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  • Logements sociaux et assimilation, cas concrets :



    Pour habiter en HLM dans un lotissement HLM, je vois bien la politique qui est appliquée :

    - première chose :

    C'est sans doute une nouveauté mais les blancs sont prioritaires, c'est-à-dire qu'à priorité égale, la famille blanche sera prioritaire.

    Lorsque je me suis inscrite sur les listes de ma commune , j'ai eu un HLM trois mois après.
    Je n'y croyais pas.
    Il faut dire qu'en revanche, dans ma commune natale, on m'avait carrément refusé l'inscription -ce qui ne doit pas être franchement légal- en prétextant qu'il y avait dix ans d'attente sur la côte d'Azur et que dans tous les cas, avec le nom que je portais (ma famille est connue comme notable localement), il était hors de question que l'on m'inscrive).

    La famille blanche est prioritaire de nos jours parce que la politique est, à raison, à la mixité.

    Le problème étant le manque de logements et le fait que les familles blanches entrent parfois moins dans les critères de nombre qui sont prioritaires, une famille noire de quatre enfants et prioritaires sur une famille blanches de deux ou trois enfants.

    On ne veut plus recréer de ghettos noirs et arabes, et je crois que c'est bien.

    - deuxième chose :

    on essaie de mélanger, et en proportion décroissante :
    les familles blanches, les familles de couleur, les handicapés moteurs, et les cas sociaux.

    Les cas sociaux étant à tout point de vue et quelque soit leur couleur de peau les plus problématiques.

    Dans les familles blanches, de couleur, handicapées, vous avez une égale proportion de personnes et d'enfants mal élevés et aussi importantes que dans les habitations non sociales.

    Les familles les plus aisées ont cependant les moyens pour davantage cacher la mauvaise éducation de leurs enfants, en les pourrissant en accédant à leurs revendications notamment, et en les confiant à des personnels payants tierces le plus souvent.

    Le véritable problème sont les cas sociaux, les drogués, les alcooliques, les handicapés mentaux légers (on ne trouve pas de personnes seules handicapées mentales lourdes, ou du moins, elles sont extraites lorsque le trouble -alzheimer par exemple- apparaît et s'installe), les handicapés légers ne sont pas forcément problématiques mais peuvent se voir manipulés et embarqués facilement dans des aventures sordides.
    Ces personnes peuvent cependant être gérées par de la famille, ce qui peut masquer alors un peu les problèmes.
    Il y a au demeurant des drogués, des alcooliques et des débiles plus ou moins légers dans tous les milieux sociaux.

    - troisième chose :

    les familles noires et arabes sont parfois mécontentes et préfèrent vivre en communauté et rejoignent en journée les personnes dans d'autres lieux de HLM où vivent les leurs.
    La politique a été notamment de séparer les femmes des familles polygames.
    Apparemment, elles font tout pour retourner dans leur milieu où elles se sentent malgré tous plus protégées, il semble difficile parfois pour elle de se prendre en charge.

    - le problème des cas sociaux est qu'ils attirent la délinquance, la barbarie dont les viols, et que peuvent venir s'y aggréger les familles avoisinantes mal élevées si l'on n'y prend pas garde.
    Mais en général, elles sont plutôt très détestées et stigmatisées par ceux-là en priorité.
    Disons qu'une maman dont les enfants sont mal élevés et dont l'un d'entre eux fricotent avec les cas sociaux problématiques, va rejeter toutes ses propres turpitudes sur l'autre.

    La drogue, c'est vite la prostitution, la nuit, le danger, les vols, les violences, c'est un vraie plaie.

    Si les familles de cette catégorie sont extrêmement isolées au sein des habitations HLM par une politique volontaire de quotas, elles sont plus dicrètes, même si le problème ne se résorbe pas forcément et reste très entier pour les familles normales qui habitent juste à côté.

    Les services sociaux peuvent déplacer et amoindrir le phénomène en plaçant les enfants dans des familles d'accueil ou des centres spécialisés le cas échéant, et hospitaliser ou placer les malades, mais ça ne semble pas toujours évident. Ces personnes problématiques ne font pas long feu en général.

    Je pense que la politique de mixité est la bonne mais qu'il faut focaliser la surveillance et les moyens sur les cas les plus difficiles, ce qui semble également être la voie empruntée actuellement.

    - dernière chose :

    Rappelons au passage le scandale qui consiste pour des dirigeants politiques ou cadres, ou activistes de manif pour tous, de s'installer impunément dans des logements sociaux -et même s'ils paient un supplément évidemment- et qui viennent en plus parfois pleurnicher sur leur sort quand évidemment on les épingle le jour où le pouvoir veut régler un différent idéologique.

    Que ces personnes sachent qu'elles sont de véritables saloperies et qu'elles mériteraient de bons coups de pieds au cul en plus en plus de l'opprobre légitime du reste de la population.

    • Ben, pour en avoir longuement discuté avec l'adjoint chargé au logement de ma mairie (j'essayais de faire du forcing pour une connaissance juste avant les élections).

      -D'abord on s'occupe de préférence des précaires qui habitent déjà la commune -quand on a le droit de le faire.

      -La priorité va à ceux qui occupent un logement en surnombre ( 5 dans un studio, par exemple).

      - Les familles nombreuses sont donc prioritaires, c'est ton cas. Jusque là on est d'accord.

      -Ensuite, il y a le fameux DALO qui fait que la préfecture peut réquisitionner les logements en cours d'attribution pour y loger les familles qui ont fait une demande DALO. C'est comme cela qu'à côté de chez moi, en ïle de France, une résidence HLM toute neuve s'est retrouvée remplie d'Africains à peine immigrés, encore en boubous, avec une pléthore d'enfants, au détriments des gens du coin qui sont toujours sur liste d'attente. Le DALO, c'est la priorité absolue, qui fait que contrairement à ce que tu penses, les blancs ne sont pas prioritaires. Les associations d'aide au logement ont un sacré faible pour les clandestins, elles ne s'occupent pas des blancs et des Français pour faire des demandes de DALO.

      -Une fois que tu as passé ces deux priorités, saches que si tu n'as pas d'enfants, c'est presque mort.

      -Pareil, si tu es retraité, on cherchera à t'envoyer plutôt dans une résidence HLM pour vieux - l'antichambre de la maison de retraite.

      -Enfin, les bailleurs ont tendance à faire la même chose que font les gardiens de prison pour acheter un bout de paix sociale ; il regroupent plus ou moins les gens par origine ethnique. Ils savent très bien que si tu mets des gitans avec des arabes, c'est va être la guerre totale, alors ils évitent. Toi-même étant blanche, il n'y a rien d'étonnant à ce que tu ais été mise dans un HLM plutôt blanc. 
      J'ai connu des gitans vivant en HLM gitan et des arabes vivant en HLM arabe. Un blanc qui aurait demandé à aller dans ces HLM-là ne peut pas être prioritaire.
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      Oriane Borja Il y a eu des gens issus du DALO chez nous.
      Cela se voit quand des femmes africaines en boubou ramènent à pieds les sacs de l'aide alimentaire en les portant ... sur leur tête.
      Mais apparemment ça ne dure que quelques mois, ils disparaissent aussi vite qu'ils sont venus.

      - Je suis d'accord pour la priorité aux gens habitants la commune s'ils correspondent aux autres critères de priorité.

      - D'accord aussi pour le logement en surnombre, c'est parfois peu justifié; j'ai eu une voisine maman de quatre enfants comme moi, avec le même logement que moi, qui est restée un an, elle avait fait une demande pour avoir une pièce supplémentaire alors qu'elle avait déjà 100 m2.
      Elle a profité du fait qu'une famille de gitans se fasse littéralement chassée de la commune, un des gamins avait violé une camarade de collège, et ils étaient habitués à faire régner la terreur partout en commettant des larcins et des actes de violence.

      La population a fait pression pour qu'ils partent, les enfants s'étaient fait virer plusieurs fois des établissements scolaires, le jour où le gamin violeur a été autorisé à revenir, les parents d'élèves avaient formé un barrage pour l'interdire de pénétrer dans l'enceinte de l'établissement.
      Ils ont finalement déménagé.
      Et ma voisine a bénéficié du logement immédiatement.

      - Oui, la population de nos HLM est majoritairement constituée de familles ou de femmes seules avec enfants. Il existe des logements occupés par des femmes seules, pas par des hommes seuls.
      Je connais cependant des hommes seuls qui n'ont pas été retenus sur ma commune mais qui l'ont été sur des communes avoisinantes.

      - Pour le regroupement entre ethnie, je crois justement que la politique est en train de changer face à l'échec.
      Ils veulent des blancs et mettre par-ci par-là une famille arabe, une famille noire, une famille DALO, etc.
      Ils distillent.
      Et il semble en effet que ce soit la meilleure solution afin d'isoler les tentations de bandes communautaristes.


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        G S le problème est que beaucoup de familles sont des cas à problèmes. Et que beaucoup d entre elles refusent d être logées ailleurs quand les autorités tentent de les répartir. Exemple à gennevilliers lorsqu ils ont détruit une barre du Luth. et malheureusement, souvent, une simple famille suffit à pourrir la vie d un immeuble.
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        Oriane Borja D'où la nécessité de la nouvelle politique qui les détecte avant de les installer et qui choisit où elle les installe.
        Si une famille pose problème, les problèmes sont plus simples à résoudre, on peut appeler la police, qui gère alors l'urgence et le moyen-long terme avec les services sociaux.

     

  • Compagnies pétrolières internationales versus Compagnies nationales

    Vladimir Poutine a reconnu, au printemps et à l'été 2012, que la deuxième vague de privatisation devait se dérouler comme les libéraux l'avaient planifiés.
    Il a seulement déclaré que les actifs de l'Etat ne devaient pas être vendus à bas prix.
    Par la suite, Rosneftegaz participera à la privatisation afin d'éviter que les actifs gaziers et pétroliers de l'Etat ne soient vendus trop bon marché.
    Enfin, Rosneftegaz a été autorisé à investir dans les actifs énergétiques publics, pour accroître leur capitalisation avant qu'ils ne soient privatisés.

    En juillet 2012, Rosneft a annoncé son intention d'acquérir une partie des la troisième plus grande compagnie pétrolière de Russie, TNK-BP.
    Elle a été crée en 2003-2005 par la major BP et le consortium AAR, propriété de trois milliardaires étroitement liés à la Russie : Mikhail Fridman, Len Blavatnik, et Viktor Velselberg.

    Suite à un conflit stratégique, BP décida de vendre ses parts à Rosneft afin de pouvoir saisir d'autres opportunités plus lucratives notamment dans l'Arctique russe.
    Le consortium s'est alors retiré du capital social de TNK-BP, cédant aussi ses parts à Rosneft.

    Rosneft a réussi à obtenir crédit de la part de plusieurs institutions financières internationales et BP va devenir le premier actionnaire privé de Rosneft.
    TNK-BP avait acheté les actifs pétroliers et gaziers de BP situés au Vietnam, au Vénézuela et au Brésil.

    Poutine compte sur les IOC (International Oil Compagnies) partenaires de Rosneft, Exxon Mobil, ENI, Statoil et BP pour stimuler le développement de nouveaux champs en Sibérie orientale et en Arctique.

    Fort de son pouvoir, Rosneft songe à s'attaquer au monopole gazier de Gazprom, il a en tout cas, tous les marchés ouverts en main pour écouler sa marchandise.

    Dans un paysage mondial encore dominé par les NOC (National Oil Compagnies), qui des OIC -qui possèdent la technologie et les moyens que n'ont pas les compagnies nationales- ou des NOC prendra la main ?

     

  • La Russie, ça fait rêver l'extrême-droite française ...

    Violences ...

    Ci-dessous figure le classement des pays par taux d'homicide volontaire par an pour 100 000 habitants. La fiabilité des données concernant les...
    FR.WIKIPEDIA.ORG

     


    "Le nombre de Russes vivant en deçà du seuil de pauvreté avec moins de 5 euros par jour a augmenté de deux millions par rapport à 2010, à plus de 21 millions, un mauvais résultat pour le pouvoir à l'approche des élections législatives et présidentielle.

    Selon des chiffres publiés par l'agence russe des statistiques Rosstat, le nombre de pauvres a atteint 21,1 millions de personnes sur les six premiers mois de 2011, soit 14,9% de la population (143 millions), alors qu'il était de 19,1 millions sur cette même période en 2010. Le minimum vital, déterminant le seuil de pauvreté, était fixé à 6505 roubles (150,5 euros) par mois au deuxième trimestre. En France, ce seuil est fixé à 954 euros par mois.

    Ces mauvais résultats sont de mauvaise augure pour les autorités russes à l'approche des élections législatives de décembre et de celle en mars pour la présidence, que brigue l'actuel premier ministre et ancien président Vladimir Poutine. M. Poutine a semblé avoir pris note de cette tendance qui pourrait remettre en cause la popularité dont il jouit toujours dans son pays en l'absence de réelle opposition.

    Samedi, après avoir annoncé sa volonté de retourner au Kremlin à la faveur de la présidentielle de mars prochain, ce qui lui est quasi-assuré, Vladimir Poutine a déclaré que les impôts pourraient être augmentés à l'avenir pour les plus riches, reconnaissant qu'il y avait un niveau "dangereux" d'inégalité sociale dans le pays. Car parallèlement à la hausse de la pauvreté, le nombre de milliardaires en Russie a explosé cette année, passant de 62 à 101, selon le classement 2011 du magazine Forbes."

    AFP

    "L’espérance de vie d’un homme est meilleure au Guatemala, en Indonésie, en Irak, au Mexique, aux Philippines… qu’en Russie. Et la situation s’aggrave.
    La pauvreté est la meilleure alliée de l’alcoolisme, chez les plus démunis tout est bon à boire, du liquide de frein à l’antigel, en passant par le dissolvant… Ici il n’est même pas question de vodka.
    Comme l’alcool « comestible » est trop cher pour beaucoup de Russes, on compte 36 000 morts par ingestion d’alcool frelaté, qui s’ajoutent aux 46 000 suicides, 40 000 morts par accident de la circulation et 35 000 victimes de meurtres."

    "Parallèlement, la gratuité des services de l’enseignement et de la santé n’existe plus, ce qui explique pourquoi le minimum de subsistance, calculé sans prendre en compte les dépenses d’éducation et de soins médicaux, a cessé de refléter les besoins minimaux de la population."

    http://ceriscope.sciences-po.fr/pauvrete/content/part5/la-pauvrete-et-l-inegalite-en-russie?page=2

    "Le système d’enseignement public russe subit actuellement une désaffection de la part des enseignants. Mais le plus grave est que cela concerne en premier lieu les enseignants les plus jeunes et les plus compétents.Le nombre de postes vacants était officiellement de 76 000 en 1993, de 81.6 000 en 1994. En 1995 il a un peu diminué, mais artificiellement, grâce à l’afflux d’enseignants venus de Tchétchénie, du Tadjikistan et d’autres pays de la CEI. Cette pénurie d’enseignants en poste résulte de ce que beaucoup quittent l’école et rares sont les étudiants des Instituts Pédagogiques qui s’y destinent effectivement.

    Ce phénomène a des causes en premier lieu matérielles : les fonctionnaires reçoivent un maigre salaire, qui plus est avec souvent des mois de retard et seulement partiellement. Mais le corps enseignant a subi une perte importante du prestige moral qui était associé dans la période soviétique à la fonction d’enseignement. Aujourd’hui les enseignants inspirent l’indifférence, voire la compassion, on admire beaucoup plus les banquiers et les hommes d’affaires, commerçants ou autres. C’est pourquoi, beaucoup d’enseignants se sont reconvertis dans la police, la banque, et dans les sociétés commerciales. L’hémoragie est sensible dès l’Institut Pédagogique, qui a pour vocation de former les futurs enseignants. Alors qu’à la fin du cycle secondaire, près de 20% des élèves veulent être enseignants, ils ne sont plus que 5% à le vouloir au bout des 5 années de formation de l’Institut Pédagogique. Parmi ces derniers, seuls 60% intégrent effectivement le système d’enseignement public.

    Il faut reconnaître qu’aujourd’hui la formation en Institut Pédagoigque n’est plus adaptée à la variété des formes d’établissements scolaires et des besoins d’éducation. Le système d’enseignement n’est plus celui qu’il était auparavant, constitué d’un seul corps très homogène, avec un seul programme, une seule méthode, des élèves identiques et des matières similaires sur tout le territoire soviétique. Aujourd’hui les élèves veulent pouvoir choisir les matières et les langues qu’on va leur enseigner : bachkir, oudmourte, tatare...Par ailleurs, les établissements d’enseignement se sont diversifiés.Il faut donc préparer des enseignants à cette diversité nouvelle de l’éducation.

    Cependant la réforme de la formation des enseignants ne peut à elle seule régler les problèmes matériels auxquels est confronté le système d’éducation public dans son entier. Des solutions locales ont été trouvées : à Moscou par exemple le Maire a instauré le principe de gratuité du logement pour les enseignants qui acceptent d’aller travailler dans les zones déshéritées. Mais dans de nombreuses régions, c’est aujourd’hui l’école privée qui comble les lacunes du système d’enseignement public. Leur développement est concentré dans les grandes villes (Moscou, Saint-Pétersbourg, Rostov)et dans les régions ayant une tradition d’autonomie par rapport au centre : Tatarstan, Bachkortostan par exemple. Mais aucun établissement privé n’était enregistré dans 25 autres régions et dans 18 autres, on en comptait moins de 2. L’inégalité face à l’enseignement privé n’est pas seulement régionale : le prix de l’enseignement est presque gratuit ou symbolique dans certains établissements, alors que dans d’autres, très prestigieux, il peut atteindre 1000 à 2000 dollars le mois. Par conséquent, la clientèle s’est considérablement modifiée : à la fin des années 1980, l’école privée était surtout fréquentée par les enfants de l’intelligentsia, qui y cherchaient une autre forme d’enseignement. Aujourd’hui seuls les banquiers, les chefs d’entreprise et les hommes d’affaire peuvent se permettre de payer de telles sommes. Entre ces deux pôles extrêmes existent toute une variété d’écoles privées dont la vocation peut être aussi bien expérimentale que linguistique avec l’apprentissage des langues nationales. Mais si l’école privée peut parfois combler les lacunes pédagogiques de l’école publique, de par la sélection sociale et financière qu’elle instaure, elle ne peut assurer la fonction principale de l’éducation qui est l’intégration sociale." Oxana DUVALOVA

     

    La Russie n'a jamais remonté la pente, vous vous faites berner par la propagande.

    Les Russes sont archi soumis au modèle libéral, les oligarques y règnent en maître, cachés au peuple par le folklore et un discours violents.
    C'est le même Etat "fort" à la Aymeric Chauprade, celui qui impose fortement le modèle libertarien.
    Il y a une augmentation de la pauvreté, malgré la propagande qui dit évidemmment le contraire, ainsi qu' un accroissement de la disparité riches/pauvres, mais en Russie, le salaire gris est aussi culturel que l'alcoolisme, et que la propagande, ce n'est pas évident d'avoir des chiffres véritables en tous les cas.




  • Joyeux 1er mai travailleurs ...

    "En 2013, le gouverneur de la Banque de France avait décliné un véritable manuel de libéralisation de l'économie française à l'usage de François Hollande, dans sa lettre annuelle adressée au président de la République. Cette année, Christian Noyer récidive dans sa nouvelle missive au président de la République.

    S'il juge les "deux inflexions majeures" de la politique économique du gouvernement, avec la priorité donnée au redressement de la compétitivité des entreprises et la baisse des dépenses publiques, Christian Noyer estime qu'il devrait aller beaucoup plus loin."
    Le gouverneur de la Banque de France s'attaque au smic
    www.lepoint.fr
    Christian Noyer estime que la baisse des charges patronales ne suffit pas...