Les frontières, c'est ce qui aurait pu nous protéger du travail précaire de masse allemand ou anglo saxon.
La frontière, c'est un état d'esprit, des limites à ne pas dépasser.
La frontière, c'est élever une ligne Maginot entre nos protections et la libéralisation étrangère.
Le mur, c'est celui que les gens qui travaillent vont se prendre dans la figure, d'avoir baisser notre garde.
Le courage et la créativité, c'est de dire aux bornés à leur piédestal de la finance : vous ne passerez pas !
Brèves - Page 2
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Ode à la frontière
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Les enjeux institutionnels en question révélés par la crise des migrants
En toute chose, force doit rester à l'Etat, parce que c'est une question de justice humaine sans doute plus complexe à faire comprendre, mais l'Etat doit réserver sa main à ses prérogatives.
C'est par un biais autre qu'il doit aider les populations extérieures, par une politique internationale plus respectueuse.
Et en matière nationale, il s'agit de recouvrer nos moyens de préserver notre population et d'assimiler nos politiques migratoires.
Les initiatives privées ne sont que poudre aux yeux, communications, voire, maffias et guerre de maffias, elles ne font pas une politique digne de ce nom, politique qui a ses contraintes et donc ses limites, mais qui, au final, s'avère d'une justice supérieure, le dilemme est toujours le même, celui de l'intérêt commun contre les intérêts particuliers, l'intérêt commun est plus complexe, plus difficile à mettre en place et à comprendre, mais il est notre bien commun à tous.
Les ONG sont-elles responsables de la crise des migrants en Méditerranée ?
En portant secours aux migrants, les associations disent suppléer à la carence des États. Qui les accusent de favoriser un "appel d'air". Qu'en est-il ?
LEPOINT.FR
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Serait-il possible qu'on me laisse un peu de paix ?
De mieux en mieux, après l'amende de ma fille de 100 euros alors qu'elle a un abonnement, voici l'amende de 1875 euros que je viens de recevoir parce que j'ai payé une amende pour excès de vitesse de 71 km au lieu de 70 et que je n'aurais pas "dénoncer la personne physique d'un des véhicules de ma flotte".
Je ne suis même pas une personne morale ni une profession libérale, je suis employée par des agences ou des particuliers et ma voiture (une Fiat Panda de 2007 et de 200 000 km) et mes déplacements sont à ma charge, ce qui me fait gagner moins que le Smic horaire et, mère de famille nombreuse monoparentale, je travaille à temps partiel pour m'occuper de mon quatrième enfant qui souffre de handicap.
Et ce n'est pas une arnaque, c'est une véritable amende, elle a été dénoncée en mai par les associations de consommateurs, mais jusqu'à présent, elle ne touchait que les personnes morales ou les professions libérales, voilà qu'elle s'étend à des cas comme le mien.
J'ai envoyé un formulaire de réclamation mais je ne suis pas rassurée pour autant.
Et puis, j'ai l'habitude en août, c'est toujours ma fête, en général, on me sucre les allocations familiales pour des raisons plus ou moins mystérieuses pour me les rendre quelques mois plus tard, ou les allocations d'enfant handicapé parce que naturellement, au lieu d'être hospitalisé en urgence vitale, mon enfant ressuscite tous les six mois aux yeux de ceux qui n'en ont pas.
Naturellement, je ne dois pas être la seule dans ces cas-là mais serait-il possible que les grands ordonnateurs de ce pays se demandent comment les gens comme moi peuvent s'en sortir quand tout s'acharne ainsi ?Lien permanent Catégories : Brèves -
Est Français celui qui résiste aux lois du marché pour consacrer les lois de notre société unitaire
La souveraineté nationale signifie simplement que ce sont les Français qui décident pour eux-mêmes (au lieu de laisser ce soin aux grands groupes financiers, lobbies de Bruxelles au pouvoir en Union Européenne qui agissent selon des principes qui sont étrangers à la France, répondant aux lois libérales anglo saxonnes du marché), et la souveraineté monétaire (et donc la sortie de l'Euro) est une condition nécessaire pour recouvrer ce droit de la France à gouverner selon ses propres principes dans son esprit d'unité et de protection.
Si nous voulons que la France reste ce pays unique où l'école, la justice, la police, la défense sont publiques, les lois sont les mêmes pour tous les citoyens, les droits sont protecteurs, nous avons besoin de notre souveraineté monétaire, la monnaie n'est pas qu'un moyen d'échange, elle est un moyen de rester libre, de penser et de décider pour nous-mêmes.Lien permanent Catégories : Brèves, culture -
Toi aussi fais ton Barbier, rase gratis
Comment se positionner pour un génie de l'économie, un chantre du progrès et un as de la réforme (et accessoirement, ce qui ne nuit pas, un lèche-cul du système) :
-> déclarer avec force et conviction que :
- les Français ne travaillent pas assez
- ils ont trop de congés payés
- ils sont trop malades à cause de l'assurance maladie
- le chômage tue l'emploi
- le dimanche est un jour comme un autre
- la maternité doit être partager avec les pères, d'ailleurs les pères devraient être payés comme les mères
- le salaire horaire minimum doit être établi par les patrons car eux seuls savent de quoi ils parlent
- les frontières n'existent pas puisqu'elles sont un frein au profit et que le profit, c'est l'emploi
- les minima sociaux sont une bonne chose, d'autant qu'ils sont compliqués à obtenir (ce qui fait des économies), calment les gens mais comme ils sont fainéants au point de ne pas jouer sans cesse à la chaise musicale de l'emploi en se flexibilisant pour aller le chercher jusqu'à là où il n'est pas, il faut proposer un travail obligatoire bénévole en échange
- la longévité augmente (dans l'idéologie libérale, elle augmente toujours même lorsque cette croyance se heurte au mur de la réalité), on peut donc augmenter la rentabilité de la bête humaine en la chargeant de façon inversement proportionnelle à la baisse des charge patronales (qui-permet- les-profits- donc-la-croissance-donc-l'emploi), et programmer son obsolescence en retardant l'âge de la retraite tout en ayant naturellement la possibilité de s'en séparer bien avant puisque la flexibilité est valable pour tous, il faut une égalité républicaine devant le chômage et les minima sociaux
- la tricherie est une constante économique comme une autre, les cartes de jeu économiques permettent d'ailleurs d'habilement anticiper les détours par la case prison en s'entourant de juristes capables de se prémunir des contraintes juridiques, et puis, le tout est de se faire prendre le plus tard possible, le paiement différé, c'est du temps, donc de l'argent.
La triche, c'est un risque, que l'on prend pour rester dans la concurrence et qui passe en pertes et profits, comme y passent les incidents/accidents que l'on peut économiquement légitimement accepter s'ils sont la conséquences d'une gestion serrée et donc efficiente de l'entreprise.
La barbe ou encore ?Lien permanent Catégories : Brèves, libéralisme mondialisme -
Les nominalistes, ennemis universels
Il s'agit de nominalisme.
La perversion du langage révèle l'existence des idéologies.
L'idéologie libérale va "libérer" l'individu en "réformant", en réalité, elle ne s'applique qu'à détruire toute forme de société, de protections, pour ramener l'individu à l'état de nature, à ses instincts sauvages de violence.
L'individualisme contre l'unité qui fait société, l’intérêt particulier contre l'intérêt général, le profit contre le bien commun.
Avec la croyance (naturellement contredite par les faits), que la violence individuelle fera bénéfice collectif.
Ce "progrès" est vieux comme le projet libéral, mais moins tenable que la vieille et durable civilisation unitaire, notre Etat-Nation est un modèle politique, d'organisation des affaires de la Cité, qui a fait ses preuves par le temps, l'idéologie libérale a encore des batailles à gagner avant d'abattre un tel rempart forgé par la volonté de se vivre et de se battre ensemble au lieu de s'abattre les uns les autres.
Anne Dufourmantelle : «La perversion du langage empêche de sortir de la colère sociale»
La mobilisation colérique a marqué cette campagne présidentielle. Mais pour l’auteure de la «Puissance de la douceur», la colère doit être écoutée, et, pour la…
LIBERATION.FR
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Savoir lire la "nationalisation temporaire" de Macron
Si les mots peuvent nous parler, il ne faut pas voir dans le projet du président Macron, une volonté de recouvrer un pan stratégique de notre industrie nationale.
Il s'agit d'une simple tactique libérale pour remporter un marché plus au futur avantage d'une multinationale "française", électrice et commanditaire de Macron.
C'est une renégociation à la Farage ou à la Trump, ou encore à la de Gaulle, un "pragmatisme libéral".
Le but est de gagner un peu de temps pour négocier au plus serré et faire pression.
Mais chacun sait que l'UE interdit ce genre de manoeuvre, tout ce qui est national est hors-sol du marché, Macron lui-même explique qu'il ne faut pas s'y tromper et insiste sur le terme de "temporaire".
Dans tous les cas, nos pans stratégiques nationaux, dont le transport et le savoir-faire industriel, ne sont pas au programme des libéraux.
Ils veulent ses fleurons pour le privé qui les alimente, pas pour la France, mais pour l'oligarchie française, ce qui est bien différent, puisque c'est l'opposé.Lien permanent Catégories : Brèves, culture, libéralisme mondialisme -
Cinq étoiles et un enterrement
C'est dans la famille Villiers, puy sans fond de fameux fadas, que l'extrême-droite nourrit régulièrement ses phantasmes de puputch de l'armée contre l'Etat.
Alliés de toutes les croisades américaines mais alliés aussi sur le fond à l'idéologie des Fils de la liberté, il s'agit d'une longue histoire dans l'Histoire de noblesse de bas étage luttant pour ses intérêts particuliers contre le pouvoir central.
Il faut connaître des idéologies politiques de chacun pour pouvoir analyser leurs prises de position.
Savez-vous pourquoi Philippe de Villiers est opposé à certaines guerres ?
Il est rattaché aux lobbies américains qui mènent une lutte à mort contre le Pentagone en particulier et le Département d'Etat en général.
Les intérêts de certaines Oil & Gaz International Companies ne sont pas toujours les mêmes que ceux de leurs Etats respectifs.
Les intérêts du Puy du Fou ne sont pas à moindre échelle, les mêmes que ceux de la France.
On peut toujours être pour ou contre quelque chose pour de bonnes ou de mauvaises raisons.
Idéologiquement, ces fins de race s'inscrivent dans la lignée des La Fayette, Tocqueville, Bastiat, alliés indéfectibles des Fils de la Liberté fondateurs des Etats-Unis d'Amérique.
Toujours de cette féodalité qui s'acharnait à s'emparait de la souveraineté royale pour asseoir leur pouvoir local, ils exècrent l’État centralisateur et son contrôle sur leur petite liberté au service de leur commerce, c'est ainsi que la prétendue "grande liberté" américaine est leur modèle.
Ces gens-là sont surtout et avant tout, rattachés à leurs intérêts particuliers contre l'intérêt général et son Etat défenseur.
Pierre de Villiers aurait démissionné depuis longtemps s'il était sincère, les coupes sombres dans le budget des armées datent d'il y a longtemps et obéissent aux logiques de marché atlanto-européistes.
Du reste, il a mené toutes les guerres impérialistes de l’indéfectible allié américain, même les querelles libérales s'effacent pour mener une croisade, les Villiers seront toujours prêts à imposer leur prétendue force spirituelle même avec les moyens légaux et matériels de l'Etat, une messe vaut bien ce pari gagnant.
Les coupes sombres dans le budget de l'Etat sont dangereuses pour la France, mais le maintien d'un Villiers aux armées l'est tout autant.
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Une politique d'immigration digne de ce nom
Il n'y a pas de contrôle ni de maîtrise de l'immigration sans reprise de contrôle de l'Etat qui ne retrouve ses prérogatives pleines et entières que par sa souveraineté monétaire, et ce sont ces mêmes moyens qui nous permettent les politiques d'assimilation à la française des populations d'origines étrangères, en redonnant à l'Etat sa force de faire de tous des Français, y compris et bien compris, ceux qui croiraient l'être par héritage.
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La garde-robe nationale des sans-culottes, c'est la fête du slip
De la difficulté à incarner une fonction que la médiatisation a transformé en une parade de revues, les premières dames au garde-à-vous attendant, péronnelles sur le perron du domaine où la maîtresse de maison donne sa cérémonie, font dans le bleu, blanc, rouge sous les feux des artificielles statures qu'elles n'atteignent pas, se mettre sur son trente et un le quatorze pour finalement se saper comme au bal des pompiers, ça laisse comme un goût de mauvais d'une sauce qui ne prend pas, ou seulement les mouches avec du vinaigre.
L'américanisation en marche sans doute.
Franchement, Melania et Brigitte -déjà tout un programme rien que dans la détermination des prénoms ...-, entre celle qui, de call-girl passe à épouser la garde-robe d'une bonne-sœur, et la blonde platine vintage qui a du mal à cacher sa culotte, le rôle de première potiche est difficile à porter.
Entre hypocrisie de celle qui s'affichait il y a encore si peu de temps, tout nichons dehors et celle qui commande ses photos en maillot de bain l'air de rien, de Play Boy à Paris-Match, c'est à poil qu'on a l'air se s'habiller et en tailleur cintré qu'on porte un manteau de vertu qui a du mal à cacher son mauvais pli aux us et coutumes présidentiels.
Melania obligée de changer ses robes moulantes pour aller se cacher derrière un short model en culottes courtes dont seules les jupes plissées seraient une déclinaison du visage casqué d'une chevelure en volume, grosse tête et petit pois, de si hautes aiguilles pour si peu de hauteur, le comique Laurel et Hardy dans le contraste des allures, tenues trop ajustées ou costumes taillés trop grands pour l'occasion.
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