Chers camarades, chers amis,
Permettez-moi tout d'abord de vous dire combien je suis heureuse d’être parmi vous puisque je suis moi-même issue du Front National de la Jeunesse. C’est d’ailleurs à cette époque où j’ai rencontré votre actuelle responsable régionale, Laura, c’était alors une adorable petite poupée d’à peine quatre ans.
Je vais traiter d’un sujet sur l’éducation en générale et la formation en particulier, précisément, sur la façon dont l’idéologie mondialiste prend appui sur les régions pour distiller les métamorphoses que nous subissons chaque jour sans parfois même, à moins d’en avoir compris tous les rouages, s’en apercevoir.
Je tiens à dire d’ores et déjà que justement, le FNJ est une excellente école de formation, une très belle et très bonne école de vie puisqu’on y apprend à s’ouvrir à autre chose qu’au politiquement correct et qu’à la pensée unique. On y apprend l’humilité, tant les forces contre nous sont considérables, l’esprit de résistance, l’exemplarité, le courage, le don de soi, la camaraderie, qui sont autant de valeurs de la chevalerie qui nous sont propres.
Et tout d’abord je vais vous demander si vous connaissez
William Experton ?
Non, bien sûr, et d’ailleurs, personne ne le connaît.
Et pourtant cet homme joue un rôle dans la vie de tas de jeunes et moins jeunes gens sur toute la planète. Son pouvoir est plus important que celui d’un ministre, lui, fait partie du véritable exécutif mondial dont l’action engendre de véritables changements dans notre vie.
Il est Spécialiste Principal en éducation auprès de la Banque Mondiale.
Il est en charge de l’étude concernant les politiques de formation-tout-au long-de-la-vie, retenez bien ce groupe de mots.
Il faut le retenir pour savoir l’identifier chaque fois que vous le rencontrerez, il fait partie de la novlang éducative du Nouvel ordre mondial, celle du Nouvel ordre éducatif mondial.
[La novlang étant ce langage totalitaire dont George Orwell parle dans 1984, ce nouveau langage qu’un Big brother met en forme aux lieu et place de l’ancien, pour mieux asseoir son idéologie, réduisant la langue pour mieux réduire la pensée.]
Avant d’entrer à la Banque mondiale, W. Experton a participé à la régionalisation de la politique éducative en Région Provence Alpes Côte d’Azur. Il est docteur en Economie de la Faculté des Sciences Economiques d’Aix en Provence et Diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce et d’Administration des Entreprises.
Et ils sont tout un groupe de spécialistes en charge de l’élaboration et du suivi des politiques de formation professionnelle et d’enseignement supérieur.
Ainsi a-t-on tendance à croire, à tort, que l’Education Nationale est, nationale.
Pas du tout.
Le mondialisme concerne progressivement tous les aspects de la vie (sociale, sociétale, il contrôle ce que vous lisez, ce que vous mangez, comment vous jouez, tout et de plus en plus), et en particulier l’éducation scolaire, et, comme en est l’objectif, l’éducation « tout au long de la vie ».
Formes, contenus, objectifs, sens, tout est, ou est en passe, d’être changé.
Les gouvernements occidentaux, les élites économiques, les grandes entreprises, les dirigeants des Organisations économiques internationales proposent dans tous les grands fora mondiaux, leur modèle d‘éducation mondiale.
Le premier « Forum mondial sur l’éducation et la formation tout au long de la vie » , s’est déroulé à Paris, au Conseil Régional d’IDF le 28 octobre 2OO8.
Ils entendent s’occuper de l’apprentissage, je cite, « de la petite enfance à la retraite », « ce concept (d’apprentissage) dépass(ant) les frontières, les temps et lieux de vie dans la nouvelle “ société apprenante ” » .
Nous voilà fixés, pour ne pas dire « scotchés ».
Ils s’intéressent tout particulièrement aux territoires régionaux où, je cite toujours, « se pose la question d’une nouvelle gouvernance des politiques d’éducation et de formation », et où « préfigure la création d’un réseau mondial ».
C’est parmi les intervenants de ce forum que l’on retrouve tous les acteurs de cette grande valse de la domination mondiale.
Entrent en scène :
- tiens, Jacques Delors cité en préambule, son ombre planera donc sur le forum mondial de l’éducation.
[C’est bien pour cela qu’il ne faut voir dans les pleurnicheries des socialistes sur la disparition des services publics, que des larmes de crocodile, ils sont les premiers instigateurs de ce modèle mondial.]
- le Comité mondial pour l’éducation et la formation tout au long de la vie [il sonne tellement bien orwellien celui-là … )
- un représentant du Conseil d’état (Plus haute instance administrative dont, on se souvient, Emmanuelle Mignon, la très libérale ex-conseiller discret mais très remarqué de Sarkozy, fait partie, par exemple)
- le Président Directeur Général de la MAIF
[Et oui, la MAIF, l’assureur militant, on le croit sur parole]
- l’UNESCO
- l’OCDE représentée par sa directrice de l’éducation
- les DRH de plusieurs entreprises multinationales (Danone, Soparind-Bongrain),
le Responsable du développement de la formation à l’international,
Veolia Environnement.
- l’association Européenne de l’éducation pour adultes
- le Conseil de l’éducation des adultes d’Amérique latine (l'Amrique du sud leur a servi de laboratoire, notamment le Chili où tout le système éducatif a été privatisé, sur le modèle américain, le reliquat de service public n'étant qu'une grande garderie ou l'antichambre de laprison pour tous ceux qui n'ont pas les moyens de se payer une école).
- l’Agence Europe Education Formation France
- l’Association des régions de France
- le Vice-président de la commission éducation du Comité des régions du Royaume-Uni
- Commission européenne, Unité « Analyses et prospective »
- le CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers)
- le Directeur italien de l’éducation scolaire et extra-scolaire, de l’enseignement supérieur et des langues du Conseil de l’Europe
- L'Organisation internationale du travail (OIT), qui est l'agence tripartite de l'ONU qui rassemble gouvernements, employeurs et travailleurs de ses Etats membres dans une action commune pour promouvoir le travail « décent » à travers le monde.
- l’INFFO (Information sur la formation tout au long de la vie)
- les représentants des ministères de l’éducation de divers pays
- JACQUES ATTALI, le représentant de … JACQUES ATTALI, en deus ex machina.
Il est certain que pour un nationaliste, cela laisse rêveur, ne cherchez pas notre France dans tout cela, elle n’est nulle part.
Leur modèle éducatif répond en effet aux logiques de la globalisation : l’éducation est regardée comme « un facteur de production conditionnant la productivité et la capacité d’attirer les capitaux« . Ils y introduisent les mécanismes et les « valeurs » du marché.
On aura vite fait de reconnaître les mots de passe : « capital humain », « rentabilité des investissements », « marché éducatif », « démarche qualité », « nouveau management », « décentralisation de l’école », « choix de l’école ».
Dans ce bouleversement, l’OCDE, la Banque Mondiale, ou la Commission Européenne jouent un rôle majeur.
Niant que leurs « conseils », leurs « rapports » et leurs « analyses comparatives » aient la moindre portée normative et prescriptive, ils ne manquent jamais de parler de démocratie. Plus les peuples sont éloignés dans centres de décisions, plus l’on parle de « démocratie », qui pourtant signifie bien « par et pour le peuple ».
Ces institutions économiques et financières souhaitent uniformiser la planète, c’est le nouveau sens de l’histoire, il n’y aurait pas d’autre alternative.
Elles ont mis en place des méthodes de contrôle, de financement, d’évaluation (d’autoévaluation, comme le rapport PISA où il s’agit de noter les politiques éducatives à l’aune de leurs propres prescriptions).
L’homogénéisation des concepts est flagrante et permet de déceler le mondialisme partout où il s’immisce, j’ai retrouvé sur le site du Conseil Régional des Pays-de-Loire les termes qui ne trompent pas au niveau de la formation professionnelle et la formation des adultes « tout au long de la vie« , sous forme de « séquences pédagogiques ».
Il faut savoir que l’immense majorité des professionnels de l’éducation et des personnels politiques ignorent souvent la source des « évidences » qui leur sont imposées. Les gouvernements nationaux s’en font le relais et contribuent ainsi à la construction progressive d’un modèle unifié d’éducation à l’échelle mondiale.
Les gouvernements occidentaux, tous acquis à l’objectif de gouvernance mondiale, laissent aux instances économiques et financières internationales, le soin de définir les « priorités« , et les « impératifs » auxquels doivent s’ordonner les réformes présentées comme « incontournables » et « indiscutables ».
Les organisations internationales n’oublieront d’ailleurs pas d’objecter l’obligation de faire « comme ailleurs », « comme les autres » pour rester « compétitifs », « performants, « efficaces ».
Le système fonctionne bien en vase clos, la fin justifie les moyens, et les moyens sont mis à toutes dispositions utiles.
Le but est purement utilitariste, les choix scolaires sont dictés par les « retours sur investissements » et les besoins en main-d’œuvre des entreprises.
On notera certes toujours, une caution morale, et les autres mots de la novlang que sont les termes de « formation citoyenne », « l’accès à la culture », « développement durable », etc.
En parallèle, les grands théoriciens de l’homo economicus, se basent aussi sur les conclusions du NAIRU (Non-Accelerating Inflation Rate of Unemployment), où il est froidement prévu les taux de chômage des différentes zones géographiques pour une meilleure efficience économique, pour la « zone » France, il est calculé que 10 % de taux de non-emploi est le bon ratio.
Dans le même ordre d’idée, on a vu DSK interdire formellement tout augmentation du SMIC en Ukraine, il s’agissait d’une augmentation de 11 Euro par mois …
On nous offre donc notre vie clefs en main, l’emploi avec les salaires de misère et le taux de chômage qui va avec, et avec ça, vous aurez le droit de jouer à la chaise musicale. L’immigration étant une parfaite variable d’ajustement.
Dans la vie réelle, toutes leurs belles formations, dont j’expliquerai plus tard comment elles nous formatent plus qu’elles nous forment, se traduisent par une précarité organisée.
Le système global ayant également déterminé que les grandes zones de productivité ne s’établiraient plus en Europe, coupant nette toute autonomie et donc toute puissance et toute façon naturelle de jouer un rôle central dans l’harmonie géostratégique mondiale.
On nous a cantonnés aux rayons des musées et des services, quand on n’essaie pas, cela vient de façon certaine, de permettre l’entrée de travailleurs étrangers avec les salaires et législations sociales de leur propre pays, on connaît tous l’histoire du plombier polonais, mais on sait qu’en matière agricole, on tente de nous imposer une main-d’œuvre à bas coût venue d’ailleurs.
Les régions, vecteurs majeurs du mondialisme, vont jouer un rôle de relais prépondérants, essentiellement en matière de formation (la formation qui conditionne tout le reste).
Les formations professionnelles seront donc proposées en fonction des objectifs comptables du marché.
C’est ainsi que l’on trouve en ce moment des « promo » sur le marché du travail, une formation gratuite pour devenir aide-soignante ou auxiliaire de puériculture est proposée sur le site du Conseil Régional des Pays-de-Loire, c’est un métier difficile et mal payé, il a donc besoin d’un coup de pouce publicitaire, tout comme d’une main-d’œuvre étrangère pour maintenir les salaires à la baisse.
Beaucoup abandonnent du fait des contraintes véritablement pénibles, peu importe, au lieu d’améliorer les conditions et les rémunérations, on préfère renouveler le « stock » de personnels.
Les secteurs des services à la personnes sont également promus, royaume de la précarité et de la misérabilité des salaires s’il en est, et là aussi, une fois usé par ce travail, direction le RSA, n‘espérez même pas le chômage en la matière, d‘ailleurs votre employeur ne vous garantit que 60 généreuses heures par an, et pour la formation « remise en forme » , il sera trop tard.
En matière de formation, notons que les entreprises exploitent souvent de filon en bénéficiant d’aides financières, ainsi les stages sont malheureusement trop souvent détournés de leur objectif initial de formation, à tel point qu'il jouent désormais contre l'emploi.
Sans compter les formations que l’on propose mais dont on sait pertinemment que les offres d’emplois seront délocalisées par suite logique du système libéral de rentabilité maximale; peu importe, on utilisera la main-d’œuvre pour mieux s’en débarrasser le jour venu. On lui retrouvera une formation précaire qu’il acceptera faute de choix, s’il n’a pas encore perdu tout espoir. Et si c’est le cas, on a tout prévu, une formation pour retrouver « confiance en soi » est toujours possible, en attendant la prochaine utilisation de l’outil humain.
L’entreprise d’éducation commence comme il l’a été signalé « dès la petite enfance ».
Le processus est bien entamé, l’éducation mondialiste est une voie de fait en France, comme dans la plupart des autres pays.
Le système libéral a trouvé dans les néo-pédagogues, les parfaits idiots utiles, pour asseoir leurs dogmes.
En effet, en mettant à bas les méthodes traditionnelles d’instruction, que l’Histoire avait forgées, ciselées comme le plus précieux des joyaux, rendant possible la transmission et la réflexion, la table était rasée, on pouvait ainsi librement instauré les jalons du nouveau monde.
En mettant fin à la transmission des savoirs, on ramenait l’homme à l’état de nature, de bête au cerveau peu structuré.
1984 n’était-il lui-même pas intitulé : « The Last Man in Europe » ?
Et n’y est-il pas question de la destruction de la langue et de la logique ?
Il a fallu 2500 ans après la naissance de l’écriture pour arriver à l’abstraction de la lettre par les grecs anciens.
Mais ce n’est qu’en 1981 que les connaissances en matière de neurosciences, expliquent et prouvent les conséquences physiologiques que l’alphabet engendre.
Par le b a - ba, nous mettons en branle des liaisons synaptiques qui activent et relient les neurones entre eux. Par le travail, c’est-à-dire l’effort, la fréquence, on trace et maintient le chemin que le cerveau retient et pourra donc utiliser.
Auparavant, en apprenant les choses de façon globale, seule était activée la partie répétitive du cerveau. Avec les lettres grecques, naissait aussi l’accès à l’analyse.
Nous nous sommes construits ainsi au niveau cérébral, notre cerveau ancestral s’est mis en place avec la naissance du langage, il ne répond de cefait plus qu’à un apprentissage logique allant toujours du plus petit élément vers le plus complexe.
(Lire Les Neurones de la lecture du mathématicien, linguiste et professeur au Collège de France, Stanislas Dehaene, ou encore, Lecture : La recherche médicale au secours de la pédagogie du Docteur Ghislaine Wettstein-Badour.
Avec l’abandon des méthodes logiques, nous revenons à des méthodes globales qui partent de là où l’on devrait aboutir, on demande à l’enfant de construire en peu de temps, les connaissances que plusieurs générations d’hommes ont accumulées.
Dans ces conditions, le cerveau ne stimule plus les mêmes liaisons, c’est trop complexe alors il mémorise globalement sans détailler.
Le prix Nobel de médecine 1981, Roger Sperry a démontré le phénomène, il n’a été que confirmé depuis, notamment par IRM (Images à résonnance magnétique).
Les linguistes ne l’ignoraient pas, par simple observation.
Les nouvelles méthodes sont beaucoup plus rapides et plus ludiques, elles donnent une impression de savoirs et de savoir.
Les tenants de l’égalitarisme ont trouvé dans ces méthodes, un moyen de satisfaire à leur idéologie.
Connues depuis l’Antiquité, les méthodes globales d’apprentissage n’ont réussi à percer, de façon sporadique qu’au XIXème siècle dans des sectes, (toutes les sectes actuelles utilisent d’ailleurs toujours ces méthodes), elles s’imposent dans les ministères dans les années 60-70, même si elles connurent d’abord une première réelle application en Allemagne au début du XXème siècle, et ce, pendant toute la montée du troisième Reich où, là aussi des sectes avaient bien travaillé le terrain.
Le système marchand n’a pas besoin d’un Honnête homme.
L’Honnête homme est cette homme que l’identité française a forgé au XVIIème siècle, il est un être de contrastes et d’équilibre. « Il incarne une tension qui résulte de cette recherche d’équilibre entre les exigences de la vie et celles de la pensée, entre les vertus antiques et les vertus chrétiennes, de l’âme et du corps. Il lui faut fuir les excès, même dans le bien. En un mot, il est un idéal de modération et d'équilibre dans l'usage de toutes les facultés. »
L’Honnête homme est « un généraliste, ce qui suppose une représentation unifiée du savoir. Il s’oppose ainsi au « "spécialiste" (en grec, idiôtès : celui qui s'enfermant dans un savoir unique, devient stupide, idiot).» Cet idéal de formation (généraliste) visait moins à développer un certain type de savoir particulier qu'à faire naître le «bon goût». Cette conception de l'Honnête homme renvoie au principe de Montaigne voulant qu'il est préférable d'avoir «la tête bien faite que bien pleine».
Par un alliage judicieux de la culture générale avec le bon goût et la politesse des manières, il entendait que l'homme réalise pleinement la définition antique qui faisait de lui un «animal raisonnable». En un mot, selon la formule de Boileau, il lui fallait «savoir et converser et vivre». »
Ceux qui feignent de s’émouvoir de la spécialisation actuelle trop précoce de l’enseignement, ne sont que des Tartuffes, ceux sont les mêmes qui le promeuvent au niveau mondial auquel ils nous ont enchaînés.
La logique mondialiste de rentabilité maximale et donc immédiate, a besoin d’une main-d’œuvre opérationnelle.
Et l’employeur peut puiser à l’envie dans une réserve de « matériel » humain acculée du fait de l’immigration qui nous pousse à nous soumettre.
Tous les échelons de compétences humaines sont touchées, l’élite, compte tenu des nouvelles méthodes, ne se régénèrera pas en nombre suffisant, on stoppe l’harmonie naturelle, et surtout le sens donné à la vie.
A ce système, nous opposons des idées qui ont du sens
La Nation a du sens, par essence même, c’est le fruit harmonieux de l’Histoire.
Le temps, en général, façonne au mieux, il élimine naturellement ce qui ne va pas, pour ne conserver que le meilleur.
La Nation est le fruit d’une volonté, mais cette volonté a une signification, celle de partager des valeurs communes, de se construire, de se protéger, de transmettre.
La Nation, c’est précisément le développement durable humain, c’est la démarche la plus écologique qu’il soit, on respecte notre flore comme notre faune au centre de la quelle on trouve l’homme parce que tout cela nous est proche, et parce que, maître chez nous, nous avons (avions …) le pouvoir d’assumer notre destin.
Et parce que la transmission au niveau d’une Nation se fait via l’école, il est urgent de recouvrer notre identité, et donc notre souveraineté, en la matière, comme dans tous ses autres pans, de remettre à l’endroit la façon que nous avions de transmettre notre langue et nos sciences, qui ont donné l’esprit français, un génie propre, apprécié dans le monde entier, qui a , et qui pourrait encore servir de modèle à qui le souhaiterait.
Chiffres : Nombre d’habitants en Loire-Atlantique : 1M 2
: Nombre de foyers : 600 000,
: 300 000 imposables,
: 130 000 foyers sous le seuil de pauvreté (Chiffres 2004, concerne 330 000 personnes),
: bénéficiaires RSA : 36 000 bénéficiaires travaillant auxquels s'ajoutent les 20 000 anciens rmistes
(2007, dernier rapport de la CRC) … La chambre régionale des comptes a pu observer que les outils d’évaluation permettant aux établissements de suivre le devenir professionnel de leurs anciens élèves sont nettement insuffisants, voire inexistants.