La surenchère d'extrême-droite continue, après Wauquiez, Sarkozy lâche son gogol en chef, Estrosi.
Finalement, Marion Maréchal le Pen n'est pas la seule à savoir répéter bêtement des conneries en boucle sans que qu'on n'ait jamais pu percevoir le moindre début de commencement d'une fonction neuronale efficiente.
La politique dans toute sa laideur, ces gens-là en auront enterrer les quartiers de noblesse avec application.
"Chacun est seul responsable de tous" - Page 111
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Se servir de sa tête façon coup de boule, la politique vue d'extrême-droite
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Touche pas au grisby lepéniste !
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Voter, c'est souvent donner blanc seing à l'oligarchie qui se cache derrière un numéro représentant politique
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Rama Yade, le plumage libéral derrière le ramage républicain
Rama Yade raille les socialistes qui, appliquant les directives de l'OCDE et l'idéologie pédagogiste américaine préfèrent le stand up d'un Debbouze au latin.
Une Rama Yade qui accélérerait bien elle, le processus de libéralisation de l'école, qui commence par cette rupture allant de notre ancienne formation de l'Honnête Homme, vers l'utilitarisme marchand, avec l'externalisation progressive des "projets" pédagogiques vers le privé.
Elle ne devrait pas la ramener, car à bien des égards, Debbouze est plus Français qu'elle qui défend une idéologie libérale très anglo américaine.
Idéologie qui au demeurant, se sied parfaitement d'un communautarisme qui brosse les gens comme Debbouze dans un sens qui nous est étranger.
Rama Yade étant une dangereuse extrémiste qui appelle à plus de libéralisme par la violence comme l'a bien révélé son entretien avec le collabo libertarien Jean Robin.
Le clivage politique ne réside que là, entre les tenants d'une idéologie au service des puissants contre la majorité, dont Rama Yade est un pion, et les tenants d'une société protectrice avec un Etat garant d'un gouvernement au service de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.
De latin et de Rome, on retient Tite-Live, la res publica, l'organisation de la Cité en société, pas l'anarchie américaine et sa liberté du renard dans le poulailler.
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Pour Frédéric Lordon, la collaboration c'est non et même pas merci. Avec notre reconnaissance
Contrairement aux autoproclamés de la "dissidence" (Famille Le Pen, Soral et compagnie), aux économistes de la même veine (Sapir, Rosa et leurs copains ayant migré au Rassemblement Bleu Marine), Lordon, bien qu'il ait été approché par les réseaux d'extrême-droite en tant que déstabilisateur espéré par eux, a été un des rares, à les renvoyer là d'où ils n'auraient jamais dû sortir, au néant.
Madame, Monsieur,
Le magazine Contrepoints (1 million de vues/mois) souhaite inviter M. Frédéric Lordon à un débat sur la politique fiscale du gouvernement et la crise économique et sociale.
Ce débat aura lieu de 9h à 10h le samedi 15 juin à la Maison des Mines (200 personnes), à Paris.
Nous trouvons la communication de M. Frédéric Lordon très bonne sur le sujet et nous voudrions que ses idées soient représentées lors de ce débat. Ce sera aussi l’occasion de parler de son actualité.
Nous travaillons à faire venir le maximum de journalistes possible.
Je souhaiterai savoir s'il serait possible d'avoir un accord de principe ou ferme de M. Frédéric Lordon sur une participation à un tel débat.
MM. Charles Beigbeder (secrétaire national de l’UMP), Guillaume Cairou (Didaxis, Le Club des Entrepreneurs) et Aurélien Véron (secrétaire national de l’UDI et président du PLD) ont déjà donné leur accord ferme.
Je suis à votre disposition pour toute question ou remarque.
Merci d’avance.
Cordialement,
La réponse :
Madame, MonsieurVous êtes d'impayables gagmen ! Je dois dire que c'est bien la première fois que je reçois une invitation qui s'adresse à moi en me parlant à la troisième personne... Je m'étonne -- pardon : il s'étonne de ne pas voir Alain Delon en Cc. En revanche il voit le haut patronage et l'avantageuse compagnie de Charles Beigbeder accompagné de quelques faisans entrepreneuriaux de son espèce, et cette simple idée fait sa joie : l'idée qu'une telle conjonction ait pu naître dans l'esprit des organisateurs -- quoique ils trouvent "sa communication très bonne sur le sujet" -- lui semble d'un baroque au delà de toute mesure, et fait naître en lui de réjouissants projets : débarquer avec un commando d'amis entarteurs, ou bien mobiliser la fanfare des Beaux Arts, éventuellement une action de type djihadique mais à base de boules puantes.
Soyez certain que je vous relève de toute obligation de "rester à ma disposition pour toute question", je crois que je n'ai plus aucune question -- j'espère que vous non plus concernant mon "accord ferme ou de principe".Frédéric Lordon
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Le virus de l'influence
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Le terroriste auto(terro)risé
Un gamin qui prévoit des attentats contre deux églises et qui en attendant tue une danseuse tout en se prenant une balle dans la jambe suite à un mystérieux règlement de compte avant de se livrer à la police en les appelant par téléphone pour qu'elle vienne le chercher ...
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Fucking influence ...
On attend Hillary Clinton au dîner de gala du Figaro Magazine pour connaître de son influence internationale ...
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Frédric Lordon ou le retour du Jedi et de l'équilibre dans la force ?
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L'impôt licenciement
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