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Marine, soigne ta droite
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And the winner is ...
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Attention à la propagande libertarienne notamment en matière de santé
Attention, le site Nutrition-Santé.org est un site de propagande d'extrême-droite maintes fois épinglé pour ses articles aussi farfelues qu'extrémistes.
Il est rattaché aux réseaux conspirationnistes libertariens copiés-collés de ceux qui fleurissent aux USA dans des buts précis de défiance notamment par rapport à l'Etat et à la santé publique.
Une de leurs techniques est en effet de mêler du vrai au faux, ce qui donne une apparence scientifique.Lien permanent Catégories : Libertariens (Libéralisme) -
Pour Alain Soral, rien n'est assez libéral, le discours typiquement libertarien
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Les politiciens au secours médiatique des personnes mortes mais une politique qui laisse crever les "encore" bien-vivants qui ne sont pas sous les projecteurs
Tous les gouvernements d’Europe étaient hier au chevet des malheureuses victimes du fracas de l'A380.
Et c'est normal.
Hier soir, nous étions moi et mon fils aux urgences au CHU de Nantes.
Il est handicapé, a fait de très gros malaises, et on nous a pourtant laissés rentrer seuls à moitié à pieds dans la nuit pluvieuse, sans aucun soutien.
Mon fils revenait hier après-midi d'une compétition dans le cadre de l'UNSS avec son collège.
Je l'avais accompagné puisqu'il est malade et que je me suis arrêtée de travailler pour m'en occuper.
Tout s'est bien passé, nous faisons des contrôles sanguins réguliers pour s'en assurer, nous étions encore en contact la veille avec la coordinatrice du CHU parce qu'il a des taux relativement hauts après avoir eu des périodes trop basses et qu'il faut donc réguler sa glycémie à chaque instant.
Il a eu à se resucrer pendant la compétition, mais c'est normal, son taux est élevé à la fin de la compétition à 2,15.
Mais une fois à la maison, il se sent mal, on contrôle, il est à 0,4, en hypo.
C'est très bas, le coma se situe vers 0,2.
Je le resucre comme le veut la procédure, il se sent un peu mieux, il doit donc manger un peu toujours selon le protocole.
Mais là il ne se sent pas bien à nouveau, il fait ainsi cinq hypo de suite, j'ai appelé le SAMU entre temps.
Le médecin me dit de lui injecter son glucagen pour le faire remonter.
Cette opération de survie ne se fait qu'en cas de coma, or mon fils est encore conscient, je suis réticente, c'est comme si on me demandait de lui faire un électrochoc alors qu'il n'a pas encore fait de crise cardiaque.
Le médecin ronchonne et m'appelle une ambulance.
Qui nous amène aux urgences.
Tout cela prend du temps, il est déjà tard.
Nous finissons par voir le pédiatre diabétologue après qu'on m'a demandé de refaire des contrôles, la glycémie a fini par remonter au bout de cinq heures, l'eau sucrée que je lui avais fait avaler à la maison alors qu'il n'arrivait plus à manger finissait par faire effet.
Le diabétologue me dit que le fait d'avoir mangé après le sucrage comme il faut le faire et comme ça l'a toujours rétabli jusqu'à présent, a ralenti sa remontée, et qu'il aurait fallu resucrer plusieurs fois en évaluant si le premier resucrage n'avait pas fait d'effet.
Honnêtement, c'est difficile à dire, l'enfant ressent, ou pas, un léger mieux, jusqu'à présent, il était toujours remonter, pas cette fois.
Le pédiatre me confirme que j'ai bien fait de ne pas lui administrer le glucagen, et me prescrit des piqûres d'insuline rapides à demi-unité au lieu de celles que nous avions jusqu'à présent que nous ne pouvons régler que par unité entière, ce qui n'est pas assez fin pour réguler.
J'avais bien lu que, lorsque les unités d'insuline sont basses, il fallait des demi-unités, mais ce n'était pas ce qu'on nous avait prescrit jusqu'à présent.
Il est déjà très tard dans la nuit, nous pouvons à présent rentrer chez nous, sauf que j'ignore comment nous allons pouvoir rentrer à cette heure.
J'en informe inquiète le pédiatre qui était déjà passé à autre chose, elle ne sait pas quoi me répondre, voyant que je gêne, je dis que j'allais me débrouiller après lui avoir expliqué que l'allocation que je devais toucher de la CAF n'était toujours pas enclenchée depuis début février (je me suis arrêtée de travailler pour m'occuper de lui, il est considéré comme handicapé et est d'ailleurs pris en charge à 100 % par la sécu, j'ai donc droit à une allocation, mais des dysfonctionnements et malgré la prise en charge par l’assistante sociale du CHU dès le départ, font qu'on me laisse dans cette situation sans ressources.
C'est le même pédiatre diabétologue qui est de garde ce soir qui nous suit à l'hôpital, mais nous ne l'avons pas vraiment rencontrée jusqu'à présent, elle nous suit à distance en passant par l'infirmière coordinatrice du CHU.
Elle ne connaît sans doute rien de notre situation sociale, du fait que j'élève seule mes enfants, que le père est HS et que je n'ai pas de famille sur place.
Elle me dit d'appeler une amie ou une voisine.
A cette heure-là de la nuit, je me vois mal faire cela, tout mon quartier est composé de HLM où ne vivent que des femmes seules avec enfants ou âgées et qui vivent dans une aussi grande précarité que moi.
De plus, mon téléphone n'est plus qu'en appel d'urgence.
Je sors dans le hall, je cherche une solution.
Etrangement, je ne vois aucune chaise pour s'asseoir.
Il faut que je me pose cinq minutes pour trouver une solution impossible.
Je finis par retourner aux admissions en leur expliquant que je ne sais pas comment rentrer.
La réceptionniste passe des coups de fil en me demandant d'attendre, puis finit par me dire que ça ne répond pas, et de retourner dans le service des urgences pour demander de l'aide.
Je lui explique à nouveau que j'ai déjà fait part de mon problème à ce niveau-là, en vain, j'insiste, elle insiste aussi.
Je retourne donc en pédiatrie, explique encore, et me vois encore imposer un refus, me demandant de revenir à l'accueil.
J'y retourne mais je ne me sens pas bien, la journée a été longue et stressante, je me demande jusqu'à quel point je vais devoir et pouvoir encaisser.
Je dis donc que nous allons rentrer à pied, que le chemin est simple, c'est quinze kilomètres tout droit en suivant la Loire depuis le CHU jusqu'à Thouaré et qu'ils n'auraient donc plus qu'à s'inquiéter demain sur ce trajet si nous n'étions pas rentrés.
La réceptionniste part dans un éclat de rire, je pars, tout court, avec mon fils, qui n'a toujours rien mangé, à cette heure-ci il aurait dû déjà recevoir son insuline rapide, manger (manger fait partie de son traitement), son injection lente d'insuline et devrait être en train de dormir.
Sur le chemin du retour, j'appelle tout de même le 112 pour leur dire ce que je fais, le standardiste m'aide en m'orientant vers un tram pour nous rapprocher.
Drôle de nuit parmi la faune noctambule avec mon fils de onze ans, il pleut, il fait noir, nous sommes tous les deux sonnés par la fatigue, ce qui nous permet de marcher très vite sans se poser de question.
Je lui demande de temps en temps si ça va, tout va bien.
Arrivés à la maison, je découvre plusieurs messages sur mon téléphone, entre mes anciens clients qui m'appellent toutes les semaines pour savoir comment va mon fils mais aussi quand je vais revenir donner mes cours et m'occuper d'eux, l’assistante sociale du CHU qui me dit de la rappeler si je n'ai toujours pas de nouvelles de mon allocation vendredi prochain, j'ai deux appels, un de la réceptionniste de l'hôpital qui me dit que j'aurais dû attendre dans la salle d'attente (laquelle ?) et qu'ils auraient trouvé une solution, et un autre du médecin qui me dit qu'on lui a rapporté que j'allais rentrer à pieds et qui s'inquiétait.
Je n'ai pas eu de nouvelle en revanche du CCAS de ma commune, que j'ai rencontré durant l'hospitalisation de mon fils il y a plus d'un mois maintenant.
L’assistante sociale du CHU m'avait dit de prendre contact avec eux pour obtenir des chèques alimentation.
Ils ont mon dossier complet, je leur ai remis un gros dossier faisant état de notre situation avec tous les justificatifs, seule avec quatre enfants et juste les allocations de la CAF*.
On m'avait dit que malheureusement la commission se réunissait tous les mois et demi, mais qu'elle allait voir devant les élus pour une prise en charge d'urgence.
Les urgences, quelles urgences ?
Après tout, nous sommes encore en vie.
*J'ai droit aux allocations familiales pour quatre enfants, à l'allocation de soutien familiale et au complément familial majoré, CP qui m'indique que nous faisons partie des 400 000 familles les plus pauvres de France, c'est-à-dire que nous vivons avec mes enfants sous le seuil de pauvreté avec cela et mon salaire (temps plus que plein), je vis donc sous le seuil de pauvreté moins mon salaire depuis que mon enfant est handicapé.Lien permanent Catégories : Non classé -
Marion Maréchal Le Pen s'aligne sur le chemin de droite socialo identitaire
Je ne vois pas en quoi nous serions plus proche de la Ligue du Sud que du Parti Socialiste.
La LDS est contre notre Etat, ils sont aussi eurorégionalistes sinon plus que le parti socialiste, le PS aurait même de plus, de faire au moins avec un semblant d'Etat pour ne pas perdre la face.
Autrement, la conception racialiste des identitaires ne nous concerne pas, notre conception est plus proche de celle du PS qui considère tous les Français comme Français point barre.
Bref, entre un PS et un Identitaire de la Ligue du Sud, Marion Maréchal Le Pen préfère un partisan de la race blanche anti Etat, obligeant "ses" candidats à se désister en leur faveur.
Un signal fort, clair, cohérent et honnête eut, changé d'une part, et aurait consisté d'autre part, à affirmer notre position ferme contre le démantèlement de la France via le démantèlement de son Etat qui sont des tendances droitardes des socialistes et des identitaires.
Evidemment, il aurait sans doute fallu pour cela que MMLP ne soit pas en cela alignée elle-même sur la position socialo identitaire, qu'elle estime sûrement plus proche de sa souche et de sa sensibilité anti-Etat..
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Agnès Verdier Molinié refuse aussi l'étiquette de libérale, ça sonne trop gauchiste dans sa tête.
Une égérie du capital : Agnès Verdier-Molinié
(rediff)
13 mars 2015 | Filed under: lobbys patronaux, Nos enquêtes and tagged with: anti avortement, bordelais,Bourgeoisie, confédération paysanne, ifrap, pétainiste
Elle rêve de tailler dans le gras de la fonction publique, de dépecer l’Etat social à la tronçonneuse. Avec ses idées simples, Agnès, Marie, Bénédicte, Verdier-Molinié [1] plaît aux journalistes et aux patrons. Pas une semaine sans l’entendre vociférer contre les fonctionnaires sur BFM TV, sur Europe 1 ou encore dans « C dans l’air » sur France 5.
Qu’importe sa moue souvent fielleuse, ce François de Closets en tailleur Gérard Darel est « éminemment télégénique », s’enthousiasme Le Figaro (Figaro, 29 mars 2013). Du côté de Libération, on la dépeint comme une « bucheuse », « ni pasionaria vociférante, ni caricature bourgeoise » (Libération, 25 septembre 2013). Depuis qu’en 2009 Agnès Verdier a pris les rênes de la Fondation IFRAP, son cours médiatique s’est envolé. Sa recette ? Incarner l’austérité et asséner sans relâche des chiffres invérifiables.
Passages TV d’Agnès Verdier-Molinié
Bonne cliente des media, Agnès Verdier-Molinié passe de plateaux en plateaux pour réciter son catéchisme libéral. Pourtant, elle qui disserte à l’envie sur l’économie de notre pays n’est pas économiste. Née à Talence (Gironde) en 1978, Agnès Verdier-Molinié a entamé ses études dans un lycée privé catholique – elle promeut d’ailleurs l’enseignement dit « libre » – avant d’obtenir une maîtrise d’histoire contemporaine à l’Université de Bordeaux. C’est Christine Lagarde, ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui l’a intronisée économiste en la nommant membre du Codice (Conseil pour la diffusion de la culture économique) en 2008 – un organisme dissous depuis, qui devait inculquer aux Français les valeurs de l’économie de marché [2]. Seuls liens avec l’« enseignement », quelques cours dispensés au sein de l’Institut de formation politique, une école privée où l’on apprend à détester les fonctionnaires, les syndicalistes et le mariage pour tous. Autant dire que les jugements de l’experte Agnès Verdier-Molinié sont partiaux. Elle connaît d’ailleurs très peu le monde du travail. Avant qu’elle ne rejoigne l’IFRAP en 2002, ses expériences professionnelles se sont limitées à des piges (pour le Figaro et L’Expressnotamment [3]). Tout au plus a-t-elle donné des coups de mains au château familial à l’occasion des vendanges.
L’évocation de cette jeunesse de châtelaine fait verser une larme à la journaliste du Figaro. On imagine la famille Verdier y vivre sans eau, ni électricité : « Élevée dans le Bordelais par des parents viticulteurs « anticonformistes » qui avaient racheté une maison en ruines pour y élever leurs quatre enfants, elle apprend à leurs côtés le « sens du travail acharné » ». Quel calvaire cela a dû être de vivre au Château Bessan, un édifice construit au 17e siècle, entouré de douze hectares de vignes, situé « au détour d’une petite route sinueuse et pittoresque qui suit les méandres de la Garonne, depuis le haut du coteau » (Sud Ouest, 26 avril 2008) ! Comme il a dû être pénible de supporter un père surfeur,adepte de l’agriculture biologique et adhérent à la Confédération paysanne.
Mais les Verdier sont-ils vraiment anticonformistes et partis « de rien » comme l’écritLibération ?
Les parents et grands-parents de notre Causette libérale figurent en bonne place dans leBottin Mondain, ce grimoire qui recense grands bourgeois et aristocrates. Quand ils rachètent Château Bessan en 1986, les Verdier ne sont pas tout à fait démunis : lui, descendant d’une famille de viticulteurs, a fait des études à Dauphine et à la Faculté d’œnologie de Bordeaux et a déjà géré des châteaux ; elle officie comme assistante de direction. Leur vignoble est aujourd’hui une prospère entreprise familiale que dirige le petit dernier.
De cet univers cossu, Agnès Verdier n’a pas seulement hérité d’un goût pour l’œnologie. Chez les Verdier, la politique n’est jamais très loin. L’arrière-grand père maternel, Maurice Hanaut (dit Maurice d’Hartoy) a fondé en 1927 les Croix de feu, célèbre association d’anciens combattants qui s’est rapidement transformée en une ligue nationaliste, anticommuniste et anti-parlementariste, initialement financée par le sulfureux François Coty, patron du Figaro [4]. Son fils, le colonel Bernard d’Hartoy, qui fut rédacteur en chef de la Voix du combattant, a des convictions bien trempées : ancien séminariste, c’est une figure de proue de l’association Laissez-les vivre, un groupuscule catholique anti-avortement où il ne fait pas bon vivre quand on est laïc ou franc-maçon [5]. Quand il ne pourfend pas les avorteurs, le grand-père défend la mémoire de ses héros nationaux préférés : le maréchal Pétain, notamment.
De son côté, Agnès Verdier-Molinié s’est trouvé d’autres grands inspirateurs. Grâce à la Bourse Tocqueville – un prix atlantiste décerné avec le soutien de Contribuables associés – elle a découvert les activités des think tanks américains, notamment de l’Heritage Foundation et du Cato Institute en 2004. Dans ces cénacles, où l’on conjugue amour du laissez-faire et ultra conservatisme, elle a rencontré Robert Rector. Cet inspirateur duFederal Welfare Reform Act de 1996 a entrepris de transformer le Welfare américain enWorkfare, un système qui conditionne l’obtention d’aide sociale au travail et contribue ainsi puissamment à dégrader les conditions de travail des salariés au profit du patronat[6]. Évidemment, si Robert Rector veut dérèglementer le marché du travail, il pourfend l’immigration non régulée et promeut l’abstinence sexuelle jusqu’au mariage. Car à le lire, le sexe déprime et pousse au suicide.
Ultralibéralisme et réaction font souvent bon ménage. En présentant Agnès Verdier-Molinié comme une experte et en ne l’interrogeant que sur les thématiques qui constituent son fonds de commerce (impôts, syndicats, fonctionnaires, etc.), les médias contribuent à dissimuler que les marottes des libéraux ne poussent pas dans le ciel des idées. Elles servent les intérêts des dominants qui, s’ils veulent librement s’enrichir, ont tout intérêt au maintien de l’ordre social. Elles s’accordent, en outre, parfaitement avec un point de vue ultraconservateur qui voit la main de dieu derrière le libre jeu du marché.
Emilie Wright
Pour lire l’épisode 1 de la série consacré à l’IFRAP
Pour lire l’épisode 2 consacré à l’AFEP
[1] Agnès Verdier a épousé en 2005 Laurent Molinié, ancien élève de l’École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC), consultant en stratégie chez PricewaterhouseCoopers.
[2] Agnès Verdier devrait d’ailleurs se féliciter de ne pas être économiste. A son âge, elle ne toucherait pas 4000€ par mois à l’université. D’autant qu’elle ne possède aucun des titres permettant d’y exercer des fonctions d’enseignant-chercheur.
[3] Voir par exemple, Renaud Revel et Agnès Verdier, « Le pouvoir gay », L’express, le 21 juin 2001.
[4] Albert Kechichian, Les Croix-de-Feu à l’âge des fascismes : Travail Famille Patrie, Paris, Éditions Champ Vallon, 2006.
[5] Le bulletin de Laissez les vivre publie d’ailleurs de la réclame pour le Château Bessan
[6] John Krinsky, « Le Workfare. Néolibéralisme et contrats de travail dans le secteur public aux Etats-Unis », Les notes de l’Institut Européen du Salariat, n°8, novembre-décembre 2009.
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The libertarians are not liberals but they are libéraux
Nom : P
Email : sp@o-patrimoine.com
Message :
"Salut Oriane, Sincèrement, je suis déçu par tes pseudos publications ; haine du front et éructations sur le monde qui t'entoure sont en effet de faibles arguments... A se revoir pour discuter, Bises, Samuel"
Re
oriane borja 15:28
À : sp@o-patrimoine.comBonjour Samuel,
Ne t'inquiète pas pour mes faibles arguments et pseudo publications, elles sonnent bien dans un monde critique bien vide, et servent de références à des personnes qui se posent des questions.
Et quand bien même, je le fais pour ma conscience.
Je sais contre quoi je me bats depuis toujours, je sais ce qu'est la France et quels sont ses ennemis, je me bats pour elle, il se trouve que tu es dans le camp qui la menace et avant cela la souille.
Je ne m'en prends pas au Front, je le sers par les seuls moyens dont je dispose.
A lui d'en faire bon usage, je n'ai aucun problème à me sacrifier pour ouvrir les yeux, au contraire, c'est toute ma fierté.Honte à toi au contraire de ce que tu es et représentes, je remercie le Ciel chaque instant de ne pas m'avoir faite ainsi.
Oriane
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Les élus locaux, parents pauvres de la république
Les élus locaux sont le prolétariat des élus, ils sont peu payés et reversent une quote-part importante à leurs partis respectifs.
Une fois utilisés, ils sont souvent rejetés sans merci ni merde, je ne pense pas que proroger leurs droits en l'alignant sur le droit commun en fasse des privilégiés.Le père de mes enfants a fait des études supérieures, a passé des concours avec brio puis a voulu s'engager en politique.
Il a pu se mettre en disponibilité de son ministère mais cela ne dure qu'un temps,.
Il a préféré ne pas lâcher son engagement politique dans la tourmente et a perdu des élections.
Il s'est retrouvé sans rien du jour au lendemain, au bout de six mois nous avons dû vendre notre maison en urgence et à perte.
Je pense qu'une sorte d'assurance chômage normale nous aurait permis de ne pas sombrer.Lien permanent Catégories : Brèves, Cantonales, Municipales, Régionales