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Libertariens (Libéralisme) - Page 17

  • Connaissez-vous la jumelle cachée de Marion Maréchal Le Pen ?

    On la voit refourguée par les lobbies libéraux sur tous les plateaux télé, récemment pour dire tout le mal qu'elle pensait de notre Code du Travail.

    Elle sort des lobbies libertariens de l'Opus Dei (faux cathos, vrais libéraux) qui forment leurs cadres à l'Heritage Foundation à Washington, entre autres.

    En France, on les retrouve à l'IFRAP, Contribuables Associés, l'Institut de Formation Politique, l'Institut Pour la Justice, etc., la nébuleuse est importante.

    Ils investissent tous les milieux, économiques, médiatiques, politiques (de tous les partis).

    La religion n'est qu'un prétexte, l'idéologie est économique, mais les réseaux catholiques leur permettent un maillage et une influence mondiale, ainsi que des financements, leurs réseaux sont les plus influents au monde, alors qu'ils ne représentent rien qu'une secte.

    Agnès Verdier-Molinié, une catho de Salon Beige, des tartuffes, imposteurs qui utilisent la religion pour asseoir leur idéologie libérale.

    C'est la même fabrique que Maréchal Le Pen, sauf que Marion sait que, si elle veut garder sa place, elle doit montrer ce profil en un peu plus bas.


    " Une égérie du capital : Agnès Verdier-Molinié
    (rediff)
    13 mars 2015

    Elle rêve de tailler dans le gras de la fonction publique, de dépecer l’Etat social à la tronçonneuse. Avec ses idées simples, Agnès, Marie, Bénédicte, Verdier-Molinié [1] plaît aux journalistes et aux patrons. Pas une semaine sans l’entendre vociférer contre les fonctionnaires sur BFM TV, sur Europe 1 ou encore dans « C dans l’air » sur France 5.

    Qu’importe sa moue souvent fielleuse, ce François de Closets en tailleur Gérard Darel est « éminemment télégénique », s’enthousiasme Le Figaro (Figaro, 29 mars 2013). Du côté de Libération, on la dépeint comme une « bucheuse », « ni pasionaria vociférante, ni caricature bourgeoise » (Libération, 25 septembre 2013). Depuis qu’en 2009 Agnès Verdier a pris les rênes de la Fondation IFRAP, son cours médiatique s’est envolé. Sa recette ? Incarner l’austérité et asséner sans relâche des chiffres invérifiables.

    Passages TV d’Agnès Verdier-Molinié

    graph Source : Inathèque

    Bonne cliente des media, Agnès Verdier-Molinié passe de plateaux en plateaux pour réciter son catéchisme libéral. Pourtant, elle qui disserte à l’envie sur l’économie de notre pays n’est pas économiste. Née à Talence (Gironde) en 1978, Agnès Verdier-Molinié a entamé ses études dans un lycée privé catholique – elle promeut d’ailleurs l’enseignement dit « libre » – avant d’obtenir une maîtrise d’histoire contemporaine à l’Université de Bordeaux. C’est Christine Lagarde, ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui l’a intronisée économiste en la nommant membre du Codice (Conseil pour la diffusion de la culture économique) en 2008 – un organisme dissous depuis, qui devait inculquer aux Français les valeurs de l’économie de marché [2]. Seuls liens avec l’« enseignement », quelques cours dispensés au sein de l’Institut de formation politique, une école privée où l’on apprend à détester les fonctionnaires, les syndicalistes et le mariage pour tous. Autant dire que les jugements de l’experte Agnès Verdier-Molinié sont partiaux. Elle connaît d’ailleurs très peu le monde du travail. Avant qu’elle ne rejoigne l’IFRAP en 2002, ses expériences professionnelles se sont limitées à des piges (pour le Figaro et L’Express notamment [3]). Tout au plus a-t-elle donné des coups de mains au château familial à l’occasion des vendanges.

    L’évocation de cette jeunesse de châtelaine fait verser une larme à la journaliste du Figaro. On imagine la famille Verdier y vivre sans eau, ni électricité : « Élevée dans le Bordelais par des parents viticulteurs « anticonformistes » qui avaient racheté une maison en ruines pour y élever leurs quatre enfants, elle apprend à leurs côtés le « sens du travail acharné » ». Quel calvaire cela a dû être de vivre au Château Bessan, un édifice construit au 17e siècle, entouré de douze hectares de vignes, situé « au détour d’une petite route sinueuse et pittoresque qui suit les méandres de la Garonne, depuis le haut du coteau » (Sud Ouest, 26 avril 2008) ! Comme il a dû être pénible de supporter un père surfeur, adepte de l’agriculture biologique et adhérent à la Confédération paysanne.

    chateau-bessan

    Mais les Verdier sont-ils vraiment anticonformistes et partis « de rien » comme l’écrit Libération ?

    Les parents et grands-parents de notre Causette libérale figurent en bonne place dans le Bottin Mondain, ce grimoire qui recense grands bourgeois et aristocrates. Quand ils rachètent Château Bessan en 1986, les Verdier ne sont pas tout à fait démunis : lui, descendant d’une famille de viticulteurs, a fait des études à Dauphine et à la Faculté d’œnologie de Bordeaux et a déjà géré des châteaux ; elle officie comme assistante de direction. Leur vignoble est aujourd’hui une prospère entreprise familiale que dirige le petit dernier.

    De cet univers cossu, Agnès Verdier n’a pas seulement hérité d’un goût pour l’œnologie. Chez les Verdier, la politique n’est jamais très loin. L’arrière-grand père maternel, Maurice Hanaut (dit Maurice d’Hartoy) a fondé en 1927 les Croix de feu, célèbre association d’anciens combattants qui s’est rapidement transformée en une ligue nationaliste, anticommuniste et anti-parlementariste, initialement financée par le sulfureux François Coty, patron du Figaro [4]. Son fils, le colonel Bernard d’Hartoy, qui fut rédacteur en chef de la Voix du combattant, a des convictions bien trempées : ancien séminariste, c’est une figure de proue de l’association Laissez-les vivre, un groupuscule catholique anti-avortement où il ne fait pas bon vivre quand on est laïc ou franc-maçon [5]. Quand il ne pourfend pas les avorteurs, le grand-père défend la mémoire de ses héros nationaux préférés : le maréchal Pétain, notamment.

    laissezlesvivre

    De son côté, Agnès Verdier-Molinié s’est trouvé d’autres grands inspirateurs. Grâce à la Bourse Tocqueville – un prix atlantiste décerné avec le soutien de Contribuables associés – elle a découvert les activités des think tanks américains, notamment de l’Heritage Foundation et du Cato Institute en 2004. Dans ces cénacles, où l’on conjugue amour du laissez-faire et ultra conservatisme, elle a rencontré Robert Rector. Cet inspirateur du Federal Welfare Reform Act de 1996 a entrepris de transformer le Welfare américain en Workfare, un système qui conditionne l’obtention d’aide sociale au travail et contribue ainsi puissamment à dégrader les conditions de travail des salariés au profit du patronat[6]. Évidemment, si Robert Rector veut dérèglementer le marché du travail, il pourfend l’immigration non régulée et promeut l’abstinence sexuelle jusqu’au mariage. Car à le lire, le sexe déprime et pousse au suicide.

    Ultralibéralisme et réaction font souvent bon ménage. En présentant Agnès Verdier-Molinié comme une experte et en ne l’interrogeant que sur les thématiques qui constituent son fonds de commerce (impôts, syndicats, fonctionnaires, etc.), les médias contribuent à dissimuler que les marottes des libéraux ne poussent pas dans le ciel des idées. Elles servent les intérêts des dominants qui, s’ils veulent librement s’enrichir, ont tout intérêt au maintien de l’ordre social. Elles s’accordent, en outre, parfaitement avec un point de vue ultraconservateur qui voit la main de dieu derrière le libre jeu du marché."

    Emilie Wright

    Pour lire l’épisode 1 de la série consacré à l’IFRAP

    Pour lire l’épisode 2 consacré à l’AFEP

    [1] Agnès Verdier a épousé en 2005 Laurent Molinié, ancien élève de l’École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC), consultant en stratégie chez PricewaterhouseCoopers.

    [2] Agnès Verdier devrait d’ailleurs se féliciter de ne pas être économiste. A son âge, elle ne toucherait pas 4000€ par mois à l’université. D’autant qu’elle ne possède aucun des titres permettant d’y exercer des fonctions d’enseignant-chercheur.

    [3] Voir par exemple, Renaud Revel et Agnès Verdier, « Le pouvoir gay », L’express, le 21 juin 2001.

    [4] Albert Kechichian, Les Croix-de-Feu à l’âge des fascismes : Travail Famille Patrie, Paris, Éditions Champ Vallon, 2006.

    [5] Le bulletin de Laissez les vivre publie d’ailleurs de la réclame pour le Château Bessan

    [6] John Krinsky, « Le Workfare. Néolibéralisme et contrats de travail dans le secteur public aux Etats-Unis », Les notes de l’Institut Européen du Salariat, n°8, novembre-décembre 2009.

  • Le droit du travail d'extrême-droite aidera-t-il l'extrême-droite à remporter les présidentielles ?

    Si on a des enfants, que l'on a été abandonnée par le père et que l'on travaille au SMIC ou à un sous-SMIC imposé (la flexibilité imposée existant déjà dans de nombreux domaines), on n'est pas éligible à la CMU-Complémentaire ni à l'Aide Complémentaire Santé, ni à la Prime d'Activité.

    Le gouvernement de gauche ne saborde pas que le droit du travail pour les pauvres, il s'en prend aussi aux familles monoparentales pauvres.
    Tout en se gargarisant d'un Ministère "des familles" au lieu et place du Ministère de la famille, histoire de se redorer le blason à bon compte et à nous payer de mots.

    Alors aux présidentielles, racistes ou pas, cons ou pas, bi nationaux ou pas, les pauvres seront bien obligés de voter pour le parti qui fera le plus semblant d'être contre les nouvelles mesures en matière de droit du travail.

    Ce ne sera pas la gauche, encore moins la droite, il ne restera que Marine Le Pen, même si l'on voit bien que de Ménard, au Collard en passant par Marion Maréchal Le Pen, les mesures d'extrême-droite de la gauche et de la droite ne demanderaient là aussi qu'à passer.

    Reste aussi que l'extrême-droite flatte le pauvre en voulant le transformer de super-pauvre à Uber-pauvre, c'est pareil, mais dans le second cas, tu dois gagner tes prestations sociales compensatrices maigres de leur dérégulation des métiers et de la société, à la sueur de ton front.

    Bref, on ne saurait plus sur lequel se battre.

  • Le FN du Nord et la maréchalisation dérobée

    Bing, et un petit coup contre le Code du Travail -qu'il n'a jamais dû ouvrir-, le Code du travail est sans doute le moins complexe de tous les Codes, et il est là pour nous protéger, mais si on peut abonder dans le sens du Medef, on n'a pas été mégrétistes pour rien, et prendre son électorat pour un con au passage.

    "L’avenir de la dentelle de Calais gravement menacé par la concurrence déloyale et la complexité du code du travail"
    Communiqué de presse conjoint de Steeve Briois,…

  • Le pire derrière Sapir

    Sapir et ses petits copains d'extrême-droite :

    Sapir et les libertariens.png



    Ca lui va bien à lui de prendre la défense des salariés, il leur raconte ses voyages au bout de l'extrême-droite, là où il crèche, ce n'est pas la pyramide du droit du travail qui s'effondre, c'est Palmyre à la dynamite.


    Jacques Sapir: “La loi Travail fera s’effondrer la pyramide du droit du travail en France”
    Jacques Sapir, économiste, directeur d'études à l'EHESS, rédacteur en chef du…
    BUSINESSBOURSE.COM|DE BUSINESSBOURSE B&B


    http://orianeborja.hautetfort.com/.../les-memes-lobbies...

    Les mêmes lobbies libertariens à l'UMP-UDI et au FN - "Chacun est seul…
    ORIANEBORJA.HAUTETFORT.COM

  • Bob Ménard n'est pas le dernier des libéraux cons

    Le petit télégraphiste de l'Opus Dei qui veut achever la vente de la France aux lobbies autrichiens de Washington.

    Pour Menard, Le Pen «se trompe» en s'opposant à la loi El Khomri
    LE SCAN POLITIQUE - Pour le maire apparenté FN de Béziers, le parti est «à côté de la plaque» sur l'économie. Il regrette notamment son opposition au projet de…
    WWW.LEFIGARO.FR|PAR TRISTAN QUINAULT MAUPOIL

  • Syncrétisme économique et œcuménisme libérale

    Une élue républicaine se présente voilée.

    Ce qui signifie, tant pour ceux qui portent des insignes musulmanes que ceux qui sont adoubés par l'Opus Dei, et Boutin est loin d'être la seule, qu'ils accommodent bien leur religion -qui s’apparente plutôt à de la bondieuserie- comme ils veulent, et notamment à la violence libérale.


    Ne nous y trompns pas, entre Trump et le Pape, l'Opus Dei a fait son choix, et tous les bons moutons libéraux suivent en bons adorateurs de l'extrême-droite, de sa violence sociale, de ses théories du choc, de son attente de chaos.


    Le port du voile par une élue Les Républicains d'Argenteuil fait débat - Le Lab Europe 1
    Le port du voile par une élue Les Républicains d'Argenteuil fait débat.
    LELAB.EUROPE1.FR/LE-PORT-DU-VOI…

  • L'Opus Dei ouvre des classes autrichiennes près de chez toi

    Les sectes libérales intégristes ouvrent leurs cellules d'embrigadement

    Une école privée d'un genre nouveau ouvrira en septembre à Saint-Étienne
    Le cours Jean de La Fontaine doit ouvrir à la rentrée prochaine à Saint-Étienne, projet d'école privée initié par une mère de famille avec Espérance Banlieues. Cette…
    FRANCEBLEU.FR
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  • Face à l'état d'urgence libéral qui fait feu de tout bois, il est urgent de demander un couvre-feu de la part de l'Etat

    Avec le coup d'Etat mené par le libéralisme sur nos protections du travail grâce à la trahison de nos gouvernants qui sont censés nous protéger des puissants, les multinationales, de l'alimentaire en l'occurence, n'ont rien trouvé de mieux que de traîner les personnes qui travaillent pour elles devant la gendarmerie pour la disparition de trois centimes de sou dans la caisse hier, ou de trois cacahuètes encore aujourd'hui.

    L'état d'urgence chez les multinationales, c'est pas "peanuts".

    Voilà un début d'idée de plus de la dictature de l'actionnariat en marche, la maladie du profit maximum établie aujourd'hui en summum de la bonne santé financière des marchés.

    La bataille de la finance contre l'homme autorisée par le parasitage de la rente contre le travail.



    C'est dans ce contexte que Contrepoints, un des médias libertariens de Washington adulé par l'extrême-droite française en hommage à sa mère patrie outre Atlantique, nous afflige de sa propagande libérale totale stipendiée et au service de grands financiers plus ou moins anonymes.

    Ce petit lobby parmi les nombreux lobbies que compte la nébuleuse libertarienne, nous refourgue l'analyse d'un de ses experts-idéologues, professeur de droit, spécialisé dans l'éthique économique, l'Opus Dei serait encore là-dessous pour répandre ses bonnes œuvres libérales que cela ne nous étonnerait pas, lorsque l'on entend le mot "éthique", qui plus est associé au terme "économique", on sort son revolver.

    Et quand l'éthicologue se met à descendre les politiques sociales et les protections étatiques et jusqu'à l'Etat lui-même, nul besoin d'être grand clerc pour voir son ennemi, celui des peuples et de la France en particulier, messieurs les assassins, passez les premiers.

    S'il fait profession sans doute de l'économie de l'éthique, au sens, qu'il la passe en pertes et profits, l'économiste autrichien de déplorer le manque d'autonomie des collectivités territoriales naturellement, tel un vulgaire Identitaire, c'est un des points, de repère de l'extrême-droite.

    Dès que l'on vous parle d'autonomie régionale, vous pouvez avancer sans douter, il s'agit de l'extrême-droite, qu'elle s'appelle gauche, écologie, ou n'importe quoi d'autre.

    On emmerde donc Contrepoints de vue de Washington, les collectivités territoriales n'ont pas à être autonomes, on n'est pas aux States, n'en déplaise aux lobbies libertariens.

    Et oui, notre Etat, dont les collectivités locales ne sont que des messagers, doit protection à ses administrés, c'est ainsi depuis que la France est France.

    Ce professeur d'économie ne trouve rien d'autres à dire que le coût du Smic pour les entreprises est trop élevé, alors que ce sont ces petites mains qui font le gros du travail des entreprises, les cadres n'étant que des mouches du coche, qui ne ramènent le travail dans leur giron que pour mieux y prendre leur quote part, en s'épargnant les mains dans le cambouis.

    L'homme à l'état de nature est bien peu de chose, l'Etat est une nécessité, n'en déplaise aux barbares, l'Etat unificateur étant à l'homme, ce que la civilisation est au citoyen, une condition sine quo non.

    La vérité est que lorsque l'on baisse les charges de l'entreprise (laissant les contrepartie à la charge de l'Etat et donc des autres), celle-ci en profite pour engranger de plus gros profits et rien d'autre, la rentabilité à court terme est celle qui compte pour ceux qui, en réalité, se foutent de la pérennité de leur outil de travail.

    Au contraire, ils n'attendent parfois que sa perte, c'est une mesure de bonne gestion d'optimisation (les conseillers de Marine Le Pen diraient que cela "performe"), afin de se faire racheter et engranger alors une belle somme et d'aller courir après d'autres bénéfices à court terme, mais il fallait pour cela pouvoir se débarrasser des vrais travailleurs à bon compte, ce que la gauche vient de leur permettre.

    Le très libéral Bayrou envoyait valser notre Code du Travail par-dessus la table, Valls en fait table rase en le faisant réécrire par le Medef, question de style.

    Le tout sous les applaudissements de Wauquiez et de Maréchal Le Pen, respectivement poulain et pouliche des trois frères opuso libertariens Villiers-Buisson-Zemmour (qui avouent tout de même un faible pour le petit Macron), même si à leurs dires, leur flexibilité à eux, laverait plus blanc que celle des rouges, clivages obligent.


    Les libertariens avancent pas à pas contre les peuples, avec la gauche, ils ont encore gagné une bataille, et continuent de fourbir leurs armes libérales au service d'un ordre suprématiste où le faible s'élimine naturellement.

    Leur guerre n'a pas d'odeur politique, ils sont de tous les partis.

    Citoyen, prends garde à toi.

  • Face à l'état d'urgence libéral qui fait feu de tout bois, il est urgent de demander un couvre-feu de la part de l'Etat

    Contrepoints, un des médias libertariens de Washington adulé par l'extrême-droite française en hommage à sa mère patrie outre Atlantique, nous afflige de sa propagande libérale totale stipendiée et au service de grands financiers plus ou moins anonymes.

    Ce petit lobby parmi les nombreux lobbies que compte la nébuleuse libertarienne, nous refourgue l'analyse d'un de ses experts-idéologues, professeur de droit, spécialisé dans l'éthique économique, l'Opus Dei serait encore là-dessous pour répandre ses bonnes œuvres libérales que cela ne nous étonnerait pas, lorsque l'on entend le mot "éthique", qui plus est associé au terme "économique", on sort son revolver.

    Et quand l'éthicologue se met à descendre les politiques sociales et les protections étatiques et jusqu'à l'Etat lui-même, nul besoin d'être grand clerc pour voir son ennemi, celui des peuples et de la France en particulier, messieurs les assassins, passez les premiers.

    S'il fait profession sans doute de l'économie de l'éthique, au sens, qu'il la passe en pertes et profits, l'économiste autrichien de déplorer le manque d'autonomie des collectivités territoriales naturellement, tel un vulgaire Identitaire, c'est un des points, de repère de l'extrême-droite.

    Dès que l'on vous parle d'autonomie régionale, vous pouvez avancer sans douter, il s'agit de l'extrême-droite, qu'elle s'appelle gauche, écologie, ou n'importe quoi d'autre.

    On emmerde donc Contrepoints de vue de Washington, les collectivités territoriales n'ont pas à être autonomes, on n'est pas aux States, n'en déplaise aux lobbies libertariens.

    Et oui, notre Etat, dont les collectivités locales ne sont que des messagers, doit protection à ses administrés, c'est ainsi depuis que la France est France.

    Ce professeur d'économie ne trouve rien d'autres à dire que le coût du Smic pour les entreprises est trop élevé, alors que ce sont ces petites mains qui font le gros du travail des entreprises, les cadres n'étant que des mouches du coche, qui ne ramènent le travail dans leur giron que pour mieux y prendre leur quote part, en s'épargnant les mains dans le cambouis.

    L'homme à l'état de nature est bien peu de chose, l'Etat est une nécessité, n'en déplaise aux barbares, l'Etat unificateur étant à l'homme, ce que la civilisation est au citoyen, une condition sine quo non.

    La vérité est que lorsque l'on baisse les charges de l'entreprise (laissant les contrepartie à la charge de l'Etat et donc des autres), celle-ci en profite pour engranger de plus gros profits et rien d'autre, la rentabilité à court terme est celle qui compte pour ceux qui, en réalité, se foutent de la pérennité de leur outil de travail.

    Au contraire, ils n'attendent parfois que sa perte, c'est une mesure de bonne gestion d'optimisation (les conseillers de Marine Le Pen diraient que cela "performe"), afin de se faire racheter et engranger alors une belle somme et d'aller courir après d'autres bénéfices à court terme, mais il fallait pour cela pouvoir se débarrasser des vrais travailleurs à bon compte, ce que la gauche vient de leur permettre.

    Les libertariens avancent pas à pas contre les peuples, avec la gauche, ils ont encore gagné une bataille, et continuent de fourbir leurs armes libérales au service d'un ordre suprématiste où le faible s'élimine naturellement.

    Citoyen, prends garde à toi.

  • Florian Philippot, Mi pute Mi Soumise ?

    Droate, Union des Drouates, faux-culs de drouette, par quel bout voulez-vous être pris pour un con ?

    Le rêve libertarien et des Horlogers sous les applaudissements de Philippot.

    Philippot qui vire sa cuti cons selon les moments, comme quoi, la sexualité politique n'est jamais vraiment déterminée et il faut se méfier de prendre un amant Ni droite Ni gauche, tu finis dans le lit de la putain de droite à tous les coups.


    Un syndicat étudiant souvernainiste allant des Républicains au FN voit le jour
    LE SCAN POLITIQUE - Alors que les politiques ont échoué à faire tomber les digues partisanes entre les diverses familles de la droite souverainiste, la Cocarde étudiante…
    LEFIGARO.FR|PAR MARC DE BONI