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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 147

  • Petite réponse à l'égard des anonymes et autres cons qui viennent m'emmerder chez moi

    Petite réponse à l'égard des anonymes et autres cons qui viennent m'emmerder chez moi :

    "Sincèrement, vous venez me faire chier, sur mon blog (que je vous ai interdit de lire) pour me dire :

    - qu'éventuellement, je suis une dérangée mentale
    --> Non, je dérange, c'est autre chose.

    - que je serais peut-être un "troll infiltré"
    --> Je ne suis pas infiltrée, j'ai démissionné du Front.
    Et en matière de troll, j'ai été cadre formateur dès 1995, année où je suis sortie vice-major des Universités sous le contrôle de Samuel Maréchal;
    j'ai été candidate à toutes les élections depuis cette date jusqu'à 2011, dont tête de liste départementale en 2010;
    j'ai écrit pour Nations Presse Info et Nations Presse Magazine de 2007 à 2011;
    j'ai participé aux CAPrésidentielles;
    j'ai été élue plusieurs fois au Comité Central sans avoir fait aucune campagne interne;
    Louis Aliot m'a demandé de rejoindre le Club Idées Nations, think tank du Front, ce que j'ai refusé;
    Pascal Erre m'a demandé entant que responsable, de devenir cadre-formateur des élus, ce que j'ai refusé;
    j'ai démissionné en novembre 2011 et je n'ai pas cherché à me caser autre part.

    - vous me parlez de Français au salaire modeste
    --> je suis une mère qui élève seule ses quatre enfants et je travaille pour ce salaire modeste que vous évoquez, ce que vous appelez "assistanat" n'est rien d'autre qu'un complément de revenu indispensable pour aller travailler, sans ce pied à l'étrier, aucun Français modeste ne peut survivre, même en travaillant, lorsqu'il s'agit de bas salaires.
    Là encore, je sais mieux de quoi je parle que tout le monde.

    - vous parlez de race blanche, chrétienne et je ne sais quoi
    --> et vous m'emmerdez avec le Front ?
    Mais quel est donc votre programme, où croyez-vous une seule seconde que vous ayez un quelconque rapport avec lui ?
    On rêve là, il faut être manipulée et manipulable comme l'est une Marion Maréchal Le Pen -ce dont tout le monde convient à présent- pour penser que cela fut le programme du mouvement national.
    Changez de mouvement, il y a des maisons pour ça ...

    - et on pourrait continuer longtemps, votre droite et votre gauche, vous pouvez vous les foutre où je pense; quant à votre compréhension de notre Etat-nation, de notre patrie, de notre administration, de César et de Dieu, on ne va pas épiloguer longtemps, c'est hors de votre portée.

    --> résultat des courses, vous pouvez dégager de mon blog sans autre sommation, votre présence y est aussi pesante que vous êtes lourd, boiteux, et puant.
    Merci."

  • Dans la série #LeMondeEstPetit

    Selon "Le Canard enchaîné", un homme de l'entourage de Coulibaly, recherché pour trafic d'armes, était fiancé avec une femme agent du renseignement.
    LEPOINT.FR|PAR AZIZ ZEMOURI
     

  • Le jeté de carte d'identité, l'empreinte du terroriste

    Décidément le terroriste moderne se doit de jeter sa carte d'identité comme on jetait jadis le gant, en relevant la pièce, c'est comme si l'adversaire acceptait par avance de relever le défi ...

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  • Qu'est-ce qu'un avocat connard ?

    Un avocat qui a des pratiques repoussantes, c'est par exemple en général, celui qui, voyant une affaire sordide, se précipite pour envoyer un tiers solliciter l'entourage de la victime pour lui suggérer de faire appel à lui, les retombées médiatiques faisant une publicité hors normes et servent à faire tourner la boutique.

    La déontologie interdit formellement sous peine de radiation de débaucher ses clients, l'avocat sournois contourne la règle professionnelle en faisant croire à la victime qu'elle a fait appel à ses services de sa propre volonté.

     

    Les compétences professionnelles étant en plus inversement proportionnelles au culot du mancheux.

    Toute aussi délétère est la pratique du sacrifice et du viol des victimes pour les pousser dans les bras de journalistes en échange de relations médiatiques.

    Et, col blanc cerise sur la robe, l'avocat en question ne va cesser de pladolarmoyer en invoquant la grande morale, les grandes valeurs, et la grande saloperie de l'autre camp ...

  • Enfin un vrai député ?

    Avec Sophie Montel, le Front National aurait l'avantage d'avoir son premier vrai député alors qu'il n'a, à ce jour, donné que deux suppôts à la droite en s'étant vu imposer/refourguer, deux mi copains mi-coquins, mi-guignols mi racailles d'extrême-droite (un avocat plus communiquant que juriste et aux pratiques repoussantes, et une blonde à l'esprit maffieux, tous deux libertariano affiliés).
    On ne peut pas dire que nous ayons été gâtés et dignement représentés pour le moment ...

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  • DAECH, une création des Etats-Unis

    Débat en séance publique sur la prolongation de l'opération Chammal en Irak - Audition du Général de division (r) Vincent Desportes, professeur associé à Sciences Po Paris

    La commission auditionne le général de division (r) Vincent Desportes, professeur associé à Sciences Po Paris, en vue du débat en séance publique sur la prolongation de l'opération Chammal en Irak, en application de l'article 35 de la Constitution.

    M. Jean-Pierre Raffarin, président. - Nous poursuivons nos travaux relatifs au débat, qui se tiendra en séance publique le 13 janvier prochain, sur la prolongation de l'opération Chammal.

    Mon général, je suis très heureux de vous accueillir. Vous êtes à la fois général et professeur, votre parole nous intéresse donc particulièrement. Nous sommes préoccupés par la situation. Nous aurions du mal à refuser d'autoriser la poursuite de l'intervention, néanmoins la simple continuité nous pose problème, notamment au regard des critères énoncés par le Livre blanc de 2008. Nous voudrions avoir votre point de vue, juste avant d'entendre le ministre de la défense.

    Général Vincent Desportes, professeur associé à Sciences Po Paris. - Avant de revenir vers les critères d'évaluation des opérations extérieures, je crois qu'il faut dire, affirmer et répéter sans faiblesse : « Daech delenda est ». Ayons la force de Caton l'Ancien.

    Daech est aujourd'hui le danger majeur. Nous n'avons certes pas les moyens de tout, en même temps. Les menaces doivent être priorisées, quitte à consentir quelques compromis avec les moins brûlantes : dans le monde réel, dans un contexte de ressources et de moyens limités, notre politique ne peut être que réaliste.

    « Daech delenda est » ... mais nous ne pourrons répandre le sel sur le sol de l'Irak et de la Syrie. Il faudra au contraire le rendre fertile pour de nouvelles semences.

    « Daech delenda est » ... et pourtant votre interrogation demeure fondamentale : personne ne doute ici qu'il faille détruire Daech, mais devons-nous participer nous-mêmes à cette destruction ?

    Un mot sur Daech, d'abord.

    Ne doutons pas de la réalité de la menace directe pour nos intérêts vitaux, dont notre territoire et notre population. Daech est le premier mouvement terroriste à contrôler un aussi vaste territoire (35% du territoire irakien, 20% du territoire syrien). Ce qui représente 200 000 km² (soit l'équivalent de l'Aquitaine, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon, PACA et Rhône-Alpes réunis) et une population de l'ordre de 10 millions de personnes. Ce territoire est imparfaitement mais réellement « administré » par un « ordre islamique », fait de barbarie et de rackets. Daech dispose d'un véritable « trésor de guerre » (2 milliards de dollars selon la CIA), de revenus massifs et autonomes, sans comparaison avec ceux dont disposait Al-Qaïda. Daech dispose d'équipements militaires nombreux, rustiques mais aussi lourds et sophistiqués. Plus que d'une mouvance terroriste, nous sommes confrontés à une véritable armée encadrée par des militaires professionnels.

    Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre ? Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences : ce sont les Etats-Unis. Par intérêt politique à court terme, d'autres acteurs - dont certains s'affichent en amis de l'Occident - d'autres acteurs donc, par complaisance ou par volonté délibérée, ont contribué à cette construction et à son renforcement. Mais les premiers responsables sont les Etats-Unis. Ce mouvement, à la très forte capacité d'attraction et de diffusion de violence, est en expansion. Il est puissant, même s'il est marqué de profondes vulnérabilités. Il est puissant mais il sera détruit. C'est sûr. Il n'a pas d'autre vocation que de disparaître.

    Le point est de le faire disparaître avant que le mal soit irréversible, avant que ses braises dispersées n'aient fait de ce départ de feu un incendie universel. Il faut agir, de manière puissante et déterminée, avec tous les pays de la région.

    Il faut agir, mais qui doit agir ?

    Avant d'aller plus loin dans mon raisonnement, je voudrais, comme vous l'avez souhaité, étudier quelques-uns des critères retenus comme fil guide de ces auditions. J'aborderai d'abord celui de la capacité « d'analyse exacte du contour spatio-temporel et financier d'un engagement ». Ce critère est en opposition profonde avec la nature même de la guerre.

    Car, depuis que le monde est monde, personne n'a jamais pu « commander » à la guerre. Le rêve du politique, c'est l'intervention puissante, rapide, ponctuelle, qui sidère. C'est le mythe cent fois invalidé du « hit and transfer », du choc militaire qui conduirait directement au résultat stratégique et, dans un monde parfait, au passage de relais à quelques armées vassales immédiatement aptes et désireuses d'assumer elles-mêmes les responsabilités. Las ! Les calendriers idéaux (du genre « Cette opération va durer six mois ») sont toujours infirmés par ce que Clausewitz appelle la « vie propre » de la guerre. La guerre appartient à l'ordre du vivant, elle n'est pas un objet, elle est un sujet. Dès lors, n'espérons jamais « commander à la guerre » : c'est elle qui imposera son calendrier et ses évolutions. Cela a toujours été vrai : je relie mon propos à trois stratégistes qui inscrivent dans le temps éternel cette caractéristique incontournable de la guerre. 400 av. JC, évoquant la guerre du Péloponnèse, Thucydite indique que « La guerre ne se développe jamais selon un plan arrêté ». Au XVe siècle, Machiavel considère pour sa part que, si « on rentre dans la guerre quand on veut, on en sort quand on peut ». Il y a quelques années, un officier de cavalerie qui connaît la guerre mieux que personne pour en avoir souffert dans sa chair et l'avoir pratiquée à tous les niveaux, je veux parler de Winston Churchill, affirme dans ses mémoires, « Ne pensez jamais, jamais, jamais qu'une guerre peut être facile et sans surprise ; (...) l'homme d'Etat qui cède au démon de la guerre doit savoir que, dès que le signal est donné, il n'est plus le maître de la politique mais l'esclave d'événements imprévisibles et incontrôlables ».

     

    Senat.fr : Comptes rendus de la commission des affaires étrangeres, de la défense et des forces armées (mercredi 17.12.2014)

  • La ferme des animaux ou ces humains qui sont si bêtes

    Des objets doués de sensibilité pour satisfaire des sujets dénués de cervelle.
    Je rappelle que le jour où les poules auront le droit d'aller chez le dentiste, c'est-à-dire le jour où elles seront sujets de droit, vous n'aurez plus le droit de les bouffer.
    Et commencerons-nous par donner des droits à la poule ou à l’œuf ?

    Personnellement, je n'en ai jamais mangé, nous sommes végétariens depuis plusieurs générations dans ma famille, mais vous, êtes-vous prêts ?
    Quant aux veaux, vaches, cochons, ces animaux existeraient-ils encore si l'homme ne les bouffait pas ?
    Bon, il y a aussi une solution à l'indienne où les vaches sont sacrées et les hommes meurent de faim.

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  • Prends garde à toi

    Si les escroqueries économiques et financières augmentent, c'est à la fois parce que, comme Macron le souhaite, les jeunes veulent devenir millionnaires ou en tous les cas, sont en recherche de gains importants, rapides et faciles (et pour cela, il n'y a guère que le loto, ou l'escroquerie), et d'autre part, que les gens ont un cerveau de plus en plus primaire,  de moins en moins opérationnel, qu'ils tombent dans tous les pièges.

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  • Marine Le Pen soigne sa droite

    Rougeyron, des réseaux libertariens, qui n'avait jusqu'alors pas de mots assez méprisants pour le Front National ...

     

    "Ainsi, la liste des assistants parlementaires des eurodéputés FN réserve quelques surprises... On apprend que l'un des assistants de Jean-Luc Schaffhauser – l'homme du prêt à la banque russe – n'est autre que Nicolas de Lamberterie. Ancien d'Alsace d'abord – régionalistes identitaires –, c'est un admirateur du mouvement fasciste hongrois les Croix fléchées. Il a d'ailleurs créé l'antenne française du mouvement ultranationaliste et antieuropéen hongrois HVIM.

    Un autre de ses  assistants est Pierre-Yves Rougeyron. M. Rougeyron était d'ailleurs présent lors du congrès du FN à Lyon fin novembre pour présenter son dernier livre. Le site d'Alain Soral, Kontre-Kulture, a qui il a donné de nombreuses interviews vidéos, relaie régulièrement ses ouvrages. Président d'un Cercle Aristote, il a, un temps, fait un bout de chemin avec Serge Ayoub, ancien chef skin parisien.

    Autre profil, Allen Le Yaouanc. Assistant d'Aymeric Chauprade, M. Le Yaouanc est un militant aux multiples talents. Ancien de l'Action française étudiante, au temps des ses études à Assas, il passa au Bloc identitaire avant de revenir chez les maurrassiens. C'est lui qui a conçu le premier site Internet de l'Osteria Angelino, le restaurant romain où toute l'extrême droite se retrouve." (Le Monde)

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  • L'esprit terroriste de Marion Maréchal le Pen

    C'est un vieux leitmotiv de l'extrême-droite de vouloir se faire la peau des journalistes, mais au sens très propre, si l'on ose dire.
    Si les choses se passent comme ils l'entendent, ils les fusilleront en premier ...

    Et je peux vous assurer que tous ses soutiens ne verront absolument pas le problème.