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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 260

  • Ecole et logique libérale

    Ecole et logique libérale

    Devant l’offensive actuellement menée par l’association SOS Education, il convient de réagir. Sachant que l’on marche sur des œufs puisque suivant une logique venue d’outre-Atlantique, elle attaque en justice quiconque s’intéresse de trop près à sa filiation.

     Quelle étrange manière a-t-elle pourtant d’envoyer une pétition destinée à défendre la politique familiale française, en anglais ! Et quelle étrange coïncidence entre la politique éducative qu’elle préconise et celle menée aux Etats-Unis avec l’idée d’un réseau d’établissements indépendants sur la base d’une chartre minimale imposée par l’Etat. Ils souhaitent la mise en place d’écoles distinctes pour les enfants de « ceux qui ne lisent pas les mêmes journaux, ne votent pas pour les mêmes partis, n’ont pas les mêmes genres et styles de vie, etc. »

     Vision ultralibérale de l’éducation, on ne s’étonnera donc pas qu’elle propose une prochaine conférence avec Yvon Gattaz, ancien président du MEDEF, à la questure de l’Assemblée Nationale, où elle a donc ses entrées. Cette association rend un diagnostic correct du niveau catastrophique actuel des élèves. Mais comme certains le préconisent au niveau de l’OCDE ou de l’OMC, elle pourrait profiter de cet échec pour faire disparaître le service public de l’éducation nationale, celui qui , a priori devrait consister en une école républicaine forte, capable de transmettre à tous les élèves, quelles que soient leurs origines, sociale, confessionnelle, culturelle, un patrimoine commun de connaissances, une instruction qui serait un véritable ciment de la Nation et qui permettrait la promotion sociale de chacun. SOS Education arrive à exercer une certaine pression sur les gouvernements ( mais bien sûr, les lobbies n’existent pas en France), ainsi se vente-elle d’avoir abouti aux prises de position de Gilles de Robien sur les méthodes de lecture, avec toutefois le succès que l’on sait dans la pratique.

    Nos ministres de l’Education nationale ne sont que des pantins et les mêmes causes ayant les mêmes mes effets, c’est aujourd’hui Xavier Darcos qui tente une courte offensive, nous verrons ce qu’il en restera. Je peux témoigner du fait que la plus pure des méthodes globales sévit encore dans nos écoles, de la maternelle jusqu’au CP où l’on apprend les mots entièrement globalement avec le système des étiquettes, à laquelle vient se substituer la méthode dite semi-globale vers le deuxième trimestre du CP, qui relève du même apprentissage global qui consiste à partir de l’objectif que l’on devrait atteindre au lieu de partir du plus petit élément vers le plus complexe qui est le seul moyen de structurer le cerveau correctement, nous sommes biologiquement construits ainsi. La fronde de tous les syndicats de l’Education Nationale, ainsi que les associations de parents d’élèves est en marche.

    Associations de Parents d‘élèves, c‘est-à-dire des « indépendants »  de gauche comme des « indépendants » de droite, puisque chacun est sommé de croire à leur indépendance totale sous peine d’être taxé des pires tares possibles. Pourtant essayer donc de seulement émettre un avis divergents dans leurs pseudo réunions démocratiques. Ceci dit le risque n’est pas grand de voir un parent d’élève sortir de la pensée unique et il est assez pénible de constater que l’on est toujours assez isolé pour ne pas dire complètement lorsqu’on émet la moindre contradiction .

     Et voir que le mécontentement peut être récupérer par des personnes très peu motivées par le sort de l’école républicaine comme nous l’entendons est tout aussi préoccupant. Prenons quelques points techniques sur les programmes du primaire où le rôle de l’instruction de l’enfant est fondamental :

                   - la semaine des quatre jours : une idée où les partisans du " apprenons moins" et ceux du « économisons plus » se rejoignent, sur le dos des enfants car d’une part, il paraît aberrant de ne travailler que quatre jours sur sept, quatre jours et demi , ce n’était pas la fin du monde. Certaines familles en profiteront judicieusement pour faire travailler leurs enfants tandis que d’autres n’auront que le choix de rester devant un écran, accentuant le différentiel de niveau. D’autre part, les spécialistes ont émis des critiques quant aux rythmes du sommeil de l’enfant, qui se levant plus tard deux jours consécutifs est perturbé biologiquement . Les parents qui profitent des RTT pour partir reviennent avec des enfants très fatigués. Et le papa des familles déstructurées qui ne prend l’enfant qu’un week-end de temps en temps, est déresponsabilisé puisqu’on réserve la charge de la vie scolaire à la maman pour la grande majorité des cas. Accordons que dans la vie menée actuellement, ce sont trois heures où certains enfants, dont les parents ne travaillent pas le samedi , peuvent passer plus de temps en famille.

                  - la réorganisation des horaires : beaucoup de bruit pour rien car le nombre d’heures de français et de mathématiques, qui sont les matières fondamentales, stagne ou baisse !!! (8,8 heures contre 8,4 en français avec même une baisse au CP ! 5 heures contre 5 heures 30 en mathématiques) Or, la maîtrise de la langue est la base de tout, elle est la base de l’accessibilité à toutes les autres matières. De nombreuses études scientifiques incontestées le montrent. Il faudrait au moins rétablir la base des 10 heures par semaine. Jack Lang qui prétend une moins value culturelle parce que compte tenu de la réduction du nombre d’heures du samedi et l’introduction de l’étude de l’histoire de l’art (chaque ministre veut imposer sa patte), il restera effectivement moins de temps pour un tas de projets superflus - prêt-à-penser, vendus clés en main - chers au ministre le plus bling-ding de sa génération ; n’oublions pas qu’il a voulu , avec Philippe Mérieu, la disparition de l’étude de la grammaire car elle était prétendument inégalitaire !!! Monsieur BLED, dont on devrait honorer le nom en a eu le bien triste spectacle avant de mourir. La grammaire, pour laquelle nos ancêtres érigeaient des statues, est la base même de l’instruction.

                      - le retour de la grammaire: ce point voudrait qu’à lui seul, nous soutenions le projet Darcos. Même si cette réintégration n’est que parcellaire, son apprentissage, défini par une progression rigoureuse avec la réintroduction de notions qui n’étaient plus étudiées, est une grande bouffée d’oxygène. (A l'heure où j'imprime ce texte, nous apprenons que le ministre vient de faire marche arrière sur ce point !!! )

                     - les leçons de morale : c’est l’instruction qui éduque. La barbarie s’est installée dans nos écoles proportionnellement à la baisse de son niveau d’instruction. L’éducation devrait rester l’œuvre des familles mais l’école doit se doter de règles à respecter sous peine de sanctions effectives pour se protéger, tous les discours en la matière ne sont souvent que du théâtre. (Face aux derniers coups de couteaux dans le collège de Lyon, le CPE promet... une "charte pour la paix"qui viendra faire doublon avec le blabla du débat scolaire qui lui aussi n'a cessé de croître proportionnellement aux dites "incivilités". On a les enfants qu'on mérite.)

                     - suppression de postes, cours de soutien : bien sûr, les enseignants s’indignent dès lors qu’on touche à leurs conditions de travail, dont la baisse est toute relative. Ils s’attachent de toute façon plus à des choses secondaires qu’au principal, il me semble que le plus important dans ce noble métier est le niveau d’instruction donné aux élèves. Quand on voit ce qu’il est, on devrait d‘abord se battre contre ce déclin qui s'est initié depuis trente alors que le budget de l’Education Nationale n’a cessé d’augmenter durant la même période, où est l'erreur ?

    Oriane Borja

     


    Créé par Oriane le 01/08/2008 à 14h39
  • Que le conseil de l'Europe s'occupe de son cul !

    Réaction à l'interdiction de la fessée par le Conseil de l'Europe

    Que le Conseil de l’Europe s’occupe de son cul !

     Je n’ai pas pour habitude d’être grossière ou vulgaire mais la tentation était trop grande lorsqu’à nouveau, il est question d’interdire la fameuse fessée. Les technocrates auraient une fois de plus mieux fait de s’abstenir plutôt que de se mêler de choses qui ne les regardent en rien. Ils sont déjà suffisamment pénibles avec l’inflation de leurs directives dans tous les domaines, voilà qu’ils viennent s’immiscer dans les affaires privées des familles, « big brother is watching you » again.

     Je suis maman de quatre enfants, j’ai un instinct maternel exacerbé qui fait que dès la maternité, quand la plupart des femmes, incitées par le personnel médical, ne songent qu’à se reposer et à confier leur bébé à la nurserie ,je n’aurais pour rien au monde perdu une seule miette du bonheur immense d’être à côté de mon enfant, de l’allaiter et de le serrer contre mon cœur. Tandis que dans la nurserie c’était la chorale de nourrissons malheureux, le mien s’endormait toujours paisible contre moi, un rictus aux lèvres. Ensuite, il ne m’aurait même pas traversé l’esprit de le faire élever par quelqu’un d’autre, dusse- je me « priver de tout », la pleine satisfaction de prendre soin de mon enfant, suffisait à tous mes besoins. Le résultat est un enfant qui ne pleure jamais car j’anticipais toutes ses attentes, un bien-être et un bonheur total, une merveilleuse complicité, un plaisir à nul autre comparable, et je plaignais sincèrement les mères qui se privaient ou ne pouvaient s’offrir le même luxe que moi. Puis le temps passe vite, à même pas un an, il comprend déjà le « NON »de sa mère; et oui, il y a des choses qui ne se font pas. Rapidement il peut déjà recevoir sa première fessée sur la couche, elle ne fait pas mal et est suffisamment efficace pour qu’il comprenne que maman ne veut absolument pas qu’il fasse telle ou telle chose, le plus souvent parce que c’est dangereux pour lui; il pleure mais l’amour est là, il comprend vite et rapidement il ne fera plus ce qui a tant fâché celle qui l’adore et qu’il adore , et au besoin, quelques piqûres de rappel mettront un terme définitif à ses velléités. On lui explique, il apprend à comprendre et il vous en est reconnaissant .

    La fessée ou la claque peuvent mettre un terme à une colère qui, si on la laisse dégénérer, le met dans le désarroi le plus épouvantable, j’ai vu des enfants se mettre dans des états terribles, le pédiatre averti sait envoyer alors une claque salutaire pour lui remettre les idées au clair et lui éviter un danger imminent. Ne pas s’interdire la fessée, c’est s’offrir l’opportunité de n’avoir quasiment jamais l’occasion d’en donner; après, le regard prometteur de la maman ou du papa, suffit. Montrer sa satisfaction, l’inciter à avoir une bonne attitude, le punir sans culpabilité aussitôt qu’un comportement est répréhensible, ou même qu’il risque de dégénérer, voilà le secret d’une éducation qui ne vous offrira que d’immenses satisfactions : des enfants qui savent se tenir partout, qui canaliseront leur énergie sur des jeux ou leur travail plutôt de passer leur temps à faire des caprices ou à emmerder le monde pour qu’enfin on leur montre qu’il y a des limites.

     L’éducation est l’affaire des familles et est à porter de tous si on s’en donne les moyens, libre à chacun de prendre ses responsabilités en ce domaine et d’en subir toutes les conséquences. Si seulement, elles ne débordaient pas sur la vie de chacun, si l’école par exemple, qui parallèlement à l’éducation de l’enfant-roi, n’avait pas démissionné elle-même de toutes formes d’autorité, réduisant la cour de récréation, quand ce n’est pas la classe, à une jungle dont la loi est celle du plus fort. Il n’y a pas de fatalité en ce domaine, la télé ou l’ordinateur ne sont pas responsables de ce que nous faisons de nos enfants, ils ne servent que de prétextes à nos carences. Même si ces media « élèvent » aujourd’hui certains enfants, ce n’est pas la faute des machines mais bien la nôtre si nous n’offrons que ce choix à nos petits. Contrairement à ce que l’on pense, un enfant n’est jamais trop aimé par sa mère, les miens n’ont jamais eu de mal à me quitter pour aller à l’école par exemple, point de peur , de pleurs ni d’angoisse, la sécurité affective, l’assurance de savoir se conduire et les voilà libre de commencer à affronter le monde sous les meilleurs hospices, un monde qui , de toute façon , ne sera pas tendre avec eux; les maîtresses apprécient ces enfants tout prêts à se mettre aux travail, et elles sauront vite voir les enfants bien élevés qui leur faciliteront la tâche.

    Alors, certaines mamans vont hurler mais une seule chose m’importe : les enfants, car ils sont les plus faibles, et la société dans laquelle ils vont grandir; une société qui, si elle ne les a pas tués dans le ventre qui devait les protéger, ne leur laisserait pour vivre que l’éducation par l’état, petit d’homme déjà réduit à l’état de numéro, où comme dans l’univers prémonitoire d’Orwell, il serait tout prêt à dénoncer les « déviances » de ses parents ? Il faut savoir dénicher tous les éléments de totalitarisme qui gangrènent notre société et qui, si on n’y résiste pas, nous envahirons, nous en serons là aussi que les seuls responsables.

    Oriane Borja

    29/08/2008 - 18:01

    bravo madame
    vous aimez vos enfants et vous en serez fiere plus tard.
    ils vous seront aussi reconnaissants de ne pas en avoir fait ce que les decideurs politiques de nos jours veulent en faire de part leurs idees irresponsables : des voyous qui ne respectent plus les autres
    les scenes de violences de plus en plus frequentes dans les etablissements scolaires en sont la preuve. mais nos charmants et veneres decideurs europeens
    ne l'ont toujours pas compris et ne le comprendront de toute facon jamais.
    on se demande d'ailleurs pourquoi certains parents font des enfants:a peine sortis du ventre de leur mere ils se retrouvent a la nurserie et quelques mois apres en compagnie d'une nourrice .comment certaines meres peuvent t'elles se "debarrasser"
    de leur petit aussi rapidement ?
    par contre 2 ou 3 petites tapes sur les fesses sont considerees "hors la loi".......
    quelle est cette epoque de debiles profonds ? surtout dans les hautes spheres.
    continuez a donner de l'amour a vos enfants comme vous le faites madame
    (certains de vos detracteurs n'en seront peut etre pas capable)

  • Cantonales 2008

    [Entretien] Oriane Borja, candidate FN aux cantonales de Rezé et adhérente E&R Version imprimable Suggérer par mail
    Publié le 26 février 2008
    [Entretien] Oriane Borja, candidate FN aux cantonales de Rezé et adhérente E&R
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    riane Borja, 37 ans, mère de quatre enfants, est juriste de formation. Conduite au Front National par le maurrassien Gérard de Gubernatis de l'Action Française, elle participe à la campagne contre le Traité de Maastricht en 1992 et adhère l'année suivante au mouvement lepéniste. Formée sur le terrain des Alpes-Maritimes [Nice], où elle eut en charge la formation des jeunes et les relations presse de la fédération locale, elle est candidate à toutes les élections depuis 1995. Elle est parallèlement membre d'Égalité & Réconciliation, la structure fondée en marge du F.N. par l'écrivain Alain Soral.

    À l'occasion de sa candidature aux élections cantonales 2008 de Rezé, au sud de l'agglomération nantaise, je vous propose un tour d'horizon non exhaustif de ses points de vue sur différents thèmes de politique départementale.


    Raison d'être et fonctionnement du Conseil général

    « Le rôle d'un conseiller général Front National me semble d'abord être une mission de vigilance et de transparence de l'utilisation des deniers publiques, le clientélisme guettant ce genre d'institutions. J'ai par ailleurs le sentiment que le Conseil n'est là que pour assurer les soins palliatifs d'une politique nationale désastreuse et d'une dégradation des valeurs. »


    Politique sociale et familiale


    « La destruction des valeurs familiales, comme l'idéologie de l'enfant-roi, ont contribué à déstabiliser cette cellule de base pour la protection de l'enfance qu'est la famille, les services sociaux dépendants du département sont aujourd'hui débordés par le phénomène.

    En matière de vieillissement de la population et de prise en charge des personnes âgées, l'incapacité de prévision de toutes les instances politiques, l'individualisme, la baisse du pouvoir d'achat et les retraites misérables laissent les plus indigents dans un état inimaginable, et souvent dans l'incapacité de se plaindre. Mon père, un médecin de famille à l'ancienne qui se déplace chez les gens, constate que certains ne mangent pas à leur faim et/ou n'arrivent plus à se chauffer.

    En matière d'insertion, l'hypocrisie est grande, car que faire lorsque la demande est supérieure à l'offre de travail, lorsque les formations ne sont pas adaptées au marché de l'emploi, ou que l'emploi est si mal payé qu'il est parfois préférable de ne pas travailler ? La commission Attali venant mettre un terme à tout espoir, puisqu' il suffira d'aller se servir sur toute la planète pour avoir une main d'œuvre servile. La politique d'immigration a toujours été une demande du grand patronat pour tirer les salaires à la baisse avec la complicité objective de toutes les formations syndicales et politiques, à l'exception du Front. La dignité de travailler passe en pertes et profits; pour eux, tant pis si le système laisse une partie des gens sur le bord de la route. »


    Enseignement


    « En matière d'enseignement, là où le Conseil Général aurait dû se cantonner au maintien, à la construction et à l'entretien des établissements, il vient se mêler de pédagogie dans laquelle il n'a rien à faire. Il participe par la même au pédagogisme déstructeur qui a mené aujourd'hui l'Éducation nationale au gâchis que l'on sait: non-maîtrise de la langue et comportement à l'avenant; le fondamental, la rigueur, l'effort et le mérite sont délaissés voire méprisés au profit du ludique et du superficiel. La sécurité à l'intérieur et aux abords des collèges n'est par ailleurs plus assurée, les mères de famille ne sont plus sereines en laissant leurs enfants en classe. »


    Logement

    « On note que le département s'est trouvé comme attribution d'aller aider les peuples de la planète. Nous avons sûrement un intérêt à ce que les populations se stabilisent dans leur pays d'origine. Mais, outre le fait que notre intervention peut y faire plus de dégâts que de bien en exportant des idées qui n'ont souvent rien à voir avec l'Histoire et le respect des populations locales (l'Arche de Zoé illustre bien le genre de perversions à laquelle cela peut mener), a-t-on les moyens d'être généreux avec l'argent des contribuables alors même que sous son nez, la misère et la détresse sont à portée de main ? Le manque cruel de logements, l'inflation des loyers et des prix minent les ménages. Le Front National réclame d'ailleurs toujours la transparence des attributions en matière de logements sociaux. »


    Maintien de la structure du département

    « Au sujet du maintien ou pas de la structure du département, les Français semblent attachés à ce dernier. Le Front National insisterait plutôt sur l'idée d'un découpage historique des "pays", comme le rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne; dans la situation actuelle ceci dit, l'urgence est de lutter contre les projets de Bruxelles et de la commission Attali, où l'économique entend dominer le politique. »

    Propos recueillis par Tangi F.

    Source : http://omnibus44.canalblog.com