La petite frappe Philippe Vardon confondu par la vidéo anti-racaille et condamné à de la prison ferme pour sa violence

Présenter des arriérés pareils à des élections pour représenter des gens, honte à Marine qui prouve qu'elle n'a ni respect pour les gens, ni pour les institutions de notre pays, d'autant que personne n'ignore tous les travers du personnage.


La vidéo surveillance est une bonne chose pour confondre les racailles.


Une démission s'imposerait naturellement, mais pour avoir de l'honneur encore faudrait-il être un être humain.



L'élu FN Philippe Vardon condamné à six mois de prison ferme après une rixe
Ce soir-là, sur le parking de la place Paul-Vernet et dans les rues alentour, une rixe avait éclaté entre…
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Vardon a été condamné pour violence, personne n'en sera étonné, a priori lui-même connaît sa propre violence, peut-être même déjà sa femme et ses enfants.

Les Identitaires sont des gens non assimilés voire inassimilables car ils contestent le b a ba de nos institutions.

Leur idéologie les enferme dans un système tribal et une justice privée.

Ils renient l'Etat, cet Etat fondé par nos rois comme un Etat de droit où la justice privée est bannie depuis toujours.

Par ailleurs, il serait bon qu'on leur donnât des cours de droit dans les grandes lignes, afin qu'au lieu de s'en prendre à la justice française, ils en comprennent tant les fondements (nos valeurs fondatrices unitaires) que le fonctionnement.

Le juge pénal juge sur les faits, la violence de Vardon a été factuelle et illégitime (la légitime-défense n'est pas constituée, cela répond à des normes strictes comme il se doit en pays civilisé), et encore ne l'ont-ils pas condamné pour port d'arme dans le doute, ne sachant pas s'il portait un couteau ou pas, Vardon ayant indiqué que ce qu'il tenait comme un couteau était la clef de voiture de sa femme (bon, n'allons pas l'accuser de lâcheté, admettons qu'il ait voulu effrayer ses adversaires avec sa clef, c'est ridicule, mais ça s'entend comme moyen de défense).

Arguer que ses adversaires en miroir étaient multirécidivistes et armés fait d'ailleurs doucement rigoler ceux qui connaissent un peu le milieu identitaire, Vardon n'en est pas à sa première ni sa dernière interpellation, ni violence ni condamnation, quant au port d'arme, ils militent pour, c'est dire ...

Bref, la vidéo-surveillance a permis de confondre cette racaille honteusement présentée pour représenter des gens voir la France (prière de ne pas rire).

Vardon a le droit de se foutre de Marine Le Pen, mais elle ne devrait pas en être fière et devraient exiger au moins sa démission, que Vardon aurait dû lui-même présenter, s'il avait eu un peu d'honneur.

Au Nom de la rose, le retour

Les lobbies de l'Opus Dei s'en prennent clairement à l'Education Nationale, sous le prétexte de livres qu'ils interdiraient sous prétexte de sexualité, ce sont l'éducation et l'instruction tout court qu'ils visent.

A mon époque, je me souviens de la lecture de Ravage de Barjavel, en Cinquième, certains parents s'étaient émus d'une scène de viol, sans aucun recul, contextualisation et réel esprit critique vis-à-vis du texte naturellement.

Texte d'une autre tenue tant sur le fond que sur la forme, et auquel Vigipirategender n'aurait peut-être rien à redire quand l'EN y aurait étant donné le passé sulfureux de l'écrivain, qui s'est sans doute frotté à des talents de son époque, dont le niveau littéraire était aussi vrai que leurs antisémitisme et collaborationnisme.

On note par ailleurs que Barjavel, s'il fût précurseur de la science-fiction à la française, est bien ce genre de personnage à qui le progrès, la science, l'homme au final, font peur.

Car sans doute l'instruction éloigne de leur conception sectaire et autoritaire du fait religieux.

Les privatologues de l'Opus Dei s'acharnent sur l'EN pour des raisons autres que les prétextes qu'ils avancent; c'est l'instruction publique, la science pour tous qu'ils attaquent, leur fonds de commerce charlatanesque qu'ils défendent, et voulant ignorer sans doute que l'éducation sexuelle permettrait d'éviter les avortements.