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Libertariens (Libéralisme) - Page 28

  • Que serait Marine Le Pen sans l'imagination des libertariens au pouvoir ?

    On pourra difficilement plus copier sur les libertariens américains ...

     
  • Le Cercle des libertariens confondus

     

    http://cerclearistote.com/nos-conferenciers/

    Norman Palma : économiste.

    Paul-Marie Coûteaux : essayiste.

    Didier Tauzin : général 2S.

    Romain Bessonnet : russologue.

    François Huguenin : historien des idées.

    Paul-François Paoli : journaliste, essayiste.

    Laurent Henninger : historien.

    Jean-Louis Harouel : historien du droit.

    Renaud Girard : journaliste, essayiste.

    Charles Robin : philosophe.

    Jean-Claude Martinez : professeur de droit.

    David Bisson : philosophe, professeur à l’université de Brest.

    Claude Rochet : économiste, spécialiste des politiques publiques.

    Jean-Luc Mordoh : dramaturge, entrepreneur dans l’e-learning.

    Philippe Murer : économiste.

    Bertrand Rothé : journaliste, chroniqueur à Marianne.

    Jean-Claude Werrebrouck : économiste, ancien professeur à l’université de Lille.

    Aurelien Bernier : économiste, spécialiste des politiques environnementales.

    Pierre Jovanovic : journaliste économique.

    Antal Fekete : économiste.

    Nigel Farage : député britannique au parlement européen.

    Jacques Myard : député de la Nation.

    Claude Cancès : ancien directeur de la Police Nationale.

    Chantal Delsol : journaliste, philosophe, professeur à l’université de Marne-la-Vallée.

    Bruno de Cessole : chroniqueur littéraire.

    Françoise Bonardel : philosophe, professeur à l’université Paris I Panthéon Sorbonne.

    Laurent Obertone : journaliste, essayiste.

    Alexandre Dorna : Professeur de psychologie politique à l’université de Caen.

    Roland Hureaux : essayiste, chroniqueur au Figaro et à Valeurs actuelles.

    Benjamin Dormann : journaliste.

    John Laughland : géopolitologue.

    Xavier Moreau : spécialiste de la Russie.

    Ivan Rioufol : journaliste politique au Figaro.

    Pierre Cassen : fondateur de Riposte laïque.

    Nicolas Dupont-Aignan : député de la Nation.

    Philippe Bilger : ancien avocat général.

    Robert Ménard : journaliste, créateur du site « Boulevard Voltaire ».

    Bruno Dwreski : professeur à l’INALCO.

    Denis Collin : philosophe.

    Philippe Conrad : historien, rédacteur en chef de la Nouvelle Revue d’Histoire.

    Richard Millet : écrivain, éditeur.

    Véronique Bouzou : enseignante.

    Pierre Le Vigan : philosophe, urbaniste, chroniqueur de la revue « Eléments »

    Dominique Decherf : ambassadeur de France.

    Stéphane Giocanti : professeur de lettres.

    Raphaël Delpart : historien.

    Philippe de Saint Robert : écrivain.

    Christophe Dickès : historien.

    Pierre-Guillaume de Roux : éditeur.

    Philippe Barthelet : écrivain, chronique de la revue « Valeurs actuelles ».

    Daniel Lefeuvre : historien.

    Véronique Hervouët : psychanalyste.

    Jean-Michel Vernochet : géopolitologue.

    Guillaume Bernard : historien du droit.

    Alexandre Signakov : représentant de l’Eglise russe de Moscou.

    François-Bernard Huyghe : spécialiste d’intelligence économique.

    Hervé Beaudin : haut fonctionnaire.

    Eric de la Maisonneuve : Général (2S)

    Antoine Assaf : philosophe.

    Jean-Paul Gourevitch : spécialiste en ressources humaines, écrivain.

    Jean-Marc Joubert : philosophe.

    Patrick Gofman : écrivain.

    Henri Weber : député au Parlement européen

    Christian Harbulot : directeur de l’École de guerre économique.

    Gabriel Colletis : économiste, professeur à l’université de Toulouse.

    Michèle Triballat : démographe.

    Louis Dalmas : balkanologue.

    Gilles Ardinat : professeur de géographie.

    Olivier Rey : philosophe, écrivain.

    Michel Goya : historien militaire.

    Olivier Dard : historien.

    Gérard Foucher : écrivain.

    Bassam Tahhan : professeur de géopolitique et de géostratégie.

    Olivier Delamarche : analyste financier.

    Philippe Béchade : analyste financier.

    Henri Pinard-Legry : président de l’ASAF.

    Jean Sévillia : historien.

    Alain de Benoist : philosophe, écrivain.

    Alain Favaletto : cadre financier.

    Robert Redeker : philosophe.

    Général Vincent Desportes.

    Pierre de la Coste : historien des idées.

    Frédéric Rouvillois : professeur de droit.

    Michel Raimbaud : ambassadeur.

    Yannick Jaffré : professeur de philosophie.

    Pascal Gauchon : directeur de la revue « Conflits ».

    Alexandre Del Valle : géopolitologue.

    Natalia Narotchnitskaya : présidente de l’IDC.

    Vladimir Tozzi : spécialiste du renseignement.

    Alexandre Alekseïevitch Knyazev : docteur en sciences historiques.

    Erik Reinert : économiste, spécialiste mondialement reconnu du protectionnisme.

    Laurent Pinsole : porte parole de Nicolas Dupont-Aignan.

    M. Jean Arthuis : sénateur, représentant de François Bayrou.

    Philippe Arondel : économiste, juriste, ancien syndicaliste.

    Jean-Richard Sultzer : professeur à l’université Paris-Dauphine, conseiller de Marine Le Pen.

    Jean-Marie Vianney Ndagijimana : ancien ambassadeur et ancien ministre des affaires étrangères rwandais.

    Hervé Juvin : essayiste, économiste, président de l’Eurogroup Institut et vice-président d’AGIPI.

    Jean-Philippe Immarigeon : essayiste, spécialiste de l’histoire des États-Unis et des questions de stratégie.

    Natalia Burlinova : candidate en sciences politiques, experte de la fondation de la perspective historique.

    Georges-Henri Bricet des Vallons : chercheur en science politique et analyste Défense à l’Institut Choiseul.

    André Ratchinski : docteur en histoire, maître de conférences à l’Institut national des cultures et langues orientales.

    Jean-Baptiste Vouilloux : essayiste et officier d’infanterie : il sert actuellement à l’Etat-Major des Armées.

    René Cagnat : historien français, spécialiste de l’épigraphie latine et de l’histoire de l’Afrique romaine.

    François Asselineau : Inspecteur général des finances, Président de l’Union populaire Républicaine (UPR)

    Meriadec Raffray : historien de formation, officier de réserve, journaliste, secrétaire général de l’association des Journalistes de Défense.

    Omar Mohammad Nessar : directeur du Centre pour l’Étude de l’Afghanistan Contemporain à Moscou, rédacteur en chef du sitewww.afghanistan.ru

    Charles-Xavier Durand : essayiste, ancien président de l’Institut de la Francophonie pour l’Informatique d’Hanoi.

    Frédéric Pichon : Docteur en histoire contemporaine, spécialiste de la Syrie et des minorités, il est chercheur associé au sein de l’équipe EMAM de l’Université François Rabelais (Tours)

    Jean-Louis Duvigneau : directeur du centre de documentation et d’analyse stratégique du ministère de la défense vénézuelien.

    Eric Denécé : docteur ès Science politique, habilité à diriger des recherches, est directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) et de sa société de conseil en Risk Management (CF2R SERVICES)

    Frédéric Pons : journaliste, colonel de réserve dans les parachutistes des Troupes de marine, enseignant au Collège interarmées de défense (CID) ainsi qu’à l’Ecole spécialiste militaire de Saint-Cyr.

    Charles Saint-Prot : historien, géopolitologue, islamologue et politologue, directeur de l’Observatoire d’études géopolitiques (OEG) et codirecteur de la collection Études géopolitiques.

    David Mascré : Docteur en mathématiques et docteur en philosophie, chargé de cours en mathématiques à l’université Paris V, professeur de géopolitique à l’école des Hautes études internationales (HEI)

    Axel Tisserand : philosophe. Ancien élève de Pierre Boutang, agrégé des lettres classiques et docteur en sciences religieuses de l’École Pratique des Hautes Études, Axel Tisserand se partage, notamment, entre philosophie néoplatonicienne et étude de la pensée maurrassienne.

    Jacques Nikonoff : économiste, professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’Université Paris 8, fondateur du mouvement « Un travail pour chacun » (UTC), membre fondateur de la Fondation Marc-Bloch et de l’association ATTAC. Porte-parole du Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP)

    Alexandre Bedritskiy : docteur en sciences politiques, chercheur en chef au centre russe d’analyse stratégique (centre de recherche public, rattaché au budget de l’administration présidentielle de la Fédération de Russie), chef du secteur USA et Amérique latine du centre des recherches euro-atlantiques.

    Maxime Mitchenko : docteur en sciences techniques, président du conseil central de l’organisation « Russie Jeune », chef du projet « santé » du parti Russie Unie, ancien député à la Douma d’État de la Fédération de Russie (2008-2011), puis représentant à la Chambre Sociale de la Fédération de Russie (2011-2012)

     
    Norman Palma : économiste. Paul-Marie Coûteaux : essayiste. Didier Tauzin : général 2S. Romain Bessonnet : russologue. François Huguenin : historien des idées. Paul-François Paoli : journaliste, essayiste. Laurent Henninger : historien. Jean-Louis Harouel : historien du...
    CERCLEARISTOTE.COM
     
     
     
  • Le Front de libertarianisation nationale s'appellera le Front de Libération Nationale



    Les libertariens font feu de tout bois.

    Après le jour de libération fiscale, voici le jour de libération nationale.

     

    Quand j'expliquais la présence de Natacha Polony aux côtés des Contribuables Associés, c'était déjà cela.

    Idem pour Sapir à l'IFRAP, même réseaux libertariens que Contribuables Associés et que NDA.

    Et maintenant, Chevènement aux côtés de Villiers, de Beigbeder/Millon/l'Opus Déi, c'est la même chose.

     

     
    REPORTAGE: L'ancien ministre socialiste était l'invité de l'université d'été de Debout la France. Les « Républicains des deux rives » affichent leurs convergences et...
    LEFIGARO.FR|PAR EUGÉNIE BASTIÉ

     

     
  • La droite de la droite, the place to be

    "Le 25 octobre 2012, l'Institut de la Démocratie et de la Coopération en collaboration avec le Cercle Aristote a organisé le colloque intitulé « La falsification de l’histoire et ses arrières plans politiques et idéologiques».

     

    Le colloque a été co-présidé par le directeur des études de l’IDC, John Laughland, et par le secrétaire-général du Cercle Aristote, Romain Bessonnet.

     

    Sont intervenus Daniel Lefeuvre, professeur de l’histoire contemporaine à l’Université Paris VIII; Philippe Conrad, professeur d’histoire et directeur de séminaire au Collège interarmées de Défense; Ekaterina Narotchnitskaïa, directrice de recherche à l'Institut de l'Information en Sciences Sociales auprès de l'Académie russe des sciences; et Christian Harbulot, le directeur l’Ecole de guerre économique."

     

    - L'IDC, c'est John Laughland, l'homme lige de Ron Paul et des libertariens (extrême-droite américaine, droite de la droite de la droite économique, philosophique et plus encore si elle le pouvait) en Europe et Russie.

     

    - Le Cercle Aristote, c'est Bessonnnet et Rougeyron, de l'Ecole de Guerre Economique, qui tient le fan Club de Zemmour et qui est attaché parlementaire de Marine Le Pen.

     

    - l'Ecole de Guerre Economique, c'est Christian Harbulot, qui, entre deux universités du MEDEF et trois conférences à l'IFRAP (think tank qui se tire la bourre à droite avec terra Nova, Fondapol et autre Institut Montaigne ou Jean Jaurès, tous stipendiés par les multinationales), forment les jeunes audacieux de Marine Le Pen.

     

    Vive la France, surtout celle des oubliés ... !

  • Marion Maréchal Le Pen, la facho de Salon Beige opusien

    Je rappelle que les voies de l'Opus Déi sont pénétrables, Maloffev, multimilliardaire russe lié aux libertariens de Washington, et qui finance la guerre en Ukraine, est l'oligarque qui a reçu Chauprade et Marion Maréchal Le Pen :

     

     

     
    « 4 nouvelles sur l’Académie Musicale de Liesse | Accueil | Allocations familiales : le supplément...
    LESALONBEIGE.BLOGS.COM
     
  • La pêche aux cathos, le péché de voie

    La christianophobie, ça n'existe pas, personne n'a peur des chrétiens en France.

    Quant aux quelques tombes dégradées de temps à autre, c'est inadmissible, mais elles sont le fait de jeunes ado folkloriques en mal de sensations, c'est-à-dire dues à la bêtise.

    Une bêtise d'ailleurs souvent très à droite ...

    En revanche, les lobbies qui se servent de cette prétendue christianophobie comme de levier, existent bien à l'extrême-droite.

    Ils ont pour grande particularité d'être pour une très grande liberté économique.

    Le rapport avec la chrétienté ?

    On ne sait pas, mais, en cherchant bien, on peut comprendre comment on peut se servir de peurs et de phantasmes.

    Quant à l'Eglise, l'Etat ne lui doit rien, qu'elle laisse à César ce qui lui revient de droit, fût-il non divin.

    L'Eglise n'a pas à demander des comptes de conformité aux politiques, pas plus que ces derniers n'en ont à lui rendre, fussent-ils de cette religion.

    Ce qui n'empêche nullement le dialogue, mais nul besoin alors de certificat de baptême pour l'initier.

     
    POLITIQUE - La députée FN du Vaucluse estime que la question du dialogue entre les catholiques et le FN "ne se pose plus".
    EUROPE1.FR|DE EUROPE 1
     
     
     
     
  • Merci qui ?

    Photo de Red State Dems.

    They say every small-government, anti-tax Tea Party Libertarian is only one disaster away from being a socialist. ‪#‎morefreedom‬

    Source: http://bit.ly/1JklQVo 
    Photo: Elaine Thompson, AP

     
    Ils disent que chaque petite-Gouvernement, anti-impôt tea party libertarien n'est qu'un désastre est loin d'être un socialiste.‪#‎Morefreedom‬

    Source : http://bit.ly/1JklQVo
    Photo : Elaine Thompson, ap
     
     
  • Zemmour, un homme de "bien"

    Il y a deux catégories d’hommes dans la vie.

    Ceux qui aiment l’être, et ceux qui aiment l’avoir.

    En tant que pion libertarien, Zemmour, qui n’a de talent que de savoir répéter la doxa attendue par les lobbies à qui il doit sa place dans la société.

    Pour Zemmour, il y a trop d’hommes dans la société, et même trop de société dans le monde.

    Et pas assez d’avoir.

    Les libertariens mettent la propriété au-dessus de tout, on aurait le droit de tuer pour défendre son bien, c’est la Loi Stand Your Ground américaine, qui permet la « légitime-défense » des biens, on peut légitimement tuer un homme parce qu’il avait l’intention de voler un bracelet dans ce système.

    Soit un monde barbarie, la sauvagerie de certains personnes dans les endroits les plus violents de la planète, repose sur la même conception.

    Notre civilisation française met l’être au dessus de l’avoir, c’est sa grande supériorité par rapport à l’anti civilisation anglo saxonne, qui ressemble dans ses fondements, à l’état de nature.

    C’est cette « loi naturelle » que Zemmour plébiscite, seuls ne doivent s’en sortir que les forts, les faibles parasitent la société.
    Zemmour n’est pas le défenseur de la France, il défend une idéologie anti humaniste.

  • Zemmour ou le parti de l'étranger

    • Zemmour s'en prend à l'Etat en bon suppôt de l'extrême-droite qu'il est.

      L'extrême-droite, c'est le libéralisme, la libéralisation, la dérégulation, l'Etat réduit à sa portion congrue, même si l'Etat doit être "fort" pour permettre au marché de faire son oeuvre "naturelle".

      C'est le paradigme anglo-américain où la responsabilité individuelle est au centre, en parfaite opposition avec la conception unitaire française où l'Etat est garant de notre unité nationale par son interventionnisme socio-économique.

      Zemmour est entièrement, pleinement, complètement, de ce parti-là, qui est bien un parti de l'étranger.

      Il est l'ami et la caution des lobbies de Contribuables Associés, branche française des réseaux libertariens de Washington.

      Il soutient la libéralisation du système éducatif, qu'il voit comme un marché, et ainsi les écoles hors-contrats, on l'a vu lors de son soutien très explicite politiquement, à SOS Education/Créer son Ecole d'Anne Coffinier, en collaboration avec l'IFRAP d'Agnès Molinier.

      On l'a vu maintes fois lié et soutenu par la myriade des lobbies de ce courant extrémiste.

      Il intervient dans la formation de l’Institut de Formation Politique dont l'objet très formel est d'approvisionner le réseau en cadres affidés aux principes fondateurs des pères des Etats-Unis d'Amérique.

      Et ovationné par les filiales de ces réseaux dont les cadres sont directement formés à Washington :
    •  
      Oriane Borja http://www.lemonde.fr/.../a-l-ecole-francaise-des...
      L'Institut de formation politique, inspiré des méthodes américaines, forme de jeunes militants aux théories...
      LEMONDE.FR
       
    •  
      Oriane Borja "UNE ÉCOLE FONDÉE POUR DIFFUSER DES VALEURS LIBÉRALES

      Universitaire, auteur d'une thèse sur les mouvements conservateurs américains, et ancien journaliste à Washington, le directeur de l'IFP, Alexandre Pesey, est l'un des trois cofondateurs de l'école. Avec ses deux associés, Jean Martinez, avocat et initiateur du collectif Liberté j'écris ton nom, qui protestait contre les mouvements sociaux de 2003 ; et Thomas Millon, chef d'entreprise lyonnais et fondateur en 2002 de Duel, une association qui organisait des débats entre étudiants, ils se sont rencontrés à l'occasion d'actions menées par quelques jeunes étudiants de sensibilité libérale, un mouvement alors très peu représenté en France.

      Alexandre Pesey a passé une partie de ses études à Washington, où il a découvert les think tanks, structures encore inconnues en France à cette époque. Un vieux reportage du site Salon.com le cite, en 2003, lors d'une réunion de jeunes militants du Parti républicain. Surtout, lui et ses deux associés font partie d'une génération de jeunes diplômés qui s'enthousiasment pour les thèses "ultra-libérales" alors surtout en vogue aux Etats-Unis, mais peu développées en France.

      Salon.com
      Salon, the award-winning online news and entertainment Web site, combines original investigative stories, breaking news, provocative personal essays and highly respected criticism along with popular staff-written blogs about politics, technology and culture.
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      Oriane Borja "C'est Bernard Zimmern (IFRAP), l'un des fondateurs de Contribuables associés, puissante association qui lutte contre la fiscalité, qui va aider les trois jeunes hommes à monter leurs structure, une association, en leur ouvrant ses réseaux. "On a commencé à organiser une formation, puis trois, puis six, puis huit, ainsi de suite, s'amuse M. Pesey. Aujourd'hui, on en est à douze week-ends de formation par an." Si l'école insiste sur le fait qu'elle n'est affiliée à aucun parti, et si les statuts de l'association interdisent à un dirigeant d'exercer des responsabilités politiques, le public des formations est assez souvent un public militant, qui varie en fonction de l'actualité. Cette année, confirme M. Pesey, "le phénomène 'Manif pour tous' nous a amené un grand nombre d'étudiants, au point qu'on ne peut pas faire assez de séminaires". 

      Ceux-ci sont d'un coût modique : moins de cent euros pour un week-end de trois jours de formation. "Nous ne sommes pas chers", reconnaît M. Pesey, qui précise que les frais d'inscription ne financent que 20 % de l'activité de l'IFP, les 80 % restants étant assurés par des dons.
    •  
      Oriane Borja "L'épouse de M. Pesey a travaillé au sein du Leadership Institute, un think tank qui veut "identifier, entraîner, recruter des conservateurs dans la politique, le gouvernement et les médias", selon son fondateur, Morton C. Blackwell, conseiller du président Reagan. Le leadership institute consacrait en 2012 une interview au directeur de l'IFP. La fondation Templeton, organisme fondamentaliste protestant et conservateur, qui finance des recherches créationnistes, a accordé un "Freedom Award" à l'IFP en 2008. On peut encore citer la Federalist Society, autre organisation conservatrice "libertarienne" (militant pour un Etat minimal), qui évoque dans son rapport annuel 2012 de "nouvelles relations" établies avec différents groupes, dont l'IFP.

  • Zemmour, ses attaques contre l'Etat passent par les mères pauvres qu'il faut sanctionner

    Eric Zemmour travaille en réseau avec les libertariens et donc, aux attaques contre l'Etat.

    Mais la mère patrie n'est pas seule à être dans le collimateur du militant d'extrême-droite, si l'on savait déjà le peu de cas qu'il faisait des femmes, il s'en prendrait apparemment cette fois-ci carrément aux mères de famille.

    Sur les réseaux sociaux, le compte d'Eric Zemmour demande que les allocations attribuées aux mères de famille monoparentale leur soient retirer afin de les forcer à se remettre en couple.

    Prenant comme modèle, comme c'est étonnant, l'exemple américain ...

     

    Il faut, je crois, avoir une action cyclique contre les familles monoparentales, il faut trouver un moyen financier, social, ou autre, de limiter les familles monoparentales.

    Il va jusqu’à les qualifier de « plaie ».

    Et il propose une solution très radicale pour en venir à bout. 

    Ces femmes seules ont simplement remplacé la domination de leur mari par leur dépendance aux aides de l’Etat. Ce pas normal que l’état remplace le père, c’est ça qu’on fait depuis 20 ans. Avec Bush, on a supprimé certaines allocations aux mères seules, et bien on a constaté une recrudescence de la conjugalité.

     

     

     

    Il faut, je crois avoir une action contre cyclique des familles monoparentales, il faut trouver un moyen financier,…

    Posted by Éric Zemmour on lundi 17 août 2015

     

    Les familles monoparentales ont droit à des aides justement parce qu'elles ont été abandonnées par le père.

    Si les pères prenaient en charge leurs enfants via la pension alimentaire notamment, les mères n'auraient pas besoin d'aide.

    Les pères qui ne remplissent pas leurs obligations paternelles n'ont en général pas de travail, ils peuvent également être malades ou décédés.

    L'Etat se charge, si le père est solvable, de récupérer l'Allocation de soutien familial, ce qui évite à la mère de faire un procès tous les mois face à un père défaillant.

    Si les mères célibataires refont leur vie, elles perdent ces aides et feraient porter sur leur nouveau compagnon la charge de leurs enfants à la place du père.

    Il n'est déjà pas évident de retrouver un partenaire lorsque l'on s'occupe de ses enfants et que l'on n'est pas forcément un parti reluisant -si tant est que l'on n'ait pas été vacciné par certaines expériences-, il faudrait encore se lester d'une charge financière pour attirer un repreneur.

    Sans l'Etat, qui aide les mères pour élever leurs enfants, qui sont les forces vives de la nation, les mères ne s'en sortiraient pas mais les enfants en pâtiraient encore plus.

    Les mères seraient obligées parfois de se rabattre sur n'importe qui pour s'en sortir, voire pour certaines d'abandonner leurs enfants à l'Aide Sociale à l'enfance, qui représente déjà plus de 20 % du budget social des départements.

    Mais bon, être femme, c'est déjà un état de faiblesse et donc de parasitage pour l'anti social Zemmour, alors étant femme et pauvre, on est forcément une plaie qui suce le sang des "contribuables associés", Zemmour ne fait jamais du Zemmour pour rien.

     

     

     
    Des propos qui font déjà bondir les internautes. Selon Éric Zemmour, les femmes qui élèvent seules leurs enfants ont simplement remplacé la domination ...
    7SUR7.BE|PAR CATHERINE DELVAUX