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My baby don't care !

Dès qu'un anglo saxon est malade, la principale préoccupation aujourd'hui est de vite chercher et trouver un truc pour financer la maladie via les réseaux sociaux.

Comme la plupart des procédés pour faire pleurer Margot sont éculés, il faut être original, frapper les esprits, sortir son épingle du jeu, parce qu'il faut impérativement rafler la mise.

Une récente histoire de coma et d'une femme amoureuse qui aurait refusé que l'on débranche son mari qui en est sorti trois après, mais avec des séquelles nécessitant qu'ils trouvent alors rapidement beaucoup d'argent, peut mettre la puce à l'oreille.

Ils sont prêts à romancer n'importe quelle histoire surtout, pour que la santé privée ne débranche pas les machines, c'est pour avoir l'argent nécessaire qu'ils utilisent ces techniques commerciales.

Etre malade aux USA si on n'a pas pris d'assurances très chères, cela signifie crever, et crever ruinés, soi et sa famille et ses amis, s'il en reste.
Et il faut dans les 200 000, 300 000 dollars pour une opération.

Le bras droit de Ron Paul avait eu une leucémie, autant vous dire qu'il a ruiné père mère frère et sœur avant de passer à trépas rapidement, une longue maladie, ce n'est pas tenable, l'ALD, ça n'existe qu'en France.

Devant les interrogations de ses partisans, notamment de quelques chaisières, le chef de file libertarien a été très clair, pas de pitié, pas d'assurance, pas de maladie, ou adios amigos.

Le libéralisme n'a pas de conscience, la seule conscience admise eut été de prendre assurance privée, la responsabilité individuelle ne fait pas d'entorse, les détracteurs de l'Obama Care sont à cheval sur les principes et valeurs conservatrices.

Bon, les chaisières ont fait trois prières et hop, Ron Paul président, Ron Paul Président !

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