Le combat à venir sera à mener contre plusieurs fronts puisqu'il faudra lutter contre l'axe Macron-Fillon-Maréchal Le Pen.
Quant à Mélenchon, soutiendra-t-il comme en 2012 et comme tous les autres, le doigt sur la couture, les lobbies d'extrême-droite comme le lobby de l'Institut Pour la Justice ainsi que celui de la Démocratie Directe, qui sont directement attentatoires à nos institutions républicaines ?
Présidentielles - Page 5
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L'extrême-droite sur tous les fronts aux présidentielles
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Sous le Soleil du Camp des Saints (version longue)
Ce n'est pas Fillon qui est une imposture au souverainisme, mais le souverainisme qui EST l'imposture.
Le souverainisme est une idéologie d'extrême-droite qui n'a rien à voir avec la souveraineté.
C'est une idéologie anglo saxonne, naturellement libérale.
Le souverainisme, c'est l'indépendance de l'individu par rapport aux règles économiques que la France attribue à l'Etat.
Le souverainisme entend défendre :
- la liberté monétaire et les monnaies privées
- la justice décentralisée et la justice privée
- la police locale et la police privée
- les armées privées
- les écoles privées hors-contrat hors contrôle de l'Etat
- non intervention de l'Etat dans l'économie
- communautarisme
Nos pans de souveraineté sont les attributs de l'Etat :
- droit de battre monnaie
- droit de faire les lois et de les faire exécuter
- droit de justice
- droit de police
- défense nationale
- école gratuite pour tous et programme/diplômes nationaux
- Etat garant de la prospérité (contrôle de l'économie)
- Etat garant de l'unité nationale
Le souverainisme et la défense de notre souveraineté n'ont non seulement rien à voir entre eux mais encore s'opposent-ils avec force.
Le souverainisme est une idéologie, d'origine anglo saxonne à la base, et qui en Europe, a pris naissance avec la Paneurope.
Le Mouvement paneuropéen a commencé à germer après guerre et notamment dans les correspondances Condenhove Kalergi-De Gaulle.
De ce mouvement seront issus les Mouvement Pour la France et autre RPF.
C'est un mouvement étroitement lié à l'idéologie libérale (dans son acception française, le "liberal" anglo saxon étant classé à gauche par les partisans libéraux du souverainisme).
C'est ainsi que le thatchérien Nigel Farage et le mouvement Libertas du multimilliardaire Jimmy Goldsmith, se sont retrouvés ou se retrouvent dans ce courant.
Le Front National ne serait a priori pas "souverainiste" a proprement parlé, Marine Le Pen ne sait pas exactement à quoi cela correspond, mais ses partisans libéraux, et notamment ceux liés au Club de l'Horloge (Marine Le Pen est conseillée par Jean-Yves Le Gallou par exemple), ou l'Institut de Formation Politique -qui se revendique ouvertement de maison-mère libertarienne/libérale cons américaine- qui alimente Marine Le Pen (mais pas seulement) en cadres, ou encore l'Ecole de Guerre Economique (également liée aux Américains, notamment via John Laughand, agent de Ron Paul en Europe et Russie), se retrouvent dans le souverainisme.
La souveraineté est autre chose.
La souveraineté française se définit clairement par les attributs de souveraineté de l'Etat depuis les siècles qui ont fondé la France.
Ce sont ces attributs de souveraineté (droit de battre monnaie, droit de faire et d’exécuter les lois, droit de rendre justice, droit de police, droit de défense extérieure) qui garantissent ou garantissaient (puisque la France a perdu peu à peu ses attributs de souveraineté) à la France les moyens d'assurer son grand principe fondateur d'Unité nationale.
Ce principe d'Unité qui permet à chaque Français, quelles que soient son histoire et notamment ses origines, d'être considéré comme tous les autres, quel que soit son lieu sur notre territoire.
Cette souveraineté française donnait à la France son indépendance, le droit pour les Français de décider de leur devenir.
La démocratie avait permis de transférer ce pouvoir jadis détenu dans les mains d'un Roi, dans les mains du peuple, cette population dont la France faisait des Français.
Le souverainisme a avoir avec la souveraineté européenne.
Dans l'idée des souverainistes, très liés à l'Opus Déi et au principe de subsidiarité de l'Eglise, ce principe doit également s'appliquer à l'Europe.
Il s'agit d'un principe libéral.
"La subsidiarité peut se définir comme la hiérarchisation des pouvoirs au sein d'une société en fonction des compétences propres à chacun des éléments constitutifs de cette dernière.
Le principe de subsidiarité énonce le souhait que les compétences des groupements d’ordre supérieur doivent se limiter aux tâches que les groupements d’ordre inférieur ne peuvent faire par eux-mêmes.
Les décisions devraient donc être prises à l'échelon le plus adapté (si possible au niveau de l'individu), de façon à permettre la résolution la plus rapide et la plus efficace des problèmes.
Le contraire du principe de subsidiarité est la centralisation, qu'elle soit le fait d'une autorité centrale coercitive, ou que les groupements d’ordre inférieur (individus, communes, cantons, régions...) cèdent leur droit à l'entité supérieure, en échange de subventions.
La subsidiarité rejoint l'idée fédérale et s'oppose au modèle jacobin centralisateur de l'État-nation."
François Hollande ne se réclame apparemment pas de cette souveraineté française.
Il parle d'une "souveraineté européenne".
Faisant référence à un rêve d'indépendance de l'Europe, peut-être vis-à-vis des Américains, comme tel était le projet d'un de Gaulle également.
La décentralisation des uns et des autres n’est pas exactement de même essence.
Les partisans de l’UE et leur « landerisation » n’ont pas exactement les mêmes postulats de base que les souverainistes.
Les partisans de l’UE ont créé les prémices d’un Etat européen, centralisateur pour certaines grandes règles, économiques notamment, vers toujours plus de libéralisme, avec les régions comme cellules de base.
Les souverainistes sont eux partisans d’un Etat minimaliste, ne garantissant que la liberté nécessaire au libéralisme et la décentralisation est pour eux un moyen de réduire la puissance de l’Etat, que l’Etat se situe au niveau de la nation, ou bien au niveau européen.
Pour les souverainistes, la décentralisation n’est pas exactement un territoire, elle est le plus petit lieu où peut s’exercer le pouvoir.
C’est leur principe de subsidiarité, dont ils disent que l’UE l’a inversé.
Pour eux, le pouvoir doit se situer au plus proche de l’individu, sauf si on ne peut pas faire autrement.
Ils se calquent sur l’Eglise, et sont liés à l’Opus Déi dont le côté religion n’est qu’un cache-sexe de son extrême-droitisme.
Mais il faut comprendre que, des deux nuances idéologiques, le souverainisme est celle qui tend vers le plus de libéralisme et pousse à tous les niveaux en ce sens.
Aucune de ces idéologie n’est la France et n’a de lien avec la souveraineté française, sinon que les souverainistes essaient de noyer leur idéologie derrière la confusion que peuvent entraîner les deux termes.
La souveraineté française est au service d’une grande idée d’unité nationale qu’ils ne défendent pas du tout.
Le fait est que le souverainisme appelle aussi l'Europe, dite des nations, à cette indépendance.
On voit mal comment une Europe libérale serait différente de l'idéologie anglo saxonne libérale, mais ne compliquons pas l'affaire.
Etant donné que peu semblent déjà maîtriser les termes du débat ...
Ce que veulent les souverainistes, c'est d'une Europe plus libérale, moins "étatiste", moins réglementée, ils appellent ainsi l'UE : "l'union soviétique européenne".
Lorsque vous faites appel à la notion de souveraineté, votre nation s'accorde et respecte, également, toutes les autres entités équivalentes dans le monde.
La France est un Etat-Nation (qui détient donc les attributs de souveraineté) est en en cela, très différente d'autres cadres politiques.
Un hypothétique principe de "souveraineté européenne" serait-il ainsi sous-tendu par le principe d'unité français, ou par le principe individualiste anglo-saxon ?
Notre unité implique un pouvoir centralisé, quand le paradigme anglo-saxon s'alimente de décentralisation.
Le souverainisme est une idéologie qui revendique par ailleurs cette décentralisation, et l'Etat est une plaie à combattre, même s'ils jouent sur le concept d' "Etat fort", car ils veulent un Etat minimal qui défende fortement la liberté individuelle.
La domination anglo américaine ayant entraîné la France dans ce processus qui nous est étranger car la France a justement toujours lutté contre les pouvoirs et petits intérêts féodaux que cela engendraient, et qui mettaient en péril notre raison d'être, celui de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.
Le modèle allemand, ou britannique naturellement, s'assimilent au modèle fédéral américain en revanche.
En sachant que ce genre d'organisation politique est très poreux aux lobbies, quand l'Etat y est un rempart.
Le souverainisme n'a rien à voir avec la France, et on le voit bien, c'est un mouvement politique hors-sol, avec un réseau mondial.
Le mouvement qui défend la France et sa conception de la souveraineté, s'appelle la France.
Les souverainistes s'associent au mouvement de Démocratie Directe, conception anglo américaine.
La bataille des libéraux sur nos institutions est ancienne, nous n'avons pas opté pour ces paradigmes anglo saxons, la France a su rester elle-même grâce à cela, indépendante est souveraine, unitaire, grâce au maintien de notre conception des institutions.
La Démocratie Directe est la voie des autonomismes et des lobbies.
Tous ces concepts politiques sont autant de pièges pour la France pour ceux qui ne les comprennent pas.
En parallèle, l'emprise libérale sur l'Eglise a permis d'associer le principe de subsidiarité de l'église, au souverainisme, pour l'appliquer au politique, de façon à détruire, comme avec la Démocratie Directe, les souverainetés nationales.
Que l'on ne me demande pas comment un J-P Chevènement et les dits souverainistes de gauche se situent dans cette idéologie, je ne suis pas responsable des incohérences des uns et des autres.
Mais depuis longtemps les souverainismes sont solubles entre eux et parlementent de façon transversale, sans trop s'avancer sur des questions qu'on ne leur pose jamais, sur leur réelle vision économique, sociale, leurs frontières en quelque sorte, et même celle de leur "indépendance", notamment vis-à-vis de l'idéologie libérale. -
Sous le Soleil du Camp des saints
Le camp Fillon devrait au moins apprendre aux ignorants que le souverainisme dont les fillonnistes se réclament, est une idéologie d'extrême-droite qui n'a rien à voir avec la souveraineté.
Le souverainisme, c'est l'indépendance de l'individu par rapport aux règles économiques que la France attribue à l'Etat.
Ce n'est pas Fillon qui est une imposture au souverainisme, mais le souverainisme qui EST l'imposture. -
Fillon, prends garde aux mères de famille !
En tant que mère de famille nombreuse monoparentale, je n'aurai pas les moyens de subir une hausse de la TVA pour permettre aux actionnaires de s'engraisser davantage.
Idem pour mon travail, je n'ai pas les moyens que l'on touche à mon pauvre Smic ni de travailler encore davantage pour toucher tout aussi peu car aller travailler a un coût que les travailleurs pauvres ont déjà du mal à assumer, surtout les mères de famille.
Je n'ai pas plus l'envie que les moyens de voir l'école publique dépouillée pour permettre aux écoles hors-contrat de s'offrir le marché éducatif.
Idem pour la santé.
Je dirais même que si l'on touche à notre école et notre santé publiques, avenir de nos enfants et de nos générations futures dont la France a toujours assuré la gratuité, il verra ce qu'est une mère qui sort de ses gonds.
Et j'en suis certaine, des millions de mamans avec moi.Lien permanent Catégories : Brèves, Ecole, Présidentielles -
Ne jamais perdre l'axe libéral
Le patron d'AXA assure ses arrières.
AXA en grec, signifie recentrer, revenir toujours dans l'axe, au centre.
En hébreu, le prénom biblique AXA signifie "anneau à la cheville", enchevillé tel un esclave.
Henri de Castries a toujours été libéral cons, et on le trouve naturellement auprès des hommes politiques d'extrême-droite -toutes tendances confondues-, où il s'assure sans doute de leurs orientations vers cet extrémisme libéral vers lequel il tend.
De la même promotion Voltaire que François Hollande on retrouve Henri de La Croix de Castries parmi ses nombreux réseaux financiers.
De sensibilité catholique et conservatrice, ce directeur général du groupe d’assurance AXA, neuvième groupe au monde, après avoir été suffisamment proche de Nicolas Sarkozy pour faire partie des invités de la fameuse fête du Fouquet’s le 6 mai 2007, a soutenu la campagne de François Hollande avec une contribution de 7 500 euros au cercle animé par Jean-Jacques Augier « Répondre à gauche avec François Hollande ». -
Conservatisme et autres mises en boîte
Ron Paul et Macron le disent, Fillon est un de ces gros cons.
Libéraux à l'extérieur, cons à l'intérieur.
Cela dit, Fillon le dit lui-même, il est un de ces cons à titre personnel -la liberté individuelle va naturellement jusque-là-, à titre politique, il est entièrement libéral.
Du reste, Ron Paul titille volontiers lui-même la fibre des cons, c'est un levier de phishing pour mener jusqu'au filet libéral des plus sûrs, surtout dans les pays sous-instruits comme les USA et la Russie.
Macron fait d'ailleurs lui-même des clins d’œil plus que grossiers à cet électorat, faire sonner des Jeanne, des Bernanos et se vautrer dans la boue du Puy du Fou sont autant de signaux, le jeune loup est juste jaloux de la concurrence et que Fillon semble truster les cons plus que lui.
En France, on doit bien avouer que les cons sont moins à même de faire basculer le résultat, mieux vaut ne pas mettre toutes ses billes dans le seul panier-retour aux heures les plus cons de notre histoire.
Juppé tente le coup droit dans ses bottes, mais Juppé le double par les bruits de bottes :
"Pourquoi voulez-vous qu'à 62 ans et compte tenu du recul de l'âge de la retraite, je ne commence pas une carrière de dictateur ?"
Reste que Juppé s'essaie alors à le doubler par la gauche, ila contacté tous les fonctionnaires par message téléphonique pour sauver le service public.
En être rendu à voter l'extrême-droite crédible pour éviter l'extrême-droite impossible, afin peut-être que l'extrême-droite de gauche ne mette toute l'extrême-droite de droite d'accord.
On a beau ne pas être cons, on va finir par être condamnés. -
Il faut sauver notre école et notre santé publiques des griffes libérales de la droite, c'est une question de survie
Selon Fillon, et sa très thatchérienne femme, la politique de le dame de fer aurait permis de sauver les services publics.
On se pince, il est vrai que Fillon mettrait sûrement ses enfants dans une école publique britannique, ou se ferait facilement opérer dans un hôpital public anglais.
La première restructuration importante du système a eu lieu sous Margaret Thatcher.
Considérant que le grand coût du service national fut au moins partiellement dû à sa mauvaise organisation et au manque de sens commercial des fonctionnaires gestionnaires du système, elle a impulsé des réformes mettant en place une administration décentralisée du service hospitalier, et un marché interne qui mettait en concurrence les fournisseurs de service.
Contraints de respecter des limites financiers, les NHS trusts ou services régionaux hospitaliers ont souvent limité leurs activités non plus en fonction de la demande des patients, mais en fonction des contraintes budgétaires.
Les résultats furent prévisibles; d'un côté, le drame des "hospital waiting lists", l'allongement des listes d'attente pour traîtement à l'hôpital, d'un autre côté la réduction de certains traîtements, et enfin un développement de systèmes d'assurance santé privés. Le secteur privé n'avait jamais cessé d'exister, même pendant les premières belles années du NHS; mais pendant les années 1980 il a connu un nouvel essor, les assurances privées offrant, moyennant côtisation, des traîtements de pointe sans liste d'attente. De nombreux employeurs ont commencé à ajouter aux primes offers à leurs employées une couverture médicale privée complémentaire, notamment avec BUPA, société à but non-lucratif qui était déjà, avant la mise en place du NHS, un des grands fournisseurs d'assurance santé du pays.
Confronté depuis des années à de gros problèmes budgétaires, le service britannique de la santé a été un des grands sujets de la campagne pour les élections législatives de 2015.
Tous les partis, à l'exception d'UKIP de Farage, ont promis d'en augmenter le budget de fonctionnement et d'améliorer le service.
Quant aux écoles dignes de ce nom, seules les classes supérieures et la noblesse y ont droit en Angleterre, et encore, même les écoles de merde sont payantes.Lien permanent Catégories : Ecole, Education, libéralisme mondialisme, Présidentielles -
La France, Ce soir c'est plus la peine
C'est joli Capri, sans Pénélope, le Theule, dont Chirac n'aimait pas les "penchants", est mort soudainement après une nuit avec Fillon, d'une crise cardiaque, et à Capri, Fillon insiste pour dire qu'il était seul, vraiment seul sur son scooter lorsqu'il s'est cassé la jambe en l'air.
Pas de bol le Fillon, en espérant qu'il ne nous dépoussière pas le côté vieille France de notre république avec ces classiques Faure Pompée, Mitterrand padre, Villiers bourré, Sarko reliké, Hollande casqué, ne manquerait plus que Fillon et les PDG.
A Capri, Fillon était l'invité du président de Ferrari (Bolloré avec des liens plus ouverts avec la maffia), Gianni Agnelli & Luca Cordero di Montezemolo sont liés à l'Opus Dei.
La famille fait partie, avec Marion MaréchalLle Pen, des christians' sauteries organisées par Malofeev, l'oligarque maffieux russe, et l'extrême-droite européenne.
Maggy Maréchal Le Pen qui va avoir du mal à attaquer le programme de Fillon, tous deux ont le même "Sens Commun" identitaropuso libéral.
Aujourd'hui, la tenaille est en place.
La gauche unie aurait eu quelque espoir contre Fillon, mais Macron est là pour veiller à scinder le PS et laisser champ libre à son petit kamarade Fillon.
Le seul "espoir" serait que la gauche se mobilise pour faire barrage à Fillon en votant Juppé dimanche prochain, et à condition que la droite choisisse bien Juppé à Macron.
Entre un cancer phase terminale (Fillon/Macron) et deux autres tumeurs engageant aussi notre pronostic vital mais juste avant métastase (Hollande/Juppé), les deux dernières laissent un peu de temps avant de crever du libéralisme.
François Fillon, en toute modestie chez Ferrari
L'ex-Premier ministre était invité à Capri sur le yacht de Luca di Montezemolo. Une semaine à 48.000 euros.
TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM|PAR L'OBS
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Primaires contre primaires, l'évolution en cours de création
Chez nous aussi, il y avait la queue pour voter, certes il y a moins de bureaux de vote, mais tout de même, ça n'arrive jamais pour un vote ordinaire, en plus il pleut et la queue est dans la rue.
Le vote payant trouve donc son marché, les gens doivent avoir l’impression que lorsque c'est gratuit, c'est un cadeau de merde.
Il est vrai que le candidat des primaires sera sans doute celui que l'on devra subir au pouvoir la prochaine fois?
Cela a dû motiver les gens pour jouer aux éliminatoires dans l’isoloir.
Heureusement que Poisson s'est révélé rapidement en tant que le pire de tous dans ce melting-pot d'extrême-droite, mais le reste ne vaut pas mieux.
Quelle misère !
Nous aurons donc un second tour extrême-droite contre extrême-droite planqué derrière Marine le Pen où les réseaux de Poisson sont en embuscade, adulant la niaise nièce, espérant qu'elle court-circuitera sa tante.
Bon, une gauche unie aurait pu sortir victorieuse, mais cela ne semble pas aller dans ce sens.
Reste qu'une fois les primaires passées, Macron peut séduire tous les camps et créer la trumprise. -
Les instincts primaires ont la Bannon
Nous savons tous qu'il y a entre Jean-Frédéric Poisson et Marion Maréchal Le Pen, plus d'affinités qu'entre Marion Maréchal Le Pen et Marine le Pen, et que d'ailleurs, les liens via les réseaux existent et sont plus ténus que ceux qui lient tante et nièce, ne leur en déplaise.
C'est derrière cette minorité identitaro-libérale que se cachent les réseaux d'extrême-droite qui vont de Bannon à Malofeev, d'Outre-Altantique jusqu'à l'Oural.
Ceux-là même qui ont porté Trump au pouvoir et qui agissent à tromper un électorat qu'ils considèrent comme un marché, usitant des techniques commerciales et d'escroquerie les plus ignobles pour arriver à asseoir leur hégémonie, dont le but est de garder le magot dans leur oligarchie.Lien permanent Catégories : Brèves, Présidentielles