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libéralisme mondialisme - Page 27

  • Game of right

    Les Lyonnais et leur sale penchant à droite (ils vous garantissent être plus à droite que la droite, du Maréchal Le Pen si la petite n'était elle-même de l'extrême-droite dans le texte), jamais démenti, la Nintendo rend con mais chez eux, ça date ...

     

     

     
    Le jeu vidéo est souvent pointé du doigt par les politiques de tout bord. Ce qui n'empêche pas certains d'y trouver une inspiration un peu trop visible pour leurs…
    GAMEBLOG.FR

     

     
  • Souverainisme versus souveraineté (suite)

    La décentralisation des uns et des autres n’est pas exactement de même essence.

    Les partisans de l’UE et leur « landerisation » n’ont pas exactement les mêmes postulats de base que les souverainistes.

    Les partisans de l’UE ont créé les prémices d’un Etat européen, centralisateur pour certaines grandes règles, économiques notamment, vers toujours plus de libéralisme, avec les régions comme cellules de base.

    Les souverainistes sont eux partisans d’un Etat minimaliste, ne garantissant que la liberté nécessaire au libéralisme et la décentralisation est pour eux un moyen de réduire la puissance de l’Etat, que l’Etat se situe au niveau de la nation, ou bien au niveau européen.

    Pour les souverainistes, la décentralisation n’est pas exactement un territoire, elle est le plus petit lieu où peut s’exercer le pouvoir.

    C’est leur principe de subsidiarité, dont ils disent que l’UE l’a inversé.
    Pour eux, le pouvoir doit se situer au plus proche de l’individu, sauf si on ne peut pas faire autrement.

    Ils se calquent sur l’Eglise, et sont liés à l’Opus Déi dont le côté religion n’est qu’un cache-sexe de son extrême-droitisme.

    Mais il faut comprendre que, des deux nuances idéologiques, le souverainisme est celle qui tend vers le plus de libéralisme et pousse à tous les niveaux en ce sens.

    Aucune de ces idéologie n’est la France et n’a de lien avec la souveraineté française, sinon que les souverainistes essaient de noyer leur idéologie derrière la confusion que peut entraîner les deux termes.

    La souveraineté française est au service d’une grande idée d’unité nationale qu’ils ne défendent pas du tout, mais alors pas du tout.

  • Souverainisme versus souveraineté, encore des efforts monsieur Hollande

    Lors de sa joute verbale au sein du Parlement européen, François Hollande s'est opposé à Marine Le Pen et notamment sur les concepts de souverainisme et de souveraineté, affirmant ce que j'étais une des rares jusqu'à présent à énoncer, à savoir que l'un n'avait rien à voir avec l'autre.

    François Hollande a à la fois raison et tort.

     

    Raison sur le fait que le souverainisme ne soit pas la souveraineté.

    Le souverainisme est une idéologie, d'origine anglo saxonne à la base, et qui en Europe, a pris naissance avec la Paneurope.

    Le Mouvement paneuropéen a commencé à germer après guerre et notamment dans les correspondances Condenhove Kalergi-De Gaulle.

    De ce mouvement seront issus les Mouvement Pour la France et autre RPF.

    C'est un mouvement étroitement lié à l'idéologie libérale (dans son acception française, le "liberal" anglo saxon étant classé à gauche par les partisans libéraux du souverainisme).

    C'est ainsi que le thatchérien Nigel Farage et le mouvement Libertas du multimilliardaire Jimmy Goldsmith, se sont retrouvés ou se retrouvent dans ce courant.

    Le Front National ne serait a priori pas "souverainiste" a proprement parlé, Marine Le Pen ne sait pas exactement à quoi cela correspond, mais ses partisans libéraux, et notamment ceux liés au Club de l'Horloge (Marine Le Pen est conseillée par Jean-Yves Le Gallou par exemple), ou l'Institut de Formation Politique -qui se revendique ouvertement de maison-mère libertarienne/libérale cons américaine- qui alimente Marine Le Pen (mais pas seulement) en cadres, ou encore l'Ecole de Guerre Economique (également liée aux Américains, notamment via John Laughand, agent de Ron Paul en Europe et Russie), se retrouvent dans le souverainisme.

     

    La souveraineté est autre chose.

     

    La souveraineté française se définit clairement par les attributs de souveraineté de l'Etat depuis les siècles qui ont fondé la France.

    Ce sont ces attributs de souveraineté (droit de battre monnaie, droit de faire et d’exécuter les lois, droit de rendre justice, droit de police, droit de défense extérieure) qui garantissent ou garantissaient (puisque la France a perdu peu à peu ses attributs de souveraineté) qui permett(ai)ent à la France les moyens d'assurer son grand principe fondateur d'Unité nationale.

    Ce principe d'Unité qui permet à chaque Français, quelles que soient son histoire et notamment ses origines, d'être considéré comme tous les autres, quel que soit son lieu sur notre territoire.

    Cette souveraineté française donnait à la France son indépendance, le droit pour les Français de décider de leur devenir.

    La démocratie avait permis de transférer ce pouvoir jadis détenu dans les mains d'un Roi, dans les mains du peuple, cette population dont la France faisait des Français.

     

    Mais François Hollande ne se réclame apparemment pas de cette souveraineté française.

    Il parle d'une "souveraineté européenne".

    Faisant référence à un rêve d'indépendance de l'Europe, peut-être vis-à-vis des Américains, comme tel était le projet d'un de Gaulle également.

    Le fait est que le souverainisme appelle aussi cette Europe, dite des nations, à cette indépendance.

     

    On voit mal comment une Europe libérale serait différente de l'idéologie anglo saxonne libérale, mais ne compliquons pas l'affaire.
    Etant donné que peu semblent déjà maîtriser les termes du débat ...

     

    Ce que veulent les souverainistes, c'est d'une Europe plus libérale, moins "étatiste", moins réglementée, ils appellent ainsi l'UE : "l'union soviétique européenne".

     

    Lorsque vous faites appel à la notion de souveraineté, votre nation s'accorde et respecte, également, toutes les autres entités équivalentes dans le monde.

    La France est un Etat-Nation (qui détient donc les attributs de souveraineté) est en en cela, très différente d'autres cadres politiques.

     

    Un hypothétique principe de "souveraineté européenne" serait-il ainsi sous-tendu par le principe d'unité français, ou par le principe individualiste anglo-saxon ?

    Notre unité implique un pouvoir centralisé, quand le paradigme anglo-saxon s'alimente de décentralisation.

     

    Le souverainisme est une idéologie qui revendique par ailleurs cette décentralisation, et l'Etat est une plaie à combattre, même s'ils jouent sur le concept d' "Etat fort", car ils veulent un Etat minimal qui défende fortement la liberté individuelle.

    La domination anglo américaine ayant entraîné la France dans ce processus qui nous est étranger car la France a justement toujours lutté contre les pouvoirs et petits intérêts féodaux que cela engendraient, et qui mettaient en péril notre raison d'être, celui de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.

     

    Le modèle allemand, ou britannique naturellement, s'assimilent au modèle fédéral américain en revanche.

    En sachant que ce genre d'organisation politique est très poreux aux lobbies, quand l'Etat y est un rempart.

     

    Que l'on ne me demande pas comment un J-P Chevènement se situe dans cette idéologie, je ne suis pas responsable des incohérences des uns et des autres.

    Mais depuis longtemps les souverainismes sont solubles entre eux et parlementent de façon transversale, sans trop s'avancer sur des questions qu'on ne leur pose jamais, sur leur réelle vision économique, sociale, leurs frontières en quelque sorte, et même celle de leur "indépendance", notamment vis-à-vis de l'idéologie libérale.

     

    Quid des valeurs de François Hollande ?
    De ses rapports à la souveraineté française ?

    Tout cela mériterait un grand débat, qui n'a jamais eu lieu.

     

     

     

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    Fil d’actualité

     
     

    Coudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefitte comme Secrétaire général.

    Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond Triboulet, Michel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013. Le sénateur Jean Bizet, président de la Commission des affaires européennes au Sénat, lui succède en mai 2015.

    Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.

    https://fr.m.wikipedia.org/…/Union_paneurop%C3%A9enne_inter…

     
     

  • Ni Hollande ni Le Pen ne savent ce qu'est le souverainisme

    Hollande ne sait pas ce qu'est le souverainisme.

    Certes, ce n'est pas la souveraineté (ce que ne sait pas Marine Le Pen).

    Mais lui parle de souveraineté européenne.

    Or justement, le souverainisme a avoir avec la souveraineté européenne.

    Dans l'idée des souverainistes, très liés à l'Opus Déi et au principe de subsidiarité de l'Eglise, ce principe doit également s'appliquer à l'Europe.

    Il s'agit d'un principe libéral.

    "La subsidiarité peut se définir comme la hiérarchisation des pouvoirs au sein d'une société en fonction des compétences propres à chacun des éléments constitutifs de cette dernière.

    Le principe de subsidiarité énonce le souhait que les compétences des groupements d’ordre supérieur doivent se limiter aux tâches que les groupements d’ordre inférieur ne peuvent faire par eux-mêmes.

    Les décisions devraient donc être prises à l'échelon le plus adapté (si possible au niveau de l'individu), de façon à permettre la résolution la plus rapide et la plus efficace des problèmes.

    Le contraire du principe de subsidiarité est la centralisation, qu'elle soit le fait d'une autorité centrale coercitive, ou que les groupements d’ordre inférieur (individus, communes, cantons, régions...) cèdent leur droit à l'entité supérieure, en échange de subventions : on n'accepte pas aisément une atteinte à sa propre souveraineté - à moins de recevoir de l'argent en compensation !

    La subsidiarité rejoint l'idée fédérale et s'oppose au modèle jacobin centralisateur de l'État-nation."

  • Encore une association qui vient se substituer à notre justice et aux instances publiques de contrôle



    Maintenant que les "fournisseurs" du Front et de Marine en particulier savent détourner leurs millions comme les autres (surfacturation du matériel de campagne qui ne sert à rien ou très peu car envoyé en tonnage une semaine avant l'élection -parole de candidat-, prêts à taux exorbitant, le tout remboursé par l'Etat et permettant de se mettre des millions dans les poches), ils peuvent aller se faire "éthiqueter".

     

    Après tout, l'éthique du système, c'est aussi celui qui nomme une ancienne syndicaliste -Nicole Notat pour ne pas la nommer-, à la tête d'une organisation patronale chargée d'attribuer les bons points éthiques des grands groupes qui la financent.

    C'est aussi l'ETHIC du MEDEF de Sophie de Menthon, qui justifie le travail des enfants sous les yeux bienveillant de l'UNICEF.

    On peut donc faire confiance à ce petit monde, ils ont autant d'éthique plein la bouche que ça leur en met plein les poches.

    Pour ne rien dire de leur participation à la libéralisation des instances de régulation étatique.

    Je préfère encore qu'il existe une corruption au sein des services publics -qu'il faut combattre avec les moyens de nos institutions publiques-, plutôt que des mains privées se disant propres, viennent s'y substituer.

     
    Les élus FN pourront désormais se prévaloir du cachet "éthique" de l'association Anticor. Alors que cette organisation propose aux candidats aux élections…
    METRONEWS.FR|PAR VINCENT MICHELON

     

     
  • Foutre un DRH à poil, c'est de la légitime-défense

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    Oriane Borja a partagé un lien.
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    La dernière proposition de l'Association nationale des DRH visant à neutraliser certains jours fériés n'est…
    ORIANEBORJA.HAUTETFORT.COM
     
     
     

  • A trop rêver d'être une hôtesse de l'air on se retrouve les fesses à l'air

    Le jour où les cadres seront touchés par les mêmes violences que le prolétariat, ils vont se couper la tête entre eux.

     


    A vouloir former des mecs qui veulent devenir milliardaires et à enfoncer l'autre pour réussir, on fabrique des types qui ont le goût du sang et qui une fois en manque, iront en trouver en se faisant les crocs sur ce qui reste de vivant.

     

     

     
    Manuel Valls s'est dit "scandalisé" par les violences physiques en marge du comité central d'e (...)
    AFP VIA NEWS REPUBLIC

     

     
  • Puissance, Dassault combien de légions ?

    A ce prix-là ...

     
     
    Photo de Siné Mensuel.

     

    C'est le minimum

     
    Akbar al-Baker, à la tête de la plus importante compagnie aérienne du monde, a été fait officier de la Légion d'honneur vendredi à l'Élysée.
    T.CO|PAR AZIZ ZEMOURI

     

     

     

     
  • BLH et Michel Onfray, une histoire de rapprochement séparé

    Onfray est un penseur d'extrême-droite, comme BHL, la seule différence est que l'un vient de la gauche, l'autre de la droite, ce qui fait d'Onfray un bien meilleur libertarien quand BHL est plus libéral cons.
    Onfray récupéré, et qui se laisse récupérer, par les réseaux libertariens, ça n'étonnera pas ceux qui y voient les raisons totalement objectives.

    Les deux philosopheux fréquentent des réseaux qui se rejoignent, la sécante BHL-Gatestone Institute-Guy Millière-Wilders-Daniel Pipes, David Horowitz, passe bien par l'Heritage Foundation-Cato Institute-American Enterprise Institute d'où sortent les réseaux où Onfray est plébiscité, son capitalisme libertaire est totalement libertariano-compatible.

     

    Onfray fait le malin dans son petit milieu pour y exister, une petite oligarchie parisienne dont il se démarque en la délocalisant ... en Normandie (Pas trop loin du siège social des intellectuels, faut pas déconner).

    Mais il ne fait qu'y tourner en rond à contre-sens, sans jamais sortir du cercle.

    Il fait une critique libertarienne du libéralisme, il veut plus de liberté, moins de contrainte, laisser la place à l'ordre naturel, la volonté de puissance.
    Tout lit du suprémacisme.
    Et comme il fait son lit, il se couche avec et devant les libertariens



     Marine Le Pen est également un point convergent de ces mouvements d'extrême-droite, elle est au fianl plus politique que Onfray puisqu'elle le reconnaît comme sien quand Onfray ignore intellectuellement que ses idées sont à l'extrême-droite, ce que l'on peut faire de mieux.

    Bref, il suffit de lever juste un peu le regard pour voir et comprendre.


  • L'extrême-droite veut toujours avoir un tour d'avance sur la prochaine arnaque

    Ca fonctionne aux USA où les électeurs sont des cons -on leur vend du politique comme du Coca-Cola- et où Chouard à ses maîtres, comme Villiers (réseaux libertariens et Opus déi sont derrière le mouvement mondial pour la démocratie directe qui refilerait lui directement le pouvoir entre les mains des lobbies sans passer par la phase think tanks (refilant les argumentaires aux politiques) corruption et chantage à l'emploii comme les grands groupes le font actuellement.

    En France, nous ne sommes pas dupe, d'ailleurs Villiers et ses méthodes d'extrême-droite n'ont jamais percé, et Sarkozy avec tout le pognon qu'il a employé aux élections avec le fric des Bettancourt, Kadhafi, Karachi, a perdu la mise avec les mêmes méthodes.

     

     

     

     

    Pour info, les spécialistes disent que les sondages sont actuellement achetés par la droite pour faire monter Marine Le Pen car sa position de favorite lui sera au final préjudiciable.
    Cela est fait pour donner plus de marge à la droite.

     
    Philippe De Villiers révèle comment il a acheté des sondages et les médias pour sa campagne, grâce à…
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