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libéralisme mondialisme - Page 22

  • Le Front National, l'euro et autres clivages entre nationaux et libéraux

    Il n'y a pas trente-six façons de recouvrer la démocratie, c'est de rendre le peuple maître de sa monnaie, c'est le premier des attributs de souveraineté de l'Etat, la pierre angulaire de tout système qui ne dépend pas des puissances privées, et intérêts qui vont avec.

    Il ne serait même pas grave du tout que Marine, selon sa stratégie personnelle du sacrifice de ses proches pour sauver sa peau, se débarrassait de Philippot au terme d'un séminaire-débat où les lobbies libéraux vont faire feu de tout bois et ont déjà commencé la charge par medias interposés.

    Même si c'est peu probable, car elle comprend sans doute que Philippot est le prétexte pour l'atteindre elle-même et la remplacer par la pouliche fétiche des libéraux, extrémistes de droite dure, leur représentante est bien celle que les libertariens de la maison-mère américaine ont désignée.

    Le pendant de Paulin et de Trump, c'est bien la petite tête de proue libéralo identitaro islamophobe (pardon des redondances), Marion Maréchal Le Pen.

    Cependant, ce n'est pas forcément le meilleur scenario, le mouvement national ne semble jamais devoir en finir avec ses scories anti nationale américaines.

    En l'état, il est condamné à vie.

    Si la fronde anti-Philippot pouvait faire mouche, ce serait peut-être le début de la véritable reconstruction nationale autour de tout ce qui est autre chose que ce qu'on ne voudrait plus voir au sein du mouvement qui se prétend comme tel.

    Reste à savoir si ce début aurait une fin, Philippot connaît-il enfin assez l'extrême-droite qui la dénicher partout où elle s'en prend à la France ?

    L'avenir le dira.

  • Ta vie de merde bientôt cotée en bourse !

    Faire du profit sur le chômage, actionnaires, tenez-vous prêts, voilà une entreprise qui ne connaîtra pas la crise.


    Bruno Lemaire voudrait « privatiser » Pôle Emploi
    Alors que François Hollande proposait ce lundi un plan d’urgence contre le chômage , l’ancien ministre Bruno Le Maire propose de son...
    LESECHOS.FR

  • L'extrême-droite veut virer Florian Philippot en le passant par tribord

    L'extrême-droite, chacal, attaque Marine Le Pen de plein fouet pour l'orienter toujours plus à droite, les lobbies sont lancés à pleine puissance pour les présidentielles.

    Et Melliès, t'as pas trouvé une petite place auprès de Pelletier ? T'es de la même veine, ne reste pas là où la souveraineté, monétaire au premier chef, a sa place, elle, ça fait désordre.

    Tu veux le costard, cravate, enfile toute la panoplie, casse-toi avec Beigbeder casser du social.

    Et l'autre débile qui vient prétendument de la gauche pour pousser vers les mesures anti-sociales les plus extrêmes, on rêve, il a oublié de chercher une place chez Sarko çui-là, ou il lui suffisait d'attendre l'installation de Macron.
    Si c'est pour ramasser les ordures politiques des autres partis, c'était pas la peine d'en créer un nouveau.



    Le FN prêt à revoir son programme économique
    Marine Le Pen a accepté la tenue d'un séminaire où son discours économique sera au centre des débats.
    LEFIGARO.FR|PAR EMMANUEL GALIERO

  • L'ex conseiller de Marine Le Pen, Aymeric Chauprade, en cellule d'isolement encadré

    En réalité, Marianne se trompe, Chauprade n'est pas isolé.

    Il fait partie au contraire des réseaux les plus influents de la planète,même s'ils sont très minoritaires, ils s'infiltrent partout.
    Chauprade est cadre formateur à l'IFRAP et l'IFP, qui sont des lobbies directement dépendants de leur maison-mère états-Unienne.

    Ces organisations sont liées à l'Opus Déi, on y retrouve toute la famille Millon, les Beigbeder, les Bourges, Boutin et compagnies.

    Ils forment leurs rejetons à Washington, à l'Heritage Foundation, Cato Institute et autres American Enterprise Institute, soit auprès des groupes d'influence les plus puissants de la planète selon les classements internationaux.

    Ils ont des hommes partout, Macron et le directeur du très islamophobe, xénophobe et libéral Valeurs Actuelles, de l'Opus Déi, Yves de Kerdrel, sont très amis.

    Mais le PS n'est pas alimenté que par le seul Macron de leurs réseaux, ils ont des députés PS et même Ecologistes au sein d'organisations Ad hoc à l'Assemblée.

    Chez Les Républicains, Sarkozy s'est entouré de leurs pions, Guillaume Pelletier bien sûr, mais encore Bazin de Jessey et sa troupe.

    Au Front, la famille Gollnisch naturellement, et Marion Maréchal Le Pen qui est la pouliche la plus en vue des libertariens américains et de l'Opus Déi.

    Bob Ménard est également un rouage important de ces puissances étrangères.

    Même Philippot est relié au réseau via son ancien mentor Paul-Marie Coûteaux et surtout par Yves Le Gallou, dont Marine Le Pen fait un de ses conseillers, sur les conseils justement de Florian Philppot.

    Celui n'ayant jamais expliqué comment il pouvait s'accorder avec ce Club de l'Horloge si malodorant, si libéral, si communautariste, si impérialiste, même si les Horlogers militent à un impérialisme plus libéral que l'actuel qu'ils jugent trop mou.


    Aymeric Chauprade : le petit parti et le gros coup de com' de l'ex-FN
    L'eurodéputé écarté du FN, qui comparaît ce mercredi au tribunal pour provocation à la haine envers les musulmans, lance ce même jour "Les Français libres", un…
    MARIANNE.NET

  • Juppé, un père pour Macron et Marion Maréchal Le Pen


    A l'automne 1995, Alain Juppé, alors premier ministre, avait envisagé une réforme de la Sécurité sociale. L'augmentation du nombre d'annuités pour les fonctionnaires, des frais d'hospitalisation ou de traitements moins bien remboursés, le blocage des prestations familiales ont poussé les fonctionnaires dans la rue.
    D'autant qu'une restructuration de la SNCF était également au menu, avec la fermeture de gares et de lignes non rentables. Derrière se profilait aussi la crainte de la privatisation des télécoms.
    Retour en vidéos sur une crise qui a paralysé la France pendant plus de trois semaines.

    Décembre 1995 : la France paralysée
    A l'automne 1995, Alain Juppé, alors premier ministre, avait envisagé une réforme de la Sécurité sociale. L'augmentation du nombre d'annuités...
    LEPARISIEN.FR

  • Anonymous apatride et anonyme

    Anonymous France fait de la propagande grossière contre la démocratie.


    D'une part, la vidéo parle d'une"démocratie" hors-sol (dont la narration française laisse entendre une voix russe en sourdine), une sorte de démocratie universelle, or la "démocratie" comme la "république, ont des sens parfois bien différents de leurs étymologies respectives de "gouvernement par et pour le peuple" et de "chose publique".

    La République Populaire de Chine ou les démocraties populaires ou encore les démocraties libérales, et même la démocratie directe dont les lobbies sont friands et pour cause, n'ont rien à voir avec la démocratie.

    D'autre part, si l'on s'en tient à la France, dont le modèle politique est unique, même s'il est galvaudé depuis le sortir de la Guerre où les assauts libéraux sont à l'oeuvre contre l'Etat.

    Mais il est faux de dire qu'en France, nous vivions dans un système de castes.

    La république a fonctionné tant qu'on ne lui appliquait pas le modèle éducatif américain.

    Jusque dans les années 70, on avait des fils d'ouvriers dans les grandes écoles et dans l'élite politique du pays.

    Cela s'est tari avec l'arrivée des "nouvelles pédagogies" d'origine américaine et cela a reproduit naturellement les travers de la société américaine avec l'apparition d'une grande disparité entre les plus pauvres et les plus riches.

    Nos institutions françaises logeaient tout le monde à la même enseigne, la république est celle du mérite, chacun recevait selon ses capacités et efforts.

    C'est la disparition de pans entiers de souveraineté de l'Etat (et donc du peuple) qui ont amené des puissances privées à usurper son rôle.

    En France, il n'y avait rien au-dessus de l'Etat depuis toujours, jusqu'à ce qu'on laisse la finance prendre le dessus.

    La régulation qui se faisait par l'Etat depuis la fondation même de la France, disparaît peu à peu sous les coups de buttoirs du libéralisme imposé par des puissances privées dominantes, qui organisent (l'absence) des règles en sa faveur.

    Le seul rempart à ces forces sont justement la démocratie dans un cadre comme la république française l'avait mis en place.


    La propagande d'Anonymous serait piratée par les lobbies dominants que ce ne serait guère étonnant ...

    Dans tous les cas, pour qui se prennent ces groupes de pressions masqués et sans nom ?

    Une maffia voudrait simplement en remplacer une autre, que le peuple ne se laisse pas berner.

  • Gérard Longuet, encore un père pour Marion Maréchal Le Pen

    Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît.

    Le sénateur Longuet :

    "La formation professionnelle, c'est indispensable. Ce qui compte le plus, c'est la motivation professionnelle. Nous avons des Français qui ont des poils dans la main, il faut le savoir. C'est-à-dire que 'c'est trop dur', 'c'est trop loin', 'c'est pas ce que je veux', 'vous comprenez moi j'ai été formé pour faire du théâtre et on me propose de faire du commercial'... Beh non..."


    Les politiques, des commerciaux juste là pour vendre leur daube, mauvais comédiens, leur théâtre ne ressemble à rien, ils n'ont ni la culture, et encore moins le coeur, nécessaires à l'interprétation.

    Commercial, la panacée du monde libéral, VRP des banques, représentants de l'industrie pharmaceutique, courtiers en assurances,, homme-sandwichs, femmes-Tupperware ...

    Du théâtre, et pourquoi pas lire La Princesse de Clèves alors qu'il y a des jobs en carton-pâte !

    Mal-bouffe, mal-job, be American.

    Voilà l'offre, quand elle existe, même les boulots de merde sont distillés avec avarice.

    Pour se payer cette parcimonie, il faut déjà être riche.

    Payer le prix pour travailler, ce n'est pas au sens figuré, mais encore faut-il connaître le marché du travail pour le savoir, comprendre comment fonctionne leur économie du profit, qui n'en est pas une, pour arrêter de dire des conneries.

    Refuser, ce n'est pas avoir des poils dans la main, c'est en avoir dans le nez, qui chatouille, et qui n'a pas envie de le faire court, comme leurs vues.



    VIDÉO - Longuet sur le chômage : "Nous avons des Français qui ont des poils dans la main" - Le...
    Chômage : pour Longuet, "des Français ont des poils dans la main".
    LELAB.EUROPE1.FR
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  • Les cons d'Amérique ont trouvé plus cons qu'eux en la personne de Marion Maréchal Le Pen

    En attendant les hommages de Donald, on va pouvoir offrir un bonnet de Mickey à la marionnette.

    Sarah Palin, la femme politique la plus gourde de tous les temps, égérie de l'extrême-droite américaine, se reconnaît en Marion Maréchal Le Pen.



    Sarah Palin clame son admiration à Marion Maréchal-Le Pen
    L'ancienne candidate républicaine à la vice-présidence américaine voit en la jeune frontiste une femme qui lui rappelle Jeanne d'Arc.
    LEPOINT.FR|PAR LE POINT, MAGAZINE

  • Ébranler le système économiste via la région

    Philippot grand gagnant, ce ne serait que justice.
    Si MMLP se place en tête des militants -qui la connaissent mal-, elle est surtout la tête de proue d'une secte d'extrême-droite aussi déconnectée de la réalité qu'elle a de réseaux intrigants.
    Philippot est davantage ce qu'attend la population.




    Commentaires

    Jean B
    c'est quoi sa marge de manœuvre dans une région sinistrée par le chômage endémique,va t il repeindre un wagon minier en bleu-blanc-rouge comme le maire Fn d'Hayange Fabien Engelmann ?

    Oriane Borja
    Je pense qu'il y a des moyens de mettre les grands groupes en joug, en jouant sur le Life-long Learning.

    Joël Rigolat
    en français ca donne quoi le Life-long Learning ?

    Oriane Borja
    Education tout au long de la vie, le gros business des OPCA, filiales des grands groupes qui s'en foutent plein les poches.



    Oriane Borja
    Les entreprises en ont fait une escroquerie, un business.

    Aujourd'hui, 80 % de la formation est assurée par les grands groupes eux-mêmes via des filiales.
    Ils récupèrent ainsi l'argent qu'on leur demande.
    Les formations sont bidons, elles sont validées alors que rien n'est acquis, pour le principe (le public ne fait pas cela).

    Et une fois "formés", il n'y a naturellement aucune reconnaissance financière de ces formations, alors même qu'elles engendrent des responsabilités supplémentaires.

    Oriane Borja
    Il y a plusieurs sortes de formations :

    - les formations obligatoires, financées par l'entreprise, mais les entreprises en ont fait un business dérivé.

    - le compte-formation, pris, à l'initiative de l'employé en fonction des points qu'il a accumulés en travaillant, ou par le chômeur.

    Dans la réalité, il est difficile de prendre le congé formation, faute de financement suffisant.

    Et c'est sans garantie que cette formation aura une utilité, puisqu'il faut ensuite trouver le travail tout seul, et qu'il n'y a pas de travail.

    Les formations "hors sol" ne serviraient d'ailleurs à rien s'il y avait réellement du travail, les entreprises formeraient directement leurs employés.

    Ces formations permettent surtout d'occuper les gens à moindre coût.

    Oriane Borja
    Le LLL fonctionne avec Bruxelles et les institutions financières internationales, il faudrait tout revoir.

    Elles ont fait de la région leurs cellules de base.

    Cette base pourrait ébranler le système.

    Mais il faut pour cela bien comprendre le fonctionnement de haut en bas, c'est énorme, et il faut vraiment des gens compétents.

    Oriane Borja
    Au moment où j'ai démissionné, la personne qui s'occupait de la formation des élus au Front, m'a demandé de faire les formations sur ce sujet.

    Ce que j'ai refusé de faire étant donné l'entrisme des lobbies à qui Marine déroulait le tapis rouge.

    Oriane Borja
    Ces cons seraient capables de faire appel à Bournazel, le monsieur LLL libéral cons, qui naturellement, est totalement collabo du système de saloperie mis en place par les multinationales.


    Oriane Borja
    Le LLL est un projet économique mondial mis en place par les multinationales pour prendre en charge les individus de la naissance à la mort.
    Il fonctionne par étapes.

    Oriane Borja La campagne régionale actuelle reprend texto le programme-bateau de la fois précédente où j'étais la seule à avoir mis mon nez et le doigt là où l'engrenage peut être enrayé.

  • Pierre Gattaz, le patron low cost, face à la nouvelle génération

    Pierre Gattaz a rendu le service minimum syndical dans sa critique économique du programme du Front National, un argumentaire qui a dû lui prendre 35 secondes payé soixante-dix heures.
    Une anti-campagne à pas chère, compétitivité oblige sans doute, il ne s'est nullement plongé dans le programme de Marine Le Pen, qui est très incohérent par ailleurs, reprenant notamment des mesures extrêmement libérales (autonomie des établissements, libéralisation monétaire, étalon-or, décentralisation dissimulée, etc.).
    Le patron des patrons se contente de prendre trois mesures elles-mêmes décriées par les libéraux du Front qui n'attendent qu'une défaillance de Florian Philippot pour reprendre l'entier contrôle.

    D'aucuns diraient du travail d'arabe -et pas celui de l'Alhambra, nous sommes à l'ère Martel-Maréchal Le Pen-, même si le Medef n'a rien contre le travail des immigrés en lesquels il trouve toujours une main-d'oeuvre acculée qui acceptera n'importe quelles conditions et viendra accroître l'offre concurrentielle de l'esclave à employer sur le marché de l'exploitation.



    - La retraite à 60 ans

    Les lobbies libéraux au sein du Front, tentent de revenir dessus, ils n'attendent que patiemment un éventuel moment de disgrâce qui éliminerait Philippot, voire Marine Le Pen elle-même.

    Il y a plein de copains de Gattaz au Front, les Gattaz, Pierre et Yvon, et les Contribuables Associés - aujourd'hui aussi à Marion Maréchal Le Pen-, c'est une longue histoire, la même qu'avec la dynastie Le Pen.



    Il est une autre romance qui fait bon ménage : l'alliance patronat/Club de l'Horloge dont les aiguilles flottent toujours au plus près de Marine Le Pen, et même de Florian Philippot, qui n'a jamais donné d'explications sur son alliance a priori contre-nature avec la droite de la droite de Jean-Yves Le Gallou et de sa clique libérale conservatrice, ni avec les recrues de l'IFP (Institut de Formation Politique), encensé par Marion Maréchal Le Pen, et dont les cadres se forment dans les lobbies libertariens américains.


    Tous ceux-là fustigent ensemble la retraite à 60 ans, et alors même que ce sont les entreprises qui, en plus de délocaliser pour trouver toujours plus compétitif (comprendre clairement que l'esclave est moins cher sur le marché exotique), se débarrassent des "seniors", et qui sont bien contentes de cette concurrence sur le marché du travail.

    Et qui verront, à force de "compétitiver", ce qu'il restera bientôt des bonhommes qui auront eu le travail-sauf à 60 ans. Si le travail est flexible, pas sûre que tirer sur la bête humaine, la rende plus souple à la tâche.


    Et il est vrai qu'un patron à la mentalité patronale, ça croit en général travailler plus que tout le monde, à faire suer les autres, ce qui occupe tout son esprit (même quand il bouffe, il travaille), tant et si bien qu'il est incapable de comprendre que la véritable responsabilité échet et échoue in fine dans les dernières petites mains, presque aussi invisibles que la non-régulation qu'ils appellent de leurs vœux.


    - L'augmentation du Smic, la dernière Loi Ayrault va l'augmenter d'une centaine d'euros via la suppression de la CSG, mais il est vrai que le Medef demande plusieurs Smics (des sous-Smics pour les jeunes, pour les repreneurs d'emplois, etc.) de façon à payer une bonne partie des cacahuètes.
    La gauche libérale a beau se démener pour faire mieux que la droite en matière d'aplaventrisme économique -si tant est qu'elle puisse rivaliser-, elle risque toujours de dégoter une mesure de derrière les fagots pour sauver les apparences.
    Et supprimer une taxe, voilà une mesure de droite que la gauche peut prendre sans appréhension, Ayrault, hérault et héros de Contribuables Associés, serait presque nommé au prochain Prix libéral à la con, si Macron n'arrivait pas avec sa bonne tête à claques, rafler toutes les médailles.
    Macron premier de la classe, Sarko-la-loose aura beau pomper dessus et faire du lèche avec son "choc des civilisations fiscal", pour un patron, la main-d'oeuvre est Kleenex, Sarkozy n'a pas compris qu'il est un produit périmé, déjà-vu, dépassé, on est à l'ère du one-shot, le modèle politicien n'est à la mode qu'une année, à la rigueur une année tous les vingt ans parce que le nostalgique est toujours vendeur, surtout à l'ère "plus libéral qu'hier, toujours moins que demain", un candidat d'hier pourra toujours avoir un côté rassurant.


    - Le retour au Franc qui n'est jamais que le retour d'un pan de souveraineté de la France, et donc de son Etat régulateur qui fait naturellement horreur au Medef car rempart à l' emprise des gros intérêts privés.

    Et de feindre le "repli sur soi", comme si la monnaie n'était pas une monnaie d'échanges, et comme si cela empêchait les discussions quand c'est souvent l'Euro qui les bride.

    Le Medef qui stigmatise une économie basée sur la consommation et non sur la compétitivité (comprendre, baisse de tous les salaires -sauf les leurs-, droits et protections).
    Il est vrai que pour consommer, il faudrait que le consommateur ait un certain pouvoir d'achat, et donc sans doute un meilleur salaire par rapport aux prix à la consommation?
    Ce n'est donc pas cette option que le Medef va choisir.

    Comme si l'économie tournait autour de cette unique alternative, et comme si elle devait dominer toute chose.




    Enfin, Gattaz parle avec quelques guerres de retard, histoire d'avoir quelque chose à dire pour défendre le lobby dont il est le patron et qui, entre nous, devrait aller se faire foutre, chez les Grecs ou en Suisse, mais définitivement, pas pour aller et venir selon les profits à générer, le politique doit embrasser une vue d'ensemble, d'en haut, les intérêts particuliers portés au pinacle sont l'inverse de l'intérêt général.

    Car il y a une composante lepéniste qui est bien plus en avance sur son libéralisme, Gattaz se fait dépasser par sa droite par les lobbies libéraux qui ont choisi d'adouber Marion Maréchal Le Pen (n'en déplaise au Point qui ne sait utiliser que le terme anglo saxon de "liberal" et qui a du mal à bien définir les cons qui tapissent le mur du libéralisme).

    Et au passage, rappelons que l'identitarisme est un libéralisme.
    Martel en tête, Marion Maréchal Le Pen a pour parrains les saints patrons libéraux de chez libéraux, cornaqués par l'Opus déi et ses réseaux puissants, Gattaz risque le licenciement pour insuffisance professionnelle lors de la prochaine tournante, l'heure est à l'immigration choisie parmi l'élite chrétienne, les banquiers sont aussi des assureurs, et les mêmes ont pipé les aléas en plombant l'islam, et espèrent rafler la mise au ban en misant justement sur les théories du choc.