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libéralisme mondialisme - Page 39

  • Bonnets rouges, pigeons, moutons et cochons de bourgeois bouzeux, comment les gros agriculteurs tuent nos petits paysans en particulier et notre agriculture en général, avec la complicité de Marine Le Pen

    Marine Le Pen ne soutient ni les paysans ni l'agriculture, elle soutient des groupes maffieux, violents, voleurs, salauds, disons-le tout net.
    Elle ferait mieux de les dénoncer au lieu de les brosser pour racoler sur les trottoirs électoraux.

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  • Défendez la langue française, faites la grève de Radio Courtoisie, ça leur fera les pieds avant la lettre

    Foutons-leur un bon coup au pied de la lettre!

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  • Pierre Sganarelle Moscovici, le valet de ses maîtres

    Les ronds de cuir du Cercle de l'Industrie font comme leur ex patron DSK, ils veulent nous la montrer leur grosse rigueur.

    "L’effort de réformes de la France est indéniable mais n’est pas suffisant pour réduire les déséquilibres de l’économie”, déclare le commissaire européen à...
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      Oriane Borja Le Cercle de l'industrie est un lobby patronal français auprès des institutions européennes.

      En février 1993, les membres du futur Cercle de l'industrie (une idée de Dominique Strauss-Kahn et Raymond Lévy PDG de Renault) se réunissent au siège de Publicis. Y sont représentés : Rhône-Poulenc, Lafarge, Pechiney, Elf, L'Oréal, Bull, Schneider, Renault, Total, BSN, …
      En juin 1993, Raymond Lévy, PDG de Renault, crée le Cercle qui emménage à Neuilly-sur-Seine, au 171, avenue Charles-de-Gaulle, l'objet déclaré à la préfecture est le suivant :

      Assurer une veille permanente auprès des différentes instances que sont la Commission des CE, le Parlement européen, le GATT, etc., concevoir et diffuser par les moyens adéquats l'information nécessaire auprès de ces instances, organiser les interventions au plus haut niveau politique.

      Le cercle s'efforce de répartir équitablement les pouvoirs entre des membres de l'UMP et du Parti socialiste.

      Dominique Strauss-Kahn en devient le vice-président à titre bénévole tout en bénéficiant d'un bureau, d'une secrétaire2 et de notes de frais.

      Objectifs
      d'après la Plaquette il s'agit d'
      « Un lieu de dialogue et d’échanges destiné aux grandes entreprises industrielles, le Cercle de l'industrie rassemble une vingtaine de présidents de grandes entreprises françaises intervenant dans tous les secteurs industriels ainsi que des hommes politiques.
      Les entreprises membres du Cercle de l’industrie représentent en 2004 un chiffre d’affaires cumulé d’environ 600 milliards d’euros et 2 millions d’emplois dans le monde. La majorité d’entre elles sont cotées au CAC 40.

      Le Cercle de l’industrie se distingue par sa spécificité industrielle, son engagement pour la construction européenne et son bipartisme politique, la promotion de l'image et des intérêts de l'industrie auprès des institutions publiques nationales et européennes.Le Cercle de l’industrie participe à la réflexion sur la définition et l’articulation d’une nouvelle politique industrielle et d’une amélioration de la gouvernance économique en Europe. Il s’implique dans les propositions et débats des institutions européennes en la matière. »

      Contacts
      Il entretient des contacts avec le MEDEF, l’AFEP, BusinessEurope, la Table ronde des Industriels européens (ERT), le Transatlantic Partnership Network (TPN), ou encore l'Institut de l'entreprise (IE).

      Membres
      Président :
      1994 - novembre 2001 Raymond Lévy, président du Conseil de surveillance de Lagardère Group, président de la Fondation Européenne pour le Management par la Qualité (1991-1992) 6
      novembre 2001 - septembre 2002 Francis Mer 6
      septembre 2002 - mai 2012 Denis Ranque, président de Technicolor
      mai 2012 - ? Philippe Varin, président de PSA
      Deux vice-présidents, un de gauche, un de droite :

      1993-1997 Dominique Strauss-Kahn
      1993-2004 Jacques Barrot
      2005- 2013 Alain Lamassoure, membre de l'UMP, ancien ministre chargé des affaires européennes (1993-1995), député européen, vice-président de la délégation française au Parlement européen
      ? - 2012 Pierre Moscovici, membre du PS, ancien ministre chargé des affaires européennes (1997-2002), Ministre de l'Économie et des Finances (2012 - en fonction)
      2012 - 2013 Alain Rousset, membre du PS, député à l’Assemblée Nationale (2007-?), président du Conseil régional d'Aquitaine (1998-?), président de l’Association des régions de France (2004-?)
      Trésorier :
      Jean-Yves Naouri (frère de Jean-Charles Naouri), directeur des opérations du groupe Publicis
      Membres du conseil d'administration :
      Jean-Cyril Spinetta, président du CA
      Christophe Bories, président de Constellium
      Louis Gallois, ancien président exécutif d'EADS, président du conseil d'administration de PSA Peugeot - Citroën
      (?-2013) Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain
      (?-2013) Pierre Gadonneix président d’honneur d'EDF, président du Conseil mondial de l'énergie (CME)
      Bertrand Collomb, président d’honneur de Lafarge
      (2013) Jean-Pierre Clamadieu, président du comité exécutif de Solvay
      (2013) Benoît Potier, PDG d'Air Liquide
      (2013) Denis Ranque, ancien président du Cercle de l'Industrie
      (2013) Chris Viehbarer, directeur général de Sanofi
      Membres fondateurs
      Dominique Strauss-Kahn
      Raymond Levy, (Président d'honneur)

      Entreprises membres (représentées par leurs président, directeur général ou président-directeurs général :
      Air France-Klm
      Air liquide
      Alcan Engineered Products
      Alcatel-Lucent
      Alstom
      Areva
      Arkema
      EADS
      EDF
      France Telecom
      GDF Suez
      Lafarge
      Lagardère SCA
      L’Oréal
      Michelin
      PSA Peugeot Citroën
      Publicis Groupe
      Safran
      Saint-Gobain
      Sanofi
      SNCF
      Solvay
      Thales
      Total
      Valeo
      Veolia Environnement
      Vivendi
      Autres membres :
      Jacques Barrot
      Guy Dollé
      Gilles Carrez
      Jean-Pierre Fourcade
      Jean Gandois

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_l%27industrie
       
      En février 1993, les membres du futur Cercle de l'industrie (une idée de Dominique Strauss-Kahn et Raymond Lévy PDG de Renault) se réunissent au siège de Publicis. Y sont représentés : Rhône-Poulenc, Lafarge, Pechiney, Elf, L'Oréal, Bull, Schneider, Renault, Total, BSN, …
      FR.WIKIPEDIA.ORG
  • Le Boulevard Voltaire donné par Marine Le Pen à la destruction de notre modèle social

    Oriane Borja commented on an article.
    3 min · 
     

    Très "amusant" de voir Marine Le Pen et tous ses moutons soutenir la libéralisation de la sécurité sociale et donc, la fin de notre système d'assurance santé publique.

    Elle profite sans doute de l'ignorance des gens, ce qui est une honte.

    Le discours est protecteur, et donc étatiste, mais les actes sont incohérents, comme ici à se fourvoyer avec la fange extrême-libérale, la véritable extrême-droite.

    J'invite chacun à chercher quels lobbies sont derrière.
    Ils existent, je les ai trouvés.
    Je rappelle que les lobbies sont ceux qui font valoir des intérêts privés sur l'intérêt général, mettant toujours en avant l'intérêt du petit nombre qu'il représente contre l'intérêt de tous les autres.
    Tout le monde est perdant à un moment ou à un autre à ce petit jeu, sauf à être cadres de ces lobbies naturellement, ce que la majorité d'entre nous ne sommes pas (sauf sans doute dans les réseaux de Boulevard Voltaire).

    Les lobbies libéraux jouent à plein cette carte des failles relatives du régime spécial des indépendants ( comme ils jouent des failles dans tous les domaines) et on voit bien qui les soutient, Boulevard Voltaire les premiers, on ne sera pas étonné.

    Il faut bien comprendre que ceux qui se plaignent le plus du RSI, sont les autoentrepreneurs, que les libéraux brossent dans le sens du poil patronal alors que ce sont surtout de la petite main-d'oeuvre ultra flexible dont on exploite l'énergie.

    On leur fait croire qu'ils sont des petits patrons alors qu'ils ne sont que des esclaves du monde libéral.

    Alors oui, le RSI défavorise un indépendant qui gagne 3 000 euros par an, mais c'est sans doute que, plutôt que d'être au RSI, ce patron-là est plutôt au RSA, et qu'on le dupe ou qu'il s'autodupe.

    Le RSI sanctionne les entreprises libres non viables, c'est la dure loi du marché que vous adulez.

    Tous ces "indépendants " (personne n'est indépendant, c'est une illusion, un leurre libéral, les hommes sont tous dépendants les uns des autres et c'est heureux) se plaignent, à les écouter, seuls eux travaillent.

    Personnellement, j'ai choisi le salariat, j'ai plusieurs employeurs que je choisis, un travail que je choisis et des clients que je choisis, je me fais simplement rémunérer en tant que salarié et bénéficie du régime ordinaire de sécurité social (même si ma mentalité m'incite à ne pas en faire usage).

    Et je n'ai pas du tout la mentalité caricaturale évoquée ci-dessus par les lobbyistes libéraux.
    Je travaille beaucoup, ne compte pas mes heures, ne prends jamais de vacances, n'ai jamais eu d'arrêt de travail de ma vie, ni de chômage, je travaille même si je suis malade (sauf si je suis contagieuse car je travaille auprès de publics fragiles, personnes âgées ou enfants avec plus ou moins de handicap) et auquel cas je ne gagne pas d'argent.

    J'ai simplement une conscience professionnelle et je ne cherche pas à m'en foutre plein les poches sur le dos de mes clients.
    Je ne demande qu'à être honnête et gagner honnêtement ma vie.
    Et figurez-vous que la plus grande partie de mes collègues de travail ont le même état d'esprit, le souci de l'autre et du travail bien fait.

    Peut-être d'ailleurs que si certains commerçants et artisans avaient le même, ils auraient moins à se plaindre ...

    Dans tous les cas, tous ceux qui nous écrasent tous, salariés comme indépendants, sont les gros.

    Ce sont les gros qui raflent la mise sur le dos de tous.
    Les commerçants et artisans sont mis en concurrence (VOTRE chère concurrence), parc ceux qui délocalisent leurs produits et services, jouent la financiarisation en vendant à perte ou à prix coûtant, se rattrapant et faisant des marges sur le fait de payer à terme sur des masses exorbitantes.

    Voilà où mènent la concurrence, à la victoire finale du plus profiteur, du plus exploitant, du plus salaud.

    La règle est simple, scientifique (puisqu'éprouvée), la fin du prétendu "monopole" d'Etat (l'Etan c'est nous, tant mieux si nous sommes notre assurance) mène directement au monopole privé.

    La concurrence mène toujours aux monopoles privés, in fine, il ne reste que quelques grands groupes qui contrôlent le tissu de PME-PMI, qui tuent les petits commerçant, artisans et TPE, et acculent les salariés.

    Faudra-t-il - hélas ! - passer par une injonction du grand dérégulateur bruxellois pour libéraliser enfin ce système, comme pour le téléphone ?
    WWW.BVOLTAIRE.FR
     
  • Mouvement anti RSI, un mouvement anti social

    Ce sont surtout les auto entrepreneurs qui sont lésés par le RSI.

    Leur sort est très mis en avant par le mouvement anti RSI, qui entend privatiser la sécu.

    Or, ce régime est une grosse arnaque libérale, elle qui utilise cette force de travail ultra flexible, comprendre, corvéable à merci, et qui évite à ceux qui les emploient notamment en sous-traitance, de payer des charges et autres frais de licenciement.

    Ceux-là se plaignent de leur sort sous ce régime lorsqu'ils gagnent moins de 4000 euros par an.
    Mais en cas de maladie ou de maternité, les auto entrepreneurs sont pris en charge par la CMU, c'est normal que le RSI ne fasse pas doublon.
    Gagner 3 ou 4 000 euros par an, c'est être au RSA.

    Mais l'auto entrepreneur se prend pour un patron (c'est sa dernière fierté) et le patronat l'encourage à se voir ainsi et à revendiquer comme lui, plus de dérégulation et de privatisation.

  • Valls et Marion Maréchal Le Pen, deux faces différentes du visage de l'extrême-droite

    On s'en prend à Valls parce qu'il est le pion du grand patronat, parce qu'il a fait sienne la politique de dérégulation, et qu'il est en train de détricoter toutes les protections de notre pays.

    Pas parce qu'il a mis le nez dans les crapuleries financières des Le Pen qui continuaient impunément leurs pratiques parce qu'on leur a laissé la complaisance de le faire depuis des années.

    Ajoutons que les turpitudes des uns n'excusent pas celles des autres, prendre à témoin les malversations de l'Umps n'est pas une circonstance atténuante de celles des Le Pen.

    Mais Marion Maréchal Le Pen ne le fera pas puisqu'elle pense que les Français ont trop de protections, sont trop assistés et qu'il faut revoir leurs droits sociaux.

    Soit les mêmes ambitions que Valls sauf que Valls appelle cela la "croissance", "la compétitivité".

    MMLP montre en effet le vrai visage de l'extrême-droite tout en s'empêchant de montrer que Valls en porte déjà les stigmates.

  • Les intérêts financiers se sont bien bougés le cul

     
    Il paraît que ça attire l'actionnaire et les cadres goinfrés aux hormones de croissance, et qui en fait des organismes méthodiquement pas gênés.

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  • Les cahiers de l'OCDE, assurance maladie et tiers-payant, et le futur crédit formation tout au long de la vie

    La généralisation du tiers-payant entre dans la logique des textes de l'OCDE.

    L'OCDE a mis que pied depuis les années 70, le projet de LifeLong Learning.

    Il prévoit la prise en charge des individus de la naissance à la mort.

    Une assurance crédit-formation nous sera allouée dès la petite enfance pour payer les frais de crèche, puis de scolarité, puis de travail ou de chômage (sur une base de minima sociaux), assurances santé et retraites comprises.

    Les périodes travaillées (on ne parle plus de métier ou de travail) alterneront avec les périodes non travaillées qui serviront à la formation ou à des vacances selon notre choix et nos moyens.
    Ce sont les périodes travaillées qui assureront le remboursement de cette assurance "vie", et assureront le supplément si elles sont conséquentes, autrement, ce seront les minima.

    De plus en plus de mesures, effectivement appliquées, en cours d'application (je pense au crédit-compte- formation de Ségolène Royal), ou dans les tuyaux des think tanks (les dernières idées de congés sabbatiques du PS ou de travail des seniors de Rama Yade, de revenu minimum mondial des libertariens, etc.), doivent nous mener aux objectifs que l'OCDE, sous le contrôle des multinationales, nous fixe.

  • La grande peur des bien-pensants

    Emmanuel Valls a peur, les Français ont peur, tout le monde a peur.

    Moi, j'ai peur que Valls et autres Macron ne précipitent mon pays dans le mur de la finance et par contre-coup dans les bras de manchot de Marine Le Pen, le mouvement national n'étant pas du tout prêt à recueillir l'espoir; il le fracasserait en effet dans des fourvoiements proches de ceux que l'on connaît actuellement.

  • Les femmes afghanes ne sont pas plus connes que les autres

    Le problème, c'est qu'on a expliqué aux petites filles afghanes par exemple, que pour qu'elles aillent à l'écoles, il fallait d'abord qu'on butte leurs pères, leurs frères, et leurs futurs maris, et qu'on leur pique leur blé au passage, enfin leur pavot.
    Parce que la drogue, c'est mal, sauf si c'est contrôlé par les Américains.

    Les leçons et l'histoire, c'est dans les livres, mais pas que.

     
    A l'occasion de la Journée de la #femme dimanche, l'UNICEF rappelle que l'éducation des filles est un combat et l’un des principaux défis du 21ème siècle.
Nous nous battons chaque jour pour que chaque petite fille et chaque adolescente puissent aller et rester à l’école, puis au collège puis au lycée. C’est pour nous la pierre angulaire du progrès social et économique.
    us nous battons chaque jour pour que chaque petite fille et chaque adolescente puissent aller et rester à l’école, puis au collège puis au lycée. C’est pour nous la pierre angulaire du progrès social et économique.