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libéralisme mondialisme - Page 37

  • Fucking influence ...

    On attend Hillary Clinton au dîner de gala du Figaro Magazine pour connaître de son influence internationale ...

  • Frédric Lordon ou le retour du Jedi et de l'équilibre dans la force ?

    Une double pleine page dans le Monde Diplomatique pour un Lordon à la hauteur.

    "«Comme une conséquence logique de la stratégie de l’évitement, la fiscalité s’impose alors comme l’unique levier résiduel lorsqu’on a abandonné d’agir sur tout le reste. Disons les choses un peu rudement : démissionner de transformer les structures, c’est se condamner à passer la serpillière. Et la fiscalité n’a jamais été autre chose : la serpillière sociale-démocrate – faute de toucher aux causes, tâchons au moins d’atténuer les effets...»"

    "On peut répéter avec constance, et sur mille page, que les inégalités croissent quand r (le taux de profit) est supérieur à g (le taux de croissance), on n'a rien expliquer tant qu'on n'a pas donné les déterminants du taux de profit et du taux de croissance propres à chaque période.
    Or chacun a les siens, qui dépendent de l'agencement particulier de ses structures.
    Lequel est le produit de luttes politiques, et, disons le mot, de luttes des classes.

    C'est parce que 1936 a préparé le terrain, parce que les élites libérales des années 1920-1930 ont été liquidées, parce que le patronat s'est couvert de honte dans la collaboration, parce que le Parti communiste français est à 25 % et parce que l'URSS tient le capitalisme en respect que le lendemain de la seconde guerre mondiale voit un impressionnant mouvement de synchronisation institutionnelle au terme duquel le rapport- de forces- capital/travail bascule en faveur (relative) du second terme : contrôle serré des capitaux, réduction à croupion de la bourse, concurrence internationale hautement régulée, politique économique orientée vers la croissance à 5 % et le capital ramené (de force) à un peu plus de décence."

     

    D'un côté, l'idée qu'il faut mieux répartir les richesses grâce à un impôt mondial, de l'autre, celle qu'il faut aller plus loin et renverser le rapport de domination qui fonde...
    LIBERATION.FR
     
  • En attente d'une réponse d'ANTICONS, l'Observatoire du néo-conservatisme

    AVERTISSEMENT :

    Ce site semble malheureusement lié à des électrons mis en réseau par les libertariens, c'est-à-dire la garde avancée des néocons.

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  • Philippot a aussi un côté sombre

    Philippot ne serait même pas la panacée tant on voit mal comment il se débarrasserait de ses travers gaulliens.

    Philippot tient le rôle de l'Etat pour celui que lui prêtait de Gaulle, et qui est celui du pragmatisme, un Etat fort si nécessaire, et qui se retire encore si les besoins (à déterminer) s'en font sentir.
    Il ne s'agit pas de l'Etat et de ses attributs et de son rôle de garant tels que l'esprit français les conçoit, il s'agit d'aménagements au libéralisme.

    De la même manière que le projet paneuropéen gaullien est une variante libérale et même encore plus libérale s'il en est, de la politique européenne.

  • Coup de L'Epée dans l'eau ou débat franco suisse autour du fromage de la misère

     

    17 h · 
     

    Les vrais fossoyeurs de l'Etat social sont ceux qui trouvent tout à fait tolérable de telles iniquités.

    Faire oeuvre de solidarité sociale, ce n'est pas faire en sorte que des familles sans emploi touchent un revenu supérieur à celui que touchent bien des travailleurs, et ce en puisant dans les poches de ces mêmes travailleurs !

    «Le Temps» décortique le budget d’une famille de trois enfants qui additionne plus de 7500 francs d’aides par mois net d’impôts à celui d’une autre famille,...
    LETEMPS.CH|PAR LETEMPS
     
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      Marc George Tu vas te faire traiter de néo-libéral libertarien lié au grand patronat par Oriane toi... 
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      Arno Klarsfood Non mais c'est vrais, c'est participer à la propagande néo-libérale que de diffuser ce genre d'information. Nous ne sommes pas des angl-saxons soumis aux Rotschild. Enfin, pas tout à fait ^^
      12 h · J’aime · 1
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      Henry Vilapidier foutaises et calembredaine que tout cela ,si leurs vie est si rentable que cela ,je vous invites a les rejoindres ,et de jouir des memes privilèges qu'eux ,mais mon petit doigt me dit que vous n'en ferez rien ,alors battez le tambour comme il vous chantes mais de grace loin de mes tympans
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      Oriane Borja D'où l'intérêt de notre sécurité sociale, de notre politique du logement , différentes de celles de la Suisse, et d'une politique pour l'emploi, qui ne consisterait pas à flexiprécariser tout le monde comme cela se prépare, ainsi que le fait que nos impôts servent au service public et non aux intérêts des banques.

      Mais ne soyez pas jaloux des pauvres, qui du reste élèvent des enfants et les enfants sont nos enfants, notre richesse, investir dans la famille n'est pas de la gabegie.

      Les aides sociales sont calculées au plus juste, il n'y a aucun intérêt à vivre ainsi.

      J'ai été classe supérieure, classe moyenne, classe pauvre, classe indigente (sans être au RMI ou RSA, mais comme j'ai vécu seule avec mes quatre enfants en bas âge avec seulement mon Congé Parental pendant trois ans à la naissance du dernier, c'est l'équivalent), 
      la classe moyenne reste à mes yeux la situation la plus enviable parce qu'on n'y a pas les inconvénients des familles bourgeoises où les parents sont absents, le paraître est important, l'hypocrisie patente, ni ceux des classes pauvres avec la peur du lendemain au ventre.
      1 h · Modifié · J’aime · 2
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      Oriane Borja Mais vous êtes en effet parmi les pires, petites putes en puissance de Contribuables Associés, l'esprit est là aucun doute.
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      David L'Epée Merci pour cette rigolade dominicale, j'ai eu l'impression de voyager dans une autre dimension en vous lisant ! Ça fait une quinzaine d'années que je me fais traiter à tout bout de champ de bolcho ou de rouge-brun mais alors être taxé de libéralisme, ça manquait à mon pedigree ! Ceux qui me connaissent apprécieront tout le sel d'une telle étiquette. 

      Non, plus sérieusement, avez-vous pris la peine de lire cet article et de comprendre de quoi il était question ? Avez-vous pris la mesure des chiffres qui sont énoncés, de les traduire du franc suisse à l'euro pour vous en faire une idée plus tangible ? Le combat contre les thèses libertariennes est tout à fait légitime et nécessaire, j'en sais quelque chose, mais pour le coup ça n'a vraiment aucun rapport avec notre sujet.

      Et une dernière chose à l'attention de ceux qui pontifient sans connaître ni l'objet de cette polémique ni la personne à qui ils s'en prennent : prenez quelques minutes pour lire la préface que j'ai écrite à "La Gauche du Capital" de Charles Robin (Krisis, 2014) et venez après me dire si je suis un fieffé libéral...
      1 h · J’aime · 4
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      Virginie Gaschen Ostertag Une ou deux réflexions (mais je suis nulle en économie )

      1. C'est le calcul à Genève , au jura à Fribourg cela serait différents vu les loyers et les impôts différents 


      2. Les impôts encore n'étant pas égaux de commune en commune , de canton en canton on ne peut pas comparer ce qui ne l'est pas 

      3. Les salaires ... Tu prends le salaire moyen d'un employé de commerce à Geneve ou au Jura c'est pas vraiment pareil (tu rajoutes le facteur homme / femme ou local et frontalier à mon avis tu peux varier du simple au double (je te laisse faire des essais de calcul sur salarium.ch

      Pour avoir parfois collaborer avec les instances sociales , pour avoir entendu , vu découvert divers histoires , ce que je peux en dire c'est que ces travailleurs sont déconnecté de la réalité ou alors ils leur manque parfois un certains pouvoir pour agir .

      Bref la Suisse c'est parfois Bisounoursland et parfois mars ! Mais il faudrait quelques verres pour te raconter certaines anecdotes ...
      1 h · J’aime · 2
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      Oriane Borja Libéralisme qui compte bien sur des gens comme vous qui dénigrent les pauvres et leur prétendu assistanat pour nous faire tous travailler comme des esclaves.

      Et les laisser eux crever comme des sous-hommes qu'ils sont n'est-ce pas ?
      52 min · J’aime · 2
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      David L'Epée Mais de quels pauvres parlez-vous ? Vous avez lu les chiffres ? Ces "pauvres"-là sont bien plus riches que moi, et plus riches que bien des travailleurs en Suisse. Vous planez complètement.
      39 min · J’aime · 2
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      Oriane Borja Comme on vous le dit plus haut, refaites vos calculs, on a la même propagande libérale en France.
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      Oriane Borja Mais regardez, plus la famille pauvre est malade, plus elle est considérée comme ayant de revenus, ce dont manque la Suisse, c'est de société, de social, de sécurité sociale entre autre.
      24 min · J’aime · 1
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      Oriane Borja Si un membre de la famille D devient leucémique, t'as L'Epée qui va les taxer de millionnaires.
      23 min · J’aime · 1
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      David L'Epée Le calcul est vite fait : on parle, parmi les exemples, d'aides à hauteur de 7500 francs par mois net d'impôt. J'en gagne, comme travailleur, 4000 francs brut. Qui est-ce qui capitalise le plus à la fin du mois selon vous ?

      Vous vous donnez bonne cons
      cience en versant dans le misérabilisme moralisant et ce faisant vous vous trompez complètement de cible. Vous tenez exactement le même discours que certains politiciens chez nous qui, sans le vouloir, font le jeu du libéralisme en affaiblissant nos institutions sociales, les laissant se décrédibiliser car refusant d'admettre qu'il existe des abus et des dysfonctionnements qu'il faudrait résoudre dans l'intérêt de tous.

      Le seul argument un peu pertinent que vous auriez pu m'opposer (et vous vous êtes bien gardée de le faire), c'est que ces dépenses-là, justifiées ou non, sont une goutte d'eau en rapport avec ceux de la fraude et de l'évasion fiscales. Ce qui est vrai en terme purement financier mais ce qui ne résout pas le problème moral posé par cette injustice : quand on gagne sensiblement moins en travaillant qu'en ne travaillant pas, il y a un gros bug, ce n'est quand même pas difficile à comprendre.
      20 min · J’aime · 2
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      David L'Epée Cela dit, je pense aussi que le système français de sécurité sociale est meilleur que ce que nous avons chez nous, mais c'est un autre débat.
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      Oriane Borja En France, on est tousmulti millionnaires, mêmes les plus pauvres, grâce à notre santé, notre école, notre justice, notre sécurité, etc.
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      Oriane Borja La suisse est simplement un pays sous-développé.
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      Oriane Borja Si jamais vous gagniez vraiment moins en travaillant que pas CQFD, c'est que la société libérale a plus intérêt à vous voir aux minima sociaux qu'au travail.

      Les minima sociaux sont des variables d'ajustement économique comme le chômage, ils aident à maintenir les ratios de profits au meilleur niveau.
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      Yoann Jean-Paul Tout à fait d'accord avec David ! Il serait préférable que les français se focalisent sur leur pays, parce que les commentaires lus étonnent par leur singularité imbécile!
      10 min · J’aime · 1
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      Oriane Borja C'est un peu court, comme on dirait chez nous, ça manque de nez.
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      Yoann Jean-Paul 8'000 francs par mois sans charge et sans travailler... Ne pas se rendre compte que c est un abus, à mon avis c'est cela "manquer de nez" !
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      Oriane Borja En France aussi en se libéralisant, on fait miroiter l'autoentreprise, c'est une des plus grosses arnaques libérales pour gagner en suant les minima sociaux.
      Les bonhommes sont flattés car ils se prennent des chefs d'entreprise alors qu'ils ne sont que des dindons qu'on presse à gagner leur misère.
  • RSA, une variable économique encore ajustable

    Le RSA n'est là que pour éviter d'avoir des millions de personnes dans la rue, femmes et enfants bien compris pour ne pas avoir l'air de ressembler à Haiti.

    C'est aussi le coût calculé par les économistes qui estiment qu'il est préférable d'avoir un contrôle de l'inflation (NAIRU) en maintenant un certain niveau de chômage.
    Le RSA est une variable d'ajustement économique indispensable au fonctionnement de l'économie telle qu'elle est conçue par les dirigeants actuels.

    Le RSA permet à la classe économique dirigeante d'obtenir un meilleur ratio, le profit maximum, et s'il est encore ajustable, ils le réajusteront.

    Je renvoie au Revenu Minimum Mondial qui est dans les tuyaux libertariens (et qui montrent donc l'avenir).

    Autrement, le SMIC, c'est juste pour payer tes factures, bouffer, et bouger pour aller travailler.

    Le RSA, c'est juste pour payer tes factures et t'inscrire au resto du cœur.
    Entre les deux, il y a le RSActivité et le travail partiel avec lesquels tu finis aussi partiellement tes fins de mois.

  • Marine Le Pen, lobbytomisée comme les autres

    Christian Harbulot, jury des trophées du MEDEF (elle ne prend pas n'importe qui Marine pour former ses petits, mazette ! ...) :
     
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      Oriane Borja Libre Journal des idées politiques du 5 septembre 2014 : “La France : ses entreprises, sa puissance, son programme politique”
      Par Max Lebrun|05 septembre 2014|Libre Journal des idées politiques|Mots clés : actualité politique . Christian Harbulot . économie . entreprises . Jacques-Charles Gaffiot . puissance . Yvon Gattaz
      Max Lebrun recevait Yvon Gattaz, chef d'entreprise, Christian Harbulot, fondateur de l’École de Guerre économique et Jacques Charles-Gaffiot, historien. Thème : “La France : ses entreprises, sa puissance, son programme [...]
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      Oriane Borja Christiant Harbulot, à l'Université du MEDEF naturellement :

      http://smartfutur.blogspirit.com/.../150-intervenants-aux...
      Agnès Verdier-Molinié | directeur de la fondation iFRAP...
      SMARTFUTUR.BLOGSPIRIT.COM

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  • My baby don't care !

    Dès qu'un anglo saxon est malade, la principale préoccupation aujourd'hui est de vite chercher et trouver un truc pour financer la maladie via les réseaux sociaux.

    Comme la plupart des procédés pour faire pleurer Margot sont éculés, il faut être original, frapper les esprits, sortir son épingle du jeu, parce qu'il faut impérativement rafler la mise.

    Une récente histoire de coma et d'une femme amoureuse qui aurait refusé que l'on débranche son mari qui en est sorti trois après, mais avec des séquelles nécessitant qu'ils trouvent alors rapidement beaucoup d'argent, peut mettre la puce à l'oreille.

    Ils sont prêts à romancer n'importe quelle histoire surtout, pour que la santé privée ne débranche pas les machines, c'est pour avoir l'argent nécessaire qu'ils utilisent ces techniques commerciales.

    Etre malade aux USA si on n'a pas pris d'assurances très chères, cela signifie crever, et crever ruinés, soi et sa famille et ses amis, s'il en reste.
    Et il faut dans les 200 000, 300 000 dollars pour une opération.

    Le bras droit de Ron Paul avait eu une leucémie, autant vous dire qu'il a ruiné père mère frère et sœur avant de passer à trépas rapidement, une longue maladie, ce n'est pas tenable, l'ALD, ça n'existe qu'en France.

    Devant les interrogations de ses partisans, notamment de quelques chaisières, le chef de file libertarien a été très clair, pas de pitié, pas d'assurance, pas de maladie, ou adios amigos.

    Le libéralisme n'a pas de conscience, la seule conscience admise eut été de prendre assurance privée, la responsabilité individuelle ne fait pas d'entorse, les détracteurs de l'Obama Care sont à cheval sur les principes et valeurs conservatrices.

    Bon, les chaisières ont fait trois prières et hop, Ron Paul président, Ron Paul Président !

  • De la LCR aux néoncons, le parcours ordinaire d'Edwy Pleynel‪ ?

     

  • Concurrence des lobbies et monopole libéral

    Terra Nova/Pdg de la Régie publicitaire de la RATP/Publicis, est à la fois, contre, et tout contre l'IFRAP/Opus Déi/l'Oeuvre d'Orient en effet.

    Ces sont deux lobbies qui se font concurrence sur des nuances, assurant le monopole libéral.

    Il s'agit d'amour fraternel et donc de disputes amicales, ils se retrouvent tous ensemble aux fêtes libérales vouées au veau d'or pour évaluer lequel a obtenu le plus de résultats dans ses activités lobbyistes.

    Sur le coup de la RATP, on va dire que c'est un but partout balle au centre, chacun a reçu une publicité formidable et accroît ainsi son influence, en nous laissant croire qu'il n'y a de salut qu'entre les uns ou les autres.

    Lobby contre lobby, ce sont toujours les mêmes qui se font kramer.