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culture - Page 61

  • Tea potes et autres con-fédérés

     

     

    Sharia Law


    WHAT CAN I DO? - JOIN

    Pam Geller at FL State Tea Party Convention Spekaing on Sharia  

    Speech by Swiss member of Parliament Oskar Freysinger speaking on Sharia in Europe.

     
        
     

     

     

    La tea party de l'UDC à Reconvilier

     

     

    Une vedette américaine

    Vedette américaine de la soirée, Rosine Ghawji, représentante du Tea P

     

     

  • Un modèle pas top

    La France a cela de supérieur de ne faire aucune différence entre ses citoyens, ni aucune différence entre un étranger pauvre et un étranger bankable comme la Suisse entend les choisir.
    Répugnante Suisse.

    Autrement, on comprend que les Suisses aient besoin de faire venir une immigration choisie parce que les fils de banquiers, ça ne reproduit que d'autres banksters, pas des médecins ni des ingénieurs, ni des professeurs.

    Enfin, après Marine Le Pen qui a bien dû se mettre dans la roue de l'UKIP et dire tout le bien qu'elle pensait du modèle de quotas d'immigration suisse, voilà le tour du souverainiste Florian Philippot d'encenser le "modèle suisse".

    Ca tombe bien, Florian Philippot fera peut-être partie du quota autorisé en Suisse, si le modèle français ne lui plaît pas.

    Quelle est donc cette race d'homme politique qui ne connaît pas la richesse de ses propres institutions et combien elles sont le rempart aux lobbies de tout poil auxquels le "modèle" suisse laisse libre champ, sur le modèle anglo saxon.

  • Et ça, ça ne vous dérange pas trop ? Derrière Créer son école, c'est bien aussi Bourges, Coffinier & co. que l'on trouve :

    avec le Mouvement
     

    CRÉER UN LIEU D'ÉDUCATION ALTERNATIF

    Ecole exclusive, contraignante, hiérarchique et compétitive : voici les constats faits par ceux qui ont choisi de créer un lieu d'éducation alternatif. Face à cela, ils souhaitent placer l'enfant au centre du système scolaire et s'adapter à lui en fonction de ses besoins et de ses capacités.

    Qu'est-ce qu'un lieu d'éducation alternatif ?

    En effet, l'école classique n'est pas adaptée aux véritables enjeux de demain. Les enfants d’aujourd’hui devront faire face à des mutations considérables telles que l'aggravation des taux de chômage, l'insécurité alimentaire, la fin de l'énergie pétrolière, la précarité (voire l'absence) des aides sociales et des retraites, la destruction massive des terres agricoles et des écosystèmes naturels, etc. Pour anticiper sur ces problématiques et offrir de la sécurité aux enfants, il est primordial de leur permettre d'accéder à des compétences qui permettent l'autonomie. L'agroécologie, la valorisation des ressources naturelles, l'artisanat et le travail manuel, l'acquisition de compétences pratiques et techniques visant l'économie des ressources matérielles et énergétiques, « la sobriété heureuse », sont autant de connaissances et savoir-faire essentiels à son éveil et à l'adulte qu'il sera demain, et complémentaires au programme classique.

    Aujourd'hui, il existe en France près de 700 écoles se revendiquant des pédagogies dites "nouvelles". Celles-ci sont souvent inspirées des pédagogies Freinet, Montessori et Steiner.

    Quel impact sur le territoire ?

    Modèle actuelModèle proposé
    Hierarchie Équivalence
    Compétition Coopération
    Instruction passive Apprendre à apprendre
    Décalage entre le rythme naturel de l’enfant et l’organisation de la journée Respect du rythme de l'enfant
    Abscence de travaux manuels Équilibre entre travail intellectuel et travail manuel
    Dépendance Autonomie et responsabilité

     

     

     

     

     

     



    En créant une école alternative, vous :

    • Favorisez la coopération dans la classe en amenant les enfants à s'entraider. Cela crée un environnement où les élèves sont acteurs de leurs apprentissages et apprennent à travailler avec d'autres dans un esprit de solidarité et non de compétitivité.
    • Permettez aux enfants de se responsabiliser dès le plus jeune âge en mettant en place une organisation qui incite les enfants à s'exprimer, créer, partager et cheminer vers leurs propres centres d'intérêts.
    • Equilibrez le travail intellectuel et le travail manuel en proposant aux enfants d'expérimenter ce qu'ils apprennent et de sortir du "tout théorique". En effet, il est essentiel  pour le développement de l’enfant que l’instruction par l’esprit ne soit pas exclusive.
    • Respectez le rythme de l’enfant car dans les écoles alternatives les instituteurs, toujours présents, aident l’enfant à conquérir son autonomie en lui permettant de choisir librement son travail et d’exploiter ses capacités à son rythme.
       

    Comment créer une école alternative ?

    1. Déterminez précisément votre projet d’école et notamment la pédagogie que vous souhaitez développer. Il vous faudra vous former à la pédagogie choisie et pourquoi pas visiter d’autres écoles et y faire des stages.
    1. Faites une étude de marché et choisissez un lieu d’implantation où il y a une attente de la part des parents. Renseignez-vous sur les dispositions du maire ou du conseiller municipal chargé de l’éducation à l’égard des écoles indépendantes.
    1. Formez un comité de soutien pour commencer le travail préliminaire dans les domaines de la finance, du droit, de la gestion, etc.
    1. Choisissez la forme juridique de votre école. Il peut s’agir d’une association de loi 1901 ou d’une entreprise.
    1. Faites la déclaration d’ouverture d’école. Celle-ci doit être faite au plus tard quatre  mois avant l’ouverture de l’école. Il faut en informer le Maire, le Procureur de la République et le Préfet. Dès réception du récépissé du maire, prévenez l’Inspection Académique du département. A défaut d’opposition, l’école est ouverte à l’expiration d’un délai d’un mois à compter du dépôt de la déclaration d’ouverture, sans aucune formalité.
    1. Préparez un business plan qui définira précisément la manière dont va fonctionner votre école durant les cinq premières années : nombre de classes, cantine, directeur, nombre d’enseignants, matériels pédagogiques ... etc. Ce business plan vous permettra d’établir un budget précis.
    1. Choisissez le personnel de votre école et surtout, soyez attentif à ce qu’il soit sensible à la pédagogie que vous souhaitez mettre en place. N’hésitez pas à voir avec le personnel le fonctionnement interne. 
    1. Sollicitez des contributions en garantissant le financement initial de votre projet. Il peut s’agir de dons ou de prêts. Au besoin, lancez une campagne de collecte de fonds, de sorte que le développement de votre projet se fasse au même rythme que vos rentrées financières.
       

    Quelles sont les structures qui peuvent vous aider ?

    Créer son école

    Le site Internet « Créer son école » est une mine d’or en informations juridiques et pratiques pour créer son école. Il propose également un annuaire des écoles indépendantes.
    http://creer-son-ecole.com/

    ou

    http://ecolesdifferentes.free.fr/

    Pédagogie Freinet

     http://www.icem-pedagogie-freinet.org/

    Pédagogie Montessori 

    http://www.montessori-france.asso.fr/

    Pédagogie Steiner 

    http://www.steiner-waldorf.org/
     

    Quelques lectures :

    • "Des écoles pas comme les autres", Sophie Chavenas, Édition Horay
    • "Écoles différentes - Des pédagogies pour grandir et apprendre autrement", Catherine Piraud-Rouet, Editions Fabert

    • "Échec scolaire - Des solutions pour se réconcilier avec l'école", Catherine Sanson-Stern, Editions Fabert

    Ils l’ont fait !

    « La base et le principe de ce projet sont proches de l’idée de Maria Montessori et consistent à développer un environnement propice aux apprentissages de l’enfant. En effet, c’est l’enfant qui va trouver par lui-même la nourriture qui lui est nécessaire pour construire sa personnalité et son savoir.

    La ferme, qui fait ici partie intégrante de notre école en tant que support pédagogique, ainsi que le lieu de vie intergénérationnel ne sont que des prolongements de cette idée. Avoir un lieu de vie comme support d’apprentissage, un lieu quotidien d’évolution, enrichit considérablement l’environnement où l’enfant peut trouver de quoi satisfaire ses envies de savoir et nourrir l’énergie naturelle de croissance qui est en lui. Le potentiel de l’enfant peut ainsi se développer d’une manière créative. »

    Sophie Rabhi, La ferme des enfants, Ardèche

     

  • La valeur capital(e)

    La culture de l'entreprise est une des compétences clefs dites DeSeCo demandées par l'ODCE à tous les écoliers de France, de Navarre et de Corée du Sud.

    OCDE qui nous dicte nos politiques éducatives sous le haut patronage des multinationales et institutions économiques et financières internationales sous contrôle états-uniens.

    Voilà une valeur d'esclavagiste qui ne doit pas trop déranger Béatrice Bourges, pour laquelle les valeurs sont à géométrie variable, pourvu qu'elles soient cotées en bourse.

    http://www.oecd.org/.../definitionandselectionofcompetenc...

    www.oecd.org
    OECD Home › Directorate for Education and Skills › Skills beyond schools › Definition and Selection of Competencies (DeSeCo)
     
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        Oriane Borja La culture de l'entreprise est une des compétences clefs dites DeSeCo demandées par l'ODCE à tous les écoliers de France, de Navarre et de Corée du Sud.

        OCDE qui nous dicte nos politiques éducatives sous le haut patronage des multinationales et instit
        ...Voir plus
        www.oecd.org
        OECD Home › Directorate for Education and Skills › Skills beyond schools › Definition and Selection of Competencies (DeSeCo)
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        Jean-Baptiste Gicquel N'importe quoi. Entreprendre c'est avoir une vraie conception de la liberté, celle qui renforce nos racines et prolonge l'histoire d'une civilisation face au capitalisme sauvage et mondialisé. Créer son entreprise c'est sortir du joug des entreprises multinationales, c'est affirmer son indépendance et son identité face au monde et aux idéologies. Entreprendre ce n'est rien d'autre qu'être libre.
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        Oriane Borja Clap Clap Clap, tu lis Von Mises dans le texte toi.

        Ca fait longtemps que le tissu entrepreneneurial a été happé par les multinationales et le système libéral, aujourd'hui, le chef d'entreprise n'est que l'esclave-maillon d'un système lui-même esclava
        giste.

        Mais encore faut-il pour le comprendre avoir remonté toute la chaîne politico-éducativo économique, savoir qui et comment cela se met en place.
        Travail que j'ai accompli.
        Vous, visiblement, pas.
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        Oriane Borja En outre, le but utilitariste de l'école n'est pas dans l'esprit français, c'est la vision sous-développée anglo saxonne.
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        Jean-Baptiste Gicquel Non mais bous êtes dans un délire à la limite de la théorie du complot ! De quels maîtres les entrepreneurs seraient-il les esclaves ? De la diabolique finance internationale fantasmée par les curés socialistes ?
        Si vous étiez sortie de vos bouquins écrits par des rats de bibliothèques et que vous aviez vous même agit sur le terrain vous sauriez que le financement des entreprises est complexe, multiple et que les financiers ont des buts tous différents en terme de risque et de durée de retour sur investissement. Il n'y a donc aucunement lieu de parler d'esclavage.
        Ceci étant dit, il est clair qu'enseigner l'entrepreneuriat à la maternelle est une ineptie mais ce n'est pas une raison pour dénigrer cette noble activité.
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        Oriane Borja Tu as la vision du chef d'entreprise du XIX, on lit ça dans la Comtesse de Ségur.
        Va raconter ça aux Pleyel, au Continental, au Mory-Ducros, ils vont te rire à la gueule, à moins qu'ils ne te la défigurent.
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        Oriane Borja Même aux Herbiers, ultra protégé par ses réseaux, c'est en train de se péter la gueule, il n'y a plus d'entreprise libre, la libre entrrprise l'a tuER.
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        Jean-Baptiste Gicquel Ce qui ne trouvent pas d'autre excuse à leur échec qu'un excès de liberté ne sont que des incompétents ou des pleutres. Il est clair que survivre dans une économie si concurrentielle que la nôtre est difficile et demande de se battre, mais aucun système ne pourra y remédier, c'est la vie.
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        Oriane Borja C'est quoi la compétence ?
        Employer des ouvriers polonais avec la législation sociale de leur pays d'origine ?
        Faire travailler 39 heures payées 35 comme le propose Hervé Morin ?
        Oter les charges d'allocations famililales des entreprises pour les reporter sur les autres citoyens, en compensation de quoi les entreprises s'engagent à demander encore plus de revendications ?
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          Jean-Baptiste Gicquel La compétence c'est savoir adapter son offre à la demande, qui est en mouvement perpétuel.
          Vous voulez entrer dans ces détails ? Allons-y !
          Si les ouvriers polonais acceptent ce travail c'est que l'entreprise apporte dans le pays une demande de travail plus intéressante que ce qui existait déjà donc participe à développer le pays, et incite le nôtre à se tourner vers une économie du savoir. Cela devrait satisfaire vos rêves de mondialisation coopérative.
          Travailler 39h n'est pas choquant comparé à nos voisins et permet d'améliorer le pouvoir d'achat des français.
          Le modèle social français est extrêmement généreux et étouffe objectivement nos entreprises. A l'avenir, il faudra faire des choix drastiques pour préserver notre niveau de vie, c'est une réalité.
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          Oriane Borja Comme le disait Pagnol, il faut se méfier des gens qui vendent des pioches mais qui ne s'en servent jamais.

          Il n'ya pas plus d'offre que de demande, on a vendu l'offre à d'autres, moyennant un rendement à court terme.

          On a vendu nos usines et notre savoir-faire en pièces détachées de l'intérêt national pour servir de petits intérêts particuliers, à tel point qu'il ne reste plus un sou pour investir dans l'avenir puisqu'il faudrait alors piocher dans les bénéfices des actionnaires qui préfèreraient alors tuer l'entreprise.

          Quant à notre potentiel putatif issu de l'économie du savoir, étant donné qu'on fait l'économie de ce savoir en préférant la culture d'entreprise à l'instruction, il se réduit comme peau de chagrin.

          "rêves de mondialisation coopérative" : je vous laisse le cauchemar que vous érigez de toute pièce, c'est l'oeuvre du libéralisme qui ne saurait connaître ni de frontières ni de limites.

          Le modèle social français te dire Merde, il est issu de notre civilisation millénaire. Tu fais le choix du modèle anglo saxon, les Français lutteront contre, on coupera la tête à l'origine du mal, haut et court.
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          Jean-Baptiste Gicquel Le monde entier utilise cette pioche, ne vous en déplaise, et personne n'attendra la France pour prendre sa place dans le concert des nations.

          Mis à part les marchés de matière première, l'offre est rarement égale à la demande à cause de la dissymétri
          e de l'information.

          Vous vous attachez sans cesse aux emplois ouvriers, parce que ça semble plus concret et matériel mais ça ne fait vraiment pas rêver et vous oubliez qu'on est devenu une industrie de services qui sont bien plus intéressants et rémunérateurs (communication, services financiers, logistique, marketing, création, informatique, etc...).
          L'économie est complexe, tout est interrelié et nous n'avons pas besoin de production industrielle pour vivre.

          Le modèle féodal, basé sur le principe de subsidiarité et un contrat social très local était bien plus efficace que le modèle actuel d'un Etat centralisateur obèse et lent.

          Si vous avez encore l'illusion que l'Etat est le meilleur investisseur, vous n'avez qu'à regarder les destins des pays communistes et ça vous laissera une petite idée.
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          Frédéric Magellan La Somalie est bon exemple de réussite du retrait de l'Etat.
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          Jean-Baptiste Gicquel Je parle de l'économie, pas de ses fonctions régaliennes.
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          Oriane Borja La France est un Etat-Nation depuis toujours, grand Etat centralisateur qui a donné la plus grande parce que la plus belle civilisation du monde.
          Celle dont vous prenez le modèle aujourd'hui est aussi laide que suicidaire (le Bien, le Beau, il n'y a qu
          e ça de Vrai).

          Je crois en le modèle fraçais, le vôtre n'est qu'un système autodestructeur, il ne fera pas long feu.

          Il se voit que vous ne maîtrisez pas plus le monde de l'industrie que celui de la communication ou du service (personnellement, j'y travaille), c'est encore plus lapidaire que pour les ouvriers qui avaient acquis des droits qui n'ont même pas pris le temps d'apparaître dans les domaines plus récents.
          C'est un monde de loup où le turn over est constant, où vous disapraissez par suicide ou par oubli dès lors que vous perdez du nerf dans vos crocs, ce qui arrange bien parce que vous devenez trop cher.

          Vous ignorez tout du monde réel.
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          Jean-Baptiste Gicquel La France n'est un Etat-Nation que depuis Louis XIV et centralisatrice depuis Napoléon, on n'a pas les mêmes notions du temps.

          Le modèle français s'est adapté au long de son histoire et c'est ce qui a permis à la France de devenir une grande Nation.


          Votre vision du monde des services est caricaturale et déraisonnable mais même si ça ne vous plait pas, c'est notre époque qui le veut et nous devons nous y adapter.

          Je l'avoue, j'ignore tout du monde réel. D'ailleurs j'habite sur la planète Mars, je dine régulièrement avec des dieux scandinaves et je me marre bien.
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          Oriane Borja L'État est responsable

          de la conduite de la politique économique et sociale (défense de la monnaie, de l'emploi) et de la solidarité nationale (lutte contre les inégalités, santé publique, aide aux victimes des catastrophes naturelles). Il prévoit son action à long terme au moyen de plans successifs qui fixent les objectifs à atteindre.
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          Oriane Borja N'exagérez pas, les boîtes de sciences économques pour fils à papa ne se trouvent pas sur la planète Mars, je dirais plutôt sur Plouton.
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          Oriane Borja Vous avez mal en mémoire la hiérarchie féodale, pourtant en général, on fait un dessin, avec, tout au sommet, le souverain; hier le Roi, aujourd'hui le peuple, ce qui sert donc les mêmes intérêts.
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          Jean-Baptiste Gicquel On en arrive aux attaques ad hominem, je vois que la discussion est finie. Bonne journée très chère ! 
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          Oriane Borja J'ai fait mouche, môssieur a fait sa petite école privée grâce à l'argent de papa, à l'étranger sans doute ?
  • La preuve par l'absurde

    Liberté d'expression, liberté scolaire, liberté individuelle, la preuve de trois hérésies par l'absurde.
    Le gouvernement recule et autorise la théorie de la Terre Plate à figurer dans les manuels scolaires
    www.legorafi.fr
    Paris – Après de nombreuses hésitations, le gouvernement a finalement fait marche arrière et cédé aux tenants de la théorie de la Terre...

  • ABCD de l'éducation du genre normal

    Les enfants.jpg

    Dès tout petits, j'ai appris à mes trois fils et à ma fille :

     

     

     

     

     

     

     



    - que le seul être supérieur, c'est Dieu
    - que les filles étaient des princesses et par le fait même qu'elles enfantaient, les hommes leur devaient une infinie reconnaissance
    - que parce qu'ils étaient plus forts physiquement, ils devaient les protéger
    - qu'ils devaient leur tenir la porte pour montrer qu'ils n'étaient pas des sauvages
    - que des garçons qui se battent ne montrent que par là qu'ils ont un problème de déficience intellectuelle non encore comblée
    - que des filles qui se battaient étaient elles carrément irrécupérables
    - que l'intelligence des filles et des garçons étaient complémentaires
    - que ceux qui se moquaient des autres étalaient au jour l'étendue de leur connerie
    - qu'il fallait écouter ses maîtres
    - ne pas fréquenter les enfants mal élevés
    - dire Bonjour Madame, Bonjour Monsieur 
    - qu'on dit merci
    - qu'il fallait vouvoyer ses professeurs
    - qu'on ne se plaint pas et qu'on est toujours content quand on est avec les autres, mais qu'on raconte à sa maman tout ce qu'on a envie de raconter, ses peines et ses joies

    Le b a ba de l'éducation avec lequel on peut tout faire.

    Etant entendu que pour assimiler tout cela, l'enfant a besoin d'amour, et d'exemples, et que l'enfant sent qu'il reçoit de l'amour par une présence et un soin réguliers.

  • La propagande libérale du Salon Beige au sujet de l'école

    Une autre propagande libérale (toujours les mêmes) avec ma réaction en commentaire :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2010/07/libert%C3%A9-scolaire-lexemple-su%C3%A9dois.html

     

     

     

     

     

     

  • Logique libérale (un de mes anciens textes)

    http://orianeborja.hautetfort.com/tag/logique+lib%C3%A9rale+oriane+borja

     

    Ecole et logique libérale

    Ecole et logique libérale

     

    Devant l’offensive actuellement menée par l’association SOS Education, il convient de réagir. Sachant que l’on marche sur des œufs puisque suivant une logique venue d’outre-Atlantique, elle attaque en justice quiconque s’intéresse de trop près à sa filiation.

     Quelle étrange manière a-t-elle pourtant d’envoyer une pétition destinée à défendre la politique familiale française, en anglais ! Et quelle étrange coïncidence entre la politique éducative qu’elle préconise et celle menée aux Etats-Unis avec l’idée d’un réseau d’établissements indépendants sur la base d’une chartre minimale imposée par l’Etat. Ils souhaitent la mise en place d’écoles distinctes pour les enfants de « ceux qui ne lisent pas les mêmes journaux, ne votent pas pour les mêmes partis, n’ont pas les mêmes genres et styles de vie, etc. »

     Vision ultralibérale de l’éducation, on ne s’étonnera donc pas qu’elle propose une prochaine conférence avec Yvon Gattaz, ancien président du MEDEF, à la questure de l’Assemblée Nationale, où elle a donc ses entrées. Cette association rend un diagnostic correct du niveau catastrophique actuel des élèves. Mais comme certains le préconisent au niveau de l’OCDE ou de l’OMC, elle pourrait profiter de cet échec pour faire disparaître le service public de l’éducation nationale, celui qui , a priori devrait consister en une école républicaine forte, capable de transmettre à tous les élèves, quelles que soient leurs origines, sociale, confessionnelle, culturelle, un patrimoine commun de connaissances, une instruction qui serait un véritable ciment de la Nation et qui permettrait la promotion sociale de chacun. SOS Education arrive à exercer une certaine pression sur les gouvernements ( mais bien sûr, les lobbies n’existent pas en France), ainsi se vente-elle d’avoir abouti aux prises de position de Gilles de Robien sur les méthodes de lecture, avec toutefois le succès que l’on sait dans la pratique.

    Nos ministres de l’Education nationale ne sont que des pantins et les mêmes causes ayant les mêmes mes effets, c’est aujourd’hui Xavier Darcos qui tente une courte offensive, nous verrons ce qu’il en restera. Je peux témoigner du fait que la plus pure des méthodes globales sévit encore dans nos écoles, de la maternelle jusqu’au CP où l’on apprend les mots entièrement globalement avec le système des étiquettes, à laquelle vient se substituer la méthode dite semi-globale vers le deuxième trimestre du CP, qui relève du même apprentissage global qui consiste à partir de l’objectif que l’on devrait atteindre au lieu de partir du plus petit élément vers le plus complexe qui est le seul moyen de structurer le cerveau correctement, nous sommes biologiquement construits ainsi. La fronde de tous les syndicats de l’Education Nationale, ainsi que les associations de parents d’élèves est en marche.

    Associations de Parents d‘élèves, c‘est-à-dire des « indépendants »  de gauche comme des « indépendants » de droite, puisque chacun est sommé de croire à leur indépendance totale sous peine d’être taxé des pires tares possibles. Pourtant essayer donc de seulement émettre un avis divergents dans leurs pseudo réunions démocratiques. Ceci dit le risque n’est pas grand de voir un parent d’élève sortir de la pensée unique et il est assez pénible de constater que l’on est toujours assez isolé pour ne pas dire complètement lorsqu’on émet la moindre contradiction .

     Et voir que le mécontentement peut être récupérer par des personnes très peu motivées par le sort de l’école républicaine comme nous l’entendons est tout aussi préoccupant. Prenons quelques points techniques sur les programmes du primaire où le rôle de l’instruction de l’enfant est fondamental :

                   - la semaine des quatre jours : une idée où les partisans du " apprenons moins" et ceux du « économisons plus » se rejoignent, sur le dos des enfants car d’une part, il paraît aberrant de ne travailler que quatre jours sur sept, quatre jours et demi , ce n’était pas la fin du monde. Certaines familles en profiteront judicieusement pour faire travailler leurs enfants tandis que d’autres n’auront que le choix de rester devant un écran, accentuant le différentiel de niveau. D’autre part, les spécialistes ont émis des critiques quant aux rythmes du sommeil de l’enfant, qui se levant plus tard deux jours consécutifs est perturbé biologiquement . Les parents qui profitent des RTT pour partir reviennent avec des enfants très fatigués. Et le papa des familles déstructurées qui ne prend l’enfant qu’un week-end de temps en temps, est déresponsabilisé puisqu’on réserve la charge de la vie scolaire à la maman pour la grande majorité des cas. Accordons que dans la vie menée actuellement, ce sont trois heures où certains enfants, dont les parents ne travaillent pas le samedi , peuvent passer plus de temps en famille.

                  - la réorganisation des horaires : beaucoup de bruit pour rien car le nombre d’heures de français et de mathématiques, qui sont les matières fondamentales, stagne ou baisse !!! (8,8 heures contre 8,4 en français avec même une baisse au CP ! 5 heures contre 5 heures 30 en mathématiques) Or, la maîtrise de la langue est la base de tout, elle est la base de l’accessibilité à toutes les autres matières. De nombreuses études scientifiques incontestées le montrent. Il faudrait au moins rétablir la base des 10 heures par semaine. Jack Lang qui prétend une moins value culturelle parce que compte tenu de la réduction du nombre d’heures du samedi et l’introduction de l’étude de l’histoire de l’art (chaque ministre veut imposer sa patte), il restera effectivement moins de temps pour un tas de projets superflus - prêt-à-penser, vendus clés en main - chers au ministre le plus bling-ding de sa génération ; n’oublions pas qu’il a voulu , avec Philippe Mérieu, la disparition de l’étude de la grammaire car elle était prétendument inégalitaire !!! Monsieur BLED, dont on devrait honorer le nom en a eu le bien triste spectacle avant de mourir. La grammaire, pour laquelle nos ancêtres érigeaient des statues, est la base même de l’instruction.

                      - le retour de la grammaire: ce point voudrait qu’à lui seul, nous soutenions le projet Darcos. Même si cette réintégration n’est que parcellaire, son apprentissage, défini par une progression rigoureuse avec la réintroduction de notions qui n’étaient plus étudiées, est une grande bouffée d’oxygène. (A l'heure où j'imprime ce texte, nous apprenons que le ministre vient de faire marche arrière sur ce point !!! )

                     - les leçons de morale : c’est l’instruction qui éduque. La barbarie s’est installée dans nos écoles proportionnellement à la baisse de son niveau d’instruction. L’éducation devrait rester l’œuvre des familles mais l’école doit se doter de règles à respecter sous peine de sanctions effectives pour se protéger, tous les discours en la matière ne sont souvent que du théâtre. (Face aux derniers coups de couteaux dans le collège de Lyon, le CPE promet... une "charte pour la paix"qui viendra faire doublon avec le blabla du débat scolaire qui lui aussi n'a cessé de croître proportionnellement aux dites "incivilités". On a les enfants qu'on mérite.)

                     - suppression de postes, cours de soutien : bien sûr, les enseignants s’indignent dès lors qu’on touche à leurs conditions de travail, dont la baisse est toute relative. Ils s’attachent de toute façon plus à des choses secondaires qu’au principal, il me semble que le plus important dans ce noble métier est le niveau d’instruction donné aux élèves. Quand on voit ce qu’il est, on devrait d‘abord se battre contre ce déclin qui s'est initié depuis trente alors que le budget de l’Education Nationale n’a cessé d’augmenter durant la même période, où est l'erreur ?

    Oriane Borja

     

    Créé par Oriane le 01/08/2008 à 14h39
     
     
     
  • Voilà ce que ça donne le Québec Libre ...

    Pour des non-interventionnistes, les libertariens étrangers s'occupent beaucoup de nous, ils ne veulent pas écrire notre programme non plus ?
    Parce qu'avec tous nos "patriotes" qui ne demandent qu'à être embrigadés par l'idéologie anglo saxonne, y'a de la demande :

    http://www.xn--pourunecolelibre-hqb.com/
    Pour une école libre au Québec
    xn--pourunecolelibre-hqb.com
    école, Canada, français, immigration, familles, carnet, démographie, sociologie, États-Unis, France, université, droit, libertés, sexualité

  • Apprivoisez vos enfants

    Marion Sigaut déclare que "La France éduque et forme un peuple homosexuel, pervers et de racailles".
    La France ne fait pas cela, et les homosexuels se forment tout seuls, et les pervers et la racaille sont ainsi par la non-éducation que leur ont donnée leurs parents.

    Et une fois de plus, prenez soin de vos enfants, donnez-leur une solide éducation, et vous n'aurez rien à craindre de personne.

    Je peux en tout cas, et pour vivre dans le monde réel, rassurer cette dame, les enfants sont encore merveilleux, ceux qui emmerdent sont une minorité et ne doivent leurs "grâces" qu'à des parents qui ont loupé quelque chose à la base.
    Je dirais même que malgré certaines carences obligées dues au fait que les mamans soient souvent obligées de travailler, les petits ont de redoutables capacités d'adaptation.

    Le danger, c'est lorsque les parents les éduquent à l'américaine, dans le culte de l'argent et du futile, voilà l'horreur.