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  • L'extrême-droite et le hiatus de la démocratie

    Il est totalement aberrant de vouloir confier des responsabilités publiques à des personnes telles que Marion Maréchal Le Pen et autres extrême-droite du même tonneau.

    Ceux-là méconnaissent profondément la chose publique et la honnissent.

    Non seulement ils n'y comprennent rien, mais encore la combattent-ils.

    Mais comment en serait-il autrement, ces fervents partisans du coup d'Etat -qu'il détestent- sont enfermés dans une bulle sectaire qu'ils voudraient au pouvoir contre tous les autres.

    La terreur et la religion ne fonctionnant guère sous nos contrées, ils tentent d'usurper le pouvoir par d'autres manipulations.
    Vous en trouverez comme elle, condamnant la peine de mort et la légitime-défense des Etats en la matière (quand les assassins et les guerres se chargent de faire de ces bonnes intentions table-rase), rendant à Dieu ce qui appartient à César, car c'est bien à cette aune qu'il faut juger leurs intentions.

    Pour ne rien dire de leur incohérence quand ils vivent finalement aux crochets de la société.

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  • Humanité réduite à une division

    Etat chrétien, Etat islamique, Etat juif, -pour ne rien dire des différentes façons qu'il serait d'être chrétien, musulman ou juif- si tant est que la réduction d'une religion à un Etat ne soit pas déjà une hérésie, sont des discriminations souhaitées par les tenants identitaires, qui se disent chrétiens, musulmans ou juifs.

    Le découpage de ce monde inhumain n'est pas du ressort de l'humanité d'une religion.

  • La valse de la Droite des VAleurs :)

    Cervantès, Corneille, Molière, Brel ont cerné le bourgeois.



    Jacques Brel - Grand-Mère (Brel en scènes)
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  • L'enfant-roi du no man's land

    L’enfant est loin d’être au centre en réalité, ce sont les nouvelles pédagogies qui le sont, l’enfant n’en est qu’un cobaye.
    L’intérêt réel de l’enfant passe en pertes et profits.

    Les parents qui ne s’occupent en réalité pas de leurs enfants -comme les enseignants qui s’occupent davantage de leur considération en milieu pédagogique-, trouvent des palliatifs, ce que j’appelle l’invention du mouvement perpétuel, courant sans cesse après une nouvelle solution pour cause d’avoir raté le diagnostic de départ.

    Pour ce qui est des technologies et publicité, personnellement, je ne les crains pas sur des enfants dont la base éducative est solide.

    Le monde extérieur n’est pas responsable de nos propres turpitudes.

    Mettez un ordinateur dans les mains d’un imbécile, il en fera des imbécillités, s’il est utilisé intelligemment, il fera des merveilles.

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  • Ouvre-moi la porte, toi qui a la clef USB de la grande école du monde ...

    Il est évident que l'école en France est un des espaces publics sur lequel lorgnent tous les affairistes.

    L'externalisation a déjà placé de nombreux pions qui avancent vers une privatisation larvée.

    Projets éducatifs privés fournis clefs en main comme La Main à la Pâte que Charpak avait importé directement des ghettos de Chicago, Sodexo mettant la cantine de vos enfants dans les mains avides de ses actionnaires, il reste effectivement la place pour des polices privées qui s'occuperont de la sécurité privatisée de vos enfants, et demain Acadomia qui les mettra sous puces pour contrôler leurs notes et adresser directement la facture de redressement aux chers parents.

    Le Livret de compétences entièrement informatisé et en consultation libre par les futurs grands groupes employeurs de nos petites têtes chercheuses d'emplois, l'avenir n'est pas à l'école publique et aux maîtres, elle est malheureusement aux mains de la finance et de ses futures applications à vendre à grande échelle.


    Cette lycéenne de 16 ans veut mettre fin à l'école buissonnière
    Philippine Dolbeau, 16 ans, actuellement au lycée, a créé New School, une start-up qui va bien embêter les sécheurs de cours. Son concept intéresse déjà les…
    BFMBUSINESS.BFMTV.COM|PAR BFM BUSINESS

  • Une mère, être ou ne pas être


    Une étude-bidon révèle que le comportement des enfants empire en présence de leur mère, pleurs, violence, hurlements, faire leurs besoins, faire l'idiot, tel est le comportement des petits.

    C'est effectivement ce que chacun peut constater.

    Mais cette question est biaisée.

    Ceci est le comportement des enfants quand ils ne sont pas élevés par leur mère, tout simplement parce qu'elle leur manque, ils attirent l'attention de leur mère par n'importe quel moyen car ils veulent du soin et donc de l'amour.
    Les enfants qui sont élevés par leur mère n'ont pas cette attitude, ils savent que leur mère est là, les regardent ("Maman, regarde-moi", c'est tout ce qu'ils veulent, ils se sentent aimés, ils n'ont pas besoin d'en rajouter.

    Cela leur permet de grandir dans une sécurité affective.

    L'absence des mères qui confient souvent leurs enfants en bas âge à crèches et nounous est profondément cruelle et laisse forcément des séquelles chez les petits qui connaissent le manque le plus absolu à une période où ils ne demandent justement que l'attention d'une seule et unique personne, celle dont ils sont dépendants de l'odeur, de la voix, de la peau depuis avant même leur naissance, leur mère est un être irremplaçable, dont on ose les priver, hélas.


    Toute bonne relation de l'enfant au monde, commence par la mère et le lien charnel entre eux.

    Oui, mère et enfant sont faits pour être hormonalement dépendants, ils sont faits pour fonctionner ensemble.

    Le bon fonctionnement digestif de l'enfant, le tissage du lien affectif, et les suites logiques de la grossesse sont l'allaitement, ingénierie mêlant alimentation des plus harmonieuses aux soins les plus ténus.



    Au moindre problème, vous pouvez lui donner le sein, une maman à temps plein sait d’ailleurs rapidement discerner et même anticiper les besoins de son bébé entre le besoin d’alimentation, d’éveil, de change, de sommeil ou de soin de son enfant.

    Le sein maternel est cette merveilleuse source qui sait calculer, avec la plus parfaite précision, les attentes de votre petit.
    A-t-il besoin de boire, qu’il a de l’eau, est-il nécessaire qu’il soit alimenté, il est alimenté, a-t-il l’intention de se rassurer, qu’on exaucera sa volonté, veut-il sa dose pleine d’affection, qu’il tétera opportunément.

    La sein se met en mode ordinateur, calcul la teneur des moindres micro éléments, leur variation en cours de téter, programme déjà la suivante, tout est pris en compte, vous n’avez qu’à laisser faire ce qui vous dépasse.


    Le nouveau-né est-il fiévreux que sa ration le soigne déjà, les médicaments sont déjà dedans, puissants pourvoyeurs de défenses naturelles en plus de celles que vous avez déjà léguées à votre protégé en le mettant au monde, il prend le relais.

    Evidemment, en dehors de toute normalité, si votre enfant est réellement malade, il faut consulter et lui donner en plus d’autres soins et écouter le spécialiste.

    Evite le plus soigneusement toute complication digestive, vous laisse des couches dorées faciles à nettoyer et sans odeur, vous dispense de la corvées de biberons, et la nuit vous pouvez donner le sein en dormant d’un œil et vous allongeant dans toutes les positions, l’enfant se débrouille tout seul avec le temps. Et en cas de crevasses, c’est la succion qui réparera.



    La liaison est magique.

    Rompez ce lien et vous amorcez le début des problèmes.

    En la matière, vous aborderez soit un cercle vertueux, car l'amour grandit avec le soin (C'est tout ce qu'il faut comprendre du Petit Prince de Saint Exupéry), soit un cercle vicieux, l'enfant n'ayant pas eu sa ration de maman satisfaisante.

    Cela ne dure que deux-trois ans, une fois cela donné, votre enfant a le bagage affectif nécessaire pour affronter le monde, le mieux est de rester encore en "tuteur" jusqu'aux dix ans de l'enfant.

    Votre petit doit vous sentir là, en cas de besoin.

    Il doit rester la priorité, même s'il comprend alors les contraintes du travail.

    Il doit seulement sentir que vous faites au mieux.

    On ne ment pas à un enfant, il sait si vous faites semblant, si vous êtes ailleurs quand vous êtes avec lui.

    A cet âge, le mal, ou le bien, est fait.

    Si c'est la deuxième option qui a été choisie, il peut rouler tout seul, il a alors fait le plein, il est le mieux paré à affronter le monde.

    Les Etats qui permettent aux femmes d'élever leurs enfants en bas âge, sont les plus avancés en terme de civilisation.


    On peut reprendre le travail quand l'enfant entre en maternelles (vers 3 ans), le mieux étant d'aménager ses horaires pour être le plus disponible pour lui, ou eux.

    Je connais pertinemment les contraintes, j'ai élevé mes quatre enfants seule, j'ai été aux minima sociaux durant les trois premières années de mon dernier enfant, et je n'ai repris le travail qu'après.

    Nous avons une vie très modeste, mais nous avons l'essentiel, j'ai pu leur donner ce que je voulais en temps, et donc soin et affection, et ils ont reçu ce qu'il leur fallait.

    Le reste -les biens matériels- sont très accessoires, ils ont été plus gâtés au fond, que des enfants dont les parents sont plus aisés.

    J'aimerais vous dire qu'il y a d'autres moyens de les satisfaire, mais ce serait mentir, même si le monde moderne a trouvé des arguments d'excuses aux mères pour les déculpabiliser d'abandonner le soin de leurs enfants en d'autres mains que les leurs, parfois quelques jours à peine après avoir accouché.

    Les temps sont à l'individualisme, et les idéologies vont vous trouver n'importe quelle idée pour vous expliquer qu'il vaut mieux détacher le bébé de la mère, vont vous pondre des kits d'épanouissement clefs en main, etc.

    Avec psy, nouvelles méthodes éducatives palliatives, médecines douces ou dures qui vont avec.

    Détruire l'enfant au départ et passer sa vie à tenter de reconstruire l'irréparable, voilà la méthode des modes.

    On n'explique pas à un bébé qu'on va le laisser "pour son bien", on ne lui fait pas comprendre que "maman va travailler, qu'elle revient".

    Le petit ne sait qu'une chose, "Maman m'a abandonné", il ne sait pas mesurer le temps, il ne sait pas que vous revenez.
    Et il se dit "Je ne suis pas assez important pour que maman veuille s'occuper de moi".

    Et vous passez votre temps à le choquer, tout petit, il se prend une quantité phénoménal de chocs émotionnels, maman part, maman revient.

    L'enfant répond par des pleurs, des angoisses, des réactions violentes, et, terrible, des phases de sédation, il se détache.

    Celles qui comprennent ce déchirement sont des mères, les autres sont passées à côté de l'essentiel.

    Mais je les plains sincèrement, elles et leurs enfants.

    Lien permanent Catégories : Education
  • Une mère, être ou ne pas être

    Toute bonne relation de l'enfant au monde, commence par la mère et le lien charnel entre eux.

    Oui, mère et enfant sont faits pour être hormonalement dépendants, ils sont faits pour fonctionner ensemble.

    Le bon fonctionnement digestif de l'enfant, le tissage du lien affectif, et les suites logiques de la grossesse sont l'allaitement, ingénierie mêlant alimentation des plus harmonieuses aux soins les plus ténus.

    Rompez ce lien et vous amorcez le début des problèmes.

    En la matière, vous aborderez soit un cercle vertueux, car l'amour grandit avec le soin (C'est tout ce qu'il faut comprendre du Petit Prince de Saint Exupéry), soit un cercle vicieux, l'enfant n'ayant pas eu sa ration de maman satisfaisante.

    Cela ne dure que deux-trois ans, une fois cela donné, votre enfant a le bagage affectif nécessaire pour affronter le monde, le mieux est de rester encore en "tuteur" jusqu'aux dix ans de l'enfant.

    Votre petit doit vous sentir là, en cas de besoin.

    Il doit rester la priorité, même s'il comprend alors les contraintes du travail.

    Il doit seulement sentir que vous faites au mieux.

    On ne ment pas à un enfant, il sait si vous faites semblant, si vous êtes ailleurs quand vous êtes avec lui.

    A cet âge, le mal, ou le bien, est fait.

    Si c'est la deuxième option qui a été choisie, il peut rouler tout seul, il a alors fait le plein, il est le mieux paré à affronter le monde.

    Les Etats qui permettent aux femmes d'élever leurs enfants en bas âge, sont les plus avancés en terme de civilisation.
    On peut reprendre le travail quand l'enfant entre en maternelles (vers 3 ans), le mieux étant d'aménager ses horaires pour être le plus disponible pour lui, ou eux.

    Je connais pertinemment les contraintes, j'ai élevé mes quatre enfants seule, j'ai été aux minima sociaux durant les trois premières années de mon dernier enfant, et je n'ai repris le travail qu'après.

    Nous avons une vie très modeste, mais nous avons l'essentiel, j'ai pu leur donner ce que je voulais en temps, et donc soin et affection, et ils ont reçu ce qu'il leur fallait.

    Le reste -les biens matériels- sont très accessoires, ils ont été plus gâtés au fond, que des enfants dont les parents sont plus aisés.

    J'aimerais vous dire qu'il y a d'autres moyens de les satisfaire, mais ce serait mentir, même si le monde moderne a trouvé des arguments d'excuses aux mères pour les déculpabiliser d'abandonner le soin de leurs enfants en d'autres mains que les leurs, parfois quelques jours à peine après avoir accouché.

    Les temps sont à l'individualisme, et les idéologies vont vous trouver n'importe quelle idée pour vous expliquer qu'il vaut mieux détacher le bébé de la mère, vont vous pondre des kits d'épanouissement clefs en main, etc.

    Avec psy, nouvelles méthodes éducatives palliatives, médecines douces ou dures qui vont avec.

    Détruire l'enfant au départ et passer sa vie à tenter de reconstruire l'irréparable, voilà la méthode des modes.

    On n'explique pas à un bébé qu'on va le laisser "pour son bien", on ne lui fait pas comprendre que "maman va travailler, qu'elle revient".

    Le petit ne sait qu'une chose, "maman m'a abandonné", il ne sait pas mesurer le temps, il ne sait pas que vous revenez.
    Et il se dit "je ne suis pas assez important pour que maman veuille s'occuper de moi".

    Et vous passez votre temps à le choquer, tout petit, il se prend une quantité phénoménal de chocs émotionnels, maman part, maman revient.

    L'enfant répond par des pleurs, des angoisses, des réactions violentes, et, terrible, des phases de sédation, il se détache.

    Celles qui comprennent ce déchirement sont des mères, les autres sont passées à côté de l'essentiel.

    Mais je les plains sincèrement, elles et leurs enfants.

    Lien permanent Catégories : Education
  • Les agressions sexuelles, des armes de guerre

    Des centaines de milliers de femmes violées à la Libération en Allemagne

    "Le calvaire vécu par de nombreuses femmes en 1945 refait surface outre-Rhin. Pour les soldats alliés, à l'Est comme à l'Ouest, le viol était devenu une arme de guerre.

    soldats alliés, à l'Est comme à l'Ouest, le viol était devenu une arme de guerre."


    FRANCE 2
    Francetv info
    Mis à jour le 13/05/2015 | 09:48 , publié le 12/05/2015 | 22:41


    "C'est un drame méconnu. Au moment de la Libération, en 1945, des milliers de femmes allemandes ont subi les viols des soldats.
    France 2 a rencontré Rosemarie Arndt, qui ne peut oublier le calvaire qu'elle a vécu alors qu'elle n'avait que 16 ans. À l'époque, comme des milliers d'Allemands, elle fuyait la Prusse orientale face à l'avancée des forces soviétiques. La charge de l'Armée rouge fut sans merci et les femmes devinrent des proies de choix pour les soldats.

    Des viols qui furent longtemps tabous
    Réfugiée dans une ferme avec sa mère, des militaires sont arrivés et Rosemarie a été prise au piège. "Ils ont menacé de tuer ma mère, alors que moi, j'étais cachée dans le grenier. Il fallait faire quelque chose mais je ne savais pas quoi. Je n'avais que 16 ans, c'est la pire chose qui me soit arrivée", raconte-t-elle. Les soldats l'ont emmenée dans une maison et l'ont violée pendant une semaine.

    Comme elle, de nombreuses jeunes Allemandes ont été victimes des alliés, sur le front soviétique comme à l'Ouest, lors de l'arrivée des soldats français, américains ou anglais. Cet épisode a longtemps été tabou en Allemagne."


    FRANCETVINFO.FR



    Les agressions sexuelles de Cologne « ont été coordonnées»
    Rédaction en ligne
    Mis en ligne il y a 7 heures

    "Selon le ministre allemand de la Justice, Heiko Maas, il est peu probable que ces événements se soient produits par hasard."



    Sur le même sujet
    Berlin condamne une vague d’agressions sexuelles lors du Nouvel An

    "Quelques 90 plaintes pour agressions sexuelles et un viol ont été enregistrées à la suite de la Saint-Sylvestre dans la ville de l’ouest de l’Allemagne. Les agressions se sont produites vers minuit autour de la gare de Cologne, mais également à Hambourg, où 27 plaintes ont été déposées.

    «Le tout semble avoir été coordonné», a déclaré le ministre allemand de la Justice Heiko Maas sur la chaîne télévisée ZDF. Selon lui, il est peu probable que ces événements se soient produits « par hasard ». La police a annoncé mercredi avoir trois suspects dans son viseur, sans donner plus d’informations."




    Cela fait des dizaines d'années que des immigrés arrivent, de toutes religions, des événements tels que celui-ci ne se sont jamais produits.

    On a intérêt à bien analyser le problème.

    Lien permanent Catégories : culture
  • Soigne ta droite, ou, le Front National dans le ring

    bartneski 5 janvier 19:56
    @orianeborja
    Ils ont réussi à nous faire croire que le côté « extrême » du FN a disparu. Quand est-il du côté « droite » ?
    Il n’y a pas plus à droite que le FN.

    orianeborja 5 janvier 20:22
    @bartneski
    Posez la question à Marion Maréchal Le Pen, elle vous répondra très clairement qu’elle est une femme de droite, idem pour Bruno Gollnisch, il ne jure que par le droite nationale.

    JMLP a changé d’avis trente-six fois ces dernières années, en fonction de ce qu’il pensait être le plus stratégique (il se fout royalement des militants qui en perdent le Nord, et prend encore plus pour des cons les électeurs que ses militants, c’est vous dire).

    Marine est restée sur la ligne Ni Droite Ni gauche depuis 95, mais je l’ai entendue reparler de « droite nationale » en 2012 (mais j’ai dû être la seule à y prêter attention), avant de revenir à NDNG, mais elle doute, il faut toujours être derrière elle pour l’affermir.

    Quant à Florian Philippot, je ne pense pas qu’il s’est dit une fois de droite.

    Les autres cadres ne savent pas vraiment où ils en sont, (ils savent que s’ils dévient de la ligne, ils seront virés, mais grâce à Marion, ils peuvent maintenant aller contre la position de Marine en la matière, et Marine se dit qu’ainsi, il y en a pour tous les goûts, nous ne sommes pas sectaires, dira-t-elle) sauf la fange libéralo sectaro intégriste qui affirme sa position très à droite (on les laisserait faire qu’ils diraient d’extrême-droite sans problème).

    Mais vous avez aussi des idéologues d'extrême-droite, qui sont favorables à l'adoption du slogan Ni Droite Ni Gauche, il faut savoir décrypter.

    Lien permanent Catégories : culture
  • Marion Maréchal Le Pen, l'objet très identifié de l'extrême-droite

    Marion est le produit propulsé par la véritable extrême-droite, tous les lobbies les plus extrémistes sont derrière elle, une marionnette, c’est vraiment cela.

    Marine n’a pas été jugée crédible par ces groupes, comme JMLP jadis, qu’ils ont lâché en cours de route.

    Marion est la nouvelle pouliche, et semble tout à fait prête à tenir l’exact rôle que l’on attend d’elle.

    Elle saura ne sortir que les débilités libérales qu’on attend d’elle, sans les saillies antisémites de son grand-père, et elle saura transformer son discours raciste en anti islamisme bon ton.

    Et contrairement à Marine, elle n’a pas de penchants sociaux, ni sociétaux, qui sont des travers pour l’extrême-droite.

    Les parrains de la petite peaufinent leur créature et la lanceront véritablement au moment opportun.