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libéralisme mondialisme - Page 19

  • Révèle l'identitarisme libéral anti national pseudo catho qui est en toi


    United colors of extremism

    Université d'été libéralo identitaro pseudo catho.jpg

  • On ne fait pas d'omelette d'extrême-droite sans casser les oeufs cachés de l'Opus Dei

    On aurait pu parler de l'Opus Dei également, du Club de l'Horloge et de leur projet d'Union des droites, et de leurs officines à Washington telles que les Cato Institute, Heritage Foundation et autre American Enterprise Institute, et de leurs réseaux jusqu'en Russie, autrement, on ne comprendra jamais rien.

    Entre nous, pour Pâques, ils auraient pu prendre la cocotte Marion Maréchal dans les bagages, elle a été adoubée par l'Oeuvre.
    C'était même un peu prévu et attendu par la poulette, mais Tata a dû penser qu'on marchait sur des oeufs ...

    SOS Chrétiens d'Orient, une association humanitaire discrètement noyautée par l'extrême droite
    Officiellement, SOS Chrétiens d’Orient est chargée d’aider cette minorité persécutée en récoltant des dons et en rencontrant des députés. Officieusement, ses…
    WWW.BUZZFEED.COM

  • Privatisation de la République, la direction du non-sens en marche

    Les Républicains contre la chose publique, exit hôpitaux-santé, école, routes-aménagement du territoire, agriculture, culture, politique familiale- aides sociales, on en passe et des meilleures.

    Les poissons pilotes sont lâchés, la droite/gauche medevienne (soit l'extrême-droite) aux commandes, et Marion Maréchal Le Pen aux anges, voilà enfin une politique qu'elle pourrait présider.

    Et ce n'est qu'un début, justice privée, police privée, armée privée, administration privée, on ne voit pas vraiment ce qui leur déplaît dans la libéralisation des fonctions régaliennes de l'Etat, comme dirait la Maréchal, il faudrait que tous ceux-là soient cohérents.

    Un député LR veut priver 4,7 millions de fonctionnaires de leur statut
    Jean-Pierre Gorges a déposé une proposition de loi pour réserver le statut de fonctionnaires aux seuls agents exerçant une fonction régalienne.
    LEPOINT.FR|PAR LE POINT, MAGAZINE

  • Au Front, ça Trump énormément

    Sept députés européens du groupe Europe des Nations et des Libertés se sont rendus à la convention des mouvements conservateurs américains, dont le parti Républicain, dans la perspective de la présidentielle de novembre, qui s'est tenue à Washington du 2 au 5 mars (CPAC2016).

  • Connaissez-vous la jumelle cachée de Marion Maréchal Le Pen ?

    On la voit refourguée par les lobbies libéraux sur tous les plateaux télé, récemment pour dire tout le mal qu'elle pensait de notre Code du Travail.

    Elle sort des lobbies libertariens de l'Opus Dei (faux cathos, vrais libéraux) qui forment leurs cadres à l'Heritage Foundation à Washington, entre autres.

    En France, on les retrouve à l'IFRAP, Contribuables Associés, l'Institut de Formation Politique, l'Institut Pour la Justice, etc., la nébuleuse est importante.

    Ils investissent tous les milieux, économiques, médiatiques, politiques (de tous les partis).

    La religion n'est qu'un prétexte, l'idéologie est économique, mais les réseaux catholiques leur permettent un maillage et une influence mondiale, ainsi que des financements, leurs réseaux sont les plus influents au monde, alors qu'ils ne représentent rien qu'une secte.

    Agnès Verdier-Molinié, une catho de Salon Beige, des tartuffes, imposteurs qui utilisent la religion pour asseoir leur idéologie libérale.

    C'est la même fabrique que Maréchal Le Pen, sauf que Marion sait que, si elle veut garder sa place, elle doit montrer ce profil en un peu plus bas.


    " Une égérie du capital : Agnès Verdier-Molinié
    (rediff)
    13 mars 2015

    Elle rêve de tailler dans le gras de la fonction publique, de dépecer l’Etat social à la tronçonneuse. Avec ses idées simples, Agnès, Marie, Bénédicte, Verdier-Molinié [1] plaît aux journalistes et aux patrons. Pas une semaine sans l’entendre vociférer contre les fonctionnaires sur BFM TV, sur Europe 1 ou encore dans « C dans l’air » sur France 5.

    Qu’importe sa moue souvent fielleuse, ce François de Closets en tailleur Gérard Darel est « éminemment télégénique », s’enthousiasme Le Figaro (Figaro, 29 mars 2013). Du côté de Libération, on la dépeint comme une « bucheuse », « ni pasionaria vociférante, ni caricature bourgeoise » (Libération, 25 septembre 2013). Depuis qu’en 2009 Agnès Verdier a pris les rênes de la Fondation IFRAP, son cours médiatique s’est envolé. Sa recette ? Incarner l’austérité et asséner sans relâche des chiffres invérifiables.

    Passages TV d’Agnès Verdier-Molinié

    graph Source : Inathèque

    Bonne cliente des media, Agnès Verdier-Molinié passe de plateaux en plateaux pour réciter son catéchisme libéral. Pourtant, elle qui disserte à l’envie sur l’économie de notre pays n’est pas économiste. Née à Talence (Gironde) en 1978, Agnès Verdier-Molinié a entamé ses études dans un lycée privé catholique – elle promeut d’ailleurs l’enseignement dit « libre » – avant d’obtenir une maîtrise d’histoire contemporaine à l’Université de Bordeaux. C’est Christine Lagarde, ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui l’a intronisée économiste en la nommant membre du Codice (Conseil pour la diffusion de la culture économique) en 2008 – un organisme dissous depuis, qui devait inculquer aux Français les valeurs de l’économie de marché [2]. Seuls liens avec l’« enseignement », quelques cours dispensés au sein de l’Institut de formation politique, une école privée où l’on apprend à détester les fonctionnaires, les syndicalistes et le mariage pour tous. Autant dire que les jugements de l’experte Agnès Verdier-Molinié sont partiaux. Elle connaît d’ailleurs très peu le monde du travail. Avant qu’elle ne rejoigne l’IFRAP en 2002, ses expériences professionnelles se sont limitées à des piges (pour le Figaro et L’Express notamment [3]). Tout au plus a-t-elle donné des coups de mains au château familial à l’occasion des vendanges.

    L’évocation de cette jeunesse de châtelaine fait verser une larme à la journaliste du Figaro. On imagine la famille Verdier y vivre sans eau, ni électricité : « Élevée dans le Bordelais par des parents viticulteurs « anticonformistes » qui avaient racheté une maison en ruines pour y élever leurs quatre enfants, elle apprend à leurs côtés le « sens du travail acharné » ». Quel calvaire cela a dû être de vivre au Château Bessan, un édifice construit au 17e siècle, entouré de douze hectares de vignes, situé « au détour d’une petite route sinueuse et pittoresque qui suit les méandres de la Garonne, depuis le haut du coteau » (Sud Ouest, 26 avril 2008) ! Comme il a dû être pénible de supporter un père surfeur, adepte de l’agriculture biologique et adhérent à la Confédération paysanne.

    chateau-bessan

    Mais les Verdier sont-ils vraiment anticonformistes et partis « de rien » comme l’écrit Libération ?

    Les parents et grands-parents de notre Causette libérale figurent en bonne place dans le Bottin Mondain, ce grimoire qui recense grands bourgeois et aristocrates. Quand ils rachètent Château Bessan en 1986, les Verdier ne sont pas tout à fait démunis : lui, descendant d’une famille de viticulteurs, a fait des études à Dauphine et à la Faculté d’œnologie de Bordeaux et a déjà géré des châteaux ; elle officie comme assistante de direction. Leur vignoble est aujourd’hui une prospère entreprise familiale que dirige le petit dernier.

    De cet univers cossu, Agnès Verdier n’a pas seulement hérité d’un goût pour l’œnologie. Chez les Verdier, la politique n’est jamais très loin. L’arrière-grand père maternel, Maurice Hanaut (dit Maurice d’Hartoy) a fondé en 1927 les Croix de feu, célèbre association d’anciens combattants qui s’est rapidement transformée en une ligue nationaliste, anticommuniste et anti-parlementariste, initialement financée par le sulfureux François Coty, patron du Figaro [4]. Son fils, le colonel Bernard d’Hartoy, qui fut rédacteur en chef de la Voix du combattant, a des convictions bien trempées : ancien séminariste, c’est une figure de proue de l’association Laissez-les vivre, un groupuscule catholique anti-avortement où il ne fait pas bon vivre quand on est laïc ou franc-maçon [5]. Quand il ne pourfend pas les avorteurs, le grand-père défend la mémoire de ses héros nationaux préférés : le maréchal Pétain, notamment.

    laissezlesvivre

    De son côté, Agnès Verdier-Molinié s’est trouvé d’autres grands inspirateurs. Grâce à la Bourse Tocqueville – un prix atlantiste décerné avec le soutien de Contribuables associés – elle a découvert les activités des think tanks américains, notamment de l’Heritage Foundation et du Cato Institute en 2004. Dans ces cénacles, où l’on conjugue amour du laissez-faire et ultra conservatisme, elle a rencontré Robert Rector. Cet inspirateur du Federal Welfare Reform Act de 1996 a entrepris de transformer le Welfare américain en Workfare, un système qui conditionne l’obtention d’aide sociale au travail et contribue ainsi puissamment à dégrader les conditions de travail des salariés au profit du patronat[6]. Évidemment, si Robert Rector veut dérèglementer le marché du travail, il pourfend l’immigration non régulée et promeut l’abstinence sexuelle jusqu’au mariage. Car à le lire, le sexe déprime et pousse au suicide.

    Ultralibéralisme et réaction font souvent bon ménage. En présentant Agnès Verdier-Molinié comme une experte et en ne l’interrogeant que sur les thématiques qui constituent son fonds de commerce (impôts, syndicats, fonctionnaires, etc.), les médias contribuent à dissimuler que les marottes des libéraux ne poussent pas dans le ciel des idées. Elles servent les intérêts des dominants qui, s’ils veulent librement s’enrichir, ont tout intérêt au maintien de l’ordre social. Elles s’accordent, en outre, parfaitement avec un point de vue ultraconservateur qui voit la main de dieu derrière le libre jeu du marché."

    Emilie Wright

    Pour lire l’épisode 1 de la série consacré à l’IFRAP

    Pour lire l’épisode 2 consacré à l’AFEP

    [1] Agnès Verdier a épousé en 2005 Laurent Molinié, ancien élève de l’École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC), consultant en stratégie chez PricewaterhouseCoopers.

    [2] Agnès Verdier devrait d’ailleurs se féliciter de ne pas être économiste. A son âge, elle ne toucherait pas 4000€ par mois à l’université. D’autant qu’elle ne possède aucun des titres permettant d’y exercer des fonctions d’enseignant-chercheur.

    [3] Voir par exemple, Renaud Revel et Agnès Verdier, « Le pouvoir gay », L’express, le 21 juin 2001.

    [4] Albert Kechichian, Les Croix-de-Feu à l’âge des fascismes : Travail Famille Patrie, Paris, Éditions Champ Vallon, 2006.

    [5] Le bulletin de Laissez les vivre publie d’ailleurs de la réclame pour le Château Bessan

    [6] John Krinsky, « Le Workfare. Néolibéralisme et contrats de travail dans le secteur public aux Etats-Unis », Les notes de l’Institut Européen du Salariat, n°8, novembre-décembre 2009.

  • Journée de la femme, Marine Le Pen ne drague pas, c'est une allumeuse

    La femme étant un homme comme les autres, nous retrouverons dans la femme politique, tous les travers des hommes, l'égalité n'est pas à déclamer, elle est.


    A les écouter, ils nous aiment tous, nous écoutent tous, nous promettent tout.

    La preuve, donnez votre ou vos centres d'intérêts, vous trouverez votre bonheur au grand Bazar de l'Hôtel de Ville politicien.

    Bon, ne déconnez pas, si vous vous intéressez à la société en général, que le sens du politis ne vous a pas échappé et que votre intérêt est général et celui de l'organisation de la Cité, passez votre chemin, parce que là, vous abusez.

    Pour qui vous prenez- vous ?


    Non, vous, vous êtes en bas, sous l'homme politique, vous vous devez de vous inscrire dans la grille faite à vos mesures, vous devez faire partie d'un Cercle, qui s'occupe de ses affaires, et ne se mêlent pas des affaires des autres.


    Vous aimez l'argent, en faire sur le dos de votre prochain ? Le Collectif Audace (il faut au moins cela) est fait pour vous.

    Le Collectif Audace, c'est un machin pour vendre des slips et du libéralisme (moi je l'aurais appelé le Cercle Culot).

    Marine y a pas à dire, y a que toi pour faire ça.


    Mais on trouve aussi un autre groupe de sous-vêtements extrêmes, un bidule qui nike, ou marque, ton identité.

    Ta mère en string pour la journée de la jupe à côté, c'est de la dentelle de Calais qui vire jaune.


    Les gars ont inventé un nouveau concept :

    "Je suis con et je tiens à ce que ça se sache".

    Ils s'affirment jeunes blancs "solides", un slogan gazeux censé rendre les grands remplaçants noirs et déclinaisons, liquides.

    Ca balance ta race grave.

    Cependant ils ont leurs pudeurs, ils n'oseront pas un " Je suis raciste et plus si affinités", le fierté blanche se porte en demi-teinte.

    Et Piquemal -Général mannequin en chef- en sainte Nitouche, mi-tapineur mi-tapette quand il s'agit d'assumer ses penchants de travers idéologiques.

    Mais ils font toutes les tailles, les nazis bedonnants eux-mêmes recrutés pour vendre le matos, rentrent dans le même costume que le Général qui putsche en touche, qui veut bien porter le maillot d'attaquant, mais qui botte en défense, le mec n'est pas un coureur de fond, seulement un aligneur de fonds pour alimenter la caisse noire du prochain revers démocratique.

    C'est qu'il détrônerait la Maréchal Le Pen dans le rôle de descendeur de république quatre étoiles.

    Homo homini lupus, et pareil pour les femmes.

    Le jeune ambitieux propulsé à sa tête du Collectif Audace vient d'ailleurs de se faire manger la place par un autre aux dents plus acérées que lui, le syndrome Maréchal Le Pen, à n'en pas douter, plus de copinage, plus fringuant, plus vendeur de camelote, on reconnaît la valeur de la boutique au turn over que pratique la maison.

    Le jeune, ce merveilleux jouet entre les mains des partis politiques, plein d'élan, de naïveté ou d'ambition, une énergie à revendre, gratos, le mouvement politique a besoin d'esclaves et de petits mains, si le parti n'attire pas , faute de ne pas être attirant, la jeunesse lui servira de prétexte, il sera le parti des jeunes (forcément, les autres se tirent), il sera le parti où on offre des place aux jeunes (forcément, on ne voit pas qu'il est trop vieux ni qu'il porte des années d'extrémisme aux basques), entre le vieux pilier de comptoir de permanence et le jeune, le dernier fera toujours meilleure figure.

    Quand t'as personne, t'es un parti jeune, et réciproquement, c'est ce qu'il faut bien comprendre.


    Mais revenons aux jeunes Audacieux, de jeunes inactifs qui ont envie de bouger, on ne peut pas les blâmer pour cela, sauf qu' ils viennent pour nous apprendre la vie, à laquelle ils ne connaissent rien. Là encore, c'est la génération Maréchal le Pen.

    Mais c'est tendance, Macron n'est pas plus compétent qu'El Khomeri, ils sont juste là pour appliquer ce qui est mis en oeuvre aux USA depuis des décennies.

    Prochaines innovations, les fonds de pension, le rêve américain vendu en kits et à crédit non remboursable.

    Honnêtement pour faire ça, autant balancer direct Marion Maréchal Le Pen, elle n'aura au moins pas ses vapeurs à défendre l'indéfendable, une vraie petite professionnelle, y'aura même pas photo.

    Bon, si t'aimes pas les "avancées" libérales du trucollectif de Marine -qui doit trouver la Loi El Khomeri, derrière laquelle se cache Macron, derrière lequel se cache l'UE, derrière laquelle se cachent les USA, qui se vautrent dans le libéralisme anglo-saxon, soit de l'individualisme forcené, pas assez poussée tout de même, histoire de faire clivage- tu peux te rabattre sur le trucercle cha-chats chien-chiens (si si, c'est le dernier attrape-mouches de Marine Le Pen).

    Moi, je m'y retrouve pas, j'ai des lapins, et les chien-chiens et les cha-chats, ils veulent me les bouffer.

    J'attendrai qu'il y ait un Cercle, qui veut sauver l'Ecole sans SOS Education, qui veut sauver l'emploi sans Beigbeder, qui veut respecter les animaux sans détester les hommes ni devenir gâteux au point de les mettre à un rang autre que celui que la nature leur a déterminé, qui veut sauver la justice sans l'Institut Pour la Justice, qui veut sauver la politique sans l'Institut de Formation Politique, bref, je veux un mouvement politique, un vrai, qui ne découpe pas les parts de marché idéologique en rondelles de salami, qui ne penche pas un jour côté identitaire, un autre du côté de la France, un autre encore, du côté d'une autre Europe encore plus libérale.

    Un parti honnête avec des gens honnêtes, ça ne devrait déjà pas commencer par se foutre des gens en leur mettant dans des cases à voix en tenant un discours opposé en fonction du Cercle Chasseurs de galinettes cendrées ou du Cercle Mémères à chats ou à caniches à bigoudis roses.

    Homme ou femme, on s'en fout, ce qu'on veut c'est une flamme d'espoir, pas une femme objet qui souffle sur les braises de mécontentement en promettant de contenter chacun en allumant tant les feux que les contre-feux, pour nous griller tous.

  • Le droit du travail d'extrême-droite aidera-t-il l'extrême-droite à remporter les présidentielles ?

    Si on a des enfants, que l'on a été abandonnée par le père et que l'on travaille au SMIC ou à un sous-SMIC imposé (la flexibilité imposée existant déjà dans de nombreux domaines), on n'est pas éligible à la CMU-Complémentaire ni à l'Aide Complémentaire Santé, ni à la Prime d'Activité.

    Le gouvernement de gauche ne saborde pas que le droit du travail pour les pauvres, il s'en prend aussi aux familles monoparentales pauvres.
    Tout en se gargarisant d'un Ministère "des familles" au lieu et place du Ministère de la famille, histoire de se redorer le blason à bon compte et à nous payer de mots.

    Alors aux présidentielles, racistes ou pas, cons ou pas, bi nationaux ou pas, les pauvres seront bien obligés de voter pour le parti qui fera le plus semblant d'être contre les nouvelles mesures en matière de droit du travail.

    Ce ne sera pas la gauche, encore moins la droite, il ne restera que Marine Le Pen, même si l'on voit bien que de Ménard, au Collard en passant par Marion Maréchal Le Pen, les mesures d'extrême-droite de la gauche et de la droite ne demanderaient là aussi qu'à passer.

    Reste aussi que l'extrême-droite flatte le pauvre en voulant le transformer de super-pauvre à Uber-pauvre, c'est pareil, mais dans le second cas, tu dois gagner tes prestations sociales compensatrices maigres de leur dérégulation des métiers et de la société, à la sueur de ton front.

    Bref, on ne saurait plus sur lequel se battre.

  • Mutuelle privée obligatoire, on se fout du monde

    La mutuelle santé est devenue obligatoire pour les salariés au 1er janvier 2016, en "contre-partie", l'employeur en paie une petite part (10 euros sur 100 dans mon cas).

    Si vous aviez déjà une mutuelle, comme c'était également mon cas, vous êtes obligé d'en changer pour prendre celle qu'a choisie votre employeur.

    Ce qu'on découvre, c'est surtout que les mutuelles n'ont absolument pas prévu le coup, annoncé depuis des lustres, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas voulu le prévoir.

    Résultat, on paie des deux côtés des mutuelles durant maintenant trois mois (une centaine euros de chaque côté dans mon cas), d'autant qu'on vous apprend que la maigre part prise en charge par votre employeur, ne l'est en réalité qu'à la fin de l'année, c'est vous qui faites l'avance.

    Et les retards de traitements des dossier ne sont pas en passe d'être résolus puisqu'en appelant les mutuelles, elles n'arrivent pas à avoir la main sur les dossiers concernés, le répondeur d'attente vous priant par avance d'excuser les conseillers pour ses problèmes "techniques", et d'être "bienveillants" à leur égard.

    Donc, vous ne pouvez même pas être sûr qu'ils aient bien reçu vos premiers paiements, et en attendant, j'ai personnellement reçu la semaine dernière, une première lettre de relance pour la part me concernant, deux jours après, une autre lettre de relance concernant mes enfants (le dossier est découplé depuis le départ dans leurs comptes ...), hier une deuxième lettre de relance pour ma part, et ce matin, une mise en demeure de payer, mais seulement pour la partie concernant mes enfants, allez comprendre pourquoi.

    Et je suis obligée de refaire les chèques, car ils me disent que mon contrat sera résilié dans 10 jours si je ne règle pas.
    Je viens de redemander un formulaire de prélèvement SEPA puisqu'ils ne savent pas où en ai le premier, et ils vont donc recevoir plein de chèques en doublon, puisqu'à chaque fois, je dois en faire un pour moi, et un pour mes enfants.

    Je sens que, malgré leur beau discours d'attente sur le répondeur téléphonique, avec des "solidarités" à toutes les sauces, je risque de recevoir des lettres recommandées de mise en demeure tous les jours, d'ailleurs, j'ai quelque chose à aller chercher à la poste lors d'un passage en mon absence, ça doit être de ça.

    Et à ce prix, je suis sûre que cela se passera ensuite comme avec mon ancienne mutuelle, qui, lors de l'hospitalisation de mon fils lors de la découverte de sa maladie longue durée, n'a payé que les trois premiers jours d'hospitalisation, alors qu'il est resté plus de 15 jours.

    Il est pris en charge à 100 % par la sécu, mais le temps que le dossier soit fait, c'était à la mutuelle de régler, et le CHU me dit qu'ils n'ont jamais réussi à les joindre, c'est moi qui ait dû régler les jours impayés, et qui attend toujours de me faire rembourser.

    Et naturellement, je dois rembourser mon ancienne mutuelle qui a pris en charge ma complémentaire santé sans s'arrêter depuis le 1er janvier, à moi ensuite de renvoyer à ma nouvelle mutuelle, les relevés de sécu pour moi et mes enfants dans la période qui aura doublonnée.

    Faire la banque courante des assurances, c'est en réalité l'usage, mais lui faire des gros crédits gratuits, c'est le prix de la transition, à grande échelle, on voit bien comment elles en profitent pour s'en mettre deux fois plus dans les poches sur notre dos.

  • Bob Ménard n'est pas le dernier des libéraux cons

    Le petit télégraphiste de l'Opus Dei qui veut achever la vente de la France aux lobbies autrichiens de Washington.

    Pour Menard, Le Pen «se trompe» en s'opposant à la loi El Khomri
    LE SCAN POLITIQUE - Pour le maire apparenté FN de Béziers, le parti est «à côté de la plaque» sur l'économie. Il regrette notamment son opposition au projet de…
    WWW.LEFIGARO.FR|PAR TRISTAN QUINAULT MAUPOIL

  • Extrême-droite-et-gauche, et nouvelles pédagogies

    Au vrai, Maria Montessori n’a rien inventé, ses principes d’éducation étaient en vogue dans les sectes de l’aristocratie aryenne de l’époque.
    Les écoles libertaires, des Maîtres-Camarades à l’Ecole de Summerhill, ont donné les Montessori, Steiner, Freinet.
    Théosophie, anthroposophie, bien que devant l’horreur, les mêmes ont rétorqué que Hitler avait mal interprété leur théorie des races.

    Mysticisme nazi — Wikipédia
    Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » (modifier l'article, comment ajout…
    FR.WIKIPEDIA.ORG



    Sectes, endoctrinement, éducation, nouvelles pédagogies :


    http://www.theosophie.fr/3c-la-theosophie-et-l-education.php



    http://www.waldorfcritics.org/articles/L-endoctrinement-l-anthroposophie_dans_les_-coles_Steiner-Waldorf.pdf