Si les mots peuvent nous parler, il ne faut pas voir dans le projet du président Macron, une volonté de recouvrer un pan stratégique de notre industrie nationale.
Il s'agit d'une simple tactique libérale pour remporter un marché plus au futur avantage d'une multinationale "française", électrice et commanditaire de Macron.
C'est une renégociation à la Farage ou à la Trump, ou encore à la de Gaulle, un "pragmatisme libéral".
Le but est de gagner un peu de temps pour négocier au plus serré et faire pression.
Mais chacun sait que l'UE interdit ce genre de manoeuvre, tout ce qui est national est hors-sol du marché, Macron lui-même explique qu'il ne faut pas s'y tromper et insiste sur le terme de "temporaire".
Dans tous les cas, nos pans stratégiques nationaux, dont le transport et le savoir-faire industriel, ne sont pas au programme des libéraux.
Ils veulent ses fleurons pour le privé qui les alimente, pas pour la France, mais pour l'oligarchie française, ce qui est bien différent, puisque c'est l'opposé.
Savoir lire la "nationalisation temporaire" de Macron
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Catégories : Brèves, culture, libéralisme mondialisme
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