Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Libertariens (Libéralisme) - Page 42

  • Défendez la langue française, faites la grève de Radio Courtoisie, ça leur fera les pieds avant la lettre

    Foutons-leur un bon coup au pied de la lettre!

    Lire la suite

  • Le Boulevard Voltaire donné par Marine Le Pen à la destruction de notre modèle social

    Oriane Borja commented on an article.
    3 min · 
     

    Très "amusant" de voir Marine Le Pen et tous ses moutons soutenir la libéralisation de la sécurité sociale et donc, la fin de notre système d'assurance santé publique.

    Elle profite sans doute de l'ignorance des gens, ce qui est une honte.

    Le discours est protecteur, et donc étatiste, mais les actes sont incohérents, comme ici à se fourvoyer avec la fange extrême-libérale, la véritable extrême-droite.

    J'invite chacun à chercher quels lobbies sont derrière.
    Ils existent, je les ai trouvés.
    Je rappelle que les lobbies sont ceux qui font valoir des intérêts privés sur l'intérêt général, mettant toujours en avant l'intérêt du petit nombre qu'il représente contre l'intérêt de tous les autres.
    Tout le monde est perdant à un moment ou à un autre à ce petit jeu, sauf à être cadres de ces lobbies naturellement, ce que la majorité d'entre nous ne sommes pas (sauf sans doute dans les réseaux de Boulevard Voltaire).

    Les lobbies libéraux jouent à plein cette carte des failles relatives du régime spécial des indépendants ( comme ils jouent des failles dans tous les domaines) et on voit bien qui les soutient, Boulevard Voltaire les premiers, on ne sera pas étonné.

    Il faut bien comprendre que ceux qui se plaignent le plus du RSI, sont les autoentrepreneurs, que les libéraux brossent dans le sens du poil patronal alors que ce sont surtout de la petite main-d'oeuvre ultra flexible dont on exploite l'énergie.

    On leur fait croire qu'ils sont des petits patrons alors qu'ils ne sont que des esclaves du monde libéral.

    Alors oui, le RSI défavorise un indépendant qui gagne 3 000 euros par an, mais c'est sans doute que, plutôt que d'être au RSI, ce patron-là est plutôt au RSA, et qu'on le dupe ou qu'il s'autodupe.

    Le RSI sanctionne les entreprises libres non viables, c'est la dure loi du marché que vous adulez.

    Tous ces "indépendants " (personne n'est indépendant, c'est une illusion, un leurre libéral, les hommes sont tous dépendants les uns des autres et c'est heureux) se plaignent, à les écouter, seuls eux travaillent.

    Personnellement, j'ai choisi le salariat, j'ai plusieurs employeurs que je choisis, un travail que je choisis et des clients que je choisis, je me fais simplement rémunérer en tant que salarié et bénéficie du régime ordinaire de sécurité social (même si ma mentalité m'incite à ne pas en faire usage).

    Et je n'ai pas du tout la mentalité caricaturale évoquée ci-dessus par les lobbyistes libéraux.
    Je travaille beaucoup, ne compte pas mes heures, ne prends jamais de vacances, n'ai jamais eu d'arrêt de travail de ma vie, ni de chômage, je travaille même si je suis malade (sauf si je suis contagieuse car je travaille auprès de publics fragiles, personnes âgées ou enfants avec plus ou moins de handicap) et auquel cas je ne gagne pas d'argent.

    J'ai simplement une conscience professionnelle et je ne cherche pas à m'en foutre plein les poches sur le dos de mes clients.
    Je ne demande qu'à être honnête et gagner honnêtement ma vie.
    Et figurez-vous que la plus grande partie de mes collègues de travail ont le même état d'esprit, le souci de l'autre et du travail bien fait.

    Peut-être d'ailleurs que si certains commerçants et artisans avaient le même, ils auraient moins à se plaindre ...

    Dans tous les cas, tous ceux qui nous écrasent tous, salariés comme indépendants, sont les gros.

    Ce sont les gros qui raflent la mise sur le dos de tous.
    Les commerçants et artisans sont mis en concurrence (VOTRE chère concurrence), parc ceux qui délocalisent leurs produits et services, jouent la financiarisation en vendant à perte ou à prix coûtant, se rattrapant et faisant des marges sur le fait de payer à terme sur des masses exorbitantes.

    Voilà où mènent la concurrence, à la victoire finale du plus profiteur, du plus exploitant, du plus salaud.

    La règle est simple, scientifique (puisqu'éprouvée), la fin du prétendu "monopole" d'Etat (l'Etan c'est nous, tant mieux si nous sommes notre assurance) mène directement au monopole privé.

    La concurrence mène toujours aux monopoles privés, in fine, il ne reste que quelques grands groupes qui contrôlent le tissu de PME-PMI, qui tuent les petits commerçant, artisans et TPE, et acculent les salariés.

    Faudra-t-il - hélas ! - passer par une injonction du grand dérégulateur bruxellois pour libéraliser enfin ce système, comme pour le téléphone ?
    WWW.BVOLTAIRE.FR
     
  • Mouvement anti RSI, un mouvement anti social

    Ce sont surtout les auto entrepreneurs qui sont lésés par le RSI.

    Leur sort est très mis en avant par le mouvement anti RSI, qui entend privatiser la sécu.

    Or, ce régime est une grosse arnaque libérale, elle qui utilise cette force de travail ultra flexible, comprendre, corvéable à merci, et qui évite à ceux qui les emploient notamment en sous-traitance, de payer des charges et autres frais de licenciement.

    Ceux-là se plaignent de leur sort sous ce régime lorsqu'ils gagnent moins de 4000 euros par an.
    Mais en cas de maladie ou de maternité, les auto entrepreneurs sont pris en charge par la CMU, c'est normal que le RSI ne fasse pas doublon.
    Gagner 3 ou 4 000 euros par an, c'est être au RSA.

    Mais l'auto entrepreneur se prend pour un patron (c'est sa dernière fierté) et le patronat l'encourage à se voir ainsi et à revendiquer comme lui, plus de dérégulation et de privatisation.

  • Marine Le Pen soutient la privatisation de la sécurité sociale dans l'indifférence générale

     

     

    Fil d’actualité

     
     
    Oriane Borja a partagé la photo de Kelly Efenji.
    10 min  
     

    Regardez, lisez bien, voilà ce que fait le Front en ce moment, l'attaque contre la sécurité sociale au travers du problème du RSI.
    C'est une attaque directe contre le service public.
    Ceux qui sont derrière veulent privatiser le système.
    L'inverse du monopole, c'est la concurrence.
    Cela feignant d'ignorer qu'en plus, lorsque cela passe à la concurrence privée, cela passe surtout du monopole d'Etat (normal en France), au monopole privé !

    Bon sang, personne ne réagit, les frontistes devraient se lever, tous, contre cela.

    Et ces idiots de commerçants et d'artisans qui ne comprennent pas qu'ils crèvent de ces mesures de concurrence qu'imposent les multinationales, ce sont elles encore qui les tuent et bien avant, délocalisations, grandes surfaces, même les PME-PMI nz sont que des filiales puisque les gros ont fait en sorte que les réseaux soient sous contrôle via les franchises et autres sous-traitances.

    Ces petites grenouilles se prennent pour le bœuf et en exploseront, elles implorent des mesures libérales qui leur sont sussurées par les gros, qui vont les achever, en nous achevant tous si le régime de sécu implose.

    Mais qu'elles ne s'inquiètent pas, leur mort est programmée, et comme cela, elles ne mourront pas seules, on fera un grand feu de joie pour enterrer notre modèle français d'unité, de justice sociale (la vraie, ces salopards inversent en plus le langage), de protection.

    Le RSI n'est pas au point, mais cela arrange beaucoup beaucoup de monde.

     
    Manif contre le RSI !

    Manif contre le RSI !

    •  
      Oriane Borja 

      "

      Abrogation du monopole de la Sécurité Sociale

      De Wikiberal
       
      Nuvola apps colors.png Article principal : Sécurité sociale.
      « Que sera devenue la moralité de l'institution quand sa caisse sera alimentée par l'impôt ?
      Les abus iront toujours croissants et on en recalculera le redressement d'année en année, comme c'est l'usage jusqu'à ce que vienne le jour d'une explosion.
       »
          — Frédéric Bastiat, en 1850

      L'abrogation du monopole de la sécurité sociale en France est un combat mené de longue date par des libéraux et d'autres, pour permettre le libre choix de son assurance maladie et de sa caisse de retraite, et plus généralement de toute prestation "sociale" liée à des cotisations obligatoires (la "sécurité sociale" ne concerne pas uniquement l'assurance-maladie, comme certains le croient trop souvent).

      Un bon nombre de libéraux soutiennent qu'en réalité ce monopole a déjà été abrogé juridiquement via la législation européenne, et que le pouvoir politique, de droite comme de gauche, a tout fait pour empêcher cette libéralisation de se traduire dans les faits.

      Afin de mieux comprendre l'abrogation du monopole de Sécurité sociale, on peut consulter les définitions fondamentales de la protection sociale en Europe et en France et Les définitions fondamentales de l'abrogation des monopoles."

       

      http://www.wikiberal.org/wiki/Abrogation_du_monopole_de_la_S%C3%A9curit%C3%A9_Sociale

      L'abrogation du monopole de la sécurité sociale en...
      WIKIBERAL.ORG
    •  
      Oriane Borja Ils vont me tuer tellement ils sont cons.
  • Une manipulation fréquente de l'information par les lobbies lbéraux sur la toile

    Attention, une personne malhonnête a tronqué l'article et rajouté "par les grèves" dans le texte ci-dessous, ce qui n'est ni dans l'article, ni la réalité.
    On sait quels lobbyistes agissent ainsi en incrustant systématiquement ce genre de vices dans les textes qu'ils diffusent sur la toile afin de manipuler les gens, ils veulent détruire notre système de santé publique.

    Une note du service central du renseignement territorial du ministère de l’Intérieur décrit des urgences victimes de la dégradation des conditions de...
    FRANCETVINFO.FR
     

    Lire la suite

  • Collard connection, un danger pour la sécurité sociale, pour l'Etat et donc pour la France

    Attention, Gilbert Collard se sert de l'activisme de lobbies dont il est l'avocat et ami pour faire croire que le versan RSI de la sécurité sociale est illégal.

    Ce que reproche maître Collard au RSI, c'est son "monopole" d'Etat dont il dit que c'est un "rhumatisme jacobin", il entend faire valoir le droit européen sur le droit national pour déréguler notre système de sécurité sociale.

    Attention, grand danger national :


    Vidéo diffusée par Gilbert Collard, Député du Gard, Secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine Reportage édifiant sur le Régime Social des...
    RBMFRANCE.COM

     

  • La grande peur des bien-pensants

    Emmanuel Valls a peur, les Français ont peur, tout le monde a peur.

    Moi, j'ai peur que Valls et autres Macron ne précipitent mon pays dans le mur de la finance et par contre-coup dans les bras de manchot de Marine Le Pen, le mouvement national n'étant pas du tout prêt à recueillir l'espoir; il le fracasserait en effet dans des fourvoiements proches de ceux que l'on connaît actuellement.

  • Les auteurs de l'Idiot International de Jean-Edern Hallier, un nid de libertariens

    Leur monde est quand même très très petit, on retrouve toujours les mêmes.

    Lire la suite

  • Services publics, libre débat

     

    Il y a un grand danger pour les responsables politiques à s’avancer sur le terrain économique...
    CACCOMO.BLOGSPOT.COM
    J’aime ·  · 
    •  
      7 personnes aiment ça.
    •  
      Oriane Borja Votre postulat de départ est erroné.

      Notre société est bâtie sur le principe fondamental d'unité.

      Nous avons décidé, volontairement, d'être en lien, liés et interdépendants.

      Cela date de nos rois, de Clovis le premier, qui, face aux guerres tribales fratricides, décidait en accord avec les peuples sans doute fatigués d'une vie de sauvage, de se choisir un destin commun.

      Les droits régaliens sont bientôt posés, il s'agit des attributs de souveraineté de l'Etat, qui nous restèrent intacts jusqu'aux premières attaques libérales dans les années 1970.

      L'Etat qui est garant de notre unité et de notre souveraineté depuis toujours, avec la verticalité et ce centralisme propre à la France, cette structure étatique et donc, ces institutions dans le cadre national -de notre Etat-nation- qui nous gouvernent tous.

      C'est un choix de société qui a fait ses preuves par le temps, son modèle est donc, si l'on peux dire, scientifiquement prouvé puisqu'il a donné des résultats positifs, notre civilisation, incontestablement rayonnante, en est le fruit.

      Nous savons qu'en échange de notre travail, l'Etat nous donne protection au sens large :
      indépendance monétaire (jusque dans les années 1970), souveraineté législative (là encore, avant que l'on nous en spolie),justice, police,défense, prospérité,
      l'Etat est ou était notre plus fidèle chevalier servant, nous sommes ses sujets de droit, ainsi est la France.

      C'est le temps, l'empirisme organisateur qui fait rectifier les défauts en corrigeant sa jurisprudence et ses lois afin de garder toujours notre esprit fondateur, qui nous a fait parfaire sans cesse notre système et notre civilisation.
      jusqu'à ce qu'elle devienne un bijou.

      Le modèle anglo américain des pères fondateurs des USA, nous n'en sommes pas, nous n'en voulons pas.
      Ils sont tout notre opposé.

      Votre paradigme n'est pas le nôtre, non seulement il nous fait horreur mais encore nous détruirait-il tout simplement en tant que ce que nous sommes, Français, il s'agit de notre essence, de notre âme.

      Les services publics que vous honnissez, c'est l'intérêt général contre les petits intérêts particuliers, ce contre quoi Clovis a érigé son royaume déjà.
      La Grèce puis Rome nous y invitaient déjà, ce sont nos racines, les civilisations antiques qui nous ont tant apporté, avaient déjà l'idée d'adoucir nos moeurs et d'organiser notre société pour faire justement, société.

      Faire communauté nationale nous a permis un haut niveau social et d'acquis sociaux.
      Notre école, notre santé, notre justice, notre administration en général, sont nos trésors que nous devons de préserver comme notre patrimoine le plus précieux.

      Les dérèglements viennent de notre dépeçage à la découpe via les attaques de votre idéologie libérale.

      L'économique au-dessus du politique, c'est votre état à vous,

      Dans notre civilisation évoluée, c'est le politique qui doit dominer.
      Les affaires de la Cité au-dessus des affaires commerciales, il en va de notre intérêt à tous.
      Rien ne doit être au-dessus de l'Etat, car l'Etat, en France, c'est l'Etat-Nation, c'est nous, natio, c'est tant le cadre que le peuple.

      Nos institutions ne sont pas notre ruine, elles sont nos dernières protections.

      Aucun homme, aucune richesse ne vaudra l'apport de ce que des millions d'hommes ont apporté avant eux au sein d'une cohésion et cohérence nationale.

      Vos écoles, santé, justice, monnaies privées, sont des leurres et le retour à la barbarie, la loi de tous contre tous, selon la loi du marché où le fort impose tout aux plus faibles.

      Table rase, bond en avant pour trois pas en arrière, vous nous rappez paradoxalement certaines histoires vécues, mais sans doute, et comme tout paradoxe qui se respecte, ça n'en est pas un.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Vous ne savez pas lire : ouvrez donc les yeux, je ne critique pas les services publics (dont je fais partie) mais leur dysfonctionnement qui perturbe toute notre économie. Quand à l'intérêt général, il reste à définir.
      2 h · J’aime · 4
    •  
      Oriane Borja Vous critiquez leur gratuité, c'est bien cela.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais madame rien n'est gratuit, je critique le mensonge qui nous empêche les meilleurs choix.
      2 h · J’aime · 4
    •  
      Oriane Borja Quant au RMI/RSA/CMU, ce sont des palliatifs libéraux venus colmater le reste du système.
      D'autres appellent de leurs vœux le prétendu "capitalisme morale".
      Deux façons de panser des horreurs quand l'Etat ne contrôle plus rien ou plus assez.
    •  
      Nathalie Réglisse non, les "services" dits publics ne sont pas gratuits. Vous payez ou d'autres payent des impôts, des cotisations etc....
      2 h · J’aime · 3
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais c'est l'Etat qui a mis la France dans cet état depuis 40 d'imcompétence politique et de corruption, la France est loin d'être un modèle de libéralisme.
      2 h · J’aime · 3
    •  
      Oriane Borja Les services publics sont notre trésor à tous.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Alors vous en êtes esclave et vous le voyez même plus...
      2 h · J’aime · 4
    •  
      Oriane Borja L'Etat a des attributs inchangés depuis mille cinq cent ans, c'est son démantèlement depuis quarante ans qui nous mène à la ruine actuelle.
      Ne confondez pas Etat et gouvernement.
    •  
      Nathalie Réglisse vous payez votre billet de train, n'est-ce pas ? Pas au juste prix, je vous le garantis, sinon il aurait fallu en augmenter fortment le prix. Et pourtant , cette entreprise a une mission de service public. Cette entreprise n'est pas votre trésor national, sauf peut être du point de vue social et historique, voire culturel.
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Etre interdépendant n'est pas être esclave, l'amour n'est pas un esclavage, ou alors c'est autre chose.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais le gouvernement à la responsabilité de gérer l'Etat : et il nous laisse un Etat en faillite madame
      2 h · J’aime · 3
    •  
      Jean-Louis Caccomo Aimer son tyran : c'est le syndrôme de Stockholm.
      2 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja La gratuité des transports ne me dérangerait pas, les transports en tous les cas, doivent redevenir un domaine national.
    •  
      Oriane Borja L'Etan c'est nous, aimons-nous nous-mêmes.
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo avec des grèves, des trains en panne... des tarifs d'avion inacessibles.
      2 h · J’aime · 2
    •  
      Nathalie Réglisse D'acord avec vous Oriane, mais acceptez d'en mettre le prix dans ce cas. Ce ne sera pas gratuit.
    •  
      Nathalie Réglisse Hoo, vous Jean-Louis, je ne relèverai pas la pique. Vous parlez sans connaître !
    •  
      Jean-Louis Caccomo En théorie, vous avez raison, l'Etat c nous, mais dans une démocratie défaillante, l'Etat est aux mains d'une caste.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Je voyage Nathalie...
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Nathalie Réglisse Prenez votre voiture tiens, les péages privés sur autoroute avec ses bouchons, c'est mieux et l'essence est gratis.
    •  
      Marc Amblard Excellent texte. Frappé au coin du bon sens. On se saurait mieux dire. Bravo.
      2 h · J’aime · 2
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais justement, je dis que rien n'est gratuit !
      2 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja Quand nous aurons récupéré notre souveraineté monétaire, nous arrêterons de payer en intérêts seulement, le montant de notre dette.
      Notre argent retrouvé, et notre souveraineté en général -et notamment le fait pour l'Eta d'assurer notre prospérité-, tout redeviendra normal.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Nous avons perdu notre souveraineté parce que nous ne savons pas gérer notre budget. rien à voir avec la monnaie.
      2 h · J’aime · 3
    •  
      Laurence Lemaire Deroi Moi non plus je n'ai rien signé
      Photo de Laurence Lemaire Deroi.
      2 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja Personne ne doit être au-dessus de l'Etat, c'est votre économisme qui a tendu ces pièges.
    •  
      Nathalie Réglisse Mais non, parce que des idéologues nous ont piégés malgré nous dans le foutoir de l'Europe des banques !
    •  
      Jean-Louis Caccomo L'économie ne m'appartient pas et lisez bien, je parle philosophie, politique, morale et droit. Comme d'habitude, vous diabolisez sans vous donner la peine de lire.
      2 h · J’aime · 5
    •  
    •  
      Oriane Borja je parle aussi de toutes ces choses.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Et Un pouvoir sans contre-pouvoir, ça vous fait pas peur vous ?
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Nathalie Réglisse on peut avoir un avis sans diaboliser
    •  
      Oriane Borja Quand le pouvoir et le contre-pouvoir sont le peuple, ça ne me fait pas peur.
    •  
      Nathalie Réglisse Justement si, c'est pourquoi les partenaires sociaux mériteraient de se développer un peu plus
    •  
      Jean-Louis Caccomo Moi si ! Le peuple a mis Hitler au pouvoir !
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Les sociétés américaines ou russes ou chinoises, me font bien plus peur.
    •  
      Jean-Louis Caccomo pourtant elles prospèrent !
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo rester donc dans le Titanic...
    •  
      Nathalie Réglisse hééééé, la réductio ad hitlérium stérilise la conversation... que dire de plus ?
    •  
      Oriane Borja L’Allemagne n'est pas la France, l'Etat n'a absolument pas les mêmes fondements de part et d'autre du Rhin.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais c'est la vérité, le plus grand nombre peut produire le pire.
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Nathalie Réglisse c'est pas précisément Hitler le grand danger de notre époque
    •  
      Oriane Borja Comme le meilleur.
      j'ai foi dans les contre-pouvoirs qu'a ciselé notre etat par son histoire longue.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Quand la France s'effondrera, vous verrez...
      2 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Hilter a été le sauveur de la société capitaliste au lendemain du jeudi noir.
      Ford et General Motors ne savaient plus à qui vendre leurs moteurs.
    •  
      Oriane Borja La France ne s'effondre que de n'être plus la France, la France sans son Etat, n'est simplement plus la France.
    •  
      Jean-Louis Caccomo National-Socialisme : c le culte de l'Etat au-dessus de tout madame. Les entreprises n'avaient pas le choix et les juifs étaient poursuivis parce qu'ils étaient dans la finance internationale.
      2 h · J’aime · 3
    •  
      Jean-Louis Caccomo Je réclame l'instauration de l'Etat de droit dans l'esprit des Lumières qui a fait rayonné et grandir la France, pas l'Etat-Nounou.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Les sociétés russes, américaines et chinoises ne prospèren tpas, elles créent des clivages exorbitants entre une caste de riches et une caste de pauvres.
      Elles ne sont pas un modèle.
    •  
      Jean-Louis Caccomo qui fait de nous des moutons et des assistés.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo Une caste ???? vous ne connaissez donc pas la mobilité existante dans ces pays et impossible chez nous.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja La France n'a pas attendu les Lumières, un peu trop éclairées par le modèle anglo saxon.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo Bon j'abdique, vous êtes trop formatée... dommage mais comment faire entendre la musique à un sourd ?
      1 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja Le self made man américain reste un imbécile, aucune culture générale qui est celle de l'apport de tous nos pères avant nous, il n'a aucune conscience.
      Il ne réussit qu'en écrasant les autres.
      Cette mobilité vers le néant, je n'en veux pas.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo Vous ne l'aurez pas....
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja De nous deux, l'idéologues, c'est vous.
    •  
      Nathalie Réglisse Qu'entendez vous par "mobilité" ? Du point de vue humain, c'est inadmissible ces déportations de populations qui sont obligés de partir et quitter leur milieu naturel pour servir l'intérêt d'usiniers pour simplement manger.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Bien-sûr ! sauf que je suis un chercheur mais quand on veut tuer le chien on l'accuse de la rage.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Votre formatage n'a d'ailleurs eu aucune prise sur moi parce que j'étais faite d'un autre bois, celui de la France.
    •  
      Philippe Laurent Ah, Jean Louis, vous avez touché le gros lot ! Une célébrité de Facebook !
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Vous me flattez ...
    •  
      Philippe Laurent Il ne manque plus que Sylvain Durif et on a toute la collection !
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo J'admire vos certitudes et pensées toute faites mais aucune chance d'apprendre donc de survivre.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Toute ma vie de réflexion, toutes les idées, les plus tordues, visitées dans tous les sens, il ne s'agit pas d'idées toute faites.
      Mes combats et expériences politiques sont longs et approfondis.
      Ne soyez pas dans l'anathème, je me base sur des arguments que je crois solides et en tous les cas, éprouvés.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Ok je respecte !
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais j'ai aussi vie d'écrits d'articles, de livres et de recherche, je ne m'avance pas comme ça (et de terrain).
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Le libéralisme est le fruit d'une idéologie, la France, celui d'une volonté de paix, c'est bien différent.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Svp lisez mieux vous aussi avant à votre tour de tomber dans l'anathème et acceptez que l'économie a des fondements scientifiques qui dénoncent et s'opposent justement à l'idéologie.
      1 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja Oikos Nomos, l'économie est par définition, circonscrite aux règles de la maison.
      L'économie hors-sol, ça n'existe pas.
      Je crois aux règles de l'économie encadrée par l'Etat, par la volonté supérieure des hommes sur les choses.
    •  
      Jean-Louis Caccomo vous donnez la définition de l'antiquité madame, depuis il y a eu 4000 ans accumulées de théorie
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Jean-Louis Caccomo vous vous faites soigner avec la médecine médiévale ?
    •  
      Oriane Borja Avec l'esprit d’Hippocrate en tous les cas, celui de la raison.
    •  
      Oriane Borja Les choses ont un sens vous savez, l'essence ne change pas avec le temps.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Sciences économiques : théorie des choix rationnels
    •  
      Jean-Louis Caccomo vous me prenez pour un collégien ?
    •  
      Oriane Borja L'économie hors-sol n'a fait ses preuves nulle part, ce n'est donc pas une science.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Or l'Etat échappe à toute rationalité car il est géré par des irresponsables, et vous leur faites confiance donc vous êtes aussi irresponsable. Bonjour la Raison.
      1 h · J’aime · 2
    •  
      Jean-Louis Caccomo allez-dire cela à tous les prix Nobel d'économie...
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja La responsabilité est celle de tous.
    •  
      Jean-Louis Caccomo la responsabilité collective est un concept qui n'a pas de réalité, seul les individus rationnels (donc libres et non enchaîné ou dupés) sont en mesure de faire des choix responsables.
      1 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja Les Prix Nobel récompensent certes des recherches effectives, mais aussi ont une raison politique.
      Je m'intéresse aux recherches des Prix Nobel, mais je sais aussi lire pourquoi ils ont été récompensés.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Ah on y arrive : le complot !
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja La responsabilité collective se base sur l'intelligence collective, celle qui fait que l'on accepte ou pas certaines choses.
      Sur le temps longs, elle a prouvé son existence.
      Autrmeent, l'humanité ne serait déjà plus.
    •  
      Oriane Borja Il ne s'agit pas de complot, il s'agit de politique.
    •  
      Oriane Borja Les instances internationales sont des organisations politiques.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Je vous l'accorde volontiers
    •  
      Oriane Borja Et il en vas de même de certaines de nos institutions, la légion d'honneur par exemple, est passée d'une récompense nationale à une récompense politique.
      1 h · Modifié · J’aime · 2
    •  
      Bruno du Maquis Je ne sais pas si je dois vous admirer ou vous plaindre, cher Jean-Louis, de perdre votre temps à donner la réplique à ce troll servile, dont le propos peut se résumer en ces mots : hors des fermes d'élevage, la vie des animaux est impossible...

      Mais bon, c'est votre mur et votre temps.

       

      Sinon, excellent billet au fait. 
      Merci.
      1 h · J’aime · 2
    •  
      Jean-Louis Caccomo  oui je ne suis pas rationnel...
      1 h · J’aime · 2
    •  
      Oriane Borja J'aime bien Jack London, mais la vie sauvage, c'est bien pour les animaux sauvages, l'homme est un animal social.

      Cependant, j'ai aussi lu et adoré Animal Farm, je sais que la société est bien plus difficile à organiser que la nature qui a ses propres règles aussi belles que terrifiantes puisqu'elles sont aussi celles de la chaîne alimentaire où l'on doit sans cesse se défendre de ses prédateurs tout autant que l'on passe son temps à chercher ses propres proies.

      L'homme préfère se choisir d'autres perspectives, c'est sans doute l'humanité qui veut ça.

      Très chère humanité.
    •  
      Jean-Louis Caccomo Mais les économistes dans leur grande majorité ont le souci premier du bonheur et de la prospérité pour le plus grand nombre de l'humanité et sont bien malheureux de voir la civilisation se suicider au nom des grands idéaux (intérêt général...).
      1 h · J’aime · 3
    •  
      Jean-Louis Caccomo Tous les grands dictateurs parlent toujours au nom du bonheur de l'humanité, c bien là le drâme et le piège tendu au peuple.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Bruno du Maquis Moi j'ai vécu 13 ans à l'ombre du mur de Berlin. 
      Je n'ai pas lu à propos du collectivisme et de l'étatisme, je les ai vus à l'œuvre, sous mes yeux. 


      Alors votre logorrhée servile, votre mentalité de larbin qui se pâme de ses chaîne, je méprise. 
      Je vomis même. 

      Bon vent.
      1 h · J’aime · 1
    •  
      Oriane Borja Alors que l'ordre libéral naturel pourrait tout aussi bien faire le job, je sens que l'élevage ne batterie vous attire, attention au côté obscur.
    •  
      Oriane Borja Je parle de France, vous me parler d'URSS, la Stasi a fait pas mal de dégâts sur vous, je comprends ...
    •  
    •  
      Jean-Louis Caccomo En France précisément, ça se passe en France.
      1 h · J’aime · 3
    •  
      Bruno du Maquis Pauvre conne. 
      Je ne nourris pas les trolls. 
      Allez au diable.
    •  
      Oriane Borja Où SOS Education vient chialer son chèque éducation des poches du contribuables.
      L'humain, c'est aussi celui de Maupassant,.
      Humain trop humain.
  • Le libertarien, l'ennemi héréditaire

    Votre postulat de départ est erroné.

    Notre société est bâtie sur le principe fondamental d'unité.
    Nous avons décidé, volontairement, d'être en lien, liés et interdépendants.

    Cela date de nos rois, de Clovis le premier, qui, face aux guerres tribales fratricides, décidait en accord avec les peuples sans doute fatigués d'une vie de sauvage, de se choisir un destin commun.

    Les droits régaliens sont bientôt posés, il s'agit des attributs de souveraineté de l'Etat, qui nous restèrent intacts jusqu'aux premières attaques libérales dans les années 1970.

    L'Etat qui est garant de notre unité et de notre souveraineté depuis toujours, avec la verticalité et ce centralisme propre à la France, cette structure étatique et donc, ces institutions dans le cadre national -de notre Etat-nation- qui nous gouvernent tous.

    C'est un choix de société qui a fait ses preuves par le temps, son modèle est donc, si l'on peux dire, scientifiquement prouvé puisqu'il a donné des résultats positifs, notre civilisation, incontestablement rayonnante, en est le fruit.

    Nous savons qu'en échange de notre travail, l'Etat nous donne protection au sens large :
    indépendance monétaire (jusque dans les années 1970), souveraineté législative (là encore, avant que l'on nous en spolie),justice, police,défense, prospérité,
    l'Etat est ou était notre plus fidèle chevalier servant, nous sommes ses sujets de droit, ainsi est la France.

    C'est le temps, l'empirisme organisateur qui fait rectifier les défauts en corrigeant sa jurisprudence et ses lois afin de garder toujours notre esprit fondateur, qui nous a fait parfaire sans cesse notre système et notre civilisation.
    jusqu'à ce qu'elle devienne un bijou.

    Le modèle anglo américain des pères fondateurs des USA, nous n'en sommes pas, nous n'en voulons pas.
    Ils sont tout notre opposé.

    Votre paradigme n'est pas le nôtre, non seulement il nous fait horreur mais encore nous détruirait-il tout simplement en tant que ce que nous sommes, Français, il s'agit de notre essence, de notre âme.

    Les services publics que vous honnissez, c'est l'intérêt général contre les petits intérêts particuliers, ce contre quoi Clovis a érigé son royaume déjà.
    La Grèce puis Rome nous y invitaient déjà, ce sont nos racines, les civilisations antiques qui nous ont tant apporté, avaient déjà l'idée d'adoucir nos moeurs et d'organiser notre société pour faire justement, société.

    Faire communauté nationale nous a permis un haut niveau social et d'acquis sociaux.
    Notre école, notre santé, notre justice, notre administration en général, sont nos trésors que nous devons de préserver comme notre patrimoine le plus précieux.

    Les dérèglements viennent de notre dépeçage à la découpe via les attaques de votre idéologie libérale.

    L'économique au-dessus du politique, c'est votre état à vous,

    Dans notre civilisation évoluée, c'est le politique qui doit dominer.
    Les affaires de la Cité au-dessus des affaires commerciales, il en va de notre intérêt à tous.
    Rien ne doit être au-dessus de l'Etat, car l'Etat, en France, c'est l'Etat-Nation, c'est nous, natio, c'est tant le cadre que le peuple.

    Nos institutions ne sont pas notre ruine, elles sont nos dernières protections.

    Aucun homme, aucune richesse ne vaudra l'apport de ce que des millions d'hommes ont apporté avant eux au sein d'une cohésion et cohérence nationale.

    Vos écoles, santé, justice, monnaies privées, sont des leurres et le retour à la barbarie, la loi de tous contre tous, selon la loi du marché où le fort impose tout aux plus faibles.

    Table rase, bond en avant pour trois pas en arrière, vous nous rappez paradoxalement certaines histoires vécues, mais sans doute, et comme tout paradoxe qui se respecte, ça n'en est pas un.

    Lire la suite