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  • Qui défendra Chauprade en justice ?

    Etant donné les "talents" de Saint Just, c'est sans doute l'avocat que Marine Le Pen partage avec la Ligue de Défense Juive qui sera en défense, quelque chose me dit qu'il se portera gracieusement volontaire.

    Le Front National va aider juridiquement Aymeric Chauprade visé par une plainte de SOS racisme notamment, à se défendre pour une vidéo controversée qui a...
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  • Une main de fer dans un gant invisible, ou le fantôme de Maggie et l'UKIP

    Marion Maréchal Le Pen sera sûrement intéressée par la proposition face à tous ces parasites incapables de devenir député.

    Un responsable du parti populiste britannique UKIP a formulé cette proposition choc dans un tract.

  • Jean-Marie Le Pen et l'éternel retour à ses démons

    "Bistro libertés", toute l'Amérique profonde dans un enrobage folklorique français.

    Après avoir trahi le Front pour rejoindre leur idéologie droitarde atavique, l'extrême-droite, libertarienne, invite JMLP, qui doit vraiment être atteint de sénilité pour aller à présent leur lécher le cul et leur faire audience, revenant ainsi à ses premières liaisons dangereuses.

    On ne sait pas si le Président rajoute de la vodka, mais pour le sucre sur les fraises, c'est hautement probable.

     

     

    Martial Bild reçoit Jean-Marie Le Pen, Caroline Parmentier (journaliste), Maître Nicolas Gardères (avocat), Philippe Randa (écrivain et éditeur) et Nicolas G...
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  • Russia Today est surtout très hard américaine

    Rappel :


    Russia Today est une officine libertarienne émanant des réseaux américains les plus à droite.

     

    Russia Today travaille avec tout ce que l’Europe, la Russie et les USA comptent de libertariens et diffuse leur idéologie.

     

     

    Les libertariens se sont spécialisés dans la défense de la communication russe en lien et dans l'intérêt de ses partenaires d'Exxon Mobil.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=bqePNBAwIHk
    Russia Today live fro Paris With the international affairs expert John Laughland 21/01/2014 NewTR news...
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    RPI Advisor John Laughland on Western media fecklessness regarding Russia.

    http://ronpaulinstitute.org/…/navalny-reporting-shows-weste…

    Ron Paul Institute Academic Board Member John Laughland appeared on France 24 recently to...
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  • M'enfin Marine !


    "Mais Marion a publié un tweet sur son compte personnel ...
    Par conséquent, chacun a respecté -ce qui est tout à fait normal dans un mouvement bien tenu- les instructions qui ont été données.
    Vous savez si on veut rétablir l'ordre en France, il faut quand même que dans notre propre parti, nous soyons capables d'instaurer une discipline et un esprit collectif".

    6Medias, 24/01/2015 - 09:46 Marine Le Pen vole au secours de sa nièce après son tweet polémique Après le tweet de Marion Maréchal-Le Pen, relayant une...
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  • Terrorisme, Claude Hermant et extrême-droite

    Alors que le mercenaire Claude Hermant est inquiété par la justice dans le cadre des derniers attentats terroristes, petit rappel :


    Un ancien du DPS révèle à «Libération» les activités de déstabilisation et d'infiltration menées en France et en Afrique.
    Ce témoin est un soldat perdu. Un soldat du Front national. Il révèle, à visage découvert, l’existence jusqu’en 1999 d’un groupe paramilitaire secret au sein du FN. Non pas celui des gros bras déjà connus, mais ce qu’il appelle «30 à 60 fantômes»: une sorte de «service action» du FN, mis en place par Bernard Courcelle, l’ancien chef du DPS ­ de 1994 à 1999. Claude Hermant, 38 ans, a été membre du service d’ordre du FN, Département Protection et Sécurité, DPS, pendant six ans.
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    Recruté par Courcelle, il a suivi son patron, début 1999, lors de la scission du Front. Mal lui en prend. Courcelle, qui a annoncé son ralliement à Bruno Mégret, est chargé d’une mission de sécurité par le Congo de Denis Sassou N’Guesso. Il fait partir Hermant, et plusieurs membres de l’ex-DPS, à Brazzaville. L’opération tourne mal. Hermant est incarcéré durant sept mois, avant d’être gracié par le président Sassou (Libération du 14 mai). Courcelle est venu témoigner contre lui. Libéré, Hermant coupe les ponts. Le service d’ordre auquel il a appartenu s’est scindé en deux: les uns sont restés au DPS de Le Pen, les autres ont rejoint le DPA (Direction Protection Assistance) de Bruno Mégret.

    «Fantômes».«Le DPS est actuellement fragilisé, car en pleine restructuration sur les deux Fronts, écrivait Hermant à la justice congolaise en 1999, il est du pouvoir médiatique d’effacer définitivement cette armée des ombres en faisant éclater la vérité.» Il parle d’un «système hors la loi», dont il désigne «la tête pensante»: Courcelle. Une force de frappe secrète chargée, selon Hermant, d’infiltrer les «ennemis» (Ras l’Front ou SOS Racisme) et des bandes de jeunes susceptibles d’accentuer le climat d’insécurité dans certains quartiers, non acquis au Front national. Bernard Courcelle, ancien capitaine d’un régiment de parachutistes d’infanterie de marine et ex-informateur de la DPSD (direction de la protection et de la sécurité de la Défense), aurait calqué sa structure de sécurité sur celle des services spéciaux. Un service action, un service de renseignement et un découpage territorial de la France en six grandes zones géographiques calquées sur les zones militaires.

    Hermant n’est associé à la structure dite des «fantômes» qu’en 1997. Auparavant, il est rodé et testé à des missions de sécurité ou des combats de rue à l’occasion des meetings du FN ou de contre-manifestions. Dans cette période, Hermant rejoint la crème du DPS, un «groupe de choc» composé de 200 ex-militaires ou baroudeurs sur la touche. Tantôt enrôlés sous le vocable d'«unité mobile d’intervention» (UMI), dotés d’un équipement semblable à celui des CRS, les gros bras endossent aussi une tenue civile plus discrète, dite «tenue numéro deux», pour infiltrer des associations ou mener des «expéditions punitives» dans des banlieues. Ces faits ont été relatés par la commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée nationale, dans son rapport de mai 1999. Le député Bernard Grasset (PS) en dressait un constat accablant: «Loin du service d’ordre classique […], c’est un mouvement aux accents paramilitaires marqués, qui n’hésite pas à provoquer, intimider voire "faire le coup de poing". Tour à tour service d’ordre musclé, pseudo-police, garde prétorienne et service de renseignement, il inscrit son action dans un substrat de violence et de haine typique de la culture d’extrême droite.»

    Barbouzeries. Pour les combats de rue, Hermant a le profil. Sportif de haut niveau, champion de boxe américaine, catégorie super-lourds, dans les années 80, para, il a fait ses classes à Beyrouth au 1er régiment de chasseurs parachutistes, il a combattu à deux reprises en Croatie dans la 106e brigade de volontaires étrangers. En 1997, Hermant suit 90 jours de formation intensive au siège du FN, destinée à lui apprendre les rudiments de l’action clandestine. Libération a pu consulter les feuillets remis aux stagiaires «fantômes». Il y est question d’espionnage, «buts et formes». De la «conduite à tenir pour éviter d’être compromis». Du «recueil de documents, plans ou matériels (vol, photographies)». Des directives liées au secret en général («le nom des chefs ne doit pas être divulgué à des inconnus»). Des fiches techniques ­comprenant des recettes miracles pour fabriquer des explosifs sont aussi distribuées par les instructeurs.

    Le secret est total. «Il est évident qu’un tel programme ne peut fonctionner qu’en distribuant des moyens financiers aux "fantômes", expliquait Hermant à la justice congolaise. Ils sont indétectables, car ils fonctionnent avec de faux papiers, fournis par Courcelle, et de beaucoup d’argent liquide. Il leur interdit de téléphoner, écrire ou faire quelque chose qui laisserait des traces et relierait le "fantôme" au Front ou à Bernard Courcelle. Ils sont nomades et indépendants».

    Le coût financier de cette structure est chiffré par Hermant à plusieurs millions de francs annuels. Un budget que Courcelle aurait couvert lui-même, par des opérations internationales de mercenariat ou de vente d’armes, comme ses ventes d’armes aux forces tchétchènes, via la Croatie. En 1998, les services de police ont d’ailleurs détecté, grâce à leurs indicateurs, des circulations d’armes de guerre ­d’origine croate­ parmi les membres du DPS.

    Claude Hermant témoigne d’autres projets africains. Projets putschistes, barbouzards, généralement rétribués assez chers. La dernière opération aurait visé à l’élimination de l’ancien ministre des Finances congolais réfugié en France, Moungounga N’Guila, à la demande du ministre de l’Intérieur congolais Pierre Oba. Opération finalement annulée, en mars 1999. Niché dans l’appareil frontiste, le groupe «opérationnel» de Courcelle était donc utilisé pour des missions qui dépassaient largement le cadre du FN. L’enquête que devraient provoquer ces révélations dira jusqu’à quel niveau le Front national a pu être informé des barbouzeries de Courcelle. En 1999, le DPS avait échappé de peu à la dissolution. L’explosion du FN avait rassuré les parlementaires. «La réponse qui doit être apportée aux agissements du DPS, écrivait ainsi le député Bernard Grasset, doit s’inscrire dans le présent, caractérisé par la scission de fait du service d’ordre du FN.» Une conclusion bien timorée au terme de plusieurs dizaines d’auditions, dont celle de Bernard Courcelle, qui a depuis pris ses quartiers au Bénin.

    Un ancien du DPS révèle à «Libération» les activités de déstabilisation et d'infiltration menées en France et en Afrique.
    LIBERATION.FR

     

  • Terrorisme et fournisseurs d'extrême-droite

    Publié le Vendredi 23 Janvier 2015 à 06h25

    Commencée mardi, la garde à vue de Claude Hermant, une figure de l’ultra-droite régionale, s’est achevée vendredi midi. Les enquêteurs de la PJ de Lille l’ont amené au palais de justice, ainsi que sa compagne et un autre homme. Les trois personnes ont été présentées au juge d’instruction en charge de ce dossier de trafic d’armes en bande organisée.

    Placement en détention

    On ignore si elles ont été mises en examen ou si le débat sur le fond avec le juge a été différé. Quoi qu’il en soit, elles sont ensuite redescendues voir le juge des libertés et de la détention (JLD), qui leur a signifié leur placement en détention. Ces informations parcellaires s’expliquent par l’étrange chape de plomb qui pèse sur cette affaire. La raison ? « Il y a du lourd », soufflait un avocat. Me Maxime Moulin, conseil de Claude Hermant annonçait d’emblée un « black-out total ». Imité par Me Guillaume Ghestem, avocat de la compagne, et Me Éric Kuchcinski, défenseur du troisième suspect. Comme dans un film muet, on a vu derrière les couloirs vitrés les mis en cause entrer et sortir, l’un après l’autre, de l’audience à huis clos du JLD.

     

     

     

     

     

     

     

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    Opération à Comines: les armes des attentats de Paris seraient liées à un habitué de l'extrême-droite flamande

    R.D.

    Mardi soir, une opération policière d’envergure menée à Comines visait à fouiller le domicile de Claude Hermant, figure notoire de l’extrême droite radicale française. Ce trafic d’armes aurait un lien avec les actes terroristes qui ont secoué la France en ce début d’année, porte de Vincennes, dans le magasin Hyper Cacher. Entre les mains de Coulibaly, des armes de guerre fournies par un radical installé chez nous, en Belgique..

    
Le domicile de Claude Hermant a été perquisitionné à Comines.

    D.R.

    Le domicile de Claude Hermant a été perquisitionné à Comines.

    Le domicile cominois de Claude Hermant a été ciblé par les autorités car il était suspecté d’être une cache d’armes. Si l’opération n’a pas permis de mettre la main sur les armes recherchées, plusieurs « documents pouvant intéresser l’enquête » ont été saisis.

    Selon certains riverains, évacués parmi les derniers, il s’agirait de deux gilets pare-balles et de 4 caisses en carton au contenu toujours inconnu.

    Le trafic d’armes organisé par Claude Hermant concernerait principalement des armes démilitarisées importées de Tchéquie. Notamment de puissants fusils-mitrailleurs de type « Skorpion ».

    Selon de nouvelles informations fournies par nos confrères de la Voix du Nord, certaines armes de ce trafic auraient servi aux actes terroristes survenus à Paris entre le 7 et le 9 janvier. La police judiciaire de Lille se penche sérieusement sur l’affaire de la prise d’otage dans l’Hyper Cacher. Les armes en possession de Coulibaly pourraient provenir des stocks de Claude Hermant.

     

     

    Un ancien du DPS révèle à «Libération» les activités de déstabilisation et d'infiltration menées en France et en Afrique.
    Ce témoin est un soldat perdu. Un soldat du Front national. Il révèle, à visage découvert, l’existence jusqu’en 1999 d’un groupe paramilitaire secret au sein du FN. Non pas celui des gros bras déjà connus, mais ce qu’il appelle «30 à 60 fantômes»: une sorte de «service action» du FN, mis en place par Bernard Courcelle, l’ancien chef du DPS ­ de 1994 à 1999. Claude Hermant, 38 ans, a été membre du service d’ordre du FN, Département Protection et Sécurité, DPS, pendant six ans.
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    «Inciter à la rébellion» Par Karl Laske
    Recruté par Courcelle, il a suivi son patron, début 1999, lors de la scission du Front. Mal lui en prend. Courcelle, qui a annoncé son ralliement à Bruno Mégret, est chargé d’une mission de sécurité par le Congo de Denis Sassou N’Guesso. Il fait partir Hermant, et plusieurs membres de l’ex-DPS, à Brazzaville. L’opération tourne mal. Hermant est incarcéré durant sept mois, avant d’être gracié par le président Sassou (Libération du 14 mai). Courcelle est venu témoigner contre lui. Libéré, Hermant coupe les ponts. Le service d’ordre auquel il a appartenu s’est scindé en deux: les uns sont restés au DPS de Le Pen, les autres ont rejoint le DPA (Direction Protection Assistance) de Bruno Mégret.

    «Fantômes».«Le DPS est actuellement fragilisé, car en pleine restructuration sur les deux Fronts, écrivait Hermant à la justice congolaise en 1999, il est du pouvoir médiatique d’effacer définitivement cette armée des ombres en faisant éclater la vérité.» Il parle d’un «système hors la loi», dont il désigne «la tête pensante»: Courcelle. Une force de frappe secrète chargée, selon Hermant, d’infiltrer les «ennemis» (Ras l’Front ou SOS Racisme) et des bandes de jeunes susceptibles d’accentuer le climat d’insécurité dans certains quartiers, non acquis au Front national. Bernard Courcelle, ancien capitaine d’un régiment de parachutistes d’infanterie de marine et ex-informateur de la DPSD (direction de la protection et de la sécurité de la Défense), aurait calqué sa structure de sécurité sur celle des services spéciaux. Un service action, un service de renseignement et un découpage territorial de la France en six grandes zones géographiques calquées sur les zones militaires.

    Hermant n’est associé à la structure dite des «fantômes» qu’en 1997. Auparavant, il est rodé et testé à des missions de sécurité ou des combats de rue à l’occasion des meetings du FN ou de contre-manifestions. Dans cette période, Hermant rejoint la crème du DPS, un «groupe de choc» composé de 200 ex-militaires ou baroudeurs sur la touche. Tantôt enrôlés sous le vocable d'«unité mobile d’intervention» (UMI), dotés d’un équipement semblable à celui des CRS, les gros bras endossent aussi une tenue civile plus discrète, dite «tenue numéro deux», pour infiltrer des associations ou mener des «expéditions punitives» dans des banlieues. Ces faits ont été relatés par la commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée nationale, dans son rapport de mai 1999. Le député Bernard Grasset (PS) en dressait un constat accablant: «Loin du service d’ordre classique […], c’est un mouvement aux accents paramilitaires marqués, qui n’hésite pas à provoquer, intimider voire "faire le coup de poing". Tour à tour service d’ordre musclé, pseudo-police, garde prétorienne et service de renseignement, il inscrit son action dans un substrat de violence et de haine typique de la culture d’extrême droite.»

    Barbouzeries. Pour les combats de rue, Hermant a le profil. Sportif de haut niveau, champion de boxe américaine, catégorie super-lourds, dans les années 80, para, il a fait ses classes à Beyrouth au 1er régiment de chasseurs parachutistes, il a combattu à deux reprises en Croatie dans la 106e brigade de volontaires étrangers. En 1997, Hermant suit 90 jours de formation intensive au siège du FN, destinée à lui apprendre les rudiments de l’action clandestine. Libération a pu consulter les feuillets remis aux stagiaires «fantômes». Il y est question d’espionnage, «buts et formes». De la «conduite à tenir pour éviter d’être compromis». Du «recueil de documents, plans ou matériels (vol, photographies)». Des directives liées au secret en général («le nom des chefs ne doit pas être divulgué à des inconnus»). Des fiches techniques ­comprenant des recettes miracles pour fabriquer des explosifs sont aussi distribuées par les instructeurs.

    Le secret est total. «Il est évident qu’un tel programme ne peut fonctionner qu’en distribuant des moyens financiers aux "fantômes", expliquait Hermant à la justice congolaise. Ils sont indétectables, car ils fonctionnent avec de faux papiers, fournis par Courcelle, et de beaucoup d’argent liquide. Il leur interdit de téléphoner, écrire ou faire quelque chose qui laisserait des traces et relierait le "fantôme" au Front ou à Bernard Courcelle. Ils sont nomades et indépendants».

    Le coût financier de cette structure est chiffré par Hermant à plusieurs millions de francs annuels. Un budget que Courcelle aurait couvert lui-même, par des opérations internationales de mercenariat ou de vente d’armes, comme ses ventes d’armes aux forces tchétchènes, via la Croatie. En 1998, les services de police ont d’ailleurs détecté, grâce à leurs indicateurs, des circulations d’armes de guerre ­d’origine croate­ parmi les membres du DPS.

    Claude Hermant témoigne d’autres projets africains. Projets putschistes, barbouzards, généralement rétribués assez chers. La dernière opération aurait visé à l’élimination de l’ancien ministre des Finances congolais réfugié en France, Moungounga N’Guila, à la demande du ministre de l’Intérieur congolais Pierre Oba. Opération finalement annulée, en mars 1999. Niché dans l’appareil frontiste, le groupe «opérationnel» de Courcelle était donc utilisé pour des missions qui dépassaient largement le cadre du FN. L’enquête que devraient provoquer ces révélations dira jusqu’à quel niveau le Front national a pu être informé des barbouzeries de Courcelle. En 1999, le DPS avait échappé de peu à la dissolution. L’explosion du FN avait rassuré les parlementaires. «La réponse qui doit être apportée aux agissements du DPS, écrivait ainsi le député Bernard Grasset, doit s’inscrire dans le présent, caractérisé par la scission de fait du service d’ordre du FN.» Une conclusion bien timorée au terme de plusieurs dizaines d’auditions, dont celle de Bernard Courcelle, qui a depuis pris ses quartiers au Bénin.

    Un ancien du DPS révèle à «Libération» les activités de déstabilisation et d'infiltration menées en France et en Afrique.
    LIBERATION.FR

     

  • Un exemple de récupération de Charlie Hebdo par les libertariens

    Attention au site EconomieMatin.fr qui révèlerait des "informations-stupéfiantes", concernant Charlie hebdo notamment.

    Nombreux cadres frontistes s'en font le relais.

    Ce media est un organe libertarien, il cite "notre expert de l'Institut Pour la Justice".

    Tout ce qu'il dit est de la manipulation et est bien plus dangereux encore qu'une Taubira.

    Si la vraie droite profite de la gauche pour désengager l'Etat du pan de notre souveraineté qu'est la justice en profitant de son angélisme pour alléger la charge de l'Etat,
    le but final est la privatisation du secteur.

    L'IPJ est un organe d'allégeance anglo américaine, qui milite et infiltre tous les mouvements politiques, médiatiques, économiques et universitaires pour insuffler son idéologie libérale intégrale.

    Ses moyens financiers et ses réseaux sont exorbitants.

    Rappelons que ce lobby a réussi à convoquer l'ensemble de la classe politique comme je l'avais signalé en son temps en amenant toutes les preuves.

    De Mélenchon à Marine Le Pen -qui s'y est fait représenter par Collard- en passant évidemment par Hollande, NDA et Sarkozy, ces deux derniers s'étant montrés, avec Mélenchon, les plus serviles lèche-cul de cet Institut anti démocratique et anti France au dernier degré.

    Ces réseaux sont au passage, aussi ceux de Chauprade.

  • Lagarde royale et la chienne d'humanité

    Christine Lagarde est aux hommes en général ce que le roi Abdallah était à la femme en particulier, un fossoyeur dont on se doit de dire du bien dans les milieux autorisés à nous dominer tous.

    La directrice du FMI a rendu un hommage remarqué au roi d'Arabie Saoudite.
    FRANCETVINFO.FR