Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Libertariens (Libéralisme) - Page 20

  • Marion Maréchal Le Pen, l'objet très identifié de l'extrême-droite

    Marion est le produit propulsé par la véritable extrême-droite, tous les lobbies les plus extrémistes sont derrière elle, une marionnette, c’est vraiment cela.

    Marine n’a pas été jugée crédible par ces groupes, comme JMLP jadis, qu’ils ont lâché en cours de route.

    Marion est la nouvelle pouliche, et semble tout à fait prête à tenir l’exact rôle que l’on attend d’elle.

    Elle saura ne sortir que les débilités libérales qu’on attend d’elle, sans les saillies antisémites de son grand-père, et elle saura transformer son discours raciste en anti islamisme bon ton.

    Et contrairement à Marine, elle n’a pas de penchants sociaux, ni sociétaux, qui sont des travers pour l’extrême-droite.

    Les parrains de la petite peaufinent leur créature et la lanceront véritablement au moment opportun.

  • Que Debout La République commence à balayer devant sa porte !

    Dominique Jamet, acolyte de Nicolas Dupont Aignan, veut faire le ménage en Corse, est-ce une blague ?

    Un Dominique Jamet, lié au Club de l'Horloge et autre Opus Déi anti-Etat, qui s'en prend à l'Etat avant même qu'il n'ait pu intervenir.

    Nous ne sommes pas en république bananière, notre justice a besoin de temps et ne laissera pas passer, Taubira ou pas d'ailleurs, la culture de l'excuse de la droite à bon dos, notre justice fonctionne mieux sans les coupes sombres de la droite comme de la gauche.

    Mais Jamet a sans doute aussi quelques explications à donner sur ses copains Bob Ménard ou Riposte Laïque, pour ne rien dire de l'Opus Déi et du Clib de l'Horloge, et leurs xénophobie en général et islamophobie en particulier, n'est-ce pas ?


    Corse : il est temps de faire le ménage ! Debout La France
    Les événements scandaleux qui se sont produits ces derniers jours en Corse montrent une fois de plus combien le recul de l'Etat républicain s'est aggravé depuis 2012. Plus que jamais, nous devons manifester notre entière solidarité avec les…
    DEBOUT-LA-FRANCE.FR

  • Gérard Longuet, encore un père pour Marion Maréchal Le Pen

    Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît.

    Le sénateur Longuet :

    "La formation professionnelle, c'est indispensable. Ce qui compte le plus, c'est la motivation professionnelle. Nous avons des Français qui ont des poils dans la main, il faut le savoir. C'est-à-dire que 'c'est trop dur', 'c'est trop loin', 'c'est pas ce que je veux', 'vous comprenez moi j'ai été formé pour faire du théâtre et on me propose de faire du commercial'... Beh non..."


    Les politiques, des commerciaux juste là pour vendre leur daube, mauvais comédiens, leur théâtre ne ressemble à rien, ils n'ont ni la culture, et encore moins le coeur, nécessaires à l'interprétation.

    Commercial, la panacée du monde libéral, VRP des banques, représentants de l'industrie pharmaceutique, courtiers en assurances,, homme-sandwichs, femmes-Tupperware ...

    Du théâtre, et pourquoi pas lire La Princesse de Clèves alors qu'il y a des jobs en carton-pâte !

    Mal-bouffe, mal-job, be American.

    Voilà l'offre, quand elle existe, même les boulots de merde sont distillés avec avarice.

    Pour se payer cette parcimonie, il faut déjà être riche.

    Payer le prix pour travailler, ce n'est pas au sens figuré, mais encore faut-il connaître le marché du travail pour le savoir, comprendre comment fonctionne leur économie du profit, qui n'en est pas une, pour arrêter de dire des conneries.

    Refuser, ce n'est pas avoir des poils dans la main, c'est en avoir dans le nez, qui chatouille, et qui n'a pas envie de le faire court, comme leurs vues.



    VIDÉO - Longuet sur le chômage : "Nous avons des Français qui ont des poils dans la main" - Le...
    Chômage : pour Longuet, "des Français ont des poils dans la main".
    LELAB.EUROPE1.FR
    J’aimeCommenterPartager

  • Les cons d'Amérique ont trouvé plus cons qu'eux en la personne de Marion Maréchal Le Pen

    En attendant les hommages de Donald, on va pouvoir offrir un bonnet de Mickey à la marionnette.

    Sarah Palin, la femme politique la plus gourde de tous les temps, égérie de l'extrême-droite américaine, se reconnaît en Marion Maréchal Le Pen.



    Sarah Palin clame son admiration à Marion Maréchal-Le Pen
    L'ancienne candidate républicaine à la vice-présidence américaine voit en la jeune frontiste une femme qui lui rappelle Jeanne d'Arc.
    LEPOINT.FR|PAR LE POINT, MAGAZINE

  • A l'Opus Déi, on a des explications

    Voilà ce qui arrive quand on sniffe les hosties



    Christine Boutin voit dans le Mariage pour tous l'une des raisons du "tsunami FN" aux régionales
    LELAB.EUROPE1.FR




    Tout s'explique ...


    Christine Boutin relaye un billet de blog expliquant que le mariage gay aux États-Unis est le fait de juges juifs.


    Christine Boutin, le mariage gay et les juges juifs, article le plus de la semaine sur le Lab -...
    Et le sujet le plus lu de la semaine sur le Lab est...
    LELAB.EUROPE1.FR




    Et si un tremblement de terre arrive, c'est parce qu'on ne va pas assez à la messe ...

  • Marion Maréchal Le Pen, la révélation, un service à la nation

    L'avantage est qu'il existe désormais une incarnation parfaite de l'extrême-droite en la personne de Marion Maréchal Le Pen :

    - identitarisme

    - intégrisme (djihadisme)

    - xénophobie

    - islamophobie

    - antisémitisme

    - libéralisme (anti-social, anti-sécurité sociale)

    - suprémacisme

    - anti-républicanisme

    - anti-étatisme


    Incarnation de la bêtise et de la méchanceté humaines, anti-unité française, l'anti-France a trouvé sa madone, Villiers est aux anges, ceux de la destruction en voie d'achèvement.

    A Marine Le Pen de prendre ses responsabilités et de rompre avec cette vermine, ou de se laisser attaquer toujours plus en profondeur, et qui, en attendant, joue les faux-cul de première, mais n'est-ce pas son interprétation fétiche ?

  • Rivarol va se retourner dans son vomi

    Les petits copains de MMLP jouent à se faire peur ...


    «Je veux juste mon fric et mes flingues et que personne, bordel, ne me dise ce que je dois faire, voilà ce qui dicte ma politique».

    Il admire Bush, Reagan et Trump.

    Jesse Hughes est aussi un catholique ultra conservateur et anti-avortement, qui aime parler du «diable» lorsqu’il évoque le monde actuel.
    Il a été ordonné prêtre de l'Ordre Saint-François par l'Universal Life Church il y a deux ans, et «célèbre des mariages entre deux tournées».

    «Il y a une énorme contradiction car mon job quotidien, c'est le rock'n'roll, ce qui présume être un serviteur du diable. Mais le King du rock'n'roll, Elvis Presley, nous a appris quelque chose: tu dois vénérer le Seigneur. La moitié de ses albums étaient du gospel et il allait à l'église tous les dimanches. Je ne fais que suivre la voie tracée par Elvis»

    Le chanteur des Eagles of Death Metal est militant pro-armes à feu, anti-avortement et soutient...
    «The Redemption of the Devil», un documentaire consacré à Jesse Hughes, chanteur du groupe Eagles of Death Metal, le montre en adorateur des armes à feu …
    M.SLATE.FR



    Jesse Hughes : un militant pro-armes à feu, on l’a dit, mais aussi un chrétien (1) ultra conservateur et anti-avortement, fervent soutien de Donald Trump, admirateur transi de Ronald Reagan et qui voit aussi en George Bush « un héros » (« Un mec qui adore ZZ Top est le genre de salopard que j’apprécie », dit-il, parlant de l'ancien président américain) et enfin adepte du créationnisme. Bref, cela fait quand même beaucoup pour un rockeur.

    « Tout part en couilles. Honnêtement, si les armes à feu étaient interdites aux Etats-Unis, ce serait un désastre », explique-t-il dans The Redemption of the devil. Disponible depuis le 2 octobre sur iTunes, le documentaire d’Alex Hoffman se déploie sur une année, au moment où Hughes célèbre ses 40 ans. On y suit en partie l’enregistrement de Zipper Down, le dernier album des Eagles of Death Metal, et les obsessions d’un personnage complètement azimuté. Hughes, dit le film, est « un diable en rédemption ».

    Il en a bavé : à l’aube des années 2000, marié, obèse et perdu dans une vie bornée, il trouve sa femme au lit avec sa meilleure amie. Le désespoir le fait tomber dans les drogues, mais le speed, en l’occurrence, lui fait perdre aussi énormément de poids. Jesse Hughes devient Boots Electric, surnom que lui donne Josh Homme, son ami d’enfance.

    Avec lui, il fonde en 2004 Eagles of Death Metal. Moustache de texan, tatouages en pagaille, Jesse Hughes devient un autre homme, et quatre albums plus tard, une rock star.

    “Ce dont ce pays a besoin, c’est que tout le monde retourne dans les églises”

    Sa rédemption passe aussi par Jésus Christ. Ordonné prêtre de l'Universal Life Church il y a trois ans, il célèbre aujourd’hui des mariages, entre deux tournées : « Ce dont ce pays a besoin, c’est que tout le monde retourne dans les églises. Dès maintenant », prêche-t-il dans le film. Depuis sa ville de Palm Desert en Californie, Hughes réfléchit aussi beaucoup à la destinée de son pays et pensait même sérieusement à se faire élire à la chambre des représentants pour briguer ensuite… la Maison Blanche. Hughes a toujours été passionné par la politique.

    Il peut même se targuer d’y avoir une petite expérience, puisqu’il fut jadis, à l’âge de 20 ans, la plume des discours politiques de Sonny Bono (la moitié de Sonny & Cher), lors de la campagne ratée de l’ex-chanteur pour devenir sénateur républicain, en 1992. Dans le même temps, Hughes n’aime rien tant que fumer des kilos d’herbe avec sa copine Tuesday Cross, ancienne actrice porno, parle de sa « bite » toutes les deux minutes et jure à longueur de temps, ce qui énerve beaucoup sa mère, très présente dans The Redemption of the devil.

    Eagles of Death Metal : Jesse Hughes, rockeur pas si cool
    Militant pro-armes à feu, prêtre anti-avortement ou encore fervent soutien de Donald Trump, le chanteur du groupe Eagles of Death Metal est loin...
    TELERAMA.FR

  • Poutine, au moins une guerre de retard

    Poutine qui s'alimente tout directement aux argumentaires des libertariens américains, il reprend les éléments conspi qui datent de l'an dernier, c'est pathétique.

  • L'inconséquente Marion Maréchal Le Pen

    Ce qui gêne les libéraux comme Marion Maréchal Le Pen, c'est que l'Etat intervienne en général, et se mêle de santé publique en particulier.

    Les avortements clandestins entraînant le pronostic vital des femmes ne la dérangent pas, ni les avortements bourgeois à l'étranger pour ceux qui en ont les moyens.

    L'avortement est vieux comme le monde, partant de là, on peut, soit le prendre en compte, soit faire l'autruche, Marion Maréchal est cet oiseau de malheur.


    Contrairement à ce qui a été véhiculé, la Loi Veil est une loi sur la vie.

    Le premier alinéa de cette loi, et donc le principal, rappelle ce grand principe.

    Le principe, c'est la vie, l'avortement est l'exception, et toutes les mesures doivent avoir été prises pour que ce soit l'ultime recours.

    Non, toutes les grossesses ne sont pas prévisibles, un oubli de contraception est fréquent, cela arrive aux femmes les plus attentives, les préservatifs ont un coût (même si certains députés n'ont visiblement pas toujours conscience de la façon dont les Français les plus pauvres finissent les fins de mois), et la pudeur même peut amener à une grossesse.

    Marion Maréchal Le Pen elle-même n'a-t-elle pas fait montre d'une non-maîtrise en la matière puisqu'elle est tombée enceinte et a dû courir après un mariage de rattrapage pour sauver les apparences qui, dans son milieu, sont de mise.

    Lors de son discours devant les députés, Simone Veil a déclaré :

    « Je le dis avec toute ma conviction : l'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue. Mais comment le tolérer sans qu'il perde ce caractère d'exception, sans que la société paraisse l'encourager ? Je voudrais tout d'abord vous faire partager une conviction de femme - Je m'excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d'hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l'avortement. Il suffit d'écouter les femmes. »

    IVG : "pas à l'Etat de réparer l'inattention des femmes" selon Marion Maréchal-Le Pen -...
    La benjamine de l'Assemblée nationale a déclaré sur Mouv' jeudi qu'elle était favorable au déremboursement de l'Interruption Vonlontaire de Grossesse. Pour…
    LCI.TF1.FR

  • Pierre Gattaz, le patron low cost, face à la nouvelle génération

    Pierre Gattaz a rendu le service minimum syndical dans sa critique économique du programme du Front National, un argumentaire qui a dû lui prendre 35 secondes payé soixante-dix heures.
    Une anti-campagne à pas chère, compétitivité oblige sans doute, il ne s'est nullement plongé dans le programme de Marine Le Pen, qui est très incohérent par ailleurs, reprenant notamment des mesures extrêmement libérales (autonomie des établissements, libéralisation monétaire, étalon-or, décentralisation dissimulée, etc.).
    Le patron des patrons se contente de prendre trois mesures elles-mêmes décriées par les libéraux du Front qui n'attendent qu'une défaillance de Florian Philippot pour reprendre l'entier contrôle.

    D'aucuns diraient du travail d'arabe -et pas celui de l'Alhambra, nous sommes à l'ère Martel-Maréchal Le Pen-, même si le Medef n'a rien contre le travail des immigrés en lesquels il trouve toujours une main-d'oeuvre acculée qui acceptera n'importe quelles conditions et viendra accroître l'offre concurrentielle de l'esclave à employer sur le marché de l'exploitation.



    - La retraite à 60 ans

    Les lobbies libéraux au sein du Front, tentent de revenir dessus, ils n'attendent que patiemment un éventuel moment de disgrâce qui éliminerait Philippot, voire Marine Le Pen elle-même.

    Il y a plein de copains de Gattaz au Front, les Gattaz, Pierre et Yvon, et les Contribuables Associés - aujourd'hui aussi à Marion Maréchal Le Pen-, c'est une longue histoire, la même qu'avec la dynastie Le Pen.



    Il est une autre romance qui fait bon ménage : l'alliance patronat/Club de l'Horloge dont les aiguilles flottent toujours au plus près de Marine Le Pen, et même de Florian Philippot, qui n'a jamais donné d'explications sur son alliance a priori contre-nature avec la droite de la droite de Jean-Yves Le Gallou et de sa clique libérale conservatrice, ni avec les recrues de l'IFP (Institut de Formation Politique), encensé par Marion Maréchal Le Pen, et dont les cadres se forment dans les lobbies libertariens américains.


    Tous ceux-là fustigent ensemble la retraite à 60 ans, et alors même que ce sont les entreprises qui, en plus de délocaliser pour trouver toujours plus compétitif (comprendre clairement que l'esclave est moins cher sur le marché exotique), se débarrassent des "seniors", et qui sont bien contentes de cette concurrence sur le marché du travail.

    Et qui verront, à force de "compétitiver", ce qu'il restera bientôt des bonhommes qui auront eu le travail-sauf à 60 ans. Si le travail est flexible, pas sûre que tirer sur la bête humaine, la rende plus souple à la tâche.


    Et il est vrai qu'un patron à la mentalité patronale, ça croit en général travailler plus que tout le monde, à faire suer les autres, ce qui occupe tout son esprit (même quand il bouffe, il travaille), tant et si bien qu'il est incapable de comprendre que la véritable responsabilité échet et échoue in fine dans les dernières petites mains, presque aussi invisibles que la non-régulation qu'ils appellent de leurs vœux.


    - L'augmentation du Smic, la dernière Loi Ayrault va l'augmenter d'une centaine d'euros via la suppression de la CSG, mais il est vrai que le Medef demande plusieurs Smics (des sous-Smics pour les jeunes, pour les repreneurs d'emplois, etc.) de façon à payer une bonne partie des cacahuètes.
    La gauche libérale a beau se démener pour faire mieux que la droite en matière d'aplaventrisme économique -si tant est qu'elle puisse rivaliser-, elle risque toujours de dégoter une mesure de derrière les fagots pour sauver les apparences.
    Et supprimer une taxe, voilà une mesure de droite que la gauche peut prendre sans appréhension, Ayrault, hérault et héros de Contribuables Associés, serait presque nommé au prochain Prix libéral à la con, si Macron n'arrivait pas avec sa bonne tête à claques, rafler toutes les médailles.
    Macron premier de la classe, Sarko-la-loose aura beau pomper dessus et faire du lèche avec son "choc des civilisations fiscal", pour un patron, la main-d'oeuvre est Kleenex, Sarkozy n'a pas compris qu'il est un produit périmé, déjà-vu, dépassé, on est à l'ère du one-shot, le modèle politicien n'est à la mode qu'une année, à la rigueur une année tous les vingt ans parce que le nostalgique est toujours vendeur, surtout à l'ère "plus libéral qu'hier, toujours moins que demain", un candidat d'hier pourra toujours avoir un côté rassurant.


    - Le retour au Franc qui n'est jamais que le retour d'un pan de souveraineté de la France, et donc de son Etat régulateur qui fait naturellement horreur au Medef car rempart à l' emprise des gros intérêts privés.

    Et de feindre le "repli sur soi", comme si la monnaie n'était pas une monnaie d'échanges, et comme si cela empêchait les discussions quand c'est souvent l'Euro qui les bride.

    Le Medef qui stigmatise une économie basée sur la consommation et non sur la compétitivité (comprendre, baisse de tous les salaires -sauf les leurs-, droits et protections).
    Il est vrai que pour consommer, il faudrait que le consommateur ait un certain pouvoir d'achat, et donc sans doute un meilleur salaire par rapport aux prix à la consommation?
    Ce n'est donc pas cette option que le Medef va choisir.

    Comme si l'économie tournait autour de cette unique alternative, et comme si elle devait dominer toute chose.




    Enfin, Gattaz parle avec quelques guerres de retard, histoire d'avoir quelque chose à dire pour défendre le lobby dont il est le patron et qui, entre nous, devrait aller se faire foutre, chez les Grecs ou en Suisse, mais définitivement, pas pour aller et venir selon les profits à générer, le politique doit embrasser une vue d'ensemble, d'en haut, les intérêts particuliers portés au pinacle sont l'inverse de l'intérêt général.

    Car il y a une composante lepéniste qui est bien plus en avance sur son libéralisme, Gattaz se fait dépasser par sa droite par les lobbies libéraux qui ont choisi d'adouber Marion Maréchal Le Pen (n'en déplaise au Point qui ne sait utiliser que le terme anglo saxon de "liberal" et qui a du mal à bien définir les cons qui tapissent le mur du libéralisme).

    Et au passage, rappelons que l'identitarisme est un libéralisme.
    Martel en tête, Marion Maréchal Le Pen a pour parrains les saints patrons libéraux de chez libéraux, cornaqués par l'Opus déi et ses réseaux puissants, Gattaz risque le licenciement pour insuffisance professionnelle lors de la prochaine tournante, l'heure est à l'immigration choisie parmi l'élite chrétienne, les banquiers sont aussi des assureurs, et les mêmes ont pipé les aléas en plombant l'islam, et espèrent rafler la mise au ban en misant justement sur les théories du choc.