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  • Tribune libre Ouest-france

     

    Saint-Nazaire est : Oriane Borja (FN) - Saint-Nazaire

    lundi 14 mars 2011

     

     

     

     

    Oriane Borja, candidate du Front national dans le canton de Saint-Nazaire est.

     

     

     

    « Oriane Borja est enseignante vacataire, elle élève seule ses quatre enfants. Proche de Marine Le Pen, elle est membre du Conseil National du FN. Voici ses principaux axes de campagne :

    Insécurité sociale

    La politique de « flexibilité » se retrouve au conseil général via l'Éducation tout au long de la vie. Elle transforme les métiers en « job » (faibles salaires ponctués, ou pas, de formations « reconvertissantes »), faisant des êtres humains des variables d'ajustement de l'économie de la rentabilité maximale. Je propose de relocaliser l'emploi et de produire, travailler et consommer au plus proche. Je souhaite revenir sur la loi de 73 qui somme l'État et les collectivités d'emprunter sur les marchés financiers à taux exorbitants.

    Insécurité physique et des biens

    Les violences aux personnes et aux biens sont en constante augmentation. Je demande pour la sécurité :

    - l'éducation : par une instruction qui structure et des sanctions effectives

    - la police : en stoppant la politique libérale qui supprime les postes et instaure des polices privées pour les riches

    - la justice : en rétablissant l'échelle des peines dont la peine de mort.

    Immigration

    C'est une volonté du grand patronat pour tirer les salaires à la baisse. Je veux l'application de la préférence nationale en matière de logement et d'attribution de toutes les aides sociales. Alors que l'on fait des coupes drastiques en matière d'aide sociale, de collèges, des pompiers, des maisons de retraite, des routes, etc. nous ne pouvons pas partager les miettes avec des arrivants récents à qui l'on accorde des privilèges communautaristes diviseurs. »

     

  • A Saint-Nazaire, le PC a la haine aux corps intermédiaires

    Alain Manara CGT PC.jpg

    Etant présente samedi dernier sur le marché de Penhoët

    à Saint-Nazaire, j’ai dû subir la haine du candidat du Parti Communiste qui prétendait en me fusillant du regard, s’opposer à ma haine toute prétendue ainsi qu’à celle tout aussi phantasmée, de notre électorat.

     

    Je lui demandais alors candidement si c’était chez eux qu’ils avaient été formés à cette haine, étant donné que nos voix locales, semblaient en toute état de cause, provenir directement des déçus directs d’un PC qui prétendait lui, défendre les travailleurs mais dans lequel vraisemblablement les ouvriers ne se reconnaissent plus en rejoignant nos rangs.

    Et quand je lui fis cas des membres de la CGT qui votaient FN, il est passé de la haine à l’hystérie, hurlant, lui qui est à la fois, secrétaire CGT de Saint-Nazaire et candidat du PC, qu’il les foutait alors tous dehors, reconnaissant implicitement leur présence.

    Je comprends mieux pourquoi nos membres ont quelques pudeurs à se révéler face à la terreur fascisante que font régner leurs dirigeants syndicaux, ou, politiques, on ne saurait lesquels choisir …

    Je rappelle opportunément aux défenseurs des travailleurs qui nous traitent de "xénophobes" parce que nous entendons seulement défendre les nôtres, qu’il ferait bien de relire Marx dont il n’existe hélas pas de petite version illustrée, ce qui aurait l’avantage de leur faire comprendre la notion d’idiot-utile.

    Il s’agirait enfin qu’il assimile pourquoi le grand patronat demande depuis les années soixante-dix, Bouygues le premier, un politique d’immigration aussi libérale.

    Et l’ « armée de réserve » a bien joué son rôle, les économistes ayant calculé de 1 à 2 %, le taux de baisse des salaires pour 1 % d’immigration.

    Faites le calcul quand on compte en trente ans, l’entrée de dix millions d’immigrés pour une population totale de soixante-cinq millions d‘habitants.

    Je ne doute pas un seul instant que les 17 % de chômeurs de Saint-Nazaire ainsi que les 3 200 demandeurs de logement sociaux de cette commune, apprécient la mise en concurrence avec de nouveaux arrivant reconnus par le grands patronat comme bien plus conciliants que les français installés, et auxquels il est accordé de facto, une préférence étrangère du fait de la composition bêtement mathématique de leur famille.

    Il paraîtrait qu’il rechignent moins devant bas salaire et conditions de travail, toujours selon le leader maximo Bouygues, comme s’il existait une grosse race de français fainéant.

    Sans doute la même race qui naîtrait avec la haine dans le sang et qui rejoindrait par atavisme débile, les rangs du Front National.

    Allez comprendre les secrets de la génétique.

  • Où l’on a du mal à cuver d’avoir toucher le fond, fut-il celui du tonneau des Danaïdes

     

     

     

    Femmes cherchent emploi désespérément 1.jpgFemmes cherchent emploi désespérément 2.jpgLors d’un tractage sur marché à La Baule, deux femmes interpellent mon regard.

    Rien ne pourrait a priori les différencier des autres, elles sont aussi souriantes qu’élégantes, une énergie se ressent dans leur allure.

    Pourtant.

    Pourtant ces jeunes femmes font la manche sur le marché le plus huppé de la région. Même la police municipale ne sait que faire, mendicité, commerce ? Elles ne demandent pas d’argent et laissent les gens se promener et vaquer à leurs occupations, la majorité ne les voit même pas.

    Cependant, certains jettent un regard furtif, pudique, puis effaré sur la pancarte située à leur pied à côté d’un carton :

    «  2 Personnes,

    2 CV

    Pour un emploi !

    Servez-vous »

     

    Je ne sais pas si vous imaginez le désarroi dont peut résulter un tel acte.

    Sous nos contrées, il n’est guère courant de se dire au chômage, ce qui est normal, pour toute personne normalement constituée, la situation, en plus d’être socialement peu viable, n’est guère flatteuse.

    De là à franchir le pas de s’afficher aux yeux de la foule, jusqu’à quémander son salut social, cela nécessite un certain courage empreint d’un désespoir certain.

    Elles sont droites, dignes, mais leurs sourires laissent percer le malaise.

    A la lecture de leur CV, rien ne manque, diplômes supérieurs, expériences, on peut même dire un joli parcours jalonné d’entreprises prestigieuses.

    Qu’est-ce qui cloche ?

    Je les approche en me présentant telle qu’elles pouvaient me voir sous leurs yeux en train de militer pour le Front.

    En quelques mots, nous nous comprenons, je vois que nous avons le même âge, que la situation est bien éloignée de l’assurance qu’elles dégagent, leur vie sociale a vacillé rapidement jusqu’à les conduire jusqu’à cet extrémité.

    Elle m’autorise à les prendre en photo, même si elles n’ont pas d’engagement politique, elles veulent bien que l’on parle de leur démarche sur NPI que je leur dépeins en quelques mots.

    Je leur dis que je souhaite montrer cela.

    Nous nous rejoignions sur l’opportunité d’attirer l’attention sur le fait que tout est loin d’aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, pour paraphraser cet euphémisme voltairien.

     

    Leur regard comme un miroir, le même que tant d’autres, amis, hommes et femmes que je côtoie, me raconter la précarité de leur situation sociale.

    Quand on est deux, cela peut encore aller, mais quand on est, se retrouve, seul ou que l’autre tombe aussi, c’est la chute, vertigineuse, quand toutes ces misères ne se croisent pas entre elles pour accélérer les choses, pression, anxiété, et couples ne font pas toujours bon ménage.

    Il n’est guère simple de faire ou de refaire sa vie quand l’insécurité matérielle s’installe.

    Les personnes dont je vous parle ont un point commun, malgré leur solide expérience, elles ont le malheur de ne pas faire le poids face à un marché où le chômage de masse pèse à la baisse sur les salaires, et à l’heure de la rentabilité maximale, il vaut toujours mieux exploiter un débutant toujours moins cher, plus servile et corvéable, qui quoi qu’il arrive, sera toujours jetable et interchangeable par un autre pion, la manne étant inépuisable.

    A ce jeu de massacre, ce n’est pas le fond de cuve mais le fond tout court que l’on atteint.

    Hier matin, c’est un homme qui s’immolait par le feu face un ènième refus de logement social.

    Qui ne sait pas voir les signes de la présence de nombreux Mohamed Bouazizi.

     

    Ce n’est même pas parce que le projet économique de Marine se base sur les travaux de deux Nobel d’économie, ni parce qu’il est soutenu par bon nombre d’autres experts, que la vague va nous porter au pouvoir.

    Ce n’est pas non plus seulement parce que tout ce que dit Marine est vrai et mille fois vérifié par la réalité quotidienne.

    Non, c’est parce que les gens vont être poussés dans ses bras par l’état de nécessité, celui à qui le droit reconnaît même le droit de voler !

    Madame Lagarde comprendrait-elle seulement cela.

    Non, dans sa bulle, on bullotte, rien de plus, rien de moins, alors qu’on lui file un pédalo, nous sommes gonflés à bloc, et qu’elle retourne dans son cabinet d’affaires new-yorkais, qu’elle cesse de s’occuper des nôtres, ça nous fera des vacances, celles que l’on n’arrive plus à se payer !

  • Direct Radio Prun' campagne électorale

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  • Loire-Atlantique, les Grosvalet du mondialisme

    Loire-Atlantique image.jpg 

    par

    Oriane Borja 

    , dimanche 27 février 2011, 19:00

    Michel Grosvalet, candidat à la présidence du Conseil Général de Loire-Atlantique énonce douze engagements, feignant d’oublier que leur politique Umps menée depuis quarante ans a mis l’Etat en faillite et à la merci des marchés financiers par la Loi de 1973 qui nous obligent à leur emprunter à des taux exorbitants.

    Le Conseil Général n’a dès lors comme prérogatives que de mettre les populations en soins palliatifs, mais l’analgésique ne pourra bientôt plus jouer son rôle d’élimination de la douleur sociale.

     

     

    1 - «Soutenir la jeunesse, une priorité » disent-ils

    Qu’en serait-il si cela n’était pas, les jeunes subissent de plein fouet la violence du chômage généré par leur politique mondialiste droite-gauche qui a délocalisé l’emploi là où l’esclave est le moins cher.

    Comment prétendent-ils en faire des adultes responsables quand ils n’ont seulement pas les moyens, ni par l’école, ni par le travail, de le devenir !

    Le Front National met en garde contre la politique mondialiste d’Education tout au long de la vie, présentée comme un cadeau.

    Elle est issue des pseudo «sciences de l’éducation» dont l’éducation populaire de monsieur Grosvalet et la multitude d’associations politiques qu’ils subventionnent, sont.

    Ils ont mis à bas l’instruction à la française qui menait jadis le fils d’ouvrier et de paysan au même avenir que celui du ministre par le seul biais de son mérite, au profit d’une éducation globale, ludique et prémâchée qui entend mettre en branle notre esprit critique alors qu’elle l’annihile en faisant des hommes de bêtes outils répétitifs au service du marché.

    Une unique information pourrait vous éclairer, le président du Comité mondial de l’éducation tout au long de la vie, Yves Attou, jubilait il y a peu de temps encore dans les salons de nos ministères, sur les perspectives qu’offrait l’Education tout au long de la vie en passant par delà les Etats via le «E-Learning» et le «présentiel» vendus par les OPCA, le tout au service de leur sacro saint principe de «flexibilité» qui signifie que les hommes deviennent des numéros flexibles dans l’objet de leur formation, dans leur géographie (l‘homme nomade planétaire), dans leur rémunération.

    On ne propose plus d’avoir un métier, mais un job, ponctué de formations, le tout au service de la rentabilité maximale.

     

    Pour la galerie, le projet du Conseil Général propose «1000 jeunes accompagnés socialement et financièrement».

    Quel est donc ce nouveau loto : la roulette russe, la chaise musicale ? Quel est donc ce principe républicain qui fait sauver 1000 de ses jeunes citoyens ! Quels critères ? Quelle transparence !?!

    Le Front National demande :

    - la relocalisation de l’emploi chez nous, ce qui bénéficiera à tous et de facto aux jeunes

    - la préférence nationale en matière d’aides sociales, d’autant que nous faisons peser sur nos jeunes, les créances dont nous sommes redevables

     

    2 - «Des collégiens accompagnés sur le chemin de la réussite»

    On propose de leur offrir un dictionnaire.

    Bonne initiative, si on leur avait seulement appris à s’en servir.

    Je ne parle pas des cours de soutien réservés à cet effet puisqu’il faut aujourd’hui en arriver à cela pour qu’ils y accèdent, je parle de la nature de l’enseignement qui a démissionné de toute idée d’effort et de sanction en matière de grammaire au sens large.

    Ils entendent également mettre en avant dans les cantines les produits locaux (bravo !), et, le commerce équitable (issu du capitalisme compassionnel sans doute), ce qui comporterait comme un léger hiatus.

    Le Front National propose de rétablir l’instruction à la française avec des méthodes françaises qui avaient fait leurs preuves, et non celles issues de la «grande culture» américaine sur laquelle nous calquons dorénavant notre méthode et nos programmes.

    Quant aux cantines scolaires, nous demanderions simplement que nous puissions vivre dans une société où leur coût ne les rendrait pas inabordables aux familles modestes.

     

    3 - «Des modes de garde variés»

    Chaque jour, nous constatons les dérives de notre société en matière éducative.

    Le bio, c’est bien pour le veau élevé sous la vache, c’est aussi bien pour les enfants élevés sous la mère.

    La maman qui n’élève pas ses enfants, faute de ne pouvoir matériellement le faire, n’a pas d’autres choix que de se détacher de sa progéniture pour la faire élever par d’autres, souvent, le lien ne se fait plus, le laxisme éducatif s’instaure car on a du mal à punir un enfant que l’on culpabilise de voir peu.

    Le lien se créé par le soin, et l’apprentissage de l’éducation par sa pratique, nos sociétés veulent l’ignorer, elle en paie les conséquences souvent irréversibles tant l’enfant se construit dans les trois premières années.

    Là-encore, les soins palliatifs de l’aide à la parentalité sont souvent illusoires, et, coûteux.

    Le Front National propose de donner le choix jusqu' aux parents d’élever leurs enfants par le salaire parental.

    Que la variété aille jusqu’à la possibilité toute naturelle pour l‘enfant en bas âge, de garder sa maman, ou son papa auprès de lui.

     

    4 - «L’emploi pour tous»

    L’emploi ne se décrète pas, il s’organise.

    Le système libéral aujourd’hui poussé à son paroxysme par la globalisation soutenue par le projet politique mondialiste, n’offre pas d’autre choix que de délocaliser ou de périr.

    Et pour l’emploi non délocalisable, c’est la main-d’œuvre que l’on délocalise de sa terre originelle pour la greffer sur la nôtre, opérant l’objectif voulu par le grand patronat, de peser à la baisse sur nos salaires.

    On sait aujourd’hui d’après les études économiques que, 1% d’immigration permet de 0,8 à 1,2 % de baisse des salaires.

    D’autre part, monsieur Bouygues le révélait déjà dans les années soixante-dix, la main-d’œuvre étrangère est moins regardante et moins revendicatrice sur les conditions de travail.

     

    5 - «Davantage d’hébergements pour les personnes handicapées»

    Le Front National refuse la politique d’abandon souvent préconisée et propose davantage des aides au sein même de la famille avec des petites structures de proximité à taille humaine pour soulager temporairement les familles.

     

    6- «Vieillir dignement»

    Nous mettons en garde nos compatriotes contre les coups venant tant de la gauche que de la droite.

    Le très mondialiste président du FMI, et accessoirement socialiste et candidat putatifs à la présidence de la «zone» mondiale France, préconise des mesures drastiques en matière d’aides sociales.

    Les présidents des Conseils Généraux ont reçu une lettre du secrétariat aux collectivités territoriales, dite «mission Fmi » où l"on enjoint contre rétribution, les collectivités à réduire leur budget concernant les maisons de retraite, mais encore celles aux pompiers, gendarmerie, etc.

    Tous les services publics sont dans le collimateur des mondialistes pour lesquels le service public à la française est déjà un non-sens, le paquet mondialiste sur la dépendance, ne représente qu’une assurance privée qu’il va falloir bientôt être en mesure de s’offrir, tout comme l’ensemble des services en voie de privatisation larvée.

    Le grand âge est une cible privilégiée du tout-marché, mais chaque âge et chaque secteur sont envisagés comme une part de marché dans ce monde que les mondialistes Umps-pc ont livré aux institutions économiques et financières internationales que nous ne connaissons ni ne choisissons.

     

    7 - «La culture et le sport pour tous»

    Les aides du Conseil général doivent être remises à plat, il est inconcevable dans notre république, de voir autant d’aides distribuées de façon aussi aléatoire.

    Les associations doivent recevoir des subventions au prorata du nombre d’habitants qu’elles desservent et de l'attrait qu'elles suscitent, et en aucun cas, ne doivent servir un intérêt communautaire quelconque, qu‘il soit philosophique, politique ou religieux.

    Le Front National demande, dans ce domaine encore, que les aides soient réservées à nos compatriotes, nous refusons les prérogatives internationales que le Conseil général s’est octroyées de facto.

    D’autant que l’on ignore souvent de quelle manière «l’homme blanc porte son fardeau d’être supérieur» dans ces contrées où évidemment, ils ne sauraient faire sans nous et notre «droit» d’ingérence.

    Nous préférerions que ces largesses bénéficient à nos petites associations sportives, si nécessaires à la santé publique et souvent, derniers bastions de résistance éducative en matière de respect des règles et de la discipline au sens large qui nécessite rigueur dans sa progression et son effort, ou aux autres associations culturelles si méritantes et indispensables à l’épanouissement artistique et au lien social.

     

    8 - «Mieux vivre en Loire-Atlantique»

    Le Front national demande la préférence nationale en matière de logement social et une totale transparence sur son attribution.

    Le manque cruel de logements accessibles face à une vie de plus en plus chère, laisse nos compatriotes dans le désarroi le plus total.

    Or les familles récemment arrivées en France, sont des familles qui, du fait de leur situation de fait (nombres d’enfants, faibles ressources, etc.), passent avant les nôtres.

    Cette situation crée de plus un formidable appel d’air, une pompe aspirante à immigration qu’il faut impérativement stopper, ce sont les plus pauvres d’entre nous qui en pâtissent les premiers, et dans de nombreux autres domaines (emploi, aides sociales, mais aussi déficit du fait du coût de l’immigration, baisse des salaires, perte d’identité et insécurité pour tous).

    La justice sociale fait que la nation doit s’occuper de ses compatriotes, c’est sa vocation, aucun autre pays au monde n’offre autant de privilèges à ses étrangers.

    Comme la cellule familiale protège ses enfants, la cellule nationale doit protéger ses nationaux, ce sont des instincts vitaux élémentaires, pour la famille, il relève de la responsabilité et de l'amour, pour la nation, de la responsabilité et de la justice.

     

    En matière de services publics, la majorité en place promet de pallier à leur désertification en milieu rural, c’est pourtant elle qui l’organise au niveau national, européen et mondial.

    N’oublions pas que la casse des services publics et les privatisations ont commencé sous les socialistes, pour ne rien dire de l’assassinat de nos agriculteurs et de nos pêcheurs, planifié par leur Union Européenne et leurs traités mondialistes.

     

    9 - «L’agriculture, une filière d’avenir»

    Evidemment, ceux qui nous nourrissent devraient avoir, en plus de notre gratitude, de l’avenir.

    Pourtant notre indépendance alimentaire n’existe plus et c’est un comble pour la France dont labourage et pâturage étaient les deux mamelles, ce sont aujourd’hui les multinationales agroalimentaires et les banques alimentaires qui leur servent de dépotoirs, qui le sont.

    Nos petits paysans et pêcheurs n’arrivent pas à vivre de leur travail, quand ils n’ont pas déjà perdu tout espoir.

    Là encore, le département tente de rafistoler l’ouvrage sans cesse déchiré par le mondialisme imposé par les mêmes partis politiques que ceux qui commandent le département.

     

    10 - «Des routes mieux partagées»

    Le département se garde bien de nous dire que les projets ont été réduits, faute de moyens, et ce, alors même que notre département est un des plus engorgés de France.

    Mais au-delà, les transports en commun et les vélos, ce serait bien, s‘ils étaient accessibles à tous.

    D’une part du fait des infrastructures qui ne seraient égalitaires que dans les théories virtuelles de ceux qui dirigent le département, beaucoup d’habitants voient concrètement qu’il n’en est rien.

    D’autre part, c’est bien, mais c’est cher et peu sécurisé.

    Pour de nombreuses familles modestes, le coût des transports pour la famille est trop élevé eu égard aux maigres salaires, même un vélo coûte cher, sans compter que l’on n’est pas certain de le retrouver, même cadenassé dans le hangar à vélo d’une école !

    Tant que les dirigeants ne comprendront pas que les salaires sont trop bas en France, ils ne comprendront pas qu’à la limite, beaucoup se moquent de leurs beaux projets dont ils ne peuvent même pas espérer pouvoir un jour bénéficier.

    Nos dirigeants tomberont de haut le jour où, comme ailleurs, le vent de la révolte soufflera.

     

    11 - «Produire 29 % d’énergies renouvelables d’ici 2020»

    Très bien, bravo, il n’y a plus guère que l’énergie renouvelable des hommes qui soit laissée de côté.

    Outre les débats d’experts qui n’en finissent plus de nous dire que ces énergies sont marginales et chères, là encore, le citoyen qui n’arrive pas à joindre les deux bouts, ne sachant même plus par quel côté les prendre, peut là encore légitimement se sentir ulcéré de voir tant d’énergie mise en branle pour du vent, quand lui crèvent à coup de crédits tout aussi renouvelables.

    L’univers du bobo étant aussi éloigné de la réalité, que celui qui ne vit que de son travail, de bénéficier un jour, de la magnifique technologie qui équiperait l’habitat ou la voiture qu’il n’aura jamais.

    12 - «La parité et l’égalité réaffirmées»

    On termine par le pompon.

    C’est dans leur monde que l’on gouverne à coup de quotas, nous lui opposons nous, le principe de mérite, bien plus républicain et bien plus respectueux des êtres.

    Nous réaffirmons également notre refus de tout communautarisme, en France, les femmes fréquentent par exemple les mêmes piscines municipales et les mêmes médecins des hôpitaux publics que les autres, même si le premier secrétaire du parti socialiste en décide autrement.

    Quant à la sensibilisation des collégiens à l’étude des genres, idéologie une fois de plus directement importée des Etats-Unis, qui entend que nos enfants respectent les personnes en fonction de leur orientations sexuelles, elle est ridicule, comme si le fait que nous soyons tous des hommes ne suffisait pas.

    Instruisons-les au lieu de les éduquer, car seule l’instruction éduque quand la présomptueuse éducation globale telle qu’elle est mise en place par le nouvel ordre éducatif mondial, ne fait de nos enfants que des perroquets pour lequel seul le dernier qui aura parlé aura raison.

    Et ajoutons à cela l’exemple.

    Le Front National le fait et prouve aux yeux de tous que peut-être décidément «La Femme est l’avenir de la France», n’avons-nous pas eu déjà une certaine Jeanne comme modèle ?

     

     

     

     

     

    Pour conclure, nous ne pourrions balayer les prérogatives du Conseil Général sans aborder le sujet du Rsa qui couvre une bonne partie du budget du Conseil.

    Le Rsa n’est pas là pour aider à retourner à l’activité, il est là pour faire en sorte que les gens qui travaillent ne touchent pas moins que ceux qui bénéficiaient du Rmi.

    Par exemple, un smicard dont la femme ne travaille pas avec deux enfants, touchait moins que le même ménage au Rmi, en revanche une femme qui touche moins que le Smic du fait d’un temps partiel forcé et qui élève seule ses enfants, n’a pas droit au Rsa car ses allocations familiales même si elles sont faibles, plombent son dossier.

    Le Rsa revient à assimiler les allocations familiales à des avantages alors qu’elles sont une misérable reconnaissance d’une régénération par définition vitale. Cela laisse les mères de famille travailleurs pauvres, dans l’état le plus lamentable de notre société, beau symbole et belle injustice.

    De manière générale, le Rsa et les banques alimentaires qui font en général partie du lot, ne sont que des palliatifs indignes, le bilan coût-avantages est positif pour le marché qui préfère payer ces «dommages collatéraux» plutôt que de permettre l’emploi. Les banques alimentaires par exemple sont un modèle économique importés des Usa qui permet de rentabiliser les stocks coûteux.

    Les gens ne veulent plus d’aumône, ils veulent travailler !

     

     

    La majorité en place se targue d’être un bouclier social face aux mesures que les mêmes UMPS mettent en place depuis trente ans, nous proposons que la partie se termine, les gens sont las de subir des solutions qui ne sont que des fuites en avant face aux problèmes qu’ils créent.

    Il est largement temps de passer du bouclier de paille à Excalibur, c’est avec l’épée seule que le peuple recouvrera sa liberté et sa protection, c’est cette force que nous vous offrons, saisissez-là.

    Le bulletin de vote est votre seule arme, faites mouche !

  • Tractage sur marché de Saint-Nazaire et réponse aux guignols de la république

     

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    Nous remercions, avec pitié, la gauche la plus bête du monde de nous avoir fait une publicité terrible en nous accompagnant ce matin sur le marché de Saint-Nazaire au son d'un spectacle que Lionel Jospin aurait qualifié de "théâtr(al)", en nous taxant de toutes les tares du monde, promettant le retour de l'ère glaciaire et des heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire avec notre arrivée.

    Ca faisait même rire les petites mamies.

     

    Nous rappelons opportunément que, comme les banksters et autres multinationales, vous soutenez l'abaissement des protections nationales naturelles, celles qu'ont bâties nos pères par leur sueur et par leur sang, afin de nous léguer une terre où nous puissions nous-mêmes élever nos enfants en toute sécurité.

    Comme le grand patronat, vous soutenez une immigration sans frontières qui n'est là que pour peser à la baisse sur les salaires et toutes les autres revendications sociales, aboutissant à l'homme-nomade, celui qui fait des êtres des numéros-esclaves tout juste bons à consommer (à crédit) et à fermer leur gueule contre des jeux du cirque (Macdo et Disneyland pour tous).

    Nous déplorons toutes formes de détachement, si éloigné de l'humain, nous pensons que nous sommes rattachés à notre terre, à notre histoire, aux nôtres, et que cela constitue notre âme, comme il en est de même pour tous les peuples de la terre dont nous respectons les histoires respectives et dont nous ne souhaitons pas l'anéantissement par un village planétaire qui n'aurait ni sens, ni esprit.

     

    Nous rappelons encore que le régime nazi, que vous semblez avoir vécu tant vous vous souvenez nous y avoir vus, était soutenu par le même empire américain qui rejoue toujours la sérénade des droits-de-l'homme à coup de bombes sur les facétieux pays qui leur résisteraient encore, sous des prétextes qu'ils n'hésitent pas à créer eux-mêmes.

    En effet, c'était l'élite américaine au pouvoir (General Motors, Fords, ITT Bell) qui équipait les chars et avions militaires allemands, leurs usines en Allemagne ont soigneusement été épargnées par les bombardements.

    Le Front National, lui, n'était pas encore né à l'époque, et le jeune Jean-Marie Le Pen, lui, s'engageait alors, du côté de la résistance.

    Le Front ne sera jamais que du côté de la France et des français, l'Allemagne comme l'Italie et tous les autres pays, sont des pays étrangers, si nous participons d'un destin européen commun et d'intérêts géostratégiques qui peuvent être proches, nous ne revendiquons pas la même histoire, ni les mêmes politiques, et encore moins les mêmes idéologies. 

    Je rajouterais, que si vous vous intéressiez davantage au réel qu'à de malsains phantasmes à notre sujet, vous verriez combien notre système éducatif, par exemple, ressemble aujourd'hui à celui qui sévissait tout le long de la montée du troisième reich.

    L'éducation globale qui supplante aujourd'hui l'instruction à la française, est propre à fabriquer de bons gros moutons  inconséquents et manipulables, alors que nous appelons nous, à une école qui ne donnerait que les outils pour bâtir sa réflexion quand elle impose de plus en plus une pensée prémâchée au seul service de l'économie de la rentabilité maximale.

     

    Enfin, et parce que dans votre tragi-comédie, vous vous revendiquiez "élus de la république", je vous exhorte à ouvrir les yeux sur une république qui n'existe plus.

    La république française, c'est la souveraineté, qu'elle soit populaire ou nationale.

    Or que l'on me démontre qu'il reste quelque chose de nos prérogatives souveraines : qu'en est-il de notre monnaie, qu'en est-il de notre pouvoir législatif quand toutes nos lois ne sont que des retranscriptions de textes dont l'initiative revient à la Commission européenne non élue, elle-même courroie de transmission des Institutions économiques et financières internationales que sont la Banque mondiale, le Fmi, l'Omc et autres Ocde ?

    Quid de toutes les autres institutions françaises, de l'armée, à la police et autres services publics, pour ne pas revenir sur l'éducation ?

     Toutes passent sous la coupe de l'impérialisme américain et se calquent sur leur "modèle".

    Réclamez-vous donc de tout, mais pas de la république, vous ignorez de quoi vous parlez ou pire, feignez de croire qu'elle existe encore.

    Vous vous en prenez, par méchanceté ou par bêtise, aux seuls garants de nos institutions toutes françaises, qui seuls, proposent de renouer avec la maîtrise de notre destin passé en des mains si éloignées du peuple.

    L'hyperclasse mondialiste croît sous l'asservissement des ces peuples, elle tente de les manipuler et fabrique des crétins comme vous, qui vous en prenez aux seuls qui n'ont jamais eu le pouvoir et qui n'ont donc aucune responsabilité dans la situation que nous connaissons aujourd'hui, et qui pour beaucoup, est une réalité bien cruelle, cette classe dirigeante mondiale ne propose que précarité perpétuelle et guerre du même nom, et comme pour vous, son seul ennemi : c'est nous.

  • Cantonales des 20 et 27 mars 2011 Oriane Borja, candidate FN sur Saint-Nazaire Est

    Tractage aux chantiers de Saint-Nazaire.jpg

     

    Dans le bassin industriel de Saint-Nazaire, on connaissait les Trois Huit, on connaît dorénavant les Trois I, le Front National compte, lui, bien remettre les points dessus :

    Insécurité sociale, Insécurité, Immigration.  

     

     

    1) Insécurité sociale :  

     Le bassin d’emploi du secteur, du fait de son caractère industriel, connaît les pires difficultés du département :

     7 000 demandeurs d’emplois en catégorie A sur Saint-Nazaire, soit 9,4 % de chômage et les offres d’emploi ont tendance à se faire dans le travail précaire, catégorie C (activité réduite de moyenne ou longue durée), désormais le plus privilégié, faisant des êtres humains, une variable d’ajustement au service de l’économie de la rentabilité maximale.

     On n’offre d’ailleurs plus un métier, mais un « job », hybride jetable accompagné par l’Education Tout au Long de la Vie.

     Faible salaire ponctué, ou pas, de formations « reconvertissantes », plus ou moins et mal rémunérées, voilà l’avenir sur lequel on nous contraint de nous adosser. 

    Rappelons que le département compte près de 40 000 familles au RSA auxquelles viennent s’ajouter les chômeurs en fin de droit qui n’auraient pas d’autres ressources.

     Ou encore que sur la seule ville de Saint-Nazaire, 3 200 familles sont en attente de logement.

     Comment fonder et entretenir une famille dans ces conditions ? Nous n’aurons pas la réponse, et pour cause.

     Le Front National propose de renouer avec le principe de bon sens et naturellement écologique, de produire et consommer au plus proche.

     Nous proposons de relocaliser l’emploi et de rétablir comme la France l’avait toujours connu, des frontières qui servent d’écluses intelligentes en contrôlant tous les flux, et en les mettant à notre niveau par des taxes modulables et remboursables contre l’achat de nos propres produits.

     Le Front National propose également de revenir sur la Loi de 73 qui nous a imposé d’aller emprunter sur les marchés financiers à des taux exorbitants quand nous le faisions à notre propre banque à taux très faible, nous avons aujourd’hui payé la quasi totalité de notre dette rien qu’en intérêts, c’est-à-dire que l’argent des impôts et des taxes sert essentiellement à engraisser les banques internationales.

      

    2) Insécurité physique et des biens :

     L’affreux meurtre de la petite Laëtitia prouve que la délinquance, de plus en plus violente, touche aussi bien les zones urbaines que rurales, et que notre département n’est pas épargné.

     En 2010, en Loire-Atlantique, il y a eu une hausse de 5,7 % des violences aux personnes, de 14,4 % des cambriolages et de 19,2 % des incendies volontaires de voitures, etc. alors que la sécurité devait être une priorité.

     Et cela n’est que la partie émergée de l’iceberg, selon l’Observatoire national de la délinquance, seuls 35 % des faits font l’objet d’une plainte. 

    Comme dans tous les domaines, ce n’était qu’une opération de com’ du gouvernement, incapable de prendre les mesures qui s’imposent : 

    - rétablissement de l’échelle des peines dont la clef de voûte est la peine de mort, légitime défense de la société face à des êtres qui ont montré par leurs actes d’une atrocité barbare, qu’ils n’avaient plus rien d’humain.

     Les autres peines s’effondrant mécaniquement vers le bas en son absence. 

    Il faut créer des places de prison afin que chaque délinquant ou criminel y ait une place, pour certains, le bracelet électronique n’est qu’un trophée, la liberté, qu’une invitation à recommencer, on ne croit plus à la sanction quand elle est trop conditionnelle. 

    - rétablissement d’une école qui structure au lieu de formater, en revenant à une réelle transmission des savoirs et à une discipline indispensable. Tous les actes et comportements répréhensibles doivent faire l’objet d’une sanction appropriée et effective, il faut arrêter de discuter avec les enfants, ils doivent pouvoir être confrontés à des adultes responsables qui leur indiquent clairement les règles auxquelles correspondent des sanctions et non des « smileys » plus ou moins sympathiques.

     N’oublions pas que les enfants sont les hommes de demain.

     - rétablissement des services publics de la police (commissariat de quartier et 23 effectifs de police supprimés sur Saint-Nazaire) et de la justice.

     Notre République n’est plus si nous n’exerçons plus nos droits « régaliens » (Eh oui, notre république française descend des rois de France).

     Les coupes sombres qui nous sont imposées par les marchés financiers suivies par les directives du FMI, révèlent que nous ne sommes plus maîtres chez nous.

     De notre liberté républicaine qui se traduisait par notre souveraineté, il ne reste rien. Plus de souveraineté monétaire, l’argent étant le nerf de la guerre, plus de souveraineté législative et judiciaire (notre droit se calquant sur les directives mondialistes), ni en matière de sécurité extérieure ni intérieure.

     La république française finit chaque jour un peu plus d’être achevée sous les coups des mondialistes.

     

     

    3) Immigration

     Si notre région connaît quatre fois moins d’immigration que l’est et le sud de la France, elle n’en méconnaît pas moins certaines conséquences.

     Il est évident qu’en matière de logement par exemple, et alors même que nombreux des nôtres souffrent de pauvreté et d’être mal-logés, les familles immigrées (l’immigration étant devenue comme ailleurs une immigration de peuplement par regroupement familial) sont prioritaires car entre ceux qui ont peu et ceux qui n’ont rien et/ou de plus grandes familles, les seconds priment.

     De même, alors que les départements vont être amenés à faire des coupes sombres drastiques en matière de politique départementale: aide sociale, collèges, pompiers, maisons de retraite, routes, etc…(« Mission FMI » ainsi dénommée et rendue publique par Marine Le Pen qui détient une copie de la lettre récente de l’ex Secrétaire d’Etat aux Collectivités territoriales, Alain Marleix, qui enjoint les présidents des Conseils Généraux à ces restrictions budgétaires), il faudra partager les miettes avec de nouveaux ou récents arrivants dont les pères n’ont pas contribués par leur sueur ou leur sang parfois, à bâtir notre avenir.

     On nous somme de croire que notre natalité serait cause de notre perte en l’absence d’immigration, quand les politiques familiales sont dérisoires et que tout pousse les familles à être dissuadée d’avoir des enfants.

     La préférence nationale que nous appelons de nos vœux, ne s’appliquent dans aucun domaine sauf encore la fonction publique, qui est tout de même ouverte aux ressortissants européens ou suisses, et à tous dans certains secteurs (médecine hospitalière, enseignement supérieur).

    Pire, nos dirigeants suivent dorénavant et là encore, une politique anglo saxonne, en accordant suite aux revendications communautaristes des populations auxquelles on ne demande plus de s’assimiler à nous (exemple des récentes demandes communautaires concernant les cimetières nazairiens, cantines, piscines, etc.).

       

    Nos dirigeants prennent donc le risque de détruire le creuset républicain, les mêmes qui ne cessent d’invoquer la république, n’ont donc cessé dans tous les domaines d’en saborder les piliers, quand le Front National en est le plus virulent défenseur.

     

  • Mabinty, ou, les nouvelles traites humaines pour mieux détruire notre économie

    Exposé des faits :

    [Mabinty*, une jeune africaine célibataire de 25 ans vient de se voir refuser son titre de séjour en refus-de-titre-de-sejour-pour-une-jeune-africaine--904.jpgFrance. Dans la foulée, son ex-employeur vient de lui envoyer sa lettre de licenciement ce matin et se retrouve aujourd'hui en situation irrégulière .


    Le poste de travail concerné ne présente aucune spécificité
    - Considérant qu'il ressort de l'analyse des données relatives à la situation de l'emploi en Loire-Atlantique que pour le métier considéré, la situation actuelle et l'évolution prévisible de l'emploi ne permet pas d'envisager une réponse favorable au changement de statut demandé. En effet, Pole-Emploi a enregistré dans le département au 2e semestre 2010 pour le métier de femme de chambre, 193 demandeurs d'emploi pour 28 offres déposées.
    - Que le futur employeur n'apporte pas la preuve d'avoir préalablement recherché des candidats disponibles sur le marché du travail par tout moyen à sa convenance.
    Il résulte de ce qui précède que l'entreprise ne peut-être considérée comme respectant la législation du travail et de la protection sociale au sens des dispositions de l'arti. R5221.20,3° du code du travail.
    Par ces motifs,
    la demande de changement de statut présentée par Madame Mabinty* est rejetée. Je vous rappelle qu'en application de l'art.L8256-2, le fait pour toute personne d'embaucher, de conserver à son service un étranger non muni du titre l'autorisant à exercer une activité salariée en France est puni d'un emprisonnement de 5 ans et d'une amende de 15 000 euros. » ]

     

    Cette jeune femme est une victime à la fois du système et spécifiquement, de la politique d'immigration choisie.

    La politique d'immigration menée depuis les années 70 et notamment initiée par le grand patronat, Bouygues en tête, avait pour but de faire baisser salaires et autres revendications sociales, monsieur Bouygues avouant dans une vidéo que le travailleur immigré ne bronche pas et est corvéable à merci.

    Le chômage de masse permettant de maintenir une situation "stable" dans de nombreux domaines, le gouvernement Fillon(Sarkozy) mettait bientôt en place une immigration "choisie" à l'anglo-saxonne (les Etats-Unis ayant conçu un mur par exemple entre eux et le Mexique afin que seuls les plus valides, ceux qui passent le mur, soient accueillis : l'esclave doit être robuste).

    L'immigration choisie a cela de pervers, en plus de maintenir un bas niveau de salaire, de vider les pays d'où provient la main-d'oeuvre ou la matière grise, de leurs forces vitales.

    Le Front National déplore cette politique et il est bien le seul, il rappelle que chaque pays doit faire de ses citoyens sa priorité, nous réservons notre compassion en priorité pour les nôtres, comme des parents doivent s'occuper en priorité de leurs enfants, les citoyens français ne doivent pas être délaissés au profit d'autres personnes, c'est une question une bon sens et de justice.
    Et que l'on ne nous raconte pas que nous ne voulons pas occuper certains postes, la preuve en est avec ses ménages, si des postes sont difficiles à pourvoir, c'est que les salaires y sont trop bas et/ou que la politique en matière de formation est mal menée (apprentissage, parent pauvre au profit de l'éducation-tout-au-long-de-la-vie qui organise la précarité tout au long de la vie quand on n'apprend plus un métier mais on forme à un "job" kleenex pour boucher les trous d'un système économique où ne prévaut que la rentabilité maximale; numerus clausus en médecine pour payer des médecins étrangers moins chers, idem pour des ingénieurs indiens par exemple qui acceptent un Smic et ne comptent pas leurs heures; autres exemples flagrant : Yves Attou, président du Comité mondial de l'Education Tout au Long de la Vie, Lifelong Learning ou LLL, qui maille aujourd'hui toutes nos collectivités territoriales, ventait encore récemment dans nos ministères mais aussi sur toute la planète - il a mis en place la politique éducative en Chine récemment - les nouvelles futures méthodes pédagogiques des "sciences" de l'éducation qui permettent de prendre des cours via le E-Learning à 2 euros de l'heure avec des professeurs indiens avec le logiciel Skype, des millions d'étudiants l'utilisent déjà à travers le monde).

    Bref, l'inhumanité du mondialisme règne en maître, faisant des êtres humains des variables d'appoint destinées à la seule amélioration des rentabilités économiques dans un monde qui n'a ni attaches ni sens.