respecté l'héritage de la monarchie. Mais l'Assemblée nationale leur a donné de nouveaux noms. La Marche est devenu la Creuse, l'Orléanais est devenu Le Loiret, etc.", précise Gérard-François Dumont, géographe et professeur à la Sorbonne-Paris 4. "On remarque que cet héritage n'a pas bougé ou presque. Chaque réforme jusqu'à aujourd'hui respecte les départements."

    Le Rhône-et-Loire est scindé en deux en 1793, année où est également créé le Vaucluse. Le Tarn-et-Garonne naîtra en 1808. La Savoie, la Haute-Savoie et les Alpes-Maritimes sont intégrées à la France en 1860. La frontière entre la Meurthe et la Moselle changera avec l'annexion allemande en 1871. Le Territoire de Belfort devient département en 1922. En 1968, la Seine-et-Oise est morcelée entre Yvelines, Essonne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Val-d'Oise. La Corse est scindée entre Haute-Corse et Corse-du-Sud en 1976. Tout cela sans compter les départements de l'empire napoléonien et de l'Algérie, ainsi que les actuels départements d'Outre-mer.

    Un Hexagone à 95 départements en 2014 :

    La naissance des régions

    Le décret Pflimlin, signé le 28 novembre 1956, lance les "programmes d'action régionale" en vue de "promouvoir l'expansion économique et sociale des différentes régions". La France de de Gaulle voit apparaître 24 circonscriptions régionales, dont 22 en métropole. L'ancêtre des régions est né.

    "Dans les faits, ça a été des découpages hasardeux", explique Michel Verpeaux, professeur de droit public à l'université Paris 1-Panthéon Sorbonne et spécialiste des collectivités locales. "L'idée, c'était surtout de créer des zones économiques homogènes. Alors on a créé des unités d'un million d'habitants." 

     

  • No Région no cry

    Supprimer les Régions ?
    Chiche.
    Mais TOUTES !

    Et le Front qui se plaint de voir disparaître le Conseil Régional de Picardie (là où on a plein d'élus).

    Oh oh, les gars, on se réveille, les Régions sont des voleurs de France, on bazarde tout.

    Même si la réforme à venir, en effet prévue par Balladur qui avait organisé à l'époque tout cela dans sa réforme territoriale, ainsi que la disparition des petites communes et des départements pour faire rentrer le tout dans le cadre-moule mondialiste, la Région va rester et devenir plus encore, la cellule de base du monde mondialiste.
    Ce monde étant un gâteau dont le marché se réserve les parts, il sera libéral et donc, oui, le système veut en faire disparaître les fonctionnaires qui n'auront pas plus le droit de citer au niveau central que régional.
    Et en ce sens, l'appel de Marine à dégraisser les collectivités territoriales est parfaitement entendu et plébicité.

    Tout cela se fait petit à petit, tranquillement mais sûrement.

    Disons qu'il faut, et savoir ce que l'on veut, et une fois cela (ce qui est loin d'être évident au FN comme on le voit), le vouloir pour les bonnes raisons !

    . . .

  • Nausée

    Après Philippe Tesson qui appelait à occire Dieudonné à la petite cuillère en savourant chaque bouchée, on apprend de Christine Tasin -que l'on savait déjà gravement atteinte, avait déjà sombré dans l'abject.

    Elle proposait tout simplement en mai dernier dans une tribune offerte par Robert Ménard de "tirer dans le tas" en parlant des musulmans.

    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/861056-islamophobie-la-ligne-rouge-est-franchie-madame-taubira-vous-devez-reagir.html

    Savent-ils au moins que tenant ces propos, c'est la France qu'ils assassinent.

    Exit les millénaires d'histoire de notre droit, exit la civilisation, c'est un retour direct à la case la plus barbare que ces oies sauvages nous jouent.

    Je ne vois guère que l'irresponsabilité pénale pour les exonérer de sanctions, notre Etat devrait logiquement ne pas laisser passer, à l'instar du cas Dieudonné, la liberté a des limites, et c'est heureux.

    On relate ce jour le cas d'un chrétien, habitant de la République centrafricaine surnommé «Mad Dog», qui a avoué à la BBC avoir mangé la jambe d'un autre homme pour se venger du meurtre de sa femme, de sa belle-soeur et de son enfant.

    Evidemment si le dîner est servi dans un Salon Beige en plat de Résistance Républicaine, ce sont des choses qui se digèrent, mais en d'autres lieux ?


  • L'Etat, c'est toi

    Je me répète, mais je le répéterai sans cesse :

    C'est le manque d'Etat qui pose problème.

    Du reste, en France, l'Etat, c'est nous, c'est l'Etat-Nation et la nation, c'est "natio", du latin, qui signifie "peuple".
    L'Etat, en république, c'est nous, c'est le peuple qui s'est substitué au Roi -qui lui-même, servait le peuple-.
    En république (française), l'Etat souverain, c'est le peuple souverain.

    Les attributs de l'Etat sont parfaitement définis et n'ont pas changé avec la république, ce sont les droits régaliens :

    - droit de battre monnaie (démantelé)
    - droit de faire les lois (substituées par les retranscriptions des diktats bruxellois)
    - droit de se défendre (subordonné à l'OTAN)
    - droit de rendre justice (de plus en plus sabordé par le modèle anglo-saxon qui tente de se subroger à notre modèle)
    - droit de prélever l'impôt (il nous reste, mais nous n'avons plus le contrôle budgétaire et le problème ne serait pas l'impôt mais le contrat social, ce qu'on fait de nos impôts.
    L'Etat ne s'enrichit, ou que du patrimoine nationale, il ne fait pas de profits)


    C'est ainsi que l'on dépouille notre Etat.

    Ajoutons que pour garder l'esprit de l'Etat souverain, il faudrait encore étendre les attributs de souveraineté de l'Etat (en toute chose, c'est l'esprit qu'il faut garder au-delà de la lettre), ainsi pour préserver notre indépendance, nous faudra-t-il étendre les pans de souveraineté à l'instruction nationale (qui se calque aujourd'hui sur le LongLife learning mondialiste), à notre indépendance alimentaire, et, dans la mesure du possible, notre indépendance énergétique (qui devrait au minimum ne dépendre que d'accords entre Etat et surtout pas d'entreprises privées puisque, en toute chose, il ne faut rien au-dessus de l'Etat (et nous en revenons à nos maffias).

    Toute attaque contre l'Etat est une attaque contre la France et contre le peuple français.

    Le problème étant que l'idéologie libérale travaille le camp national pour tenter de lui faire comprendre le contraire, et lui fourguer sa came américaine et la prétendue liberté qui va avec.

    L'Etat est le seul et unique rempart contre le mondialisme et l'esclavage des peuples. 

  • Dieudonné, Kémi Séba, et l'Empire ...

     

      Le Groupe AFI/l’Université de l’Entreprise,  la meilleure Université privée professionnelle de l’Afrique en 2008 (The  Bizz Award de la World Confédération of Business, USA)

      

    1.  
      Dieudonné fait comme Kémi Séba, racialiste et antimite, grand fou dangereux condamné de multiples fois pour violence, comme Dieudonné, il a été condamné  pour antisémitisme, les deux se baladent avec une milice privée.
      Des gars avec lunettes de soleil qui se la pètent comme en Afrique dictatoriale, sapés comme des princes, avec oreillettes apparentes et que l'on devine armés ou tout du moins font-ils comme.
      Bref, dans le genre maffieux qui terrorisent et imposent que l'on ferme sa gueule par la terreur.
      • Ils m'ont fait penser aux black panthers des années 70
      •  
        Oriane Borja Oui, Seba a été à bonne école.
      •  
        Oriane Borja Le Séba en question, avec Dieudo, qui a ses entrées à la Main d'Or, qui m'a menacée de mort et traitée de sale pute enjuivée
        Photo de Oriane Borja.
      •  
        C'est l'anti sionisme qui rend anti sémite? 
      •  
        Oriane Borja Je suis contre la politique sioniste et ne suis pas antisémite, jamais il ne me viendrait à l'esprit de parler des juifs comme eux le font.
      •  
      •  
      • Oriane Borja Kémi Seba, invité des Universités américaines privées de business et agrées par l'Union Européenne en Afrique.
        C'est suite au fait que je faisais ce simple constat qu'il m'a menacée.
        Photo de Oriane Borja.
      •  
        Oriane Borja http://www.africanbusinessjournal.info/index.php...
        www.africanbusinessjournal.info
        African Business Journal est une revue des affaires et du management à vocation africaine. Ce magazine présente les dernières informations de l'économie du continent africain. Ses articles sont des analyses du monde des affaires ainsi des critiques concernant le management des entreprises publiques…
        il y a environ une minute · J’aime · Supprimer l’aperçu



         http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9mi_S%C3%A9ba

        Avec le libertarien de Washington et de Soral, San Giorgio, dont il serait bon que l'on s'intéresse à l'argent qu'il apporte et qu'il reçoit.

      • Il est d'ailleurs étonnant de voir cet ami de l'extrême-droite économique israélienne où il étend son business, avec Kémi Séba, sauf à comprendre que la mafia ne tient que par le fric.
         Et si l'on ne comprenait pas les réseaux affaires libertariens bien sûr.
        Le jour où leurs escroqueries respectives tombent, ils s'entretuent entre eux :


        dieudonné,kémi séba,business




      • Kémi Séba, qui lutte bien évidemment contre le système ...
      • Encore un "anti impérialiste" qui a mal compris que l'Empire, c'est bien exporter le modèle américain dans le monde, ce à quoi il participe et s'emploie intégralement.



        En fouillant un peu, on tombe sur des propos de Séba appelant Dieudonné à l'action violente suite aux affaires récentes 
      • -on ne voit même pas la présence de leurs crétins en miroir de la LDJ, ce sont des menaces maffieuses non pas de deux groupes maffieux qui s'affrontent mais de l'un d'eux face à la république-
      • , et, sur un message expliquant ce qui m'avait paru flagrant au niveau de la milice l'entourant :

      • "
        J’aime cette Page · 6 janvier 
         
         

        [SECURITE DE DIEUDONNE: AFFAIRE REGLEE]

        Kemi Seba:"C'est conclu, mes AMIS PROCHES seront de la partie, pour la tournée de DIEUDONNé. Ils feront partie de la sécurité dès cette semaine à Nantes. (ils n'étaient que quelques uns ces derniers temps dans son staff). Les effectifs seront désormais doublés. Des gens TRÈS SYMPATHIQUES...TRÈS TRÈS TRÈS... qui accueilleront avec joie et affection les partisans du frère, et avec GRANDE CHALEUR , les opposants, si ces derniers songeaient à être autre chose que pacifiques... CHALEUR BRÛLANTE MÊME....Un conseil à LA FAMILLE ADAMS (pardon, KLARSVELT). Manifestez, ok, mais RESTEZ COURTOIS ET NON VIOLENTS...C'EST MIEUX...
        ON VEUT TOUS LA PAIX. MAIS LA PAIX N'EXISTE QUE S'IL Y A RESPECT.....
        #CHACUNESTAVERTIDESORMAIS
        ps:A toutes fins utiles, précisons qu'il ne s'agit pas de la Tribu KA, dissoute par le Gouvernement français, et donc n'ayant BIEN SÛR pas le droit de cité...Non, juste des amis, partageant mes convictions, et s’entraînant beaucoup par passion."
         
         
         "
        J’aime cette Page · 2 janvier · Modifié 
         
         

        Kemi Seba:"Si vous touchez à un seul cheveux du frère Dieudonné (une agression par exemple) je crains que les descentes au sein de la rue des rosiers deviennent un sport QUOTIDIEN... Précisons que le PACIFISTE que je suis ne l'encourage pas, mais je le crains...."

        COMPRENNE QUI DEVRA
         – avec Mikail Yusuf Muhammad."
         

      •  
  • Le Conseil d'Etat, un rempart français qui porte en son nom de quoi en faire un ennemi pour les libertariens

    Affaire Dieudonné : le Conseil d'Etat réplique aux critiques

    LE MONDE | 11.01.2014 à 10h21 • Mis à jour le 12.01.2014 à 03h44 |Propos recueillis par Franck JohannèsStéphanie Le Bars et Luc Bronner

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    Jean-Marc Sauvé, vice-président du Conseil d’Etat, le 10 janvier.

     

    Après les deux ordonnances confirmant l'interdiction des spectacles de Dieudonné à Nantes et Tours, le vice-président du Conseil d'Etat, Jean-Marc Sauvé, répond aux critiques sur la limitation de la liberté d'expression.

    La rapidité de l'intervention du Conseil d'Etat, quelques heures après la décision du tribunal administratif de Nantes, jeudi 9 janvier, a semblé à beaucoup étonnante.

    Le Conseil d'Etat s'est prononcé dans ces affaires en appel, dans le cadre d'une procédure d'extrême urgence, le référé-liberté, où il doit statuer en moins de quarante-huit heures lorsqu'est invoquée une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale. Si le juge laisse passer l'événement à l'occasion duquel cette atteinte est alléguée, il ne peut que conclure à un non-lieu, c'est-à-dire renoncer à se prononcer et à exercer son office. Le Conseil d'Etat, comme les tribunaux administratifs, refuse par principe de consentir à cette mutilation. Ainsi le juge des référés doit statuer, dès lors que c'est possible, avant que ne se produise l'événement en question. C'est la raison pour laquelle, jeudi, le juge des référés du Conseil était prêt à statuer sur l'appel émanant de toute partie avant l'heure du début du spectacle.

    Si l'appel était venu de Dieudonné M'bala M'bala et non du ministère de l'intérieur, cela aurait également été le cas ?

    Evidemment ! Et c'est bien ce qui s'est produit vendredi  [le Conseil d’Etat a prononcé une seconde ordonnance, confirmant l’interdiction du spectacle].

    Le fait d'interdire un spectacle ne constitue-t-il pas une atteinte inédite à la liberté d'expression ?

    Le Conseil d'Etat s'est prononcé en considération de sa jurisprudence, notamment les arrêts « commune de Morsang-sur-Orge » et « Benjamin », qui ont respectivement 18 et 81 ans d'âge. Il a, avec ce spectacle, été confronté à une situation inédite d'articulation entre la liberté d'expression et ses limites nécessaires dans une société démocratique. Vous me permettrez de ne pas endire davantage, car si M. M'bala M'bala demande au fond l'annulation des interdictions de son spectacle, je suis susceptible de siéger en cas de pourvoi en cassation, après examen collégial par le tribunal puis la cour administrative d'appel.

    Qu'entendez-vous par « situation inédite » ?

    Le Conseil d'Etat n'a jamais été confronté à des dossiers dont les caractéristiques étaient analogues à celles du spectacle qui a justifié les mesures d'interdiction. En particulier, c'est la première fois que se pose la question de savoir commentprévenir des provocations répétées à la haine et à la discrimination raciale et des propos portant atteinte à la dignité humaine.

    Je voudrais d'ailleurs couper court à des insinuations malveillantes : c'est la loi qui dispose que le juge des référés du Conseil d'Etat est le président de la section du contentieux ainsi que les conseillers d'Etat qu'il désigne à cet effet. En outre, ceux qui critiquent aujourd'hui pour des raisons ignominieuses l'ordonnance rendue jeudi se sont bien gardés de critiquer celle qui a enjoint de ne pas faire obstacle à l'université d'été du Front national à Annecy en 2002. Et pourtant ces deux décisions ont le même auteur. On serait avisé d'y réfléchir.

    Quelle est la portée jurisprudentielle de ces décisions ?

    Elles sont de nature à éclairer les juges des référés des tribunaux administratifs, pour autant que les circonstances soumises à ces juges soient identiques ou très semblables. Elles concernent un spectacle, tel qu'il a été conçu et précédemment interprété, ainsi que des circonstances locales déterminées.

    Avez-vous conscience du trouble qu'ont engendré ces décisions du Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative traditionnellement attachée à la défense des libertés ?

    Le juge n'est pas dans une tour d'ivoire. Mais il exerce son office en droit et en toute impartialité. Dans ces affaires, il s'est situé dans la continuité de sa jurisprudence, qui est protectrice des libertés, mais qui a aussi intégré la dignité humaine comme composante de l'ordre public. Lorsqu'il se prononce, il le fait aussi au regard de la convention européenne des droits de l'homme, dont les articles 10 et 11 assortissent les libertés d'expression et de réunion de restrictions nécessaires et proportionnées.

    La « cohésion nationale », visée par la première ordonnance, fait-elle partie de la jurisprudence classique du Conseil ?

    Cette notion fait écho aux valeurs et principes essentiels de notre société, sans lesquels le lien social serait rompu.

    Que répondez-vous aux critiques qui assurent que le Conseil d'Etat est une institution politique ?

    Cela est parfaitement injustifié et ne rend compte en aucune manière de la réalité du travail du Conseil et de l'éthique de ses membres, qui constituent une référence en Europe. On ne peut approuver une décision du juge lorsqu'elle vous est favorable, et la stigmatiser pour de prétendues raisons politiques lorsqu'elle est défavorable.

    Par ailleurs, en réponse au Défenseur des droits qui souhaitait voir clarifié le statut des parents accompagnant les sorties scolaires, le Conseil d'Etat a estimé que l'on pouvait restreindre l'expression des convictions religieuses. Cette position ne rompt-elle pas avec sa tradition « libérale » en matière de liberté d'expression ?

    Il n'y a pas plus en cette matière que dans l'affaire Dieudonné d'inflexion ou de revirement par rapport aux principes qui gouvernent notre jurisprudence depuis plus d'un siècle. Nous nous sommes efforcés de dissiper toute incertitude : en l'état actuel du droit, il est possible d'interdire la manifestation de convictions religieuses, politiques, syndicales ou philosophiques des parents accompagnateurs des sorties scolaires, même si ces parents ne sont pas des agents du service public. La base de cette interdiction peut résider dans le bon fonctionnement du service ou le respect de l'ordre public. Il en résulte que la circulaire Chatel [ancien ministre de l’éducation] de 2012 ne pose pas sur ce point de problème de droit.

    Elle avance pourtant comme principe que les parents sont soumis au principe de neutralité du service public. N'y a-t-il pas là une contradiction avec votre approche ?

    Les raisonnements sont un peu différents, mais leurs conclusions convergent. Le Conseil d'Etat défend une conception claire et constante du principe de laïcité qui repose à la fois sur la neutralité religieuse de l'Etat et des services publics, la garantie de la liberté de conscience, de religion et d'exercice du culte et l'égalité de tous les citoyens devant la loi, sans distinction de religion. Dans les servicespublics, nous définissons un équilibre qui doit notamment concilier liberté religieuse et neutralité du service.

  • Jour de Colère à CRAN avec Dieudonné pour une Afrique Libre ?

    Le monde étant petit, nous retrouvons le tout jeune Mouvement d'Action Panafricain et sa voix, l'Africa Libré, pas loin de ... Jour de Colère.

    Le hasard ... des réseaux Liberté.


    http://www.afrohistorama.info/article-abel-naki-l-un-des-fondateurs-du-cri-panafricain-annonce-sur-sa-page-facebook-qu-il-fetera-noel-a-ab-121243266.html

     

    http://www.africa-libre.com/fr/politique/688-france/2124-motion-de-protestation-du-cri-panafricain-suite-a-la-visite-de-alassane-dramane-ouattara-a-paris

     

    http://www.jourdecolere.com/nos-soutiens/




    http://www.africa-libre.com/fr/societe/685-autres-pays/2259-les-attaques-contre-dieudonne-manifestation-dun-racisme-a-la-francaise-deguise



     http://www.ndf.fr/nos-breves/11-01-2014/dieudonne-appelle-ses-fans-sur-facebook-565-000-personnes-se-rendre-au-jour-de-colere