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  • Que le conseil de l'Europe s'occupe de son cul !

    Réaction à l'interdiction de la fessée par le Conseil de l'Europe

    Que le Conseil de l’Europe s’occupe de son cul !

     Je n’ai pas pour habitude d’être grossière ou vulgaire mais la tentation était trop grande lorsqu’à nouveau, il est question d’interdire la fameuse fessée. Les technocrates auraient une fois de plus mieux fait de s’abstenir plutôt que de se mêler de choses qui ne les regardent en rien. Ils sont déjà suffisamment pénibles avec l’inflation de leurs directives dans tous les domaines, voilà qu’ils viennent s’immiscer dans les affaires privées des familles, « big brother is watching you » again.

     Je suis maman de quatre enfants, j’ai un instinct maternel exacerbé qui fait que dès la maternité, quand la plupart des femmes, incitées par le personnel médical, ne songent qu’à se reposer et à confier leur bébé à la nurserie ,je n’aurais pour rien au monde perdu une seule miette du bonheur immense d’être à côté de mon enfant, de l’allaiter et de le serrer contre mon cœur. Tandis que dans la nurserie c’était la chorale de nourrissons malheureux, le mien s’endormait toujours paisible contre moi, un rictus aux lèvres. Ensuite, il ne m’aurait même pas traversé l’esprit de le faire élever par quelqu’un d’autre, dusse- je me « priver de tout », la pleine satisfaction de prendre soin de mon enfant, suffisait à tous mes besoins. Le résultat est un enfant qui ne pleure jamais car j’anticipais toutes ses attentes, un bien-être et un bonheur total, une merveilleuse complicité, un plaisir à nul autre comparable, et je plaignais sincèrement les mères qui se privaient ou ne pouvaient s’offrir le même luxe que moi. Puis le temps passe vite, à même pas un an, il comprend déjà le « NON »de sa mère; et oui, il y a des choses qui ne se font pas. Rapidement il peut déjà recevoir sa première fessée sur la couche, elle ne fait pas mal et est suffisamment efficace pour qu’il comprenne que maman ne veut absolument pas qu’il fasse telle ou telle chose, le plus souvent parce que c’est dangereux pour lui; il pleure mais l’amour est là, il comprend vite et rapidement il ne fera plus ce qui a tant fâché celle qui l’adore et qu’il adore , et au besoin, quelques piqûres de rappel mettront un terme définitif à ses velléités. On lui explique, il apprend à comprendre et il vous en est reconnaissant .

    La fessée ou la claque peuvent mettre un terme à une colère qui, si on la laisse dégénérer, le met dans le désarroi le plus épouvantable, j’ai vu des enfants se mettre dans des états terribles, le pédiatre averti sait envoyer alors une claque salutaire pour lui remettre les idées au clair et lui éviter un danger imminent. Ne pas s’interdire la fessée, c’est s’offrir l’opportunité de n’avoir quasiment jamais l’occasion d’en donner; après, le regard prometteur de la maman ou du papa, suffit. Montrer sa satisfaction, l’inciter à avoir une bonne attitude, le punir sans culpabilité aussitôt qu’un comportement est répréhensible, ou même qu’il risque de dégénérer, voilà le secret d’une éducation qui ne vous offrira que d’immenses satisfactions : des enfants qui savent se tenir partout, qui canaliseront leur énergie sur des jeux ou leur travail plutôt de passer leur temps à faire des caprices ou à emmerder le monde pour qu’enfin on leur montre qu’il y a des limites.

     L’éducation est l’affaire des familles et est à porter de tous si on s’en donne les moyens, libre à chacun de prendre ses responsabilités en ce domaine et d’en subir toutes les conséquences. Si seulement, elles ne débordaient pas sur la vie de chacun, si l’école par exemple, qui parallèlement à l’éducation de l’enfant-roi, n’avait pas démissionné elle-même de toutes formes d’autorité, réduisant la cour de récréation, quand ce n’est pas la classe, à une jungle dont la loi est celle du plus fort. Il n’y a pas de fatalité en ce domaine, la télé ou l’ordinateur ne sont pas responsables de ce que nous faisons de nos enfants, ils ne servent que de prétextes à nos carences. Même si ces media « élèvent » aujourd’hui certains enfants, ce n’est pas la faute des machines mais bien la nôtre si nous n’offrons que ce choix à nos petits. Contrairement à ce que l’on pense, un enfant n’est jamais trop aimé par sa mère, les miens n’ont jamais eu de mal à me quitter pour aller à l’école par exemple, point de peur , de pleurs ni d’angoisse, la sécurité affective, l’assurance de savoir se conduire et les voilà libre de commencer à affronter le monde sous les meilleurs hospices, un monde qui , de toute façon , ne sera pas tendre avec eux; les maîtresses apprécient ces enfants tout prêts à se mettre aux travail, et elles sauront vite voir les enfants bien élevés qui leur faciliteront la tâche.

    Alors, certaines mamans vont hurler mais une seule chose m’importe : les enfants, car ils sont les plus faibles, et la société dans laquelle ils vont grandir; une société qui, si elle ne les a pas tués dans le ventre qui devait les protéger, ne leur laisserait pour vivre que l’éducation par l’état, petit d’homme déjà réduit à l’état de numéro, où comme dans l’univers prémonitoire d’Orwell, il serait tout prêt à dénoncer les « déviances » de ses parents ? Il faut savoir dénicher tous les éléments de totalitarisme qui gangrènent notre société et qui, si on n’y résiste pas, nous envahirons, nous en serons là aussi que les seuls responsables.

    Oriane Borja

    29/08/2008 - 18:01

    bravo madame
    vous aimez vos enfants et vous en serez fiere plus tard.
    ils vous seront aussi reconnaissants de ne pas en avoir fait ce que les decideurs politiques de nos jours veulent en faire de part leurs idees irresponsables : des voyous qui ne respectent plus les autres
    les scenes de violences de plus en plus frequentes dans les etablissements scolaires en sont la preuve. mais nos charmants et veneres decideurs europeens
    ne l'ont toujours pas compris et ne le comprendront de toute facon jamais.
    on se demande d'ailleurs pourquoi certains parents font des enfants:a peine sortis du ventre de leur mere ils se retrouvent a la nurserie et quelques mois apres en compagnie d'une nourrice .comment certaines meres peuvent t'elles se "debarrasser"
    de leur petit aussi rapidement ?
    par contre 2 ou 3 petites tapes sur les fesses sont considerees "hors la loi".......
    quelle est cette epoque de debiles profonds ? surtout dans les hautes spheres.
    continuez a donner de l'amour a vos enfants comme vous le faites madame
    (certains de vos detracteurs n'en seront peut etre pas capable)

  • Cantonales 2008

    [Entretien] Oriane Borja, candidate FN aux cantonales de Rezé et adhérente E&R Version imprimable Suggérer par mail
    Publié le 26 février 2008
    [Entretien] Oriane Borja, candidate FN aux cantonales de Rezé et adhérente E&R
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    riane Borja, 37 ans, mère de quatre enfants, est juriste de formation. Conduite au Front National par le maurrassien Gérard de Gubernatis de l'Action Française, elle participe à la campagne contre le Traité de Maastricht en 1992 et adhère l'année suivante au mouvement lepéniste. Formée sur le terrain des Alpes-Maritimes [Nice], où elle eut en charge la formation des jeunes et les relations presse de la fédération locale, elle est candidate à toutes les élections depuis 1995. Elle est parallèlement membre d'Égalité & Réconciliation, la structure fondée en marge du F.N. par l'écrivain Alain Soral.

    À l'occasion de sa candidature aux élections cantonales 2008 de Rezé, au sud de l'agglomération nantaise, je vous propose un tour d'horizon non exhaustif de ses points de vue sur différents thèmes de politique départementale.


    Raison d'être et fonctionnement du Conseil général

    « Le rôle d'un conseiller général Front National me semble d'abord être une mission de vigilance et de transparence de l'utilisation des deniers publiques, le clientélisme guettant ce genre d'institutions. J'ai par ailleurs le sentiment que le Conseil n'est là que pour assurer les soins palliatifs d'une politique nationale désastreuse et d'une dégradation des valeurs. »


    Politique sociale et familiale


    « La destruction des valeurs familiales, comme l'idéologie de l'enfant-roi, ont contribué à déstabiliser cette cellule de base pour la protection de l'enfance qu'est la famille, les services sociaux dépendants du département sont aujourd'hui débordés par le phénomène.

    En matière de vieillissement de la population et de prise en charge des personnes âgées, l'incapacité de prévision de toutes les instances politiques, l'individualisme, la baisse du pouvoir d'achat et les retraites misérables laissent les plus indigents dans un état inimaginable, et souvent dans l'incapacité de se plaindre. Mon père, un médecin de famille à l'ancienne qui se déplace chez les gens, constate que certains ne mangent pas à leur faim et/ou n'arrivent plus à se chauffer.

    En matière d'insertion, l'hypocrisie est grande, car que faire lorsque la demande est supérieure à l'offre de travail, lorsque les formations ne sont pas adaptées au marché de l'emploi, ou que l'emploi est si mal payé qu'il est parfois préférable de ne pas travailler ? La commission Attali venant mettre un terme à tout espoir, puisqu' il suffira d'aller se servir sur toute la planète pour avoir une main d'œuvre servile. La politique d'immigration a toujours été une demande du grand patronat pour tirer les salaires à la baisse avec la complicité objective de toutes les formations syndicales et politiques, à l'exception du Front. La dignité de travailler passe en pertes et profits; pour eux, tant pis si le système laisse une partie des gens sur le bord de la route. »


    Enseignement


    « En matière d'enseignement, là où le Conseil Général aurait dû se cantonner au maintien, à la construction et à l'entretien des établissements, il vient se mêler de pédagogie dans laquelle il n'a rien à faire. Il participe par la même au pédagogisme déstructeur qui a mené aujourd'hui l'Éducation nationale au gâchis que l'on sait: non-maîtrise de la langue et comportement à l'avenant; le fondamental, la rigueur, l'effort et le mérite sont délaissés voire méprisés au profit du ludique et du superficiel. La sécurité à l'intérieur et aux abords des collèges n'est par ailleurs plus assurée, les mères de famille ne sont plus sereines en laissant leurs enfants en classe. »


    Logement

    « On note que le département s'est trouvé comme attribution d'aller aider les peuples de la planète. Nous avons sûrement un intérêt à ce que les populations se stabilisent dans leur pays d'origine. Mais, outre le fait que notre intervention peut y faire plus de dégâts que de bien en exportant des idées qui n'ont souvent rien à voir avec l'Histoire et le respect des populations locales (l'Arche de Zoé illustre bien le genre de perversions à laquelle cela peut mener), a-t-on les moyens d'être généreux avec l'argent des contribuables alors même que sous son nez, la misère et la détresse sont à portée de main ? Le manque cruel de logements, l'inflation des loyers et des prix minent les ménages. Le Front National réclame d'ailleurs toujours la transparence des attributions en matière de logements sociaux. »


    Maintien de la structure du département

    « Au sujet du maintien ou pas de la structure du département, les Français semblent attachés à ce dernier. Le Front National insisterait plutôt sur l'idée d'un découpage historique des "pays", comme le rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne; dans la situation actuelle ceci dit, l'urgence est de lutter contre les projets de Bruxelles et de la commission Attali, où l'économique entend dominer le politique. »

    Propos recueillis par Tangi F.

    Source : http://omnibus44.canalblog.com