Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Qu'est-ce que la compétitivité sinon la baisse des salaires, des protections sociales et du budget public

    Le problème vient de ceux qui s'enrichissent sur le dos des autres, il est des richesses légitimes qui viennent du travail, de la responsabilité.

    Aujourd'hui, les riches ne créent pas le travail, au contraire, ils le tarissent, la seule chose qui compte étant le profit, il est évident qu'ils jouent à exploiter la main d'oeuvre pour qu'elle fasse le travail de trois, la tuant à petit feu mais ils s'en foutent, c'est la collectivité qui paie.
    Quand ils ne font pas cela dans les pays pauvres, ou là, une fois pressée, la main d'oeuvre peut crever sans problème.

    Quant au prétendu "assistanat", les riches l'organisent justement puisqu'ils laissent aux autres le soin de s'occuper de ceux qu'ils laissent sur le carreau pour aller trouver des esclaves moins chers ailleurs.

    Les recherches montrent du reste que le travail est en France, un facteur essentiel de la vie, c'est une reconnaissance sociale qui fait de nous le pays le plus demandeur.

    Il faut avoir une drôle de mentalité pour croire que l'on cherche à ne pas travailler, c'est une mentalité de capitaliste de ne rien foutre en laissant son argent "travailler" sur le labeur des autres.


    Les multinationales détruisent le travail.
    C'est à cause de ces concentrations/monopoles privés que des millions de petits commerces, agriculteurs, petites entreprises ont disparu.

    Ces grandes entreprises sont en réalités des groupes financiers qui ne gagnent pas d'argent sur ce qu'ils vendent, mais sur la masse et les retards de paiement de leurs fournisseurs, ils gagnent beaucoup d'argent en plaçant l'argent qu'ils gagnent un mois avant de rembourser.

    La plupart de ce qu'ils vendent n'est pas fabriqué chez nous.

    Quant au travail qu'ils créent, il s'agit d'emplois précaires, temps partiel subi et mal payé, sans compter qu'ils touchent en plus des subventions car leurs lobbies sont puissants et nos politiciens, corruptibles et/ou peu perspicaces.

    Quand ils ne se planquent pas à l'étranger pour ne pas payer d'impôts ou le moins possible, alors qu'ils doivent tout à la France.

    Ces grandes compagnies financières arrivent à imposer les prix des matières premières, et naturellement vers le bas, au prétexte qu'ils sont les seuls intermédiaires sur le marché, à les revendre à la clientèle.

    Ce serait juste des voleurs si on examinait bien l'affaire, de la merde dans un gant de soie comme aurait dit l'autre.


    Ils investissent partout et tirent tout à la baisse, distribution, services, formation, tuant tout sur leur passage et baissant tous les salaires de ceux qui travaillent vraiment en bout de chaîne, pour eux, ils ne sont que des intermédiaires parasites, qui, à grands coups de publicité et de gestion de cette publicité à grande échelle, noient tout ce qui pourrait leur faire concurrence.

    Parce que la concurrence mène toujours aux monopoles privés.



    Les Français sont riches de la France, heureusement, ils ont l'école gratuite, la justice gratuite, la police gratuite, les services publics, mais ça, c'est la France, que nous avons de moins en moins.

    La précarité de masse s'installe, les services publics se délabrent, voilà la pauvreté engendrée par les politiques menées.

    En revanche, les dividendes des très riches s'accroissent, et croîtront à chaque coupe sombre dans les salaires, retraites, budget public.


    L'économie, ce n'est pas des riches qui font travailler des pauvres, c'est un tout, un cercle, nous avons tous besoin les uns des autres, c'est un échange permanent.


  • Pas de monopoles privés sur nos richesses publiques !

    Le problème n'est pas qu'une entreprise française passe sous contrôle allemand ou italien, les actionnaires n'ont qu'une patrie, celle de l'argent, et sont d'ailleurs de nationalités internationales.
    Le problème, c'est lorsque l’État perd le contrôle d'entreprises stratégiques, tout ce qui relève des transports, de l'énergie, par exemple, doit rester sous contrôle de notre Etat, ce n'est pas au privé d'avoir droit de vie ou de mort sur notre mobilité, moyens de communication, notre énergie, nos technologies, et notre savoir-faire doit être protégé car c'est notre richesse nationale, le savoir-faire, c'est l'ingénierie engendrée par nos écoles publiques.

  • Habitat participatif, lave-linge et autre essorage

    Rincevent 27 septembre 23:08

    "Cet article est une caricature grossière (et qui se veut drôle...) de ce que serait l’habitat participatif. L’auteure y entasse des présupposés et des jugements de valeur qui ne reflètent que ses craintes personnelles, certainement pas la réalité de ce genre de projets. Pour n’en relever qu’une : ‘’ un peu moins cher’’, chez moi c’est 3 500 €/m2 au lieu de 4 500, excusez du peu…"


    orianeborja 28 septembre 00:03
    @Rincevent

    Je m’inscris dans une réflexion globale sur notre société et sur des craintes légitimes qui ne sont pas personnelles, je n’ai peur de rien, je suis une survivante, je n’ai plus peur de rien, en revanche, je m’attache à percevoir certaines cassures épistémologiques qui engendrent des changements civilisationnels.

    J’entends démontrer dans ce petit exemple, comme dans d’autres textes sur d’autres thèmes, le retour d’une forme de vie tribale.

    Les démarches évangélistes, et autres modes sectaires, le survivalisme, l’identitarisme, sont autant de replis sur soi qui participent de ces nouvelles façons d’organiser nos sociétés.

    Il m’est apparu évident, et mes yeux sont avertis par des connaissances des paradigmes qui soutiennent ces démarches, que l’habitat participatif était un prolongement d’un mode de vie que nous n’aurons bientôt plus le loisir de choisir.

    Si vous voulez, c’est un peu comme les mères porteuses, lorsqu’une princesse d’Angleterre, de Monaco ou d’ailleurs, portera gracieusement l’enfant d’une de ses femmes de ménage, je commencerai à croire dans l’altruisme de la démarche.
    Pour la vie en meute, c’est un peu pareil, je pense que c’est d’abord le prix qui oriente vers ce genre d’habitat, et je sais pour le vivre, que rien qu’une centaine d’euros mensuels sur un loyer, cela fait basculer le choix.

    J’ai employé les termes d’ « un peu moins cher » tout bêtement en reprenant ceux de la communication faite sur France Bleu Loire Océan par la représentante d’une société nantaise qui venait en faire la publicité en début de semaine.

    Du reste, je suppose que dans ce domaine, beaucoup de formules sont possibles et proposées.

    Je ne crois pas que quand vous en avez les moyens, vous vous dirigiez spontanément vers les joies de partager votre vie privée avec d’autres personnes, fussent-elles dans la même logique que vous.

    Bien sûr, on est prévenu à l’avance qu’il faut un grand esprit d’ouverture pour ce genre d’aventure, comme pour faire potentiellement porter la responsabilité d’un échec sur vos faibles capacités d’adaptation, mais cela n’est qu’un leurre.

    La présentation écologiste est à mon sens un autre enrobage fallacieux, autrement poussons la logique à son terme et allons vivre dans une tente en bois et peau de bête, je ne propose même pas une caverne car les maisons troglodytes sont assez prisées et vous en trouverez avec des aménagements qui rendent la démarche écolo inversement proportionnelle à l’esprit attendu.

    Je dénonce également le positionnement de groupes financiers sur ce marché porteur car accompagnant la difficile quête d’un logement en rapport avec les revenus, le flair de ces gens-là est assez imparable, ils sentent bien que cela va bien au-delà d’une cabane idéologique.

    Notre société va connaître le besoin de trouver des modes de vie alternatifs au regard de la précarité de masse attendue.
    La mise sur le « marché » du revenu universel s’inscrit naturellement dans ce cadre et participe fondamentalement de l’idéologie libérale telle qu’elle a été initiée, vous imaginez bien qu’il faut assortir le projet d’un toit ou de couvertures à l’avenant.

  • Comment le linge sale ne se lavera plus en famille

    Le monde libéral est bien fait, vos salaires, retraites, indemnités de licenciement ou chômage vont baisser, pas de panique, les sociétés polygames connaissent le système, les mormons à la mode vivent ainsi, les soviétiques avaient leurs immeubles communautaires, voici qu'on tente de vendre l'habitat participatif.

    L'avenir libéral qu'on se le dise, sera tribal.

    Quelle famille ne connaît pas déjà de leurs enfants qui ne quittent pas le foyer parental faute de revenus suffisants ou stables, quelle famille ne connaît pas le retour d'un de leurs enfants devenus adultes mais dans l'impossibilité financière de s'assumer.

    Voilà que des financiers sont sur le coup, sur un prétexte bio-bobo, on lance la démocratisation du logement partagé, sur le modèle des résidence secondaires de vacances où plusieurs familles détiennent un moment d'usage de l'habitat.

    Le principe pour la résidence principal est un peu différent puisque tout le monde cohabite en même temps, on achète ou loue des parts sociales, à une société qui profite du nouveau concept pour remplir ses poches, mais vous offre cela dans un si bel emballage que vous sentirez à peine la douleur.

    Eh oui, fini l’égoïsme, la solitude,le repli sur soi, c'est fini, bonjour la démarche écologique, le partage, la coloc d'étudiant indéfiniment prolongée, n'est-ce pas une seconde jeunesse que l'on vous offre ?

    Dans tous les cas, certains auront-ils le choix ?

    Les prix sont légèrement moins chers, et vos revenus se contractent comme peau de chagrin ?

    Hop, v'là les apparts ou les maisons à la carte.

    Vous choisissez une partie qui restera privée, à laquelle se raccrochent une buanderie, une cuisine, un salon, des chambres, un jardin, en partage.

    Vous pensez immédiatement au loft, cette formule de télé-réalité toujours forcément gagnante, vous mettez ensemble des personnes, vous attendez un peu et paf, immanquables, les conflits arrivent, les nerfs les plus avertis sont mis à l'épreuve.

    On n'a pas fini de ne plus retrouver ses chaussettes à ce tarif. et quel bonheur de partager sa machine à laver avec les voisins, vos slips et petites culottes ne seront plus un secret pour personne.

    Bon, si vous êtes crades, mieux vaudra s'assurer que vos voisins le sont aussi, on risque de surveiller vos machines ramenées au prix de groupe, voire de vous reprocher d'utiliser trop abondamment l'eau de la planète et vos poudres à laver polluant l'eau des rivières que personnes ne veut plus qu'on utilise, mais qu'on nous vend bien.

    Vos gosses sont-ils pénibles que vous vous trouverez en plus sur les bras ceux d'en face, pardon d'à côté, enfin de chez vous chez eux, et réciproquement.
    Peut-être même la chance de croiser vos cocouples à poil, après tout, ils seront chez eux.

    Bon, vous n'aurez peut-être plus votre belle-mère à demeure, mais qui vous dit que vous n'hériterez pas de celle des autres.

    Ne parlons pas de nos chères amies les bêtes, et leurs pelage partout chaleureux et parasites légendaires, sans compter les nouveaux animaux de compagnies, serpents, souris, ça vous dit ?

    Mais il y a mieux, punaises de lit, cafards, gale, tuberculose, il y a tout un tas de nouvelles expériences à partager.

    La vie de demain, ça risque d'être le Loft, Koh Lantha et toutes les déclinaisons réunies, que du bonheur.

    Pas d'affolement toutefois, tout est prévu, le kit est vendu avec des processes, tous les types de conflits ont été modélisés avec leurs solutions, pour un prix modiques, justice contractualisée avec la propriété virtuelle des murs sont forme de bons d'achat.

    Peut-être même une assurance obligatoire "j'aime ma mise en boîte participative "pour être sûr d'assurer le coup.

    La vie n'a pas fini d'être une aventure, elle vous tente ?

  • Philippot, sacrifié pour la survie de Marine, une longue histoire

    J’ai adhéré au Front lors de la campagne contre le Traité de Maastricht, j’ai très rapidement intégré la direction nationale qui recrutait sur un programme anti-raciste (n’en déplaise aux anti-frontistes et frontistes haineux).

    J’ai moi-même formé et recruté pour le Front sur un discours anti-droite et anti-raciste, et je traite de menteurs et d’imposteurs tous ceux qui pourraient dire le contraire, c’était notre programme OFFICIEL.

    J’ai accompagné Marine durant 20 ans pour cela, nous avons réussi à écarter peu à peu tous les libéraux et racistes du Front, dehors les tradi, dehors les identitaires, dehors le GRECE, exit le Club de l’Horloge, ouste le renouveau Etudiant, les Anthony, Vial, Megret, Lang, Le Gallou, Blot et compagnie.

    Resté Gollnisch le mou, que nous avons combattu en tant que marinistes, cela vous aura peut-être échappé, mais nous avons mené un combat féroce, un combat à mort idéologique, au sein du Front.

    Cela a été très violent, nous avons reçu des coups très durs, moraux et physiques.

    Personnellement, j’ai tout perdu dans ce combat, le père de mes enfants, ma maison, mon travail.

    Mais j’ai tenu (le père de mes enfants ne s’en ai jamais remis).

    Ca tenait, nous avions gagné, malgré tout.

    Mais lors de la campagne pour les présidentielles de 2012, j’ai vu Marine aux abois, recruter tous azimuts et laissé entrer ou rentrer au Front des saloperies de tout poil, des lobbies d’extrême-droite les plus dangereux du monde, que je ne connaissais jusqu’alors qu’en dehors du Front, que j’ai étudiés, dénoncés, combattus, donnant ma démission en novembre 2011 pour ces raisons précises, alors que Marine m’offrait des responsabilités de plus en plus importantes.

    Concernant le fond, j’ai toujours soutenu l’existence de nos frontières, ce qui me paraît évident.

    J’ai récemment écrit cela :


    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2017/09/01/ode-a-la-frontiere-5975930.html

    mais j’ai toujours tenu ce discours.
    C’est sans doute ce qui m’oppose à Mélenchon, encore que si l’on en discutait vraiment et qu’il était cohérent et sincère, nous pourrions évidemment nous y retrouver.

    La frontière n’est pas seulement matérielle, du reste que certains le veuillent ou non, la France conserve ses frontières physiques.

    La frontière est surtout une frontière institutionnelle, la France commence et s’arrête là où nos institutions sont.
    Notre justice, notre police, notre défense, nos écoles, nos administrations, nos services publics, nos lois en général, sont ceux contenus dans nos frontières.

    Notre système démocratique, notre constitution, nos principes généraux, notre conception unitaire de la nation et de l’Etat nous sont propres.

    Notre coeur, celui de la France est ouvert, mais notre âme est française, les artères, veines, poumons, tous les organes de la France, sont français et limités à notre territoire national.

    Celui qui parle sans frontière, entend seulement abattre la France, songe-y-t-il vraiment ?

    De même en matière de politique d’immigration, le discours officiel du Front a toujours été politique, nous avons toujours défendu l’étranger, nous avons toujours dit avec force que l’immigré n’avait rien à voir avec les politiques d’immigration, droit de la nationalité ou assimilation.

    Du reste, la France et son Etat n’ont jamais cessé d’appliquer des politiques en ce sens.

    En revanche, nous dénonçons les lobbies patronaux, libéraux, qui encouragent évidemment à l’exploitation d’une main-d’oeuvre docile.
    Un étranger qui vient en France, a souvent une volonté farouche de s’en sortir, il acceptera de travailler au noir, sans couverture sociale, sans tenir compte de nos droits et devoir, se moque souvent des impôts et de la société dans laquelle il arrive, et il n’est même pas blâmable pour cela.

    D’ailleurs une fois installé, il réfléchira plus loin et comme nous, quand il comprendra notre société et son fonctionnement.

    Mais d’autres arriveront et prendront leurs places dans ce moment libéral si prisé par les exploitants d’êtres humains.

    Le travail au noir, la non-imposition, la non-contrainte, l’anti-Etat, l’anti-loi, la violence privée, sont tous des dogmes libéraux.

    Pour ne rien dire du trafic d’êtres humains, des déplacements de population, du pillage des richesses qui sont autant de paramètres à prendre en compte dans une politique globale d’immigration.

    Hier encore est sorti un rapport sur l’Allemagne, montrant qu’elle avait largement profité de l’apport des réfugiés.

    Rien d’étonnant, quand on sait qu’on les parque dans des logements communautaires et fait travailler pour quelques centimes de l’heure, à ce compte, c’est tout à fait rentable pour la caste financière.

    Et on ne les entendra pas sur des revendications sociales, pas avant qu’ils n’aient été exploités et essorés comme des éponges que l’on jettera une fois pressés.

    En revanche, je reconnais l’apport des étrangers, d’autant que nos systèmes dépendent en partie de la démographie, l’Allemagne par exemple, meurt de ne pas faire d’enfants (ce qui montre au passage la confiance des Allemands dans leur vie ...).

    Ils apportent une autre façon de raisonner qui enrichit la nôtre, une vitalité de gens qui ont souffert quand nous nous enfonçons dans le confort et l’apathie pour certains d’entre nous, et même, pardon de le dire, une immunité si leurs pays d’origine ne connaissaient pas nos normes sanitaires, ceux qui ont survécu, ont forcément développé des défenses que nos organismes ont oublié. Ils peuvent d’ailleurs apporter des maladies, mais a priori, nos sociétés peuvent affronter le phénomène, pourvu que les moyens soient mis et que les puissances privées n’aient pas trop siphonné la puissance publique.

    Bref, tout cela est complexe, bien plus complexe que la bête et méchante propagande des uns et des autres.





    L’ascension de Marine s’est faite sur une ligne nouvelle, Ni Droit Ni Gauche, Français, nous avions chassé les libéraux du Front, nous avions en réussi dans le début des années 90 à redéfinir le FN comme mouvement national, quand il était jusqu’alors défini comme la droite nationale.

    Jamais les marinistes ne se sont définis comme de droite nationale, et nous y veillions scrupuleusement, quand les tenants de l’extrême-droite s’acharnaient et s’acharnent toujours à la rétablir.

    JMLP nous avait laissé libre champ (pour des raisons complexes que j’ai expliquées dans différents textes) et nous l’occupions de cette manière, c’en était fini de toutes références américaines, thatchériennes dans lesquelles nous ne nous reconnaissions pas du tout et que nous combattions.

    C’est la véritable histoire du Front.

    Evidemment, comme elle ne convient à aucun de nos adversaires, elle est méconnue.

    JMLP n’est plus aujourd’hui sur cette ligne qui est celle du Front depuis plus de 25 ans.

    Marion Maréchal Le Pen est par exemple un des fers de lance de cette ligne droitarde que l’on peut qualifier d’anti-frontiste, tout du moins de l'anti-marinisme.



    Quant à notre cas personnel, il a été scellé avant 2011, la droite au sein du Front a eu raison des concepteurs du Ni Droite Ni Gauche bien avant, en 2003.

    Avant Philippot, avant Racheline (qui a eu à vivre ce que Philippot a enduré), l’extrême-droite s’en était prise à Samuel Maréchal et au père de mes enfants, qui furent les architectes auprès de Marine de la nouvelle ligne du Front.

    Aux élections régionales, ils se sont vu opposer une liste MNR en tant que cible prioritaire à abattre de l’extrême-droite et n’ont pas recouvré leurs sièges à quelques voix quand le MNR faisait son meilleur score contre eux avec quelques 2 %.
    Leurs mandats perdus, ils n’avaient plus les moyens financiers de vivre (le père de mes enfants avait eu à choisir juste avant l’élection entre sa réaffectation ministérielle en tant que fonctionnaire, sa disponibilité de huit ans prenant fin, ou ses responsabilités au sein du Front, il avait préféré ne pas abandonner en pleine campagne et bataille.

    Samuel est parti tout de suite après, mais il n’avait pas de grandes convictions, c’était seulement un arriviste qui avait vu dans ses prises de position, une façon de régner au sein du Front.

    Il a d’ailleurs soutenu sa fille Marion Maréchal Le Pen, alors que celle-ci défend précisément la ligne opposée à celle qui fut la sienne lorsqu’il était au Front et à laquelle il doit tout son malheur au sein du Front et de sa famille.

    Le père de mes enfants est resté tout seul contre la meute restée présente via Martial Bild, et sa bande, aujourd’hui sévissant sur TVLibertés, la télé libérale identitaire.

    Il a été sacrifié par JM et Marine Le Pen qui avaient toujours du mal contre cette extrême-droite dont elle a eu raison grâce au soutien de JMLP contre Gollnisch.

    Mais même après le départ de Bild, il en restait toujours, attendant le moment pour reprendre le pouvoir au sein du parti, ils s’en sont pris à moi qui était restée, et profitant du fait que le père de mes enfants n’était plus là car ils n’osaient pas moufter quand il y était encore.

    J’ai dû me les coltiner et batailler seule au sein de ma fédération contre leur présence régnante au sein de ma fédé de Loire-Atlantique.

    Je reconstruisais ma vie seule avec mes quatre enfants en bas-âge et menait seule ma vie militante très active mais isolée. j’avais le soutien de Marine et j’ai donc tenu de 2003 à 2011 ; date à laquelle je me suis aperçue qu’elle laissait entrer des lobbies extrêmement dangereux afin de réussir, avec le succès que l’on sait, son élection de 2012.

    Philippot n’a alors jamais cessé d’être leur cible, même s’ils étaient assez contents du fait qu’il contienne un courant qu’ils amassaient par la même occasion tout en essayant de le phagocyter.


    J’ajoute que mon rôle dès ma démission n’a cessé d’être de dénoncer et démontrer ces réseaux d’extrême-droite au sein du Front.

    Ce qui m’a valu bien des moqueries, mais surtout une attaque en règle de la famille Le Pen lorsque Marion maréchal le Pen m’a intenté un procès sur des prétextes fallacieux, me réclamant 23 000 euros alors qu’ils connaissaient parfaitement ma situation familiale et financière très difficile, d’autant que ma voisine et amie de l’époque n’était autre que la tante de Marion et sœur de Samuel, que j’ai d’ailleurs souvent aidée gracieusement , même si je le faisais de bonne grâce, car elle avait parfois du mal à combiner son travail et ses enfants, en plus des quatre miens, et alors que je travaillais aussi, j’ai souvent aidé des tas de mamans avec les leurs, bénévolement, car mon organisation me permettait et me permet toujours de le faire puisque j’organise mon travail en fonction de mes enfants et pas l’inverse.

  • Immigration, frontière et autres sujets caricaturés

    Un des commentaires et ma réponse suite à mon dernier article sur Agoravox :



    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pourquoi-j-ai-adhere-au-mouvement-197068#forum5007979



    Gambetta 24 septembre 08:35
    Bonjour
    Étrange plaidoyer tout d’abord on tape à fond sur le front national, tous les poncifs y passent , puis on raconte qu’on rejoint Phillipot qui quitte le FN mais avec lequel tu ne partage aucune idée.
    j’ai lu ta déclaration d’amour pour La France, et pour l’homme
    "La France est un choix, une volonté de vivre ensemble, une entité politique capable de créer des Français, de faire de n’importe quel homme un Français."
    « Nous sommes tous égaux, il n’y a que des systèmes inégalitaires. »
    Désolé mais ces déclarations sont celles de bobos de gauche, à mille lieues de ce que pense phillipot
    pour le contrôle des frontières , la priorité aux français, contre l’immigration, pour rétablir la sécurité etc.
    Je pense que tu es plutôt dans une démarche propagandiste anti FN
    Personnellement je m’en fous , mais je préfère quand on joue cartes sur table.

    Répondre


    orianeborja 24 septembre 15:36

    @Gambetta

    J’ai adhéré au Front lors de la campagne contre le Traité de Maastricht, j’ai très rapidement intégré la direction nationale qui recrutait sur un programme anti-raciste (n’en déplaise aux anti-frontistes et frontistes haineux).

    J’ai moi-même formé et recruté pour le Front sur un discours anti-droite et anti-raciste, et je traite de menteurs et d’imposteurs tous ceux qui pourraient dire le contraire, c’était notre programme OFFICIEL.

    J’ai accompagné Marine durant 20 ans pour cela, nous avons réussi à écarter peu à peu tous les libéraux et racistes du Front, dehors les tradi, dehors les identitaires, dehors le GRECE, exit le Club de l’Horloge, ouste le renouveau Etudiant, les Anthony, Megret, Lang, Le Gallou, Blot et compagnie.

    Resté Gollnisch le mou, que nous avons combattu en tant que marinistes, cela vous aura peut-être échappé, mais nous avons mené un combat féroce, un combat à mort idéologique, au sein du Front.

    Cela a été très violent, nous avons reçu des coups très durs, moraux et physiques.

    Personnellement, j’ai tout perdu dans ce combat, le père de mes enfants, ma maison, mon travail.

    Mais j’ai tenu (le père de mes enfants ne s’en ai jamais remis).

    Ca tenait, nous avions gagné.

    Mais lors de la campagne pour les présidentielles de 2012, j’ai vu Marine aux abois, recruter tous azimuts et laissé entrer ou rentrer au Front des saloperies de tout poil, des lobbies d’extrême-droite les plus dangereux du monde, que je ne connaissais jusqu’alors qu’en dehors du Front, que j’ai étudiés, dénoncés, combattus, donnant ma démission en novembre 2011 pour ces raisons précises, alors que Marine m’offrait des responsabilités de plus en plus importantes.

    Concernant le fond, j’ai toujours soutenu l’existence de nos frontières, ce qui me paraît évident.

    J’ai récemment écrit cela :


    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2017/09/01/ode-a-la-frontiere-5975930.html


    mais j’ai toujours tenu ce discours.

    C’est sans doute ce qui m’oppose à Mélenchon, encore que si l’on en discutait vraiment et qu’il était cohérent et sincère, nous pourrions évidemment nous y retrouver.

    La frontière n’est pas seulement matérielle, du reste que certains le veuillent ou non, la France conserve ses frontières physiques.

    La frontière est surtout une frontière institutionnelle, la France commence et s’arrête là où nos institutions sont.
    Notre justice, notre police, notre défense, nos écoles, nos administrations, nos services publics, nos lois en général, sont ceux contenus dans nos frontières.

    Notre système démocratique, notre constitution, nos principes généraux, notre conception unitaire de la nation et de l’Etat nous sont propres.

    Notre coeur, celui de la France est ouvert, mais notre âme est française, les artères, veines, poumons, tous les organes de la France, sont français et limités à notre territoire national.

    Celui qui parle sans frontière, entend seulement abattre la France, songe-y-t-il vraiment ?

    De même en matière de politique d’immigration, le discours officiel du Front a toujours été politique, nous avons toujours défendu l’étranger, nous avons toujours dit avec force que l’immigré n’avait rien à voir avec les politiques d’immigration, droit de la nationalité ou assimilation.

    Du reste, la France et son Etat n’ont jamais cessé d’appliquer des politiques en ce sens.

    En revanche, nous dénonçons les lobbies patronaux, libéraux, qui encouragent évidemment à l’exploitation d’une main-d’oeuvre docile.

    Un étranger qui vient en France, a souvent une volonté farouche de s’en sortir, il acceptera de travailler au noir, sans couverture sociale, sans tenir compte de nos droits et devoir, se moque souvent des impôts et de la société dans laquelle il arrive, et il n’est même pas blâmable pour cela.

    D’ailleurs une fois installé, il réfléchira plus loin et comme nous, quand il comprendra notre société et son fonctionnement.
    Mais d’autres arriveront et prendront leurs places dans ce moment libéral si prisé par les exploitants d’êtres humains.

    Le travail au noir, la non-imposition, la non-contrainte, l’anti-Etat, l’anti-loi, la violence privée, sont tous des dogmes libéraux.

    Pour ne rien dire du trafic d’êtres humains, des déplacements de population, du pillage des richesses qui sont autant de paramètres à prendre en compte dans une politique globale d’immigration.

    Hier encore est sorti un rapport sur l’Allemagne, montrant qu’elle avait largement profité de l’apport des réfugiés.

    Rien d’étonnant, quand on sait qu’on les parque dans des logements communautaires et fait travailler pour quelques centimes de l’heure, à ce compte, c’est tout à fait rentable pour la caste financière.

    Et on ne les entendra pas sur des revendications sociales, pas avant qu’ils n’aient été exploités et essorés comme des éponges que l’on jettera une fois pressés.

    En revanche, je reconnais l’apport des étrangers, d’autant que nos systèmes dépendent en partie de la démographie, l’Allemagne par exemple, meurt de ne pas faire d’enfants (ce qui montre au passage la confiance des Allemands dans leur vie ...).

    Ils apportent une autre façon de raisonner qui enrichit la nôtre, une vitalité de gens qui ont souffert quand nous nous enfonçons dans le confort et l’apathie pour certains d’entre nous, et même, pardon de le dire, une immunité si leurs pays d’origine ne connaissaient pas nos normes sanitaires, ceux qui ont survécu, ont forcément développé des défenses que nos organismes ont oublié. Ils peuvent d’ailleurs apporter des maladies, mais a priori, nos sociétés peuvent affronter le phénomène, pourvu que les moyens soient mis et que les puissances privées n’aient pas trop siphonné la puissance publique.

    Quant aux "folklores" et croyances, le repli identitaire est une réaction de peur, justifiée ou non, et se retrouve dans les mêmes termes dans les populations installées et celles qui arrivent.
    Un moyen d'exister et de vivre un semblant debout dans une société qui nous abandonne hélas.

    D'où l'importance de refaire société, de recouvrer la France, pour tous.



    Bref, tout cela est complexe, bien plus complexe que la bête et méchante propagande des uns et des autres.

  • J'ai adhéré au mouvement de Florian Philippot

    Mes lecteurs le savent, je n'aime pas le choix du terme "patriotes", ni celui de "souverainisme", qui sont à la fois insignifiants et identifiables à des idéologies dans lesquelles la France ne se reconnaît pas.

    Je renvoie à mes argumentaires sur le sujet.


    Je rejoins le mouvement de Florian Philippot suite à sa démission du Front National. J'ignore si mes prises de position, sans concession, les réjouiront, a priori je l'espère, mais je n'ai pas toujours eu la délicatesse que je reconnais à Florian et qui le fait à mes yeux, représenter un homme d'Etat, quand je ne pourrais en être qu'un serviteur, ce qui me convient au demeurant parfaitement, serviteur de la France et fou du roi, cela me préserve de toute dérive., les hommes d'Etat étant avant et malgré tout des hommes, capables du meilleur comme du pire. Le fou du roi garde sa sagesse en renvoyant un miroir grossissant de la réalité, met le doigt où cela pince, joue un rôle mais garde son rang, il n'existe qu'aux yeux de ce qui veulent bien le voir et en fonction de ce qu'ils veulent voir sans doute.


    J'ai envie d'un nouvel espoir, le besoin crée l'organe, on a besoin de quelqu'un pour la France, et la nature a horreur du vide, comblons-le.



    Je suis la mieux placée, pour les avoir étudiés, pour connaître des lobbies d'extrême-droite à qui Marine à donner blanc seing au sein du Front, elle ne les connaît peut-être même pas précisément.

    J'ai démissionné du Front en 2011 après y être entrée en 1992 lors de la campagne contre le Traité de Maastricht, alors que Marine m'y offrait position et rôle.

    Je refuse la bêtise de tout racialisme, antisémitisme, islamophobie, homophobie et autres conneries ambiantes dans ses rangs.

    J'aime l'honnêteté et l'engagement désintéressé.

    Et par dessus tout, je tiens à ce que l'on sache ce qu'est la France et donc pourquoi et comment il faut la défendre.

    Je pense sincèrement que l'esprit de nos lois, la façon dont a été forgée notre pays via ses institutions, nous ont menés à la reconnaissance universelle que nous connaissons.

    La France, avant d'être une puissance mondiale, est une puissance intellectuelle reconnue.

    Le politique, l'organisation des affaires de la Cité qui en fait le sens, s'y est développé de façon tout à fait unique.

    C'est un trésor dont on connaît inconsciemment le prix mais dont on n'apprécie pas forcément bien la valeur et comment elle s'acquiert et éventuellement se perd.

    La France est menacée depuis le sortir de la guerre par des puissances financières dont l'idéologie libérale est structurée et puissante.

    Notre richesse nationale ne se mesure pas forcément en PIB, mais dans notre capacité à reconnaître ce qui fait de la France un système politique d'une civilisation très avancée.

    Notre rôle de protection de notre population et de respect des autres entités étrangères est une mission dont la France est capable quand elle est elle-même, nous possédons intrinsèquement les moyens de notre force.

    Une force qui s'oppose en tout point à l'impérialisme anglo saxon, à ses excès et ses dérives.

    La France a fait la preuve par le temps de sa sagesse et de son potentiel de sagesse et d'équilibre, elle a connu des malheurs dont elle a su tirer les leçons, la France a une mémoire, c'est son histoire, dans laquelle nous devons puiser pour nous ressourcer sans cesse.

    La France ne doit pas se réformer, elle doit s'inscrire dans un continuum pour avancer, fait d'institutions comme autant de garde-fous.

    La liberté n'est pas sans foi ni loi, la protection n'est pas une inhumanité, c'est le contraire.

    L'homme est cet être capable de génie, bon ou mauvais, ou de faiblesse, bonne ou mauvaise, et tout cela en même temps, la véritable sagesse réside davantage dans la structuration, la solidité politique d'un pays, que dans les hommes qui passent et sont tous autant d'individualités plus ou moins bonnes ou néfastes, beaucoup et si peu de choses à la fois.

    J'aime beaucoup l'homme en général, avec tous ses défauts et ses qualités, mais par-dessus tout, j'aime que l'on bâtisse des structures qui permettent à l’humanité de s'exprimer et à contenir l'inhumanité qui est en nous.

    Et je crois la France capable de ce miracle.

    Je crois dans notre modèle unitaire et protecteur, je ne crois pas que l'on impose des visions, des idéologies suprématistes, en revanche, je crois à l'exemple, le modèle, que l'on peut choisir ou pas.

    La France est un choix, une volonté de vivre ensemble, une entité politique capable de créer des Français, de faire de n'importe quel homme un Français.

    Nous sommes tous égaux, il n'y a que des systèmes inégalitaires.

    La puissance est la puissance publique, celle qui réunit les hommes et qui sait que nous sommes tous fondus ensemble que nous ne valons rien les uns sans les autres, que chacun est seul responsable de tous, que la res publica est le moyen de lutter contre les intérêts particuliers du loup dans la bergerie.

    Le politique est le moyen de changer le plomb en or, le graal est à notre portée, et la France nous a laissé cette pierre philosophale, il suffit de se baisser pour la ramasser, et nous remettre debout.

  • Quand on enverra les cons au courant dominant, Marine n'aura pas fini de ramer

    Le Front va enfin pouvoir revenir aux fondamentaux, putains de sa race et de son idéologie libérales bienvenues, avec un petit bémol sur le phantasme dictatorial, le recours au chef providentiel serait momentanément remis en cause.

    En traduction, sortir de l'homme providentiel signifie se débarrasser de Marine Le Pen, on avait bien compris que l'anti-Philippot n'était que l'anti chambre du projet, mais après tout, on la laisse avec les loups qu'elle a laissé entrer dans sa niche.
    Un appel ensuite aux débats sages, on se poile, débattre de quoi ? De la place du Christ dans le combat contre DAECH avec une concession pour la part que joue le grand Valhalla ?

    Bon, ok, il n'y aura plus de chasse au pédé puisqu' officiellement, ce sera comme en Russie, il n'y a pas de tapettes en terre identitaire, que des mecs virils qui engrossent des dindes blondes pour perpétuer la race, même Bay est capable de jouer le rôle.

    Qu'on se rassure, la compensation pourra se faire sur les ratonnades, état d'urgence oblige, n'oubliez pas que derrière chaque mur du cons, un bougnoule est en embuscade, Aliot n'a pas fini de gamberger.

    Autrement, Macron, cette feignasse qui ne va pas au bout des réformes libérales, encore un infiltré trotsko au MEDEF, faut que Beigbeder réagisse, c'est la chienlit libérale, et Contribuables Associés n'a pas encore mené sa révolution fiscale, le progrès n'a pas encore atteint son but final, son retour à l'homme des cavernes.

    Bon ben on compte sur vous les gars !

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • La guerre des boutons du FN et autres verrues

    Les courants ne sont pas aussi déterminés que cela, l'assistante de Florian Philippot se croit tenue d'afficher sa liaison avec les Chrétiens d'Orient qui ont du mal à cacher leur islamophobie et leur libéralisme, soit l'extrême-droite dans toute sa splendeur ...

    Quant à Kelly Boop et ses deux neurones, ils sont connectées à l'extrême-droite israélienne qui en la matière, est un maître et modèle pour l'extrême-droite française et internationale.

    Le couscous ne sert que prétexte aux guerres des clans, mais ces clans ne sont que des alliances qui ne sont elles-mêmes que des salades composés de drôles de cornichons.

    Cornichons qui se bouffent entre eux en accompagnant aussi bien le jambon-beurre, sans beurre, que la mayonnaise identitaire traditionnalo-paienno européenne sauce franchouillarde.


    Par ailleurs, les identitaires (anciennement Terre et Peuple ont toujours fait tout un plat de leurs traditions culinaires régionales, il y a eu des conférences du GREECE là-dessus, et les gudards en faisaient des slogans alléchants du genre Ni CoCa Ni Kebabs Jambon-beurre.

    Une sauce masquant le fait qu'ils sont les meilleurs fossoyeurs de la France dont ils détestent l'Etat fondateur.

    En ramenant le combat à des queues de cerises sur la galette bretonne, ils obèrent les débats sur ce qui fait précisément la France : son Etat garant de notre unité nationale, tout ce qu'ils détestent.




    Il faut absolument qu'on vous raconte le #CouscousGate qui secoue le FN
    Pointé du doigt pour avoir mangé un couscous, Florian Philippot réagit auprès de BuzzFeed News: la «bêtise crasse» est «un poison pour notre combat politique».
    BUZZFEED.COM

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Manu avec sa bite et son couteau

    Et il s'est poudré au vent mauvais, se souvenant des jours anciens et pleure, et s'en va; de la musique avant toute chose, et pour cela préfère l'impair ...


    La mise en scène d'Emmanuel Macron à Saint-Martin qui dort sur un lit de camp et se lave au seau - Le Lab Europe 1
    LELAB.EUROPE1.FR

    Lien permanent Catégories : Brèves