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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 111

  • Se servir de sa tête façon coup de boule, la politique vue d'extrême-droite

    La surenchère d'extrême-droite continue, après Wauquiez, Sarkozy lâche son gogol en chef, Estrosi.
    Finalement, Marion Maréchal le Pen n'est pas la seule à savoir répéter bêtement des conneries en boucle sans que qu'on n'ait jamais pu percevoir le moindre début de commencement d'une fonction neuronale efficiente.
    La politique dans toute sa laideur, ces gens-là en auront enterrer les quartiers de noblesse avec application.

  • Touche pas au grisby lepéniste !

    Ben c'est-à-dire que depuis la nouvelle version de Pierrette Lalanne Le Pen des dix petits nègres (A chaque fois qu'elle avait besoin de 10 000 balles, elle demandait à ce qu'on lui transfert un "petit nègre" -finesse lepénique exige- depuis la Suisse), on savait que ce dont on se doutait était fort probable.
    Le Pen prenant les gens pour des cons, est-ce si surprenant ?
    Et on comprend bien pourquoi cette famille est si farouchement opposé à la surveillance des criminels potentiels.
    La famille la morale n'a pas vraiment le cul propre.
    Et on pourrait rajouter que pour supporter ce qui lui sert d'homme à tout faire, il faut au moins avoir enterré quelques cadavres ensemble.

     

     

    Selon Mediapart, le président d'honneur du Front national aurait caché 2,2 millions d'euros dont 1,7 sous la forme de lingots et de pièces d'or, via un "trust" géré par...
    WWW.LEXPRESS.FR

     

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  • Voter, c'est souvent donner blanc seing à l'oligarchie qui se cache derrière un numéro représentant politique

    Pourquoi dire "politicologue" alors que Dominique Reynié n'est qu'un semi-idéologue,il est chargé de produire de la propagande au service de puissants dont il n'est qu'un quatrième couteau ?

    Il n'est expert de rien, il est un pion adoubé par l'idéologie libérale.

    Fondapol, comme Terra Nova, comme l'IFRAP ne sont que des dits think tanks, en réalité usines à produire de l'idéologie en faveur des multinationales qui les soutiennent financièrement.

    Ce gars-là ne travaillera jamais pour les citoyens qui sont censés voter pour lui, il fera seulement semblant.

    Il n'est qu'au service d'une oligarchie qui a déjà quasiment tous les pouvoir et qui entend bien les garder grâce à des gens comme lui.

    POLITIQUE - TÊTE DE LISTE - L'ancien politologue Dominique Reynié sera le candidat de la droite pour les élections régionales en Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon.
    EUROPE1.FR

     

  • Rama Yade, le plumage libéral derrière le ramage républicain

    Rama Yade raille les socialistes qui, appliquant les directives de l'OCDE et l'idéologie pédagogiste américaine préfèrent le stand up d'un Debbouze au latin.

    Une Rama Yade qui accélérerait bien elle, le processus de libéralisation de l'école, qui commence par cette rupture allant de notre ancienne formation de l'Honnête Homme, vers l'utilitarisme marchand, avec l'externalisation progressive des "projets" pédagogiques vers le privé.

    Elle ne devrait pas la ramener, car à bien des égards, Debbouze est plus Français qu'elle qui défend une idéologie libérale très anglo américaine.

    Idéologie qui au demeurant, se sied parfaitement d'un communautarisme qui brosse les gens comme Debbouze dans un sens qui nous est étranger.

    Rama Yade étant une dangereuse extrémiste qui appelle à plus de libéralisme par la violence comme l'a bien révélé son entretien avec le collabo libertarien Jean Robin.

    Le clivage politique ne réside que là, entre les tenants d'une idéologie au service des puissants contre la majorité, dont Rama Yade est un pion, et les tenants d'une société protectrice avec un Etat garant d'un gouvernement au service de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.

    De latin et de Rome, on retient Tite-Live, la res publica, l'organisation de la Cité en société, pas l'anarchie américaine et sa liberté du renard dans le poulailler.

  • Pour Frédéric Lordon, la collaboration c'est non et même pas merci. Avec notre reconnaissance

    Contrairement aux autoproclamés de la "dissidence" (Famille Le Pen, Soral et compagnie), aux économistes de la même veine (Sapir, Rosa et leurs copains ayant migré au Rassemblement Bleu Marine), Lordon, bien qu'il ait été approché par les réseaux d'extrême-droite en tant que déstabilisateur espéré par eux, a été un des rares, à les renvoyer là d'où ils n'auraient jamais dû sortir, au néant.

     

    Madame, Monsieur,

    Le magazine Contrepoints (1 million de vues/mois) souhaite inviter M. Frédéric Lordon à un débat sur la politique fiscale du gouvernement et la crise économique et sociale.

    Ce débat aura lieu de 9h à 10h le samedi 15 juin à la Maison des Mines (200 personnes), à Paris.

    Nous trouvons la communication de M. Frédéric Lordon très bonne sur le sujet et nous voudrions que ses idées soient représentées lors de ce débat. Ce sera aussi l’occasion de parler de son actualité.

    Nous travaillons à faire venir le maximum de journalistes possible.

    Je souhaiterai savoir s'il serait possible d'avoir un accord de principe ou ferme de M. Frédéric Lordon sur une participation à un tel débat.

    MM. Charles Beigbeder (secrétaire national de l’UMP), Guillaume Cairou (Didaxis, Le Club des Entrepreneurs) et Aurélien Véron (secrétaire national de l’UDI et président du PLD) ont déjà donné leur accord ferme.

    Je suis à votre disposition pour toute question ou remarque.

    Merci d’avance.


    Cordialement,


    La réponse :


    Madame, Monsieur

    Vous êtes d'impayables gagmen ! Je dois dire que c'est bien la première fois que je reçois une invitation qui s'adresse à moi en me parlant à la troisième personne... Je m'étonne -- pardon : il s'étonne de ne pas voir Alain Delon en Cc. En revanche il voit le haut patronage et l'avantageuse compagnie de Charles Beigbeder accompagné de quelques faisans entrepreneuriaux de son espèce, et cette simple idée fait sa joie : l'idée qu'une telle conjonction ait pu naître dans l'esprit des organisateurs -- quoique ils trouvent "sa communication très bonne sur le sujet" -- lui semble d'un baroque au delà de toute mesure, et fait naître en lui de réjouissants projets : débarquer avec un commando d'amis entarteurs, ou bien mobiliser la fanfare des Beaux Arts, éventuellement une action de type djihadique mais à base de boules puantes.
    Soyez certain que je vous relève de toute obligation de "rester à ma disposition pour toute question", je crois que je n'ai plus aucune question -- j'espère que vous non plus concernant mon "accord ferme ou de principe".

    Frédéric Lordon

  • Le virus de l'influence

    T'as Sarkozy qui est en train de faire une crise urticante parce que les Américains ont choisi Marine Le Pen comme caniche à sa place pour aller à Nouillorque.
    On espère que Marine lui a ramené un souvenir.

    MY-ART.COM
     
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  • Le terroriste auto(terro)risé

    Un gamin qui prévoit des attentats contre deux églises et qui en attendant tue une danseuse tout en se prenant une balle dans la jambe suite à un mystérieux règlement de compte avant de se livrer à la police en les appelant par téléphone pour qu'elle vienne le chercher ...

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  • Fucking influence ...

    On attend Hillary Clinton au dîner de gala du Figaro Magazine pour connaître de son influence internationale ...

  • Frédric Lordon ou le retour du Jedi et de l'équilibre dans la force ?

    Une double pleine page dans le Monde Diplomatique pour un Lordon à la hauteur.

    "«Comme une conséquence logique de la stratégie de l’évitement, la fiscalité s’impose alors comme l’unique levier résiduel lorsqu’on a abandonné d’agir sur tout le reste. Disons les choses un peu rudement : démissionner de transformer les structures, c’est se condamner à passer la serpillière. Et la fiscalité n’a jamais été autre chose : la serpillière sociale-démocrate – faute de toucher aux causes, tâchons au moins d’atténuer les effets...»"

    "On peut répéter avec constance, et sur mille page, que les inégalités croissent quand r (le taux de profit) est supérieur à g (le taux de croissance), on n'a rien expliquer tant qu'on n'a pas donné les déterminants du taux de profit et du taux de croissance propres à chaque période.
    Or chacun a les siens, qui dépendent de l'agencement particulier de ses structures.
    Lequel est le produit de luttes politiques, et, disons le mot, de luttes des classes.

    C'est parce que 1936 a préparé le terrain, parce que les élites libérales des années 1920-1930 ont été liquidées, parce que le patronat s'est couvert de honte dans la collaboration, parce que le Parti communiste français est à 25 % et parce que l'URSS tient le capitalisme en respect que le lendemain de la seconde guerre mondiale voit un impressionnant mouvement de synchronisation institutionnelle au terme duquel le rapport- de forces- capital/travail bascule en faveur (relative) du second terme : contrôle serré des capitaux, réduction à croupion de la bourse, concurrence internationale hautement régulée, politique économique orientée vers la croissance à 5 % et le capital ramené (de force) à un peu plus de décence."

     

    D'un côté, l'idée qu'il faut mieux répartir les richesses grâce à un impôt mondial, de l'autre, celle qu'il faut aller plus loin et renverser le rapport de domination qui fonde...
    LIBERATION.FR
     
  • L'impôt licenciement

    Ces entreprises qui font payer au citoyen son licenciement

     

     

    Le groupe va supprimer 300 postes en trois ans. Il devrait pourtant toucher 120 millions d'euros au titre du crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE). Les syndicats s'indignent.
    LIBERATION.FR
     
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