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libéralisme mondialisme - Page 7

  • L'Empire des libéraux contre-attaque

    Il ne sert à rien de vouloir raisonner des idéologues, vous aurez des réactions épidermiques d'adeptes dont on touche le gourou, des réflexes claniques maffieux.

    En revanche, il est important d'expliquer et de dénoncer.

    Verdier-Molinié se fout même de l'entreprise qu'elle ne connaît pas, elle fait partie d'un réseau de lobbies d'extrême-droite (IFRAP, Bourse Tocqueville, Contribuables Associés, Institut de Formation Politique, Institut Pour la Justice, Sos Education, etc., reliés aux plus grands groupes d'influence américains).

    On leur offre à la base, des formations à des techniques de manipulation, et des réseaux, le tout avec des financements de groupes qui ont intérêt à abattre l'Etat.

    Leur cible, c'est l'Etat, seul rempart à leur idéologie libérale totalitaire.


    Julien Lovato
    7 h ·
    "Suite à des attaques personnelles concernant ma critique du « dogme » néo-libéral récité par Verdier-Molinié.
    Attaques consistant à : 1 dénigrer personnellement, 2 pinailler sur une faute, 3 dénaturer mes propos, 4 qualifier mon raisonnement de partisan politiquement, 5 critiquer nommément sur un profil fermé,
    voici une réponse. Réponse assurément non communiste, non socialiste, non libérale, non néolibérale, juste issue d’une longue praxéologie éprouvée.

    Comprenons bien, hurler aux charges sociales (Cotisations Ndla) tel que le fait cette dame pour satisfaire les grands groupes ayant atteint une masse critique ne rendra pas (toutes) nos entreprises performantes. Ca consolidera les profits et dividendes de ces groupes mais n’amènera aucune création supplémentaire d’activité par ailleurs. Abaisser fortement ces prélèvements sans analyser dans le détail les facteurs de création de richesse ne créera pas davantage de richesses/emploi et appauvrira nos infrastructures collectives. Oser dire cela c’est être dans la ligne de Hamon selon ces détractrices semblerait-il !

    Alors tout chef d’entreprise évoluant dans un ETI/PME qui sait un peu comment ça marche vous dira la chose suivante concernant l’entreprise prise comme groupe social (le parallèle est facile à faire avec un état):

    Une PME, une ETI c’est en général 3 groupes sociaux différents : l’actionnariat, le management, le salariat. Si l’on satisfait trop une des parties prenantes quel que soit le motif, ça revient à déséquilibrer le pacte social liant tout ce petit monde autour du projet d’entreprise et donc à casser des pièces du moteur de création de richesse.

    Exemple 1 : augmenter trop les rentes des actionnaires en payant moins les salariés ou en n’investissant pas dans de la capacité de production ; c’est faire que le salarié (se sentant déconsidéré et mal traité) n’en donne plus que pour ce qu’il est payé, c'est-à-dire pas grand-chose. Casser sa protection sociale, c’est faire qu’il sera moins en forme, moins disponible, plus occupé à gérer les maux de ses enfants, etc. donc moins impliqué --> à créer de la valeur ajoutée and so on pour ce qui est des transferts sociaux, du chômage, de la défense, de la police, de l’éducation. Ne pas investir dans de la capacité de production (machines, méthodes, formation, analyses, recherche et développement…) l’entreprise plonge inévitablement. Le parallèle avec les projets réformistes de Fillon, Macron etc. sont faciles à faire.

    Exemple 2 : si l’on ne satisfait que le salariat, on tombe sur pléthore de congés, des horaires faciles mais ne correspondant plus aux plages de contact/réalisation avec le client, en clair ça génère des demandes salariales toujours plus décalées de la raison sociale de l’entreprise (à savoir répondre aux besoins du client). Le parallèle avec le projet réformiste de Hamon (puisqu’il parait que ma pensée lui correspond) est lui aussi facile à faire. On satisfait des demandes individuelles, les demandes ubuesques des différentes ethnies et on perd les synergie de l’universalisme… voyez vous là aussi le parallèle avec le socialisme actuel ?

    Conclusion : si on laisse faire les uns (actionnaires/financiers) le projet d’entreprise/état échoue à plus ou moins long terme, et de même si on laisse faire les autres (salariés/ethnies). Je vous passe les détails sur le management mais les conclusions arrivent invariablement au même résultat. Là je ne suis dans aucun parti et les encartés de gauche me traitent déjà de néo-con et les encartés de droite de Hamondiste (ça se dit ça ?)

    Mon fond de pensée c’est que sachant cela, il est facile de comprendre qu’il n’y a aucun groupe social dans l’entreprise ni aucun individu qui détient la vérité. Les manageurs voient un symptôme fruit de leur point de vue. Ils en cherchent les causes toujours selon leur point de vue et trouvent des solutions satisfaisant majoritairement … leur point de vue (même s’ils pensent avoir pris toutes les précautions pour éviter d’être partisans).

    Au résultat ces solutions ne sont que peu efficaces et parfois même, elles empêchent la pérennité/développement de l’entreprise. Pourquoi ? Parce que, sauf coup de chance, ces solutions ne répondent qu’à une partie de la problématique technique nécessaire à adapter l’entreprise. Et comme, selon un autre prisme de lecture, ces solutions ne répondent majoritairement qu’aux intérêts du petit groupe qui les a identifiées, ça crée des dissensions dans le pacte social et génère de la friction avec les autres parties prenantes. Ce phénomène est tout à fait normal, la rationalité est limitée et dépend de notre propre point de vue et le raisonnement qui en découle est obligatoirement ontologique.

    En clair chaque acteur ne peut faire ni percevoir ni agir autrement. Dans l’action, celui des groupes sociaux qui a le plus de pouvoir, les actionnaires surtout (vu que les manageurs sont intéressés par variable et actions), fait prévaloir ses solutions (ça ressemble à du lobbying chez nos politiques tiens). Mais ces solutions peinent à passer à l’action pour diverses raisons : soucis cognitif des acteurs/salariés, changement culturel difficile, flemme des changer d’habitudes, envie de son petit confort, pas à franchir trop grand dans le contexte de non maitrise des processus actuels etc.

    Mais la plus grande cause de la difficulté à implanter cette nouvelle technique/culture, le plus grand frein est que derrière la technique identifiée comme nécessaire (mais pas idoine), se dessine également un autre pacte social. Et ce pacte n’a pas été construit à l’avantage de tous ni même construit tout court. (Zut j’ai tapé sur les salariés, manageurs et actionnaires en même temps… est-ce Hamondiste, Macroniste ou Filloniste ?)

    Réformer lorsqu’on comprend plus en détail ce moteur dont je vous ai tracé les grandes lignes, n’est pas réciter la messe néo-libérale « Moins de charges, moins de charges, moins de code du travail » telle une Verdier-Molinié. Réformer c’est faire que l’on soit en capacité dans un état/entreprise/équipe donné de prendre toutes les volontés énoncées par chaque sous-groupe social, de prendre tous les freins au changement énoncés ci-haut (et ceux que l’on découvre en cours de route à l’écoute des parties prenantes), et de les traiter en cherchant puis concevant ensemble des solutions techniques et humaines.

    Et ces solutions ne peuvent se trouver que lorsqu’on reconçoit concomitamment le système de production, le système de planification, le système de communication (nature, volume, règles etc.), le système social, et que chacun y trouve une partie de ses intérêts à court, moyen et long terme. Bien souvent on ne peut énoncer de solutions apriori car s’agissant d’un dépilage de problèmes issus de rationalités humaines, il faut laisser chaque groupe social formuler, hiérarchiser, choisir les problématiques qui l’intéressent et les confronter aux résultat d’un même processus issu de la rationalité des autres groupes.

    Déclencher le progrès, l’évolution d’une société humaine (état, équipe, entreprise, privé, public, coopératif) ne peut se faire autrement qu’en déployant une vaste méthode de résolution de problèmes aveugle organisant correctement la confrontation d’idées, la récitation du dogme n’a pas sa place dedans mesdames : Catherin Dargaud ; Camille Becquet ; Eloise Lenesley."

  • L'extrême-droite de souche

    George « Guido » Lombardi, guide suprême de Marine Le Pen aux USA, est un ancien dirigeant de La Ligue du Nord, parti identitaire "italien".

    Ces gens-là détestent l’Italie autant que la Ligue du Sud déteste la France, ce sont de fervents anti-Etat.
    D'où leurs liens crochus avec le Tea Party (libéralisme total).

    Les Zids aimant tant leur identité, qu'ils finissent par aller vivre aux USA dans la Trump Tower dont on voit mal le rapport avec la Toscane.

    Il est vrai qu'ils peuvent vivre là-bas auprès d'anciens cadres de la secte Moon et du Medef, on reste en famille.

    Beefsteak de merde Trump, vins bas de gamme Trump, thé lyophilisé servi dans des gobelets en plastique Trump, l'art de vivre bling-bling de milliardaire aux goûts sous-civilisés américains, il y a là tout pour plaire à l'extrême-droite authentique.

  • L'extrême-droite américaine ne se Trump pas de Le Pen

    Il serait trop long et trop compliqué de vous expliquer les réseaux de Trump en Europe et en Russie, même s'ils sont tout à fait identifiables et que je les ai identifiés puisque je travaille sur le sujet depuis plus d'une vingtaine d'années.

    C'est d'ailleurs grâce au Front et au fait que j'ai été très proche de Marine durant tout ce temps, que j'ai pu les connaître et approcher.

    Ces réseaux sont présents au sein du Front, notamment via l'IFP (Institut de Formation politique) ou encore l'Ecole de Guerre Economique) qui forment des cadres pour le Front ( formation dans des think tanks de Washington) et pour d'autres partis.

    Vous trouverez ainsi comme assistants de Marine, Une Jeanne Pavard formée à l'IFP ou Pierre-Yves Rougeron de l'EGE.
    Mais souvenez-vous de l'épisode des amendements libéraux sur lesquels Marine avait dû intervenir car les assistants parlementaires avaient tenté de les faire passer au sein meêml de notre parlement alors qu'à l'encontre de notre programme.


    Je ne parle même pas de Chauprade ou de Audace.


    Ils ont intégré le Front, mais je vous assure qu'ils détestent Marine qu'ils trouvent trop étatiste.

    Ils s'en prennent d'ailleurs à Florian Philippot pour cela, et lui préfèrent Marion Maréchal Le Pen et sa ligne libérale conservatrice à laquelle la ligne sociale étatiste de Marine s'oppose.

    Les conseillers de Trump sont des hommes d'extrême-droite, ils sont en contact avec Marion mais refuse tout contact avec Marine.


    Ci-dessous, les liens montrant les contacts avec Marion et l'humiliation publique qu'ils montrent envers Marine.


    http://www.rtl.fr/.../marine-le-pen-prend-une-veste-a-la...
    "Marine Le Pen prend une veste à la Trump Tower", constate Pascal…
    RTL.FR


    http://www.huffingtonpost.fr/.../steve-bannon-bras-droit.../
    Le bras droit de Trump courtise Marion Maréchal-Le Pen, elle lui…
    HUFFINGTONPOST.FR

  • Quand l'extrême-droite va à la pêche aux glands, Lasalle est pleine

    L'extrême-droite est toute émoustillée, trois députés ne représentant qu'eux-mêmes prennent un dictateur syrien pour le nouveau messie, et à part peut-être quelques valises, on en voit guère le côté diplomatique du voyage d'affaires troubles.

    La diplomatie est une prérogative régalienne.

    Mariani, Lasalle (les centristes ont toujours été d'extrême-droite, ils sont très libéraux, très anti-étatistes, et très adoubés par l'Opus Dei, il est normal d'en voir mener croisade libérale en passant par les bases-arrière de l'extrême-droite) et compagnie se mettent à la solde de puissances étrangères, stipendiés pour balancer de la propagande, et bafouant au passage la souveraineté de l'Etat en matière d'affaires étrangères.

    Le respect de nos institutions veut qu'il n'y ait pas de doublon en matière de diplomatie, seul l'Etat détient ce pan de souveraineté, si Lasalle ou Mariani se prennent pour des chefs d'Etat, qu'ils se fassent d'abord élire.

    Mais il est vrai que s'ils vont apprendre la démocratie en Syrie, ils vont avoir du mal à importer leur "modèle" en France.
    Et quand on connaît les réseaux américains libertariens (anti-Etat) qui sont derrière eux, on prend encore plus conscience du danger.

    Si par ailleurs, les mêmes députés ont toujours fait partie des partis qui ont soldé l'indépendance de la France aux Américains, notre Etat et nos institutions se contrefoutent du branquignole au pouvoir, les vassaux d'Assad en France n'ont d'ailleurs pas plus de pouvoir par rapport à notre Etat, en revanche, ils le mettent en joug, et les défenseurs de la France devraient tous se lever contre cette fronde.

    Les couilles sans cervelle c'est pour les glandus.

  • Restos as-tu du coeur ou comment nous nous vîmes des millions en arrivant aux portes

    Les Restos du coeur sont-ils une bonne chose ?

    L'association caritative s'est donné pour mission de donner à manger à ceux qui ont faim.

    Personne ne pourrait être contre l'idée, pourtant cela dérange.

    L'expression consacrée veut que ce soient des milliardaires qui demandent à des smicards de donner aux "eressactifs".

    Quid de ce qui se passe en amont et en aval de l'organisation, la Bonne Action bénéficie-t-elle plus aux uns qu'aux autres, quelle part d'ombre se cache derrière les sourires paillettes et les ventres pleins en creux ?



    Ce qui gêne sans doute, c'est cette overdose de strass, le show-biz toujours prêt à monter sur son trente et un pour glorifier la misère d'à côté, le contraste de ceux qui peuvent s'offrir une âme contre ceux qui sont obligés de côtoyer des bas fonds.

    Attirer le regard sur cette attirante pauvreté, la lumière des stars qui brillent parfois de la lueur d'étoiles mortes, les projecteurs braqués sur tous ceux qui brillent pour espérer que la lueur atteigne jusqu'à la part d'ombre de notre société.

    Or qu'est-ce qu'une société ?
    C'est un lien, qui nous unit, qui nous fait vivre chacun parce qu'ensemble.

    Ceux d'en haut ne seraient rien sans l'immense majorité des autres, tout repose en réalité sur la masse.
    Le fait qu'une infime partie de privilégiés s'oppose en miroir à une partie non négligeable de la population est en soi, une marque de dysfonctionnement.

    C'est à ce niveau que devrait être ciblé le combat.

    L'organisation de la Cité, c'est faire en sorte qu'aucun citoyen ne soit mis de côté, chacun à sa mesure mais tout le monde occupant une place.

    Il ne devrait pas y avoir une place pour l'honneur d'un carré d'As servi sur un plateau d'argent pour ceux qu'on laisse sur le carreau.

    La pauvreté dans notre pays n'est pas une fatalité, nous n'entrerons pas dans des considérations extra-frontalières qui sont encore d'un ordre plus complexe.

    Nombreuses sont finalement les institutions mettant en place la redistribution alimentaire, Restos du coeur, soupes populaires (organisées parfois par des lobbies politico-idéologiques), banques alimentaires, etc.

    Les aliments sont une matière première vitale sur laquelle la finance spécule comme avec les autres ressources et la gestion de la surproduction et des stocks se fait dans des perspectives d'optimisation financière.

    Les banques alimentaires sont donc des moyens de régulation des coûts pour des bénéfices toujours plus ajustés.
    Il y a donc des bénéficiaires en amont les bénéficiaires des aides qui tirent de la soupe alimentaire d'autres marrons du feu.

    Ces gros ne donneront pas plus que ce qui leur rapporte in fine, surplus, denrées périmées offertes gracieusement sont bien loin de coûter le bénéfice communication que leur reviendrait une publicité ordinaire, One Profits Most Who Serves Best est une donnée parfaitement intégrée par le monde des affaires.

    Et les metteurs en scène de la misère des Restos du coeur n'échappent pas à la règle, ne le voudraient-ils pas qu'ils seraient toujours largement gagnants du système.

    Ils se nourrissent de cela grassement, sans se goinfrer naturellement, ils ont les moyens de la retenue, mais la soupe chaude n'est pas la plus mauvaise, et ils ne cracherait pas dedans à reconnaître qu'elle met aussi du beurre dans leurs épinards.

    Il y a moins de culpabilité à savoir que l'on entretient, au moins par défaut, un régime générateur de mal nourris en buvant une coupe à moitié pleine, trinquant à la santé des indigents fait peut-être à leurs yeux rendre leur gent plus digne.



    Etre pauvre n'est pas forcément un signe de dignité, ce n'est sûrement pas un déshonneur non plus.

    De l'autre côté du miroir aux alouettes, la partie de chasse à l'homme sans ressource n'est pas forcément belle.

    Je n'ignore pas que cette seconde partie de mon propos pourrait faire grincer les dents car pourrait s'apparenter à tirer un peu sur l'ambulance, en tout cas à charrier aussi le salaud de pauvre.

    Je dénie toutefois les accusations de responsabilités faites aux tiers et quart-monde de notre pays.

    La pauvreté relève, soit de la mauvaise organisation de la Cité (idéologie, corruption), soit de pathologies contre lesquelles les patients ne peuvent pas grand chose.

    Ces populations sont le reflet de plusieurs sources différentes.

    De la personne souffrant d'addictions ou de handicap pour différentes raisons, faiblesses innées et/ou induites, entretenues ou pas selon la défaveur voire la faveur du milieu environnemental, à la victime d'un environnement économique hostile, les deux pouvant se combiner, je ne connais pas d'hommes fainéants, je ne connais que des volontés brimées et bridées.
    Du reste, nombre de pauvres sont des bêtes de travail, on ne le dit jamais mais la mère de famille pauvre, sauf à ne pas avoir la force, accomplit forcément un travail considérable.

    Les travailleurs pauvres peuvent être des héros, ne pas compter leurs heures en tenant tout à bout de bras, toujours sur le fil du rasoir, il est facile de travailler lorsqu'on a les moyens financiers qui suivent, autrement, le combat est permanent, sans répit ni aide venant soulager la charge.

    Les fins de mois difficiles sont le lot quotidien de millions de personnes et toutes ne bénéficient pas de l'aide dont elles auraient besoin.

    Certaines ne le demandent pas, pas souci de dignité mais parfois même par manque de temps et d'argent.
    Les démarches permettant d'accéder à des aides potentielles ne sont pas simples, si certains sont accompagnés dans celles-ci, ce n'est pas le cas de tous.

    Ne cachons pas non plus qu'il existe parfois des vecteurs facilitateurs, telle relation en mairie peut changer la donne.
    Etant mère de famille nombreuse monoparentale travailleur pauvre, ne vivant que de mon travail (et aides sociales afférentes comme tout à chacun) et sans aucun patrimoine, je sais de quoi je parle.

    Je sais que même en étant obligé de s'arrêter de travailler à cause de la révélation du handicap d'un enfant par exemple, on peut vous laisser sans ressource (alimentaires bien comprises) non seulement pour vous mais aussi pour vos enfants, au moins le temps -long- de la mise en place de dispositifs adéquats.

    Vivant dans un lotissement HLM, je vois des familles dont je connais toutes les conditions de vie autour de moi, bénéficier d'aides alimentaires alors qu'elles sont dans de meilleures conditions économiques et familiales que moi.

    Je sais pourtant pour le vivre que les contrôles existent, mais certains tentent le coup jusqu'à être pris, et il reste des situations non contrôlables.

    Accordons qu'il ne s'agisse pas de la norme, et qu'en tous les cas, les imperfections permettant à des non bénéficiaires de gruger un peu, n'en fassent pas des favorisés pour autant.

    Reste que cela peut générer des conflits, j'ai la chance de ne pas jalouser mon prochain, de me satisfaire de mes petits ou même grands bonheurs personnels, de préférer peut-être m'en sortir seule, mais je peux voir la rivalité entre les pauvres, d'autant que, ne comprenant pas toujours les rouages, beaucoup n'admettent pas les situations légitimes d'aides.


    Les aides sociales ne sont pour autant pas choses intrinsèquement mauvaises, même dans un système juste où les gros ne s'engraissent pas sur le dos des petits comme c'est le cas et de plus en plus le cas actuellement, des ajustements de l’État ne semblent pas incongrus, c'est même son rôle dans une société qui prétend à la civilisation.

    Le politique, c'est la noble prétention d'organiser la vie en société, l’État (qui n'est autre que nous-mêmes) se doit de réguler l'ensemble.

    Et cela n'est pas la mince affaire d'un ticket resto, le coeur, c'est bien plus grand.

  • Comment le libéralisme donne une virginité à ses homophobie, antisémitisme et autre racialisme

    Ce qui fait ressortir l'homophobie d'un tradi, c'est la position relative au libéralisme.

    Ce que le libéral attend d'un homosexuel comme de tout le monde, c'est qu'il soit contre les règles communes, contre l'Etat, contre la chose publique, contre l'unité nationale, la res publica et l'Etat unitaire étant les pires institutions bridant les intérêts particuliers.

    Un Camus ou un PMC seront parfaitement acceptés car intégrés au libéralisme.

    Mais un Philippot n'entendant pas admettre toutes les non-règles libérales, sera condamné en tant qu'homosexuel.
    Si Philippot s'était appelé Goldnadel, c'est en tant que juif qu'il aurait été stigmatisé.

    Goldnadel ne pose aucun problème, tout ce qu'on lui demande est d'adhérer à la religion libérale, sa volonté de destruction de la justice française et de tous nos autres pans de souveraineté, sont autant de gages donnés au système libérale qui lui en rend toutes les grâces.

    Un Trump n'aura nul mal à exposer un pasteur en tant que noir, il reconnaît une existence terrestre de son propre repère évangélique, il a tout bon puisqu'il contredit une science donné pour LA science, quand le libéralisme en connaît plusieurs, chacun pouvant avoir la sienne puisque la vérité se trouve au niveau du plus petit dénominateur, l'individu étant la cellule de base du libéralisme, cellule qui n'entend se regrouper qu'entre cellules identiques, le plus grand diviseur commun étant la secte dans laquelle l'individualisme libéral trouve son épanouissement.

    Le libéralisme n'a de frontières que celles formées par les bornés qu'il regroupe.

  • Comment l'extrême-droite vous manipule

    Même si la propagande existe de tous les côtés, une chose est certaine, les pseudo "journalistes" "indépendants" de "réinformation", sont garantis portés par des lobbies idéologiques et intérêts privés (même s'ils s'appuient sur les dirigeants russes corrompus utilisant les moyens de l'Etat russe) dont les techniques sont uniquement celles de la manipulation et de la désinformation, le KGB a de bons restes.

    Ces lobbies, contrairement à ce que l'on semble croire, ne prennent pas naissance en Russie, mais à Washington.
    Les groupes d'influence sont identifiables (Cato Institute, Heritage Foundation, American Enterprise Institute, etc.), ainsi que les grands groupes qui les financent, ils sont très nombreux et propagent leurs réseaux et propagande en France très facilement.

    Ce sont des cadres d'Exxon Mobil qui forment de nombreux cadres de droite et d'extrême-droite en France via notamment l'Institut de Formation Politique (Doctor Nigel Ashford -et ses instituts humanitaires et animaliers bidons-, John Laughland -qui fait le relais entre L'Institut Pour la Prospérité de Ron Paul et l'Institut pour la Coopération et la Démocratie en Russie ne passant par l'Europe et la France-, Christian Harbulot -Ecole de Guerre Economique- sont autant de noms de personnes travaillant à cette propagande).


    Les Inrocks - Comment une vidéo conspirationniste sur la Syrie est devenue la deuxième la plus vue sur YouTube
    La propagande russo-syrienne à propos de la bataille d'Alep bat son plein. Sur YouTube, le seconde vidéo la plus vue en ce moment émane ainsi de Russia…
    WWW.LESINROCKS.COM



    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/06-03-2013/agenda-seminaire-philosophique-avec-le-dr-nigel-ashford/

    http://www.learnliberty.org/speakers/nigel-ashford/


    Mercatus Center, George Mason University - Exxon Secrets
    www.exxonsecrets.org/html/orgfactsheet.php?id=109
    Traduire cette page
    It is located at GMU's Arlington, VA campus, along with GMU's Law and Economics Center (also ExxonMobil funded) and the Institute for Humane Studies.


    http://www.exxonsecrets.org/html/orgfactsheet.php?id=109


    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/08/06/le-journal-marianne-ne-vous-dit-pas-tout-5136577.html

  • Exxon Mobil secret data base

    http://orianeborja.hautetfort.com/apps/search?s=exxon&search-submit-box-search-15555=OK

  • Prière de s'abstenir

    Le pape de SOS Education, c'est Frédéric Bastiat (avec un pied dans l'école de Chicago pour réclamer son voucher des poches du contribuable)

    Sa théologie : l'Austrian School of Economics

    Ses Séminaires de l'Institut de Formation Politique à Washington (Heritage Foundation, Cato Institute, AEI, etc.)

    Son Saint-Office : Contribuables Associés et l'IFRAP qui contrôlent la légalité libérale de l'idéologie

    Comme secte coupée du réel, on trouvera difficilement mieux.

    Et n'oubliez pas les deniers aux différents lobbies qui entretiennent le business religieusement, vous ferez une BA (business application).

  • Koch, Exxon, Brexit, a so little private world

    Of course indeed :

    heritage foundation Koch Exxon Brexit.jpg


    The Koch and Exxon Funded Think Tanks Supporting, and Being Courted by, Britain’s Brexit Campaigners
    The Republican National Convention kicks off this week in Cleveland, Ohio and among the crowd clamouring to see Donald Trump will be one man who crossed…
    DESMOGBLOG.COM




    "The Republican National Convention kicks off this week in Cleveland, Ohio and among the crowd clamouring to see Donald Trump will be one man who crossed the Atlantic to be there: Nigel Farage.

    The former head of the UK Independence Party (UKIP) helped lead Britain’s vote to leave the European Union (EU) and is famous for saying last year “I haven’t got a clue whether climate change is being driven by carbon-dioxide emissions.”

    But he’s made the trip this week to deliver a message to Republicans that the UK’s vote to leave the EU, or ‘Brexit’, holds lessons for America.

    This isn’t the first time Farage and other Brexit campaigners have visited the US to talk shop. Exactly one year ago Farage delivered a speech to the Heritage Foundation in Washington D.C. where he made the case for the US to support Brexit.

    Prior to that in March 2015 ahead of the UK general election, the Heritage Foundation hosted former environment secretary and climate science denier Owen Paterson who also called for the US to back Britain’s “new global role” outside of the EU.

    And while it may be easy to laugh off as ridiculous Lord Christopher Monckton’s calls for Texas to ‘Texit’, under the surface there appears to be a growing alliance between the Koch- and Exxon-funded American think tanks and Britain’s prominent pro-Brexit politicians and organisations.

    This alliance is one which holds in common a disdain for State intervention and top down regulations, along with a uniform dismissal of climate science.

    In fact, the US think tanks linked to Brexit campaigners can be found in the ‘Web of Denial’ denounced by a group of 19 Democratic Senators last week. This Web of Denial has helped to spawn and support climate science denial in the UK.

    As mapping by DeSmog UK shows, there are deep-rooted connections between those who campaigned for Brexit (and now form part of the new government) and those who deny the science on climate change.

    ‘Sweet Smell of Freedom’

    When the news came that Britain had voted to leave the EU, Charles G. Koch Foundation senior program officer, Adam Kissel, took to Twitter in true American fashion: “Give me a B! Give me an R! Give me an Exit! 52-48 Brexit!”

    The Cato Institute’s senior fellow Doug Bandow Tweeted that Brexit was a “huge win … So much for the next superstate!”

    And Luke Higemann, chief executive of Americans for Prosperity, Tweeted: “Ahhh, nothing like the sweet, sweet smell of freedom wafting over from across the pond this morning!”

    Two weeks ahead of the Brexit vote, the UK’s premier free market think tank with links to oil, tobacco and climate denial, the Institute of Economic Affairs (IEA), confidently launched the first annual Europe Liberty Forum with the Atlas Network – a group which has received Koch and Exxon funding and brings together over 400 think tanks in more than 80 countries promoting individual liberty and free market ideals. Many of its members have pushed climate science denial and campaigned against legislation to limit greenhouse gas emissions.

    The aim of the new forum is to be a place for those who support “free people and free markets” to share “best practices and discussion of the policy battles that lie ahead.” The keynote speaker at the event’s gala dinner was Johan Norberg, a senior fellow at the Cato Institute.

    And just one month earlier, in May, Arron Banks, the millionaire UKIP backer and founder of Leave.EU, was making the rounds in Washington D.C. and New York with Labour’s Kate Hoey to campaign for Brexit.

    Speaking to more than a dozen policy experts at the Cato Institute, Banks is reported as stating there would be economic pain in the event of the UK leaving the EU, but that it was a price worth paying for independence.

    Banks and Hoey also met with representatives of the Atlantic Council, American Foreign Policy Council and the Heritage Foundation, along with the US Treasury Department and the Department of State in an effort to drum up support.

    The success of the trip, paid for by Banks and PR firm Goddard Gunster hired by Leave.EU, is difficult to discern, however.

    Alex Nowrasteh, an immigration specialist at Cato, told Bloomberg: “It was the most unimpressive and unconvincing argument for a political case I’ve seen in years. He appealed to every type of argument that’s unconvincing: naked nationalism, nativism, anti-free-market, anti-capitalism ideas.”

    “There was a solid intellectual case to be made for Brexit,” he said, “but that was not it.”

    Meanwhile, others at Cato have certainly found inspiration in Brexit. Writing in an op-ed for Forbes, Bandow argues: “Americans also should take note of Brexit … Perhaps a similar style campaign could be launched in the U.S.”

    “A movement against turning ever more money and authority over to a distant capital largely disconnected from the people it so enthusiastically attempts to rule. We could call it ‘Amexit’.”

    Heritage Backs Brexit

    But looking back, it’s the Heritage Foundation that’s been most ardently pushing for Brexit - even claiming credit for the successful vote to leave. Since 2005 when the Thatcher Center for Freedom was set up by the think tank at Margaret Thatcher’s recommendation, the group claims it has been calling for Brexit.

    As Luke Coffey, director of Heritage’s Allison Center for Foreign Policy, boasted after the vote: “The Heritage Foundation has published dozens of policy papers and opinion pieces on why the U.K. should leave the EU and we have worked with the leaders of the Brexit campaign from the very beginning.”

    “The Heritage Foundation can be very proud of the role it has played in helping achieve this outcome.”

    Free Trade Plans

    Upon hearing that Liam Fox was appointed as the UK’s International Trade Secretary on July 14, climate sceptic UKIP MEP Roger Helmer tweeted: “Liam Fox has good contacts in the USA. It’s quite possible that the UK will have a US free trade deal before the EU does.”

    This is something the Heritage Foundation has been calling for over the past few years.

    Perhaps one set of contacts Helmer was hinting at was the American Legislative Exchange Council (ALEC), known for lobbying against climate action, taking funding from the Koch brothers, and counting ExxonMobil among its members (ALEC once flew Andrea Leadsom, the new pro-Brexit Environment Secretary, to attend “exchange meetings”).

    Up until 2011, Fox was the founder and UK chairman of Atlantic Bridge – a think tank which brought together right-wing libertarians from both sides of the pond. Before the organisation was dissolved following a Charity Commission investigation, Atlantic Bridge held conferences sponsored by the Heritage Foundation and had a five year partnership with ALEC.

    The Atlantic Bridge membership also included the likes of Michael Gove, Boris Johnson, and Michael Hintze – all key players present throughout the Brexit campaign. In the US, Republican senator and Tea Partier, Jim DeMint, sat on its advisory council. DeMint is now the president of the Heritage Foundation.

    Currently, the free trade deal being negotiated between the US and EU is the Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP) agreement. However, in Europe there has been strong and consistent public outcry against it.

    Amongst the criticisms is that the deal is disconnected from the urgency of climate change and the Paris Agreement, and that it will allow for lax regulations, loopholes, and an easier flow of trade in fossil fuels, particularly shale gas from the US.

    As a result, during the Brexit campaign some on the Left argued Brexit would allow the UK to remove itself from the controversial TTIP deal.

    But as Nick Dearden of Global Justice Now recently warned in the Guardian: “It was a fallacy that withdrawing from the EU would save us from the corporate power grab symbolised by TTIP … our whole trade strategy could be handed over to big finance, egged on by true believers in the free market within the Tory party.”

    The new British cabinet now includes several figures known to have a long history of working within the neoliberal Brexit climate denier web.

    The UK’s new Department for International Trade is headed up by Fox meanwhile the climate science denying David Davis is eager in his role as ‘Brexit minister’ to get started on negotiating bilateral trade deals. You also can't forget Boris Johnson, Britain's new Foreign Secretary.

    In a post-Brexit world it’s difficult to see how the relationship between the climate science denying politicians and organisations on either side of the Atlantic can become anything other than increasingly galvanised."