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Les enjeux institutionnels en question révélés par la crise des migrants


En toute chose, force doit rester à l'Etat, parce que c'est une question de justice humaine sans doute plus complexe à faire comprendre, mais l'Etat doit réserver sa main à ses prérogatives.

C'est par un biais autre qu'il doit aider les populations extérieures, par une politique internationale plus respectueuse.
Et en matière nationale, il s'agit de recouvrer nos moyens de préserver notre population et d'assimiler nos politiques migratoires.

Les initiatives privées ne sont que poudre aux yeux, communications, voire, maffias et guerre de maffias, elles ne font pas une politique digne de ce nom, politique qui a ses contraintes et donc ses limites, mais qui, au final, s'avère d'une justice supérieure, le dilemme est toujours le même, celui de l'intérêt commun contre les intérêts particuliers, l'intérêt commun est plus complexe, plus difficile à mettre en place et à comprendre, mais il est notre bien commun à tous.



Les ONG sont-elles responsables de la crise des migrants en Méditerranée ?
En portant secours aux migrants, les associations disent suppléer à la carence des États. Qui les accusent de favoriser un "appel d'air". Qu'en est-il ?
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