Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La garde-robe nationale des sans-culottes, c'est la fête du slip

De la difficulté à incarner une fonction que la médiatisation a transformé en une parade de revues, les premières dames au garde-à-vous attendant, péronnelles sur le perron du domaine où la maîtresse de maison donne sa cérémonie, font dans le bleu, blanc, rouge sous les feux des artificielles statures qu'elles n'atteignent pas, se mettre sur son trente et un le quatorze pour finalement se saper comme au bal des pompiers, ça laisse comme un goût de mauvais d'une sauce qui ne prend pas, ou seulement les mouches avec du vinaigre.

L'américanisation en marche sans doute.

Franchement, Melania et Brigitte -déjà tout un programme rien que dans la détermination des prénoms ...-, entre celle qui, de call-girl passe à épouser la garde-robe d'une bonne-sœur, et la blonde platine vintage qui a du mal à cacher sa culotte, le rôle de première potiche est difficile à porter.


Entre hypocrisie de celle qui s'affichait il y a encore si peu de temps, tout nichons dehors et celle qui commande ses photos en maillot de bain l'air de rien, de Play Boy à Paris-Match, c'est à poil qu'on a l'air se s'habiller et en tailleur cintré qu'on porte un manteau de vertu qui a du mal à cacher son mauvais pli aux us et coutumes présidentiels.

Melania obligée de changer ses robes moulantes pour aller se cacher derrière un short model en culottes courtes dont seules les jupes plissées seraient une déclinaison du visage casqué d'une chevelure en volume, grosse tête et petit pois, de si hautes aiguilles pour si peu de hauteur, le comique Laurel et Hardy dans le contraste des allures, tenues trop ajustées ou costumes taillés trop grands pour l'occasion.

Lien permanent Catégories : Brèves

Commentaires