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Peine de mort, Dieu, César, et les salauds

Il est insupportable de voir des salopards récupérer la mort atroce de la petite Fiona sous les coups de drogués et la complicité criminelle de sa mère.

Les salopards en question se nomment les Identitaires et l'Institut Pour La Justice, il faut le dire, le crier, le gueuler.

Je suis pour la peine de mort, mais en tant que juriste, et j'assois mes arguments sans utiliser des méthodes que seule la plus haute saloperie engendre.

Il faut déclarer la mort à ces méthodes et institutions anglo saxonnes qui tuent la France et donc son peuple.

En tant que catholique, les hommes règlent leur compte directement avec Dieu.

En tant qu'être civilisé, l'homme doit organiser la société, protéger le citoyen.

Certains hommes sont devenus des monstres par leurs actes plus qu'inhumains, la société se doit d'assurer sa légitime-défense pour sauver la vie d'êtres innocents, les monstres sont irrécupérables.

En l'espèce, la société se doit également d'agir en amont, faire que dès la petite enfance, le petit être grandisse sous les meilleurs auspices, dans la meilleure éducation venant de ses parents, à qui elle doit s'attacher de trouver un emploi -et un emploi décent, pas un "job" d'esclave, par son organisation-, et les meilleurs maîtres d'instruction venant de l'école.

La peine de mort est la clef de voûte de l'échelle des peines sans laquelle elle 
s'écroule.

La peine maximale de prison doit correspondre à une peine forte mais en vue de réinsérer le criminel, il doit pouvoir en sortir.
Seuls les malades mentaux dangereux sont enfermés à perpétuité.

La prison à vie est inhumaine et ne sert qu' à couver un monstre.

L'Eglise n'est pas César, la société a des contingence à gérer, l'Eglise s'occupe des 

âmes.

Il est inhumain de couver un monstre et de l'enfermer à vie (sauf s'il est jugé fou, la

responsabilité pénale ne s'applique pas aux enfants et aux malades mentaux).



La prison à vie signifie couver un monstre, le tenir au chaud, le but de la 

prison est de punir, de préserver et de réinsérer ensuite dans la société.



La société s'occupe des affaires temporelles, la religion, des affaires spirituelles.



Il faut rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César.



Cette locution est une traduction d’une partie d’un passage du Nouveau Testament qui donne en latin :
Reddite quae sunt Caesaris, Caesari, et quae sunt Dei, Deo. — Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. (Matthieu, XXII,21); ( Luc, XX, 25 )
D’après ces écrits relatifs à la vie de Jésus et aux premières années du christianisme qui sont considérés comme authentiques par les Églises chrétiennes, il s’agirait d’une expression de Jésus : c’est la réponse qu’il aurait fournie aux pharisiens qui lui demandaient s’il était conforme à la loi de payer les impôts romains. C'était un piège dans lequel les ennemis de Jésus cherchaient à le faire tomber en lui demandant s’il est permis de payer l’impôt à César. S’il dit oui il ne peut pas être le Messie, s’il dit non ils le dénonceront comme ennemi de l’empereur.
Cette citation sert aussi de source a un précepte fondateur de la chrétienté et des premiers papes : la division entre pouvoir temporel (politique) qui appartient au chef de l’État et pouvoir spirituel (religieux et théologique) qui lui appartient au pape.

De plus, en droit français, le doute bénéficie toujours à l'accusé contrairement au droit anglo saxon. 
L'argument de l'erreur judiciaire est faux, les erreurs judiciaires en France sont dû aux affaires politiques, on a condamné des personnes pour des raisons politiques, et seule l'histoire peut alors rendre justice, quand il faut un coupable, la politique peut le fabriquer comme elle fait assassiner ou se suicider dans le dos.
Mais l'esprit français n'est pas celui-là.

En France, en matière pénale, le juge instruit à charge et à dcharge, sauf à se prendre pour un Américain.

On peut du reste toujours améliorer le droit français pour en bien garder
l'esprit.

- Présompt. d'innoc. : « principe selon lequel, en mat. Pénale, toute personne poursuivie est considérée comme innocente des faits qui lui sont reprochés, tant qu'elle n'a pas été déclarée coupable par la juridiction compétente » (lex. term. jurid., Dalloz) ;
- « Le sage écrit que l'on ne doit condamner aucun homme sur un simple soupçon ; car mieux vaut manquer à punir des malfaiteurs, que de condamner ceux qui n'ont en rien méfait » (Livres de Jostice et Plet, vers 1260) ;
- « Dans le doute, il vaut mieux absoudre un coupable que de condamner un homme qui peut être innocent » (Dict. du droit, de Ferrière, 1762) ;
- « En vertu de l'adage in dubio pro reo, le doute profite à l'accusé. Si les preuves produites contre lui sont insuffisantes, l'inculpé ne peut être condamné » (Man. dt. Crim., Vouin, 1949) ;
- « La règle que le doute profite à l'accusé, ainsi que la série de corollaires qui en découlent, ont été critiquées, comme des procès à rebours, par ceux qui ne voient, dans ces institutions que des procédés tendant à désarmer la « défense sociale », et qui ne comprennent pas que les garanties de la procédure sont surtout nécessaires pour les honnêtes gens injustement soupçonnés » (Précis de dr. Crim., Garaud)

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