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Brèves - Page 119

  • Athènes versus Jérusalem

    De tout temps, il y eut des sectaires paiens, des juifs et des chrétiens sectaires, qui opposèrent Athènes et Jérusalem, quand d'autres paiens, juifs, chrétiens, y voient au contraire un continuum.

     
    Ce que signifient les juifs et les chrétiens dans leur affrontement avec Athènes, c'est que la philosophie a cela d'inférieur à la Bible que le Livre a été donné par Dieu; il contient la Vérité.

    La philosophie n'est elle que compilation de recherche d'une vérité plus ou moins bien établie quand il n'existe pas pour certains se prétendant supérieurs à Dieu, plusieurs "Vérités"
    Les philosophes se remettant sans cesse en cause les uns les autres, quand il ne s'agit pas absolument ainsi, de simples fadaises idéologiques.


    Cependant, l'homme est capable de connaissance.

     Maïmonide reconnaît qu'Athènes recèle des vérités.

    L'homme est un sauvage à l'origine, oui, c'est un animal.

    C'est par l'étude qu'il se fait homme.

    Plus on cherche à se rapprocher de la vérité divine, plus on devient humain.


     

     A un paien qui demandait à deux rabbins comment il pouvait étudier la Torah rapidement, un des rabbins outré, lui répondit par la violence et le mépris, l'autre, plus sage, lui dit : "Fais le Bien, c'est tout ce qu'il y a à apprendre de la Torah. Va, et apprends".

  • Il est l'Or de se réveiller ...

    C'est à cause des trafiquants d'Or au sommet, qui jouent sur les cours, du type CIA et leurs pions pions libertariens de type Jovanovic, que les braquages de bijoutiers augmentent. La même soif de l'or de chaque côté, gros brigands en amont contre petits brigands en aval, et encore, on se demande s'il n'y aurait pas un mélange des genres entre les trois parfois ...

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  • Etre d'extrême-droite ou pas, c'est toujours en être qui est la question

    Le Front National n'est a priori pas d'extrême-droite car être national, c'est être Français, et la France n'est ni de droite, ni du centre (Le centre ? Il n'y a pas plus libéral qu'un centriste, ils font tous partie des parties fines libérales des clubs libéralo libéraux), ni de gauche, encore moins d'extrême-gauche, d'extrême-droite.


    L'extrême-droite, c'est le mondialisme -c'est-à-dire le libéralisme (la droite poussée à son paroxysme) sur lequel tous les partis s'accordent, à l'exception du Front National.

    Cependant, les dirigeants du Front National trahissent parfois l'esprit national, il ne tient qu'à eux d'être cohérents, ils y gagneront la reconnaissance du peuple, qui n'attend que de sortir de l'extrême-droite réelle.


     
    Etre d'extrême-droite, c'est par exemple :


    - être pour le travail le dimanche et tout autre dérégulation du marché du travail
    - être pour l'euthanasie, le clonage et tout autre libéralisation de l'expérimentation sur l'homme
    - être contre la démocratie en sacrifiant le vote du peuple lors d'un référendum et en imposant un OUI quand il a dit effectivement NON
    - laisser une aristocratie suprématiste agir comme le fait l'European Round Table of Industrialists à Bruxelles
    - laisser l'école, instrument de transmission, entre les mains de ces mêmes ploutocrates, et grâce à l'appui d'apprentis sorciers de l'éducation
    - supprimer les services non rentables et aux personnes non rentables
    - déposséder les peuples de leur souveraineté
    - détruire les outils de travail pour les transférer là où ils rapportent le plus à l'oligarchie industrialo financière
    - transférer le pouvoir aux industrialo financiers

    etc., etc., etc.

    Et le petit Nicolas Dupond Aignan qui soutient mordicus que le Front National est bien d'extrême-droite.
    Le fin connaisseur ...
    Pas autant que vous toujours.

     
    Et votre parrain Nigel le thatchérien, ce n'est pas pousser son extrême-droite un peu loin ?

    Et votre admiration pour l'Institut pour la Justice, ce n'est pas pousser sa droite à son paroxysme ?
    Et votre rond de serviette à Radio Courtoisie, ce n'est pas la droite de l'extrême-droite ?
    Et votre collaboration avec Bob Ménard, ce n'est pas de droite extrême ?

    Nicolas Dupond Aignan devrait savoir de quoi il parle quand il parle d'extrême-droite, il nage en plein dedans.

     
    Nicolas Dupond Aignan suit finalement une courbe mathématique bien connue.

    Il tendrait vers l'extrême-droite sans l'atteindre jamais, ne dit-on pas que ce qui compte, c'est de tendre vers un but, pas de l'atteindre ?
    NDA, c'est l'extrême-droite asymptote.

    Un symptôme somme toute assez fréquent et commun à l'ensemble de la classe politique.

    La quintessence de l'extrême-droite se nomme libertarianisme, et qui est en effet, ce quoi vers tend l'ensemble du spectre politique; le FN étant l'enfant terrible français de l'ensemble, celui qui plie parfois au libéralisme mais ne s'y rompt pas.


    Salut les Tartuffes. 

    Ah, j'oubliais, pour le Figaro, le Front National tient plutôt du Front de gauche; on n'est jamais assez à droite pour ces gens-là; sacrés libertariens, toujours avec leurs gros sabots ...

  • Jour de repos en pertes et profits


    A propos de l'ouverture des magasins le dimanche, tout dépend de la vie que l'on entend laisser à nos enfants. 


    L'ouverture anti hiératique est une revendication du patronat qui souhaite rentabiliser au maximum son outil de travail. 

    On pousse le salarié vers la flexibilité maximum, le sacrifice maximum, le petit job, pour le petit chose acculé, qui l'acceptera et qui poussera l'ensemble à reculer. 

    Le refus de la moindre entrave relève du principe, d'un état d'esprit. 

    Vit-on pour consommer, surconsommer, et notamment en période de fêtes dont on a oublié le sens ? 

    La vie de famille a-t-elle un sens, la vie tout court en a-t-elle encore ? 

    Faut-il faire "comme les autres" qui eux-mêmes pensent faire "comme les autres", dans une course à l'échalotte où tout se vend tout s'achète tout le temps ?

     
    Le directeur d'une grande surface que je connais disait que les salariés n'auront pas le choix. 

    Il est évident qu'entre celui qui acceptera de travailler le dimanche et l'autre pas, c'est le premier qui sera embauché. 

    Le budget des personnes n'étant pas extensible, c'est naturellement  un système de vase communiquant qui opérera. 

    Le système aura ses flexisalariés, c'est une des étapes qui amènent au temps partiels imposés, le patronat fera valoir qu'il doit réduire les heures pour éviter de licencier, cela permettra de déréguler la législation protectrice du travail progressivement et sans douleurs revendicatives. 

    On voit même déjà les salariés faire grève pour pouvoir travailler le dimanche, c'est la lutte finale pour abattre le droit du travail ... 

    Quand on se range du côté de l'insupportable famille de Menthon (dont la saloperie ne s'invente pas, elle qui soutient " éthiquement" le travail des enfants dans les pays où les multinationales abusent les droits des hommes), c'est qu'il y a un problème.

    On noter que le trafiquant libertarien de la même trempe qu'un Jovanovic, Olivier Delamarche, piège libertarien à gogos, n'en demande pas moins.

    Même les prétendus catholiques sont pour beaucoup libéraux-catholiques, ce qui paraît être un non-sens. 
    Quand on est libéral, on est pour la dérégulation, le Jour du seigneur passera en pertes et profits.


  • Comprendre l'Empire ...

    Soral emploie maintenant le terme "néolibéralisme", c'est maintenant un libertarien upgrade qui ne prononce plus le terme "libéralisme".

    Pour un libertarien, le "néolibéralisme" est le libéralisme actuel, empreint d'étatisme peu ragoûtant, c'est-à-dire que le processus en est à un point impur, le libéralisme étant la panacée qu'il faut atteindre en nettoyant le système néolibéral de ses scories sans lesquelles le libéralisme total et parfait apparaîtra enfin dans toute sa splendeur.

    http://www.youtube.com/watch?v=mxnHw79BUm0&feature=share
    La France n'a jamais été un pays libéral - Pascal Salin
    L'économiste Pascal Salin rappelle au journaliste Jean-François Kahn que le libéralisme n'a jamais été tenté en France, pays qui reste très attaché à son Éta...
     
     
     
    • Contrepoints de vue de Washington vous explique :

      http://www.contrepoints.org/...
      www.contrepoints.org
      Contrepoints vous propose de découvrir à travers le Dictionnaire du libéralisme une réponse aux lieux communs sur le libéralisme.
       
    •  
      Ce que Soral feint d'ignorer, c'est que l'Empire s'inscrit dans une querelle libérale quand il (Soral) s'inscrit lui-même dans la branche la plus totale de l'Empire.



      Il faut comprendre que, comme elle le fait avec tous les "dissidents" depuis la seconde guerre, la CIA coopte et travaille tous les mouvements susceptibles de contrer ses projets d'hégémonie libérale.
      Mieux, elle en fait des outils propres à accélérer le processus.
      Pour cela, elle utilise les leurres "liberté", "démocratie" et flatte le dissident dans le sens du poil, alimente son réseau, lui permet d'agir et une visibilité.

       Ce sont les multinationales qui financent ces réseaux qui alimentent les Chicago boys, la CIA n'est qu'un intermédiaire pour le compte de ces firmes.

  • Pour une politique française d'assimilation des roms

    Tant que le patronat fera venir des populations étrangères pour peser à la baisse sur les salires et déstabiliser le pays, la seule manière nationale de réagir est de les assimiler, casser les éventuels regroupements maffieux, agir en Etat avec ses relais locaux.

    C'est la seule solution, autrement, tant que l'on n'a pas aboli Schengen et retrouvé nos prérogatives de souveraineté nationale, on installe des bombes claniques au sein de notre communauté nationale.

    Il faut agir selon le moindre mal, prévoir l'avenir, en l'état, on ne peut pas faire autrement.

     
    VIDEO. Roms : l’expérience de la mairie d'Indre
    www.francetvinfo.fr
    Près de Nantes, à Indre, la mairie a lancé il y a trois ans un programme d'intégration de familles roms. Une expérience réussie, comme le montre ce reportage de France 3.

     

     

    Le rouleau compresseur républicain, toujours :

    http://www.ouest-france.fr/actu/Magazine_detail_-Anina-Ciuciu-ex-mendiante-Rom-future-juge_3639-2188738_actu.Htm

     
    "Lorsqu'Anina Ciuciu s'adresse en romani aux femmes qui mendient sur les trottoirs, celles-ci ouvrent de grands yeux : comment cette jeune fille soigneusement maquillée, au tailleur élégant et court porté sur des collants brodés, pourrait-elle être des leurs ? Il n'y a pas si longtemps que ça, Anina était à leur place, grappillant quelques sous avec sa mère. « J'en suis restée humiliée à jamais », confie-t-elle.

     

    Lorsqu'elle croise des gamins qui lui rappellent la petite fille qu'elle était, ça lui déchire le coeur. Même si sa vie a bien changé. À 22 ans, étudiante en master Justice et procès à la prestigieuse université parisienne de La Sorbonne, elle est logée dans un studio du Crous et ambitionne de devenir magistrate. Joli pied de nez à tous ceux « qui pensent que les Roms ne sont que des voleurs de poules », selon ses termes. Et un parcours impensable pour une Rom née dans les faubourgs insalubres de Craiova, en Roumanie.

    « Traitée de sale Rom, puis d'intello »

    Anina reconnaît qu'elle doit beaucoup à sa famille, qui a toujours eu la volonté d'échapper au triste destin des Roms de l'Est, « considérés comme des sous-hommes ». Son grand-père tenait une épicerie, son père était comptable, sa mère aide-soignante dans un hôpital. Des emplois obtenus moyennant le fait d'avoir caché leurs origines, et perdus le jour où celles-ci ont été découvertes. « Des Roms qui réussissent, là-bas, il y en a. Mais on ne le sait pas, parce qu'ils se sont fondus dans la masse. »

    Un jour de 1997, alors qu'Anina a 7 ans, elle s'entasse avec ses parents et ses deux soeurs dans la guimbarde d'un passeur. Direction la France, « pays des oranges et des mandarines ». Après de multiples péripéties, la famille atterrit par hasard à Bourg-en-Bresse, dans l'Ain. Elle vit d'abord dans une camionnette. Le père vend des journaux, la mère et les enfants mendient. Là, au marché, une passante qui deviendra une amie les guide vers des associations. De fil en aiguille, ils obtiennent un logement HLM, les parents arrivent peu ou prou à travailler.

    Anina, qui a toujours aimé l'école, se montre très douée. « J'avais envie de montrer que bien que Roumaine, je n'étais pas forcément malhonnête. » Pas toujours facile. « On m'a parfois traitée de sale Rom. Ma mère me donnait des bonbons pour que je me fasse des copines. Elles prenaient les bonbons et elles partaient ! » Au collège, les choses changent. « J'avais toujours droit à des moqueries, mais parce qu'on me considérait comme une intello ! »

    Aujourd'hui, après de brillantes études de droit à Bourg-en-Bresse, antenne de l'université de Lyon, la jeune femme veut plus que jamais devenir magistrate. Elle a « une très forte envie de combattre les injustices ». Elle a accepté de raconter son histoire dans un livre, parce qu'elle veut « faire changer le regard sur les Roms ». Pas parce qu'elle considère qu'il est exceptionnel qu'une Rom réussisse ! « Les Roms ont les mêmes capacités que tout le monde. »

    Elle ne nie pas qu'il y ait des problèmes de délinquance. « Comme dans toutes les communautés ! Mais je ne sais pas d'où la police sort ses chiffres. Et c'est la misère qui pousse à ces comportements, ce n'est pas intrinsèque aux Roms. Il y a aussi des réseaux qui profitent des familles, exploitent des enfants. »

    « J'ai de la chance »

    Comprend-elle qu'il soit choquant de voir des petits, parfois en bas âge, exposés au froid et aux gaz d'échappement sur les trottoirs ? « Oui, mais leurs mères préfèrent souvent les garder avec elles plutôt que les laisser seuls dans un camp qui peut être détruit en leur absence. Les Roms adorent leurs enfants, ils ont un sens très fort de la famille. Ma mère ne m'a jamais forcée. »

    Cet attachement à la famille est un des aspects de la culture rom qu'Anina veut garder. Avec la musique, la cuisine, la danse, le sens de la débrouille, la chasteté avant le mariage... Pour le reste, elle a fait la part des choses.« Le rôle de la femme est encore très traditionnel, elle reste au foyer, avec ses enfants. Moi j'ai de la chance, ma famille a une grande ouverture d'esprit et connaît la valeur des études. »

    Ses parents ne la pousseront pas à se marier avec un Rom. « Ils préféreraient que j'épouse un Français. » Plusieurs de ses ami(e) s lui ont proposé le mariage. Parce que ce serait un moyen commode d'acquérir cette nationalité française que la République lui refuse. Mais qui est indispensable pour s'inscrire au concours de la magistrature. Anina préfère être loyale, et compte sur l'acceptation d'une nouvelle demande de régularisation..."


     

    Mais sachez que la France aussi, pour être la France, a des frontières, et qu'elle les contrôle, et que notre sagesse de veille nation sait que le déracinement organisé est un inhumanisme;

    qu'il n'y a, en France, rien au-dessus de l'Etat, et que donc les puissances d'argent n'y font pas la loi, elles qui rêvent de l'esclave nomade sans pays, sans attaches, sans sens; destabilisation, flexibilité, rentabilité, profit n'auraient pas le dessus si vous ne sacrifiez notre Etat-Nation sur l'autel de votre petit pouvoir de traîtres corrompus.

  • Dans la série Putain de l'Empire ...

    Nous avons donc d'un côté, les Femen :
    - «Model don't go to brothel» (Mannequin, ne va pas au bordel)

    et de l'autre, des extrémistes musulmans en Indonésie :
    - “Miss Monde, une élection de prostituées”

    On se souvient, Inna Shevchenko mi-pute mi-insoumise :
    - «Qu’est ce qui peut être plus stupide que le Ramadan? Qu’est-ce qui est plus moche que cette religion?» 

    C'est à en perdre sa putain ...

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  • Les rythmes scolaires qui ont fait leurs preuves

    Doisneau-Ecoliers.jpgDevant le fisaco total des nouveaux rythmes scolaires calqués sur les rythmes anglo saxons, on peut rappeler que jadis, quand les enfants allaient à l'école pour apprendre et maîtriser un savoir -ce qu'ils parvenaient à faire effectivement-, il y avait une extrême régularité dans les apprentissages.

    La maîtrise des savoirs de base permettent l'assise des apprentissages ultérieurs, les fondements sur lesquels l'édifice d'apprentissage s'appuiera.
    Seule une solide formation à l'école donnera les ailes nécessaires à l'enfant pour s'élever et devenir un homme libre.

    Dictée le matin, corrigée l'après-midi. 
    Leçon de français (avant la récréation) et de mathématiques (après la récréation) le matin, après corrections des exercices sur la ou les leçons précédentes, et avec exercices d'application de la leçon du matin l'après-midi, dûment corrigés, avec devoirs personnalisés à faire à la maison en fonction des fautes que l'on avait faites aux exercices, et/ou exercices de rédaction pour ce qui avaient eu tout bon.
    Mots et mathématiques à réviser pour tous avec classement et hiérarchie progressive de ces mots. Et exercices de révision.

    La dernière demi-heure de cours servaient aux autres sciences, histoire ou activité artistique, et une moitié d'après-midi par semaine était réservée au sport.

    MATIN : 

    - Correction des devoirs de français donnés la veille.
    - Dictée
    - Leçon de français

    Récréation

    - Correction des devoirs de mathématiques donnés la veille
    - Apprentissage concret
    - Leçon de mathématiques

    APRES-MIDI :

    - Exercices d'application de la leçon de français du matin
    - Correction et inscription sur le carnet de devoirs des choses à revoir

    Récréation

    - Exercices d'application de la leçon du matin en mathématiques
    - Correction et inscription des difficultés à revoir le soir en fonction des fautes commises par chacun

    Dernière demi-heure :
    - Sciences naturelles (lundi), histoire-géo(mardi), sport (jeudi ou un autre jour en permutant), arts (vendredi)

    Mercredi, repos pour laisser au cerveau le temps d'assimiler et pour en profiter pour faire du sport et/ou des activités musicales ou autres arts en fonction des affinités de chacun, et samedi matin travaillé pour ne pas laisser deux jours consécutifs sans cette régularité absolument nécessaire à l'enfant qui a besoin de rites et de rythmes extrêmement rigoureux.


    Contrôle général en fin de trimestre (avec exercices faciles, moyennement difficiles et une partie sur deux points difficile pour permettre aux meilleurs de s'exprimer) après quinze jour de révision des leçons du trimestre avec force d'exercices.

    Notes et courbes des notes précises pour corriger le tir le cas échéant.

    Récompenses en bons points, puis images, puis livres en fonction des "très bien obtenus" dans le travail, effort, comportement dès que l'occasion se présente.
    Intervenir au moindre petit écart de comportement, les anticiper pour les prévenir grâce à la connaissance du comportement des enfants.
    Le maître doit être aussi admiratif et reconnaissant du bon, qu'intraitable au mauvais comportement.
    Un coup doit entraîner l'éloignement temporaire du groupe, une exclusion de l'école s'il est porté contre un maître, ainsi que tout autre manque de respect dû aux adultes.
    Le maître rappelle sans cesse le "Bonjour/au revoir Madame/ Monsieur", "Merci Madame,/Monsieur".
    L'élève vouvoie les adultes.
    Pour le travail, admiratif et reconnaissant du bon, indulgent au mauvais mais donnant les clefs à l'élève pour lui permettre de se reprendre.

    Il est proposé pour les récréations des activités de marelles, cordes, élastiques, balles, course, grimpe sécurisée.

    Ajoutons que la rigueur du maître engendre la rigueur de l'élève, concentration, calme.
     

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  • Peine de mort, Dieu, César, et les salauds

    Il est insupportable de voir des salopards récupérer la mort atroce de la petite Fiona sous les coups de drogués et la complicité criminelle de sa mère.

    Les salopards en question se nomment les Identitaires et l'Institut Pour La Justice, il faut le dire, le crier, le gueuler.

    Je suis pour la peine de mort, mais en tant que juriste, et j'assois mes arguments sans utiliser des méthodes que seule la plus haute saloperie engendre.

    Il faut déclarer la mort à ces méthodes et institutions anglo saxonnes qui tuent la France et donc son peuple.

    En tant que catholique, les hommes règlent leur compte directement avec Dieu.

    En tant qu'être civilisé, l'homme doit organiser la société, protéger le citoyen.

    Certains hommes sont devenus des monstres par leurs actes plus qu'inhumains, la société se doit d'assurer sa légitime-défense pour sauver la vie d'êtres innocents, les monstres sont irrécupérables.

    En l'espèce, la société se doit également d'agir en amont, faire que dès la petite enfance, le petit être grandisse sous les meilleurs auspices, dans la meilleure éducation venant de ses parents, à qui elle doit s'attacher de trouver un emploi -et un emploi décent, pas un "job" d'esclave, par son organisation-, et les meilleurs maîtres d'instruction venant de l'école.

    La peine de mort est la clef de voûte de l'échelle des peines sans laquelle elle 
    s'écroule.

    La peine maximale de prison doit correspondre à une peine forte mais en vue de réinsérer le criminel, il doit pouvoir en sortir.
    Seuls les malades mentaux dangereux sont enfermés à perpétuité.

    La prison à vie est inhumaine et ne sert qu' à couver un monstre.

    L'Eglise n'est pas César, la société a des contingence à gérer, l'Eglise s'occupe des 

    âmes.

    Il est inhumain de couver un monstre et de l'enfermer à vie (sauf s'il est jugé fou, la

    responsabilité pénale ne s'applique pas aux enfants et aux malades mentaux).



    La prison à vie signifie couver un monstre, le tenir au chaud, le but de la 

    prison est de punir, de préserver et de réinsérer ensuite dans la société.



    La société s'occupe des affaires temporelles, la religion, des affaires spirituelles.



    Il faut rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César.



    Cette locution est une traduction d’une partie d’un passage du Nouveau Testament qui donne en latin :
    Reddite quae sunt Caesaris, Caesari, et quae sunt Dei, Deo. — Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. (Matthieu, XXII,21); ( Luc, XX, 25 )
    D’après ces écrits relatifs à la vie de Jésus et aux premières années du christianisme qui sont considérés comme authentiques par les Églises chrétiennes, il s’agirait d’une expression de Jésus : c’est la réponse qu’il aurait fournie aux pharisiens qui lui demandaient s’il était conforme à la loi de payer les impôts romains. C'était un piège dans lequel les ennemis de Jésus cherchaient à le faire tomber en lui demandant s’il est permis de payer l’impôt à César. S’il dit oui il ne peut pas être le Messie, s’il dit non ils le dénonceront comme ennemi de l’empereur.
    Cette citation sert aussi de source a un précepte fondateur de la chrétienté et des premiers papes : la division entre pouvoir temporel (politique) qui appartient au chef de l’État et pouvoir spirituel (religieux et théologique) qui lui appartient au pape.

    De plus, en droit français, le doute bénéficie toujours à l'accusé contrairement au droit anglo saxon. 
    L'argument de l'erreur judiciaire est faux, les erreurs judiciaires en France sont dû aux affaires politiques, on a condamné des personnes pour des raisons politiques, et seule l'histoire peut alors rendre justice, quand il faut un coupable, la politique peut le fabriquer comme elle fait assassiner ou se suicider dans le dos.
    Mais l'esprit français n'est pas celui-là.

    En France, en matière pénale, le juge instruit à charge et à dcharge, sauf à se prendre pour un Américain.

    On peut du reste toujours améliorer le droit français pour en bien garder
    l'esprit.

    - Présompt. d'innoc. : « principe selon lequel, en mat. Pénale, toute personne poursuivie est considérée comme innocente des faits qui lui sont reprochés, tant qu'elle n'a pas été déclarée coupable par la juridiction compétente » (lex. term. jurid., Dalloz) ;
    - « Le sage écrit que l'on ne doit condamner aucun homme sur un simple soupçon ; car mieux vaut manquer à punir des malfaiteurs, que de condamner ceux qui n'ont en rien méfait » (Livres de Jostice et Plet, vers 1260) ;
    - « Dans le doute, il vaut mieux absoudre un coupable que de condamner un homme qui peut être innocent » (Dict. du droit, de Ferrière, 1762) ;
    - « En vertu de l'adage in dubio pro reo, le doute profite à l'accusé. Si les preuves produites contre lui sont insuffisantes, l'inculpé ne peut être condamné » (Man. dt. Crim., Vouin, 1949) ;
    - « La règle que le doute profite à l'accusé, ainsi que la série de corollaires qui en découlent, ont été critiquées, comme des procès à rebours, par ceux qui ne voient, dans ces institutions que des procédés tendant à désarmer la « défense sociale », et qui ne comprennent pas que les garanties de la procédure sont surtout nécessaires pour les honnêtes gens injustement soupçonnés » (Précis de dr. Crim., Garaud)

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  • L'Etat, tout l'Etat, notre Etat

    Police municipale.jpg




    Comment ce sont en général les mêmes qui sabotent les prérogatives de l'Etat, trahissent la France, manipulent l'opinion, et rajoutent des solutions qui prorogent et aggravent le processus ...


    La sécurité est une attribution de l'Etat, toute concurrence entraîne ipso facto une atteinte à l'Etat.

    C'est une atteinte à l'Etat que de vouloir armer les polices municipales, et donc une atteinte à la nation et à la France.

    C'est encore une idée anglo saxonne.

    Avec les municipales armées, on voit déjà, comment on peut s'en prendre aux prérogatives de l'Etat, asseoir les pouvoirs féodaux locaux, se créer les milices clientélistes au services des "citoyens" plus honorables que les autres, comme ceux qui ont les moyens ou la bonne idéologie, etc.
     
    Les pouvoirs féodaux sont les royaumes des maffias.
    L'équation libérale : Moins d'Etat = Plus de maffia  est une constante.

    Pour corriger la phrase de Gaino :

     
     "L’État contre les féodalités, c’est toute l’Histoire de France. L’Angleterre est un vieux pays oligarchique (et non pas aristocratique, puisque les meilleurs, ce sont le roi et le peuple -je crois ferme à l'intelligence collective du peuple, parce que le peuple, c'est celui qui travaille vraiment pour nourrir ses gosses, tout simplement-), la France un vieux pays royaliste (et non pas manarchique, le monarque, ce peut être n'importe qui) parce qu’il s’est fondé sur l’alliance entre le roi et le peuple contre les féodalités. "

    La volonté de désengager l'Etat et de lui substituer ces palliatifs opère qui plus est, une rupture d'égalité du citoyen devant les services de l'Etat.
    Certaines municipalités seront forcément moins bien dotées, et ce d'autant que ce seront les plus pauvres.

    Il faut stopper nette cette évolution.

    De même qu'il faut stopper l'école à la carte calquée sur les rythmes anglo saxons.
    L'organisation de l'école à l'américaine avec le macramé encadré par le GO titulaire du BAFA du Parti Communiste et l'animation sportive initiée par le diplômé de Léo Lagrange, merci bien. 

    Et à ce compte, on ne voit pas bien comment les gamins recevront les
    outils nécessaires à l'expression écrite et orale faute de pratique de l'art
    grammatical -dont l'orthographe est partie- qui conditionnent
    évidemment jusqu'à l'entendement des sciences, des lettres et des arts.

    Mais bon, quand on fait 
    le cursus Fame-I'm gonna live forever, on ne

    peut s'en 
    sortir qu'avec un cerveau américain.
    Ne restera plus qu'à acheter son gun, et, buttez-vous jeunesse !