Le jour où les cadres seront touchés par les mêmes violences que le prolétariat, ils vont se couper la tête entre eux.
A vouloir former des mecs qui veulent devenir milliardaires et à enfoncer l'autre pour réussir, on fabrique des types qui ont le goût du sang et qui une fois en manque, iront en trouver en se faisant les crocs sur ce qui reste de vivant.
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