Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • L'enfant sous rayons X

    bebe-avec-options.jpgLe Conseil constitutionnel ayant été saisi d’une QPC, a validé la constitutionnalité de la Loi sur l’accouchement sous X..

    Cette Loi était censée prévenir des infanticides et des abandons d’enfants (Sic).

     

    En pratique, l’accouchement sous X permet à la mère de mettre au monde son enfant et de l’abandonner à l’Etat sans que l’enfant et son éventuelle famille adoptive, ne sachent l’identité de la mère et on s’en doute, encore moins, celle du père.

    La jurisprudence a eu à connaître des drames humains, du père putatif qui ne désirait pas abandonner son enfant, à la grand-mère qui ne le voulait pas non plus, jusqu’à la mère, conseillée dans la détresse, qui sa vie durant, cherchera à renouer avec sa chair, et de cet enfant lui-même qui n’en finira jamais de se torturer sur ses origines et cet amour absent.

     

    Contrairement à ce que l'idéologie libérale d'extrême-droite nous fait dire, aucun nationaliste ne saurait être pour l'accouchement sous X.
    La filiation, les racines, c'est humain, c'est vital, c'est national.
    Nous sommes sans doute pétris de droit romain qui reconnaît tant l'enfant dès sa conception que la mère de façon certaine, et peut-être encore imprégnés de la justice du roi Salomon.

     Actuellement, le programme dit national est favorable à l'accouchement sous X parce que nous ne l'avons pas encore purgé de toutes ses dérives libérales.

    La bourgeoise de droite incapable d'enfanter et n'acceptant pas la loi naturelle, veut s'offrir un enfant tout de même, elle volera bien celui d'un manant mais ne tolère pas de géniteurs ah hoc dans sa famille, il faudra le cacher.
    Dans la situation inverse, accoucher sous X serait pour elle, si elle est pleinement consciente de ce qu'elle fait, une situation confortable la dédouanant, légalement, de toute responsabilité.

    Quant à la bourgeoise de gauche, elle va s'en acheter un sur le marché étranger où il est en solde toute l'année, et pense du haut de la supériorité de sa race, que l'enfant sera mieux chez elle que dans son milieu naturel.
    On en a même vu qui retournait la marchandise pour cause de vices cachés (si si, c'est possible), sans que l'on nous dise d'ailleurs si le vice venait de l'enfant ou de l'éducation qui lui était donnée.

    Vous avez encore les bourgeoises droite-gauche du chaud-bize qui veulent aussi d’un « nenfant » malheureux exotique pour assortir au dernier sac croco et qui pensent que le bonheur transpire d'une Laura Smet alors que de leurs pores, on ne voit guère ce qu’il sort hormis d'essence de produits défendus ...

     

    Alors Antigone sait qu’elle va mourir, elle fait ce qu’elle a à faire et dit ce qu’elle a à dire.

     

    Les prétextes de cette loi sont fallacieux, l’infanticide existe, l’abandon d’enfants existe, ils ne sont seulement que légalisés et arrangent une caste de privilégiés. 
    Le Conseil Constitutionnel s'en fait seulement là le garant.

    Du reste tout étudiant en droit apprend très tôt de ses maîtres-mêmes, qu'un juriste, c'est aussi fait pour savoir contourner la Loi.

     

     


    La Loi n’est là que pour organiser comme l’idéologie anglo-saxonne nous y incite, le contrôle des naissances.

    Actuellement, on se contrefout des enfants, on ignore au mieux le lien charnel qui l’attache à sa mère.

     

    Le prétexte matériel est totalement gratuit, l’enfant n’a besoin que de l’amour de sa mère et elle-même méconnaît seulement quel trésor elle pourrait en tirer.

    En France, nul ne peut se prévaloir de ne pouvoir matériellement s’occuper de son enfant.

     

    Je peux l'affirmer ayant élevé mes quatre enfants entièrement seule quand le dernier venait à peine de naître. Je n’ai demandé d’aide à absolument personne, ne vivant que d’un congé parental et des maigres allocations familiales ignorant même que l’aide spécifique de parent isolé ou même que le RMI à l’époque, était d’un montant supérieur. Mes enfants ont poursuivi une scolarité et même une vie sociale normale.

    Je ne dis pas que c’est simple, je dis que c’est faisable. A condition toutefois que l'on ne continue pas à sabrer dans les conditions de vie.

    Il vous faut sans doute potentiellement affronter les condamnations d’une famille et d’un Etat qui au fond, vous reprochent la folie de nos jours d’avoir désiré des enfants.

    Si on peut heureusement échapper à ce malheur du côté de sa famille, on n’y réchappe pas côté Etat, l’assistante sociale à laquelle j’avais eu l’idée de m’adresser m’a bien fait comprendre les principes qui prévalaient dans l’administration, il n’y a pas idée de vouloir garder ses enfants. Il n’y a aura donc pas de ce côté, ne serait-ce qu’un soutien moral.

     

    Société qui sera toute prête en revanche à conseiller d’autres à concevoir des enfants en tube - chez lesquels les dernières recherches montrent une propension à la dépression « inexpliquée » - quitte à sacrifier ceux en trop, on tiquera sur la discrimination, on permettra l’élimination pour « raisons » « médicales », pas encore sur le choix du sexe ou de la couleur des cheveux, mais en regardant bien, le marché est ouvert, il y a bien des endroits où cela est possible.

     

     

    Le prisme est ici la rupture avec les origines. Certains parents adoptifs d'enfants étrangers cultivent le lien avec la famille originelle de l’enfant qui a toujours à l’étranger une tante, un grand-parent, une cousine. C’est le manque de moyen qui contraint là-bas, à l’abandon d’enfants, on peut donc aussi aider les familles plutôt que de leur prendre complètement leurs enfants.

     

    Je sais que la vérité est dure à entendre, le fait est que l’on voit peu d’haitiens venir adopter des orphelins français.
    D’ailleurs, l’accouchement sous X est un principe occidental, les pays pauvres n’ayant alors sans doute pas atteint notre niveau d’incivilisation (je ne suis pas naive mais ne confonds pas pas les réseaux maffieux qui pillent, tuent, enrôlent des enfants-soldats avec les peuples) qui permet de se délester d’un enfant sans raison valable, en manipulant des jeunes femmes en détresse. 

     Et si dans certains pays les petits sont parfois abandonnés pour raisons culturelles (les filles essentiellement), de plus en plus les pays veillent à ce que leurs orphelins ne sortent plus du territoire pour satisfaire une demande étrangère.

     

    Alors, non, on ne dit pas qu’une famille adoptive serait moins aimante qu’une mère charnelle, nous connaissons Hector Malot et sa mère Barberin, mais oui, on peut aimer un enfant sans se l’accaparer et le couper de sa sève, de quoi a-t-on peur ?

    Ensuite, c’est l’amour qui tranche et détermine le reste.

     

     

     

  • Semaine des quatre jours : une semaine à gauche, une semaine à droite (complété)

    Où l’on reparle de la quadrature des quatre jeudis, Peillon se sent pousser des ailes, Aubry les lui coupe via Ayrault, ambiance cour de récréation, le sac de billes de l’éducation est domaine réservé des deloriens, qu’on se le dise …

    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2012/05/18/quelques-reflexions-sur-le-gouvernement-hollande-ayrault.html

    Mais ce qu’il faut comprendre, c’est que la semaine des quatre jours, c’est une semaine à gauche, une semaine à droite.

    En 2010, Luc Chatel s’est rendu au Danemark afin de découvrir le modèle exemplaire en matière de rythmes scolaires.

    Or il savait pertinemment que ce sont des rythmes anglo-saxons sur lesquels le nouvel ordre éducatif mondial entend nous aligner.

    Il était accompagné dans ce voyage, des deux coprésidents du Comité de pilotage de la conférence sur les rythmes scolaires, Christian Forestier, administrateur général du Conservatoire national des arts et métiers et Odile Quintin, ancienne directrice générale de l’éducation et de la culture à la Commission européenne.

    Les représentants des fédérations de parents d’élèves étaient également du voyage, et Eric Charbonnier, expert de l’OCDE sur l’éducation, partie prenante.

    Or ce sont les mêmes personnes que l’on retrouve dans les fora mondiaux sur l’éducation tout-au-long-de-la-vie ou LLL pour LifeLong Learning, initié par Jacques Delors qui en toujours le saint patron.

    C‘est ainsi que l’on nous importe, sous des prétextes fallacieux, un renforcement de la perfusion mondialiste. Les meilleurs rythmes étant ceux qui ont été évalués comme tels par les rapports de l’Ocde qui les élaborent.

    L’école des quatre jours, a ainsi été mise en place, en s’appuyant sur de prétendus débats et des revendications des réseaux de gauche qui les ont toujours revendiqués, bien qu’ils aient critiqué leur mise en place par la droite qui a profité de l’aubaine pour consolider ses réductions budgétaires en matière scolaire, tout en répondant aux directives de l’UE, courroie de transmission de la politique d’uniformisation mondialiste.

     

    En dehors des considérations économiques (vacances, fin de semaine avec les RTT), et si l’on ne prend en compte que l’intérêt de l’enfant en matière de formation, le meilleur rythme serait de revenir à la semaine : lundi-mardi-jeudi-vendredi-samedi matin.

    A gauche, on a toujours demandé la suppression de l’école le samedi.

    La gauche fut l’initiateur de cette demande.

    http://1jour1actu.com/france/en_finir_avec_lcole_le_samedi/

    En 2001, je me souviens que c’était une demande des Iufm.

    Cette gauche a seulement fait semblant de s’opposer quand c’est la droite qui a profité de l’aubaine pour l’inscrire dans sa gestion comptable de l’éducation.

    Les deux ont ensuite joué avec la possibilité de réintroduire l’école du mercredi.

    Notons au passage que le tout nouveau ministre Peillon, a pris comme directeur de cabinet Pierre-Yves Duwoye qui est dans la place depuis les années 80, sous tous les gouvernements.

    Du reste, la semaine sans samedi s’inscrit dans une uniformisation mondiale qui passe par l’UE pour qu’il n’y ait plus classe le samedi comme c’était le cas en France (comme pour le rapport Thélot, on fait semblant de discutailler démocratiquement à la base …), il y a des raisons économiques à cela, notamment liées au tourisme.

    Je rappelle qu’en revanche, les spécialistes honnêtes notent que :

    - l’horloge biologique des enfants est perturbée par deux jours consécutifs sans école

    - l’apprentissage s’en ressent surtout lors de l’acquisition de la lecture et des bases de calcul

    - les enfants rentrent plus fatigués d’un long week-end, surtout avec les parents qui profitent des Rtt pour bouger, et le rythme ne reprend sérieusement dès lors que le mardi, le lundi passe un peu en pertes et profits

    - la distorsion d’éducation se fait sentir quand certains enfants n’ont qu’un écran le samedi sans école pour occupation

    - l’effort nécessite aussi un apprentissage et ne travailler que quatre jours sur sept n’y incite pas, quatre jours et demi, ce n’était pas le bagne

    - si semaine sur cinq jours il y a, il faut la maintenir le samedi, pour les raisons ci-dessus évoquées, mais aussi pour préserver la vie des associations si bénéfiques à la santé physique et/ou culturelle de l’enfant.
    Du reste, au primaire, il est bon qu’il y ait une coupure le mercredi.

    - enfin, si les familles bénéficiaient de ce temps familial si rare de nos jours que l’on peut prendre cet élément comme positif au milieu des autres éléments négatifs, notons que pour les familles explosées, cela déresponsabilise le père -dans la majorité des cas- puisque prenant les enfants le week-end, il ignore les contraintes de l’école dans la vie quotidienne, ne gardant que la relation ludique avec l’enfant.

    On risque fort également de nous reparler bientôt des rythmes scolaires avec introduction du sport l’après-midi
    Où l’on verra encore des débats proposés servant à justifier l’uniformisation du modèle anglo-saxon dominant.

    Aux Etats-Unis, le sport occupe une place considérable en milieu scolaire.

    Si la pratique d’un sport participe d’une bonne hygiène de vie, sa pratique intensive et scolaire relève d’une autre logique.

    Toute école se doit d’avoir son vivier de sportifs et les universités se les arrachent à prix d’or. Peu importe d’ailleurs les dommages collatéraux que cela engendre quand la course à la performance à tout prix, entraîne les sportifs dans la voie du dopage forcené.

    Le seul critère de cette course est le marché qu’elle génère. L’enjeu financier est considérable à tel point que le sevrage doit se faire dès le berceau via l’école.

    Les écoles ayant les meilleurs sportifs sont les plus à même de lever des fonds via le sponsoring. Le service public de l’éducation étant destiné à se réduire à l’état et à l’Etat minimal, il devient nécessaire de trouver les sources de financement.

    En fait, il s’agissait surtout de faire sauter le samedi, la question de l’école le mercredi matin pose débat mais n’est pas un problème. Enfin, n’était.

    Sarkozy a profité des revendications de gauche pour orienter les horaires des enseignants (je parle essentiellement du primaire) vers ce que préconise l’Ocde et qui est toujours un leitmotiv : plus d’adaptation à l’élève.

    Ainsi le temps du samedi a été reporté sur les heures de soutien scolaire du soir, et/ou les réunions pédagogiques, le projet éducatif mondialiste s’appuyant sur les « sciences de l’éducation » qui contraignent aux projets collectifs.

    L’enseignant ayant au final moins d’heures de présence en classe, on pouvait de plus, sinon admettre du moins mieux faire passer, une baisse de pouvoir d’achat compte tenu de la non relation entre salaire et augmentation du coût de la vie.

    La gauche par ses réseaux éducatifs s’est plus ou moins positionnée sur l’école des cinq jours sur le mercredi matin pour diverses raisons pédagogiques et politiques.

    Il faut au moins donner l’impression de changer les choses pour expliquer pourquoi l’école d’aujourd’hui ne fonctionne pas, entraînant toujours plus de distorsion, enfermant les enfants dans un déterminisme de classes quand son rôle était de les émanciper et justement de faire éclater ce clivage.

    Les rythmes scolaires correspondent à ce prétexte, pour mieux justifier de ne pas toucher au problème réel qui est un problème essentiellement de fond reposant sur les pseudo sciences de l’éducation elles-mêmes qui ne font pas leurs preuves, mais dont la seule remise en cause serait de les poursuivre par une toujours plus grande fuite en avant.

    Mais maintenant la semaine des quatre jours devient un acquis et difficile de revenir dessus ainsi.

    D’après l’avenir éducatif scolaire qui se lit dans le marre de l’Ocde, c’est le principe de l’autonomie des établissements qui va trancher.

    Le statut de chef d’établissement pour les directeurs d’école est dans les tuyaux et est revendiqué par les concernés, question de temps et de débats blablas pour faire semblant de discuter là encore, le projet passe par l’UE, on ne nous laissera donc que le choix des modalités d’application.

    Là encore, les « sciences » de l’éducation permettent l’assise puisque le statut de chef d’établissement est corrélé au principe de « projet d’école » si cher aux enseignants « modernes ».
    Cela leur laisse un semblant d’autonomie (de-faire-comme-tout-le-monde et surtout comme-on-le-leur-impose sans qu’il n’y paraisse).

    On leur laissera ainsi le choix du rythme scolaire.

    Cela s’inscrit donc bien à nouveau dans les projets de l’Ocde de différenciation pédagogique et d’autonomie régionale.

    J’avais déjà expliqué en quoi le statut de directeur d’établissement pour le primaire facilitera par techniques juridiques le glissement vers la privatisation larvée de l’éducation, en glissant du statut de Service Public à Etablissement Public Administratif puis Etablissement Public Industriel et Commercial, puis éventuellement Société Anonyme sur l’exemple du CNED, Aéroport de Paris, EDF GDF, etc., ici :

    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2011/10/15/l-ecole-a-l-epreuve-des-pieges-mondialistes-dernieres-nouvel.html

    Sur les postes créés, ils correspondent là aussi à la demande de l’Ocde pour mettre en route l’école à multi vitesses, salaires minimum pour des postes d’encadrants essentiellement (l’évolution des TICE permet ce glissement) et privatisation larvée, le Statut de directeur le changeant idéologiquement en chef d’entreprise qui gèrera son personnel, sa masse salariale et son « Partenarit Public-Privé », partenariat inscrit dans les principes du Nouvel Ordre Educatif Mondial, et qui permet l’adéquation -comme demandé- de la formation à la demande du marché.

    http://www.nationspresse.info/?p=140070

  • Semaine des quatre jours : une semaine à gauche, une semaine à droite

    Où l'on reparle de la quadrature des quatre jeudis, Peillon se sent pousser des ailes, Aubry les lui coupe via Auyrault, ambiance cour de récréation, le sac de billes de l'éducation est domaine réservé des deloriens, qu'on se le dise ...

     http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2012/05/18/quelques-reflexions-sur-le-gouvernement-hollande-ayrault.html
     A gauche, on a toujours demandé la suppression de l'école le samedi.
     
    La gauche fut l'initiateur de cette demande.
    http://1jour1actu.com/france/en_finir_avec_lcole_le_samedi/

    En 2001, je me souviens que c'était une demande des Iufm.
     
     Cette gauche a seulement fait semblant de s'opposer quand c'est la droite qui a profité de l'aubaine pour l'inscrire dans sa gestion comptable de l'éducation.
     
    Les deux ont ensuite joué avec la possibilité de réintroduire l'école du mercredi.
     
     Du reste, la semaine sans samedi s'inscrit dans une uniformisation mondiale qui passe par l'UE pour qu'il n'y ait plus classe le samedi comme c'était le cas en France (comme pour le rapport Thélot, on fait semblant de discutailler démocratiquement à la base ...), il y a des raisons économiques à cela, notamment liées au tourisme.
     
     Je rappelle qu'en revanche, les spécialistes honnêtes notent que :
     
     - l'horloge biologique des enfants est perturbée par deux jours consécutifs sans école
     
    - l'apprentissage s'en ressent surtout lors de l'acquisition de la lecture et des bases de calcul
     
    - les enfants rentrent plus fatigués d'un long week-end, surtout avec les parents qui profitent des Rtt pour bouger, et le rythme ne reprend sérieusement dès lors que le mardi, le lundi passe un peu en pertes et profits
     
    - la distorsion d'éducation se fait sentir quand certains enfants n'ont qu'un écran le samedi sans école pour occupation
     
    - l'effort nécessite aussi un apprentissage et ne travailler que quatre jours sur sept n'y incite pas, quatre jours et demi, ce n'était pas le bagne
     
    - si semaine sur cinq jours il y a, il faut la maintenir le samedi, pour les raisons ci-dessus évoquées, mais aussi pour préserver la vie des associations si bénéfiques à la santé physique et/ou culturelle de l'enfant.
    Du reste, au primaire, il est bon qu'il y ait une coupure le mercredi.
     
    - enfin, si les familles bénéficiaient de ce temps familial si rare de nos jours que l'on peut prendre cet élément comme positif au milieu des autres éléments négatifs, notons que pour les familles explosées, cela déresponsabilise le père -dans la majorité des cas -puisque prenant les enfants le week-end, il ignore les contraintes de l'école dans la vie quotidienne, ne gardant que la relation ludique avec l'enfant.

  • Quelques réflexions sur le gouvernement Hollande/Ayrault/... Aubry

    hollande 2012; gouvernement ayrault,ayrault aubry,mondialisme nationalisme,fn,vincent peillon,ferdinand buissonCe qui est surtout frappant dans ce gouvernement, ce sont les absents.

    Martine Aubry, par sa loi du tout ou rien (dans ses fibres sans doute ...), a embarqué son réseau avec elle qui n’apparaît donc pas. Or Hollande a fait une priorité du thème dont Aubry tient les ficelles.

    Il s’agit des réseaux deloriens de l’éducation.

    N’oublions pas que c’est un socialiste évidemment delorien, Yves Attou, qui est à la tête du Comité mondial de l’éducation et de la formation tout au long de la vie.

    C’est Jacques Delors qui en 2000 à Lisbonne a lancé officiellement la mise en place du Nouvel ordre éducatif mondial.


    Ce dispositif détermine toute la politique éducative, et notamment au niveau de la cellule de base mondialiste qu’est la région. Leur conception libérale de l’éducation étant seulement de mettre les apprentissages en adéquation avec le marché selon les théories élaborées au niveau de l’Omc et de l’Ocde. Bien loin de l’instruction à la française qui consistait en la formation d’un esprit libre.
     
    L’économie du Nouvel Ordre Mondial en dépend en majeure partie, ce sont d’ailleurs les grands groupes de l’ERT qui dirigent cette politique au niveau européen, et en cela, Pierre Moscovici occupe un poste clef, lui qui est vice-président, avec Lamassoure pour l’Ump, du Cercle de L’industrie allié à l’Institut de l’Entreprise (petite soeur de l'American Enterprise Institute) et l’European Round Table (petite soeur de l'American Round table), auxquels appartiennent tout ce que l’Europe compte comme dirigeants des grands groupes multinationaux.

    J’ai d’ailleurs déjà expliqué ce qu’il en sera véritablement des nouveaux postes annoncés et qui correspondent bien à l’évolution dans le domaine avec la nomination d’enseignants-encadrants, sous-formés (enfin, seulement initiés aux techniques des pseudo sciences de l’éducation) et sous-payés.

    Ensuite, c’est plus complexe, mais cela commence notamment par ce palier.

    Et cela se met déjà en place, car le programme est un continuum, l’EN embauche de plus en plus d’enseignants précaires, payés au minimum pour un temps aléatoire. Pour ne rien dire des écoles privées hors-contrat.


    Cela se fait déjà beaucoup officiellement dans les écoles privées sous-contrat, de toute façon, il n’y aura pas d’autres moyens pour recruter actuellement étant donné qu’il faut maintenant cinq ans de formation pour être enseignant dans le cursus ordinaire et ce d’autant plus qu’il y a carence en la matière, les diplômés considérants d’autre filières comme plus attractives.


    Le schéma est déjà bien en place au Portugal avec les contrats verts.

    Le Nouvel ordre mondial dont le Nouvel ordre éducatif mondial, a bien plus d’emprise sur les pays originellement plus pauvres et qui ont été mis sous perfusion occidentale via l’Union Européenne.

    Prenons l’exemple de Natalia, 29 a­ns. Ce jeune professeur portugais d’anglais et de portugais a fini ses études il y a six ans. Comme nombre de ses collègues, l’État ne lui proposant pas de poste de titulaire, elle s’est tournée vers un emploi de professeur contractuel.

    Recrutée pour enseigner dans les écoles primaires par un institut de langues privé, elle connaît alors la précarité des reçus verts. Elle doit payer son propre matériel, ses photocopies de cours.

    « Ma vie commence en septembre et se finit en juin. Chaque année, je dois retrouver de nouveaux employeurs. »

    L’année dernière elle avait réussi à cumuler cinq contrats : « Je travaillais tout le temps, je courrais d’une école à l’autre et même si je n’avais plus de week-ends, j’adorais ça. »

    Mais cette année, elle n’a trouvé qu’une école. Un mi-temps de 11 heures d’enseignement pour 400 euros par mois. « J’ai postulé auprès de 224 écoles, soupire Natalia. L’année dernière, j’ai pensé que je pourrais enfin commencer ma vie, fonder une famille, avoir des enfants : j’ai quitté la maison de mes parents pour habiter avec mon copain, mais maintenant c’est très dur. On ne peut plus se permettre d’avoir des conditions de vie normales. J’ai été habitué à avoir un peu plus d’argent. Maintenant, je n’utilise plus le portable, je ne vais plus au restaurant, au théâtre ou au cinéma. Mes parents ont une ferme, alors ils me donnent des légumes et des fruits. »


    En France, il existe déjà beaucoup de cas comme Natalia même s’il ne s’agit pas à proprement parler de ces contrats verts.

     

    Mais revenons à nos moutons.
    Après le capotage de l’accord Dsk-Aubry, la donne avait changé, Hollande vainqueur, il savait avoir à brosser les réseaux d’Aubry qui tiennent un rouage clef de sa politique : l’éducation.
    Et ce dès les primaires socialistes :

    http://tempsreel.nouvelobs.com/primaire-socialiste/20110910.OBS0149/martine-aubry-tacle-francois-hollande-sur-l-education.html

    Hollande ne souhaitait pas Aubry comme Premier ministre, il faut dans la Cinquième présidentialisée à son paroxysme, un chef de gouvernement godillot à la Fillon, avec Ayrault, le « réaliste économique » qui plus est, nulle crainte de bruit ou de vague.

    Le futur président avait essayé de contenir le problème en faisant de l’éducation sa priorité (mais avait-il le choix …), et c’est même Laurianne Deniaud, sous-fifre de Martine Aubry, qui s’y est, et y a été, collée, c’est elle qui présentait les rapports éducation/jeunesse sur le site de Hollande 2012.

    Aubry sait faire pression par ce biais, elle en a rajouté une couche en refusant tout poste pour elle et ses proches, Hollande se trouve à présent en porte-à-faux.

    Vincent Peillon convient bien aux « classiques » maçonniques mais ce pouvoir est obsolète et de façade.

    On voit bien que Taubira passe très bien. Et il n’y aurait que de voir comme ils font pitié à se vendre aujourd’hui partout …, même s’il y a une filiation (Ferdinand Buisson n’était-il pas déjà libéral), le pouvoir est aujourd’hui mondialiste (idéologie économiste), même tous les vernis de gauche font peu de poids face au système libéral.

    Delors et ses réseaux se sont bien installés dans ce lit, ils ont quelques billes dans leur besace pour faire pression sur Hollande.

    Sans doute n’est-il pas besoin d’ailleurs d’être au gouvernement pour exercer le pouvoir, c’est même en fait bien tout le contraire, une chose est certaine, Aubry n’est pas encore à la retraite.

    Aubry était à Matignon ce matin, elle avait "une série de choses à voir avec Ayrault " :

    http://www.leparisien.fr/elections-legislatives-2012/aubry-et-ayrault-affichent-leur-entente-cordiale-18-05-2012-2006093.php

    Elle a retoqué immédiatement les quelques premières velléités de Peillon.

     

     Les Taubira et autre Duflot sont justement là pour mettre du vernis à gauche, le gouvernement est essentiellement libéral, à l’image de Hollande.

    C’est le très libéral Moscovici qui détermine l’économique qui lui-même détermine le social.

    Fabius avait décidé jeune de devenir libéral de gauche après avoir longtemps hésité avec celui de droite.


    Quant à Ayrault, il est l’homme du « réalisme économique », comprendre, libéral à loisir, sans pudeur.

    Notons la place importante comme SGA de l’Elysée du banquier clef de la Rothschild, en la personne d’Emmanuel Macron.

    « A 34 ans, Emmanuel Macron [...] devient secrétaire général adjoint de l'Elysée, plus particulièrement chargé de l'économie. Se trouve ainsi reconnu le rôle-clé que cet énarque et banquier d'affaires de gauche [leaule] a joué dans l'élaboration du projet présidentiel de François Hollande. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l'alternance. »

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/05/16/emmanuel-macron-un-banquier-d-affaires-nomme-secretaire-general-adjoint-de-l-elysee_1702135_823448.html)



    La rigueur n’a donc aucun souci à se faire, le patron sait ses employés dociles, et n’oublions jamais que l’aumone sociale fait entièrement partie du système, il vaut toujours mieux rendre les emplois, employés et salaires aussi flexibles que précaires, et garantir le Rsa qui permet à la bombe de ne pas exploser.

    N’oulions pas le slogan élaboré par les grands industrialo-financiers, traduit de l’anglais :

    « Qui aide le mieux, profite le plus ».
    Tous les prétextes seront bons pour asseoir le système, y compris les plus «gauches».
     

     
    A nous de le comprendre et de cesser de nous déterminer sur le clivage droite/gauche, d’un pas en avant nous en faisons deux ou trois en arrière chaque fois que nous retombons dans ce travers, brouillant les messages tant dans nos propres têtes que dans celle du peuple que nous sommes censés servir.

    Nous sommes la résistance au mondialisme et à rien d’autre.

  • Pour en finir avec la droite


    La gauche profite de nos rêves La droite rêve de nos profits.jpgIl est un fait acquis que nous ne sommes pas de gauche.
    Mais reviennent sans cesse et par périodes, ces vieux démons selon lesquels le mouvement national serait de droite, «la vraie droite» , «la nouvelle droite».
    De toute évidence, celui-ci se cherche encore et n’a pas fini de se perdre …


    Personnellement, je n’ai jamais été de droite, de gauche non plus par ailleurs, je ne vois pas très bien ce que la France, qui remonte au moins au baptême de Clovis, peut avoir à faire avec cela, tant c’est bien plus et bien au-delà de ça.

    Quant aux « socialistes » que nous combattrions et qui seraient de gôche, je me demande s’ils sont encore eux-mêmes au courant.

    Une gôche qui serait contre ceux qui ont le plus besoin de protection alors, pour les mettre en concurrence avec la terre entière, un prolétariat qui ne gagnerait pas son pain à la sueur de son front mais seulement quelques miettes en se rendant malade tandis qu’une petite caste de dirigeants de gôche se vautrerait dans le lucre sans jamais se mouiller.

    Une gôche qui couche avec le libéralisme le plus vulgaire, de la libéralisation économique à outrance à la libéralisation des moeurs en passant par la libéralisation des droits régaliens :

    après celui de battre monnaie, celui de faire la Loi, celui de se défendre, comme l’ont récemment demandé deux élus socialistes qui s’inquiètent de notre « retard » en matière de privatisation des forces armées.

    Il est vrai que pour la droate, c’est une toute autre affaire.


    Elle est bien pour la libéralisation économique, la libéralisation des droits régaliens, mais parce qu’elle a sa légitimité de droate pour cela, quant aux moeurs, attendez, elle est de droite, la droate, donc elle va faire ça … par sa gauche.

    Marine Le Pen ne se dit-elle pas elle-même à la gauche d’Obama et celui-ci ne vient-il pas – après avoir dit qu’il était contre il y a quelques années – de se déclarer en faveur du mariage homosexuel.

    Il faut bien comprendre que la droate y viendra, cinq ans après les Usa sans doute, le temps que cela traverse l’Atlantique, mais elle y viendra, et il ne faudrait même pas s’étonner que ce soit un Copé ou un Juppé qui servent alors cela sur un plateau.

    D’ailleurs le 22 novembre 2011, des responsables UMP, confortés par Chatel, l’inévitable Bachelot -qui a augmenté de près de 50 % de la rémunération des médecins pour un avortement- et Copé, avaient lancé un appel en faveur du mariage gay, comme l’avait fait le premier ministre anglais et « ultra-conservateur » David Cameron. Sarkozy n’était pas défavorable, en 2006, à un « contrat d’union civique » pour les homosexuels, comme d’ailleurs, à la même époque, il louait le « métissage ».

    L’agent Descoings a déjà bien avancé le job, le missionnaire sarkozyste s’est montré bien à la pointe en introduisant ses Gender Studies comme une science, on voit mal -ou trop bien- comment l’altération ne deviendrait pas la note dans une gamme en La majeur.

    Dire que nous serions la meilleure opposition à la gauche ou au socialisme est ainsi proprement affligeant.

    Cela montrerait que l'on n' aurait finalement rien compris au mondialisme, et/ou que l'on prend les gens pour des cons (mais on ne sait même plus dans quel sens).

    Nous sommes seulement, et ce depuis que nous avons réalisé ce que c'était, la meilleure opposition -a priori donc - au mondialisme de l'Umps & compagnie.

    La gauche, le droite, le centre, l'extrême-gauche et l'extrême-droite sont des conneries pour gogos.

    L'Umps ne sont que les valets des mêmes donneurs d'ordre.

    On sait parfaitement que le ratio d'immigration est donné ailleurs, comme variable d'ajustement économique (ce facteur englobant l'élément déstabilisateur et n'oublions pas que l'homme hors sol est le plus rentable dans son coût de revient et dans ce qu'il rapporte entant que consommateur), on sait aussi que le reste de cette politique économique, et, donc sociale, est élaboré ailleurs.

    Que même les pressions sur l'évolution des mœurs viennent d'ailleurs et sont décidées ailleurs.

    Immigration, communautarisme, éducation, Ivg, euthanasie, don d'organe, Ogm, nucléaire, Gender studies et dérivés, où avez-vous vu une différence !

    Faut-il être ignorant pour ne pas voir, ce serait bien que ceux qui se prétendent "la meilleure opposition" sachent déjà à quoi, et sachent aussi un minimum de quoi il en retourne.

    Les gros fournisseurs d’idéologies politiques appliquées sont en France, tant Terra Nova que Fondapol, tant l’Institut Jean Jaurès que l’Institut Turgot et leurs experts sont si interchangeables qu’ils travaillent souvent pour les quatre à la fois, et le tout est chapeauté par les mêmes groupes industrialo financiers, qui du Cercle de l’Industrie, qui de l’Institut de l’Entreprise, qui de L’European Round Table.

    Il faut bien comprendre aussi que ce qui relève du sociétal, est aussi un business, tant au niveau de la machine à gaz (le lobbying est un marché en soi) qu’au niveau des éléments de fond, l’euthanasie est aussi un marché, le don d’organe est un marché, le mariage homosexuel est un business, etc., etc..

    Il n’y a que le fric dans ce système, tout le reste n’est que prétexte, et tant que l’on ne comprend pas cela, on ne comprend rien.

    N'attendons pas que le peuple s'abaisse à notre hauteur si on ne s'élève pas déjà nous-mêmes.

  • Hollande l'Américain II



      

    Les priorités données par François Hollande lors de l'allocution qui a suivi l'annonce de sa victoire, sont celles que Laurianne Deniaud présentait récemment en validant le rapport de l’Observatoire de la Jeunesse Solidaire.

    Cette responsable des jeunesses socialistes est issue des réseaux de l’Education Populaire.

    Il est vraisemblable qu’elle occupera une place importante dans le futur gouvernement car elle est une pièce maîtresse du dispositif que François Hollande présente comme prioritaire.

    Logiquement, c'est Martine Aubry qui devrait être nommée Premier Ministre, c'est elle la véritable idéologue derrière Hollande et ses réseaux deloriens sont les réseaux mondialistes le plus puissants des socialistes, à côté les francs-maçons de JM Ayrault font pitié.
    En tout cas, elle devrait avoir un poste clef, d'autant qu'elle s'est désistée et il y a forcément un accord à cela comme il y avait accord entre elle et Dsk, Ayrault aura un poste honorifique.
     
    Laurianne Deniaud n' étant que la potiche de Martine Aubry.

    Les réseaux de l’Education populaire travaillent avec ceux de l’Afev (l'Association Fondation des Etudiants pour la ville). 

    http://www.nationspresse.info/?p=133586

    L’Afev ressemble en tout point aux organisations pilotées par la Cia.

    Présentée par Wikipedia comme la création de trois joyeux étudiants, l’Afev est à l’origine de nombreux rapports « spontanés » de la jeunesse demandant les évolutions qui vont dans le sens de ce que demandent les grands groupes industrialo financiers.

    Rapidement, l’Afev s’est saisie du sujet de la suppression des notes et de la mise en place du Livret de compétences demandé et élaboré par l’European Round table et l'Ocde au niveau de l'Union Européenne.

    Les Jeunesses Solidaires, dont émane le rapport présenté par Laurianne Deniaud, sont hiérarchiquement subordonnées à l’Afev.

    Pour anecdote, Yannick Noah semble plus que lié au PS, il est en affaire avec lui via l’Afev qui fonctionne parallèlement avec Fête le Mur, l’association du sportif enchanteur qui anime déjà une vingtaine de zones urbaines sensibles grâce au tennis.

    C’ est le Groupe Bnp Paribas qui annonce des bugdets de plusieurs millions d’euros qu’il alloue à l’Afev et à l’association de Yannick Noah, et a participé à la naissance de la Fondation du Sport, qui développe notamment des partenariats entre le secteur public, le secteur privé et le monde associatif en faveur de l’insertion par le sport.

     
    En échange, le Groupe bancaire octroie des micro-crédits aux pouplations « sensibles ».
     Quand on sait que le micro-crédit est l’activité bancaire la plus lucrative … ce ne sont pas les pauvres qui manquent.

    Mais bien sûr chacun est libre de penser que la Banque est une activité hautement humaniste.

    Je rappelle au passage que Pierre Moscovici pour le Parti Socialiste, n'est pas pour rien vice-président (co vice-président avec Alain Lamassoure pour l'Ump) du Cercle de l'Industrie, allié à l'Institut de l'Entreprise (petite soeur de l'American Enterprise Institute) qui regroupent tout ce que le Cac 40 compte comme groupes industrialo financiers.

     

    Au niveau universitaire, les réseaux de l'Afev sont puissants, ils ont pour media : Universités et Territoires (Magazine et site Internet), et travaillent comme son nom l'indique, avec les Collectivités territoriales.

    Et notamment au très suspect projet de Partenariat public-privé.

    Parmi les tout premiers intervenants de cette organisation, figuraient Stéphane Hessel et Edgar Morin dont on sait les liens avec la Cia qui a toujours utilisé des intellectuels pour asseoir son projet de domination économique.

    Leurs connexions avec les faux-nez mondialistes que sont la Chaîne de l’espoir -dans le domaine médical-, la Rose ou la Flamme Marie-Claire, Toutes à l’école -réseaux d‘aides à l‘éducation des petites filles en France et dans le monde avec utilisation de «  stars  »  comme Estelle Hallyday, Claire Chazal, etc.-, sont faciles à établir et fonctionnent selon les méthodes classiques des réseaux des services américains.

    Avec la force, l’éducation est le meilleur moyen d’asseoir l’idéologie libérale, on connaît l’implication de la Milton & Rose Friedman Foundation par exemple; on sait aussi comment l’idéologie mondialiste utilise les ONG pour s’implanter durablement, j'ai souvent cité la Creative Associate, pendant éducatif des Blackwaters en matière d'armée privée.


    Ne nous y trompons pas, le Ps aurait présenté une chèvre qu'il aurait remporté la mise, d'ailleurs Hollande se demande encore lui-même ce qu'il fait là.

    Les candidats mondialistes sont des pions "one shot", on ne leur demande que de faire le "job" et étant donné celui-ci, il est évident que ce n'est que pour un tour, l'étiquette, c'est du maquillage pour la galerie.


    Bref, on pensait avoir François II, n'oublions pas Mitterrand quand il affirmait être le dernier président de la France, souvenons-nous de ses paroles avant de partir, il disait que les Français ne le savaient pas, mais ils étaient en guerre, contre les Etats-Unis, et que ce serait une guerre à mort.
    La mort est moderne, par euthanasie, on ne sent rien, le docteur Hollande nous surveille, après Sarkozy l'Américain, voici donc l'Américain, épisode II.

     

  • Aidons-nous et Dieu donnera la victoire !

    Nicolas-Sarkozy-signe-de-croix-Vatican.jpg Marine Le Pen nous l'a dit, en cette fête-anniversaire de Jeanne d’Arc, nous sommes libres de voter en conscience au second tour de l’élection présidentielle.

    Je me sens donc la haute responsabilité de sacrifier mon vote en mettant le bulletin Hollande dans l'urne, il en faut bien qui contrebalancent l'hérésie des autres, je rappelle que le pire reste le piège de l’ Union des Droites, projet mondialiste pour liquider les nationaux.


    Et ma foi, pour les chouineurs, faire élire Hollande grâce à nos voix et ensuite créer un mystérieux Comité Théodule qui exigera la démission de celui qui doit son élection aux voix du Front National.

    Nul besoin ainsi de faire repentance, on ne voterait pas pour lui, on lui ferait la peau -lui qui entend aussi nous brosser ces temps-ci dans le sens du poil-, nous serons ainsi responsables …mais pas coupables.


    Cela n’étonna pas vraiment, Bruno Gollnisch a expliqué dans un entretien accordé au quotidien Le Progrès qu’ « à titre personnel, (il) penche plutôt pour un vote Sarkozy que pour un vote Hollande » le 6 mai.


    De même, nous figurons tous - de façon totalement usurpée - dans les fichiers de Minute, nous avons donc ainsi pu recevoir concomitamment l’appel à voter Sarkozy tant d’un Larebière que d’un triolet de prêtres conseillant leurs zouaves dans ce qu’il faut bien appeler la minute des abbés, pour le « bien commun » il va sans dire, il existe tout de même des voix plus pénétrables que d’autres.
    Ceux-là mériteraient d’éprouver la surprise assez désagréable qu’on leur dise un jour du combat pour le rétablissement du catholicisme et de la royauté : « C'est pour demain ! ».

    En attendant je me charge de leur décocher un bon coup de pied de mule, après tout je descends bien directement d'un pape, on a le droit de s'inspirer du plus bel exemple de rancune ecclésiastique.



    Même son de cloche entendu par la laicarde Christine Tasin qui riposte au communautarisme mondialiste en appelant au vote … mondialo communautaire.

    Quand les lobbyistes du genre Catholiques en campagne, du même tonneau, font dans le subtil : « Nous n’avons pas reçu de réponse du candidat Hollande » …

    Chez les autres lobbies de l'extrême-droite liés ainsi à l'Heritage Foundation (CIA, sachant que d'autres réseaux de la CIA appellent évidemment à voter Hollande; je pense à l'Afev, Jeunesses Solidaires, Universités et territoires), font lourdement comprendre que Hollande est incompatible même si les intérêts de la boutique peuvent faire pour certains qu'ils appellent à voter blanc.
     Les zouaves de Frigides Bardot invités à voter enfin pour leur candidat naturel.
    Même chacals aux Mnr, Carl Lang, Rivarol mitigé mais qui compte le père de Guillaume Peltier qui appelle au vote Sarkozy, bref avec Larebière , les réseaux Buisson. Manque que Synthèse Nationale, dommage, c'est paraît-il parce Sarkozy est trop juif pour eux.

    Restaient encore les deux crypto mondialistes Collard et PMC, c'est fait (j'ai complété mon texte avec l'actualité).

    Mais le véritable mouvement national ne compte heureusement pas que cette fange d'extrême-droite dont il faudrait bien un jour se débarrasser vraiment pour être enfin à la hauteur de notre peuple, enfin à la hauteur de la France.

    Nous sommes un certain nombre à appeler à voter Hollande -dont nous savons pertinemment qui il est, faut-il le rappeler, et sûrement mieux que beaucoup de gens qui ignorent tout en réalité du mondialisme-, d'une part parce que nous savons qu'il remportera l'élection quoi qu'il arrive, d'autre part pour contrer cette extrême-droite, et encore, pour le temps que nous pensons gagner.


    En aucun cas de toute façon, il ne faut croire à l'implosion de l'Ump et ne la souhaiter même surtout pas.

    L'Ump est déjà une alliance hétéroclite issue d'une implosion, elle était déjà cela par essence, ce groupement d'intérêts électoral. De plus, l'alternance mondialiste était prévue, Copé est aux anges, il se positionne déjà pour 2017 où il jouera sur le fait que Sarkozy -l'Ump- avait "endigué la crise".
     
     Il ne faut souhaiter aucun transfert de la part de potentiels éléments de l'Ump qui "se reconnaîtraient davantage dans nos valeurs que dans celles de Sarkozy", ne pas vouloir de ces éternels gamellards, aveugles, velléitaires, ignorants, imposteurs, roublards, hâbleurs, commerciaux, j'en passe et des pires.

    Ils ne nous apporteraient que leur sale mentalité de lobbyiste et on voit aujourd'hui le retour de bâton :
    on a vu Collard le soir du premier tour sur le plateau de France 2, devant 20 millions de téléspectateurs, dire que nous étions "la droite moderne" (double fois envie de vomir). 
    Mais il semble que Collard ne soit plus nommé porte-parole pour les prochaines échéances ..., et il a récidivé sur le plateau d'I-Télé avec sa droate. Cela nous flingue à présent bien plus que le "détail".

    D'autant que même s'il est vrai que nous avons besoin d'ancrage, ne nous leurrons pas, si les candidats en question courent et s'entretuent pour l'étiquettes Ump, c'est bien que chacun sait qu'on peut présenter un chèvre sous une étiquette, et qu'en l'absence, l'ancré en question ne se retrouverait que dans la nasse. Et puis la rangaine d'Union des droites des souverainistes nous bassine, d'autant que nous savons pertinemment le piège derrière.

    Cela brouillera encore notre message auprès des électeurs qui en ont assez de tous les bidouillages.
     

     
    Ces attardés d’une guerre font qu’à présent, tout nationaliste (celui qui ne fait que mettre la Nation au centre de tout, notre Nation étant tant notre peuple que le cadre institutionnel national, inextricablement liée à notre terre, notre Patrie) qui entend les termes de "fausse droite", de « droite molle » ou de "droite nationale" dans la bouche de quelqu'un, sait qu’il a affaire à un vrai con, ou un con dur, au mieux, un idiot international, au pire.

    Il est certain qu'à la tarte à la crème : "Rassemblons-nous" -se croire obligé de s'allier à des boulets qui ont toujours prouvé tant leurs seules versatilité qu'inutilité-, j'eus préféré "Ressemblons-nous".

     

    Pour parodier les cathos crypto mondialistes, choisissons donc le candidat du moindre mal :


    quand Sarkozy accélèrera toujours plus la fuite en avant libérale, Hollande sera toujours freiné par la cour qu'il arrose (encore qu’en matière de Défense, il faut noter que l’appel à l’accélération de la libéralisation émane de la gauche qui, rappelons-le, a ouvert au marché bien plus de secteurs sous Jospin que sous tout autre), mais on note tout de même dans le domaine qui à mon sens reste le plus important, puisqu’il s’agit de celui de la transmission, davantage de résistance près des enseignants ralliés à Hollande tandis que les mêmes, tenants de Sarkozy, courent toujours plus rapidement que les premiers vers le non retour en sacrifiant l'Ecole française en lui coupant la tête quand Hollande l'ampute des jambes et des bras mais se heurte encore chez ses partisans à quelques pudeurs libérales, même s’ils ont clairement servi et serviront toujours d‘idiot utile à la mise en place des directives de l’Ocde et de l’Omc. On note par exemple des résistances de gauche au Livret de compétences alors même que, paradoxalement (mais tout paradoxe qui se respecte n'en est pas un), ce sont les réseaux de l'Afev (de gauche) qui sont à l'origine de sa mise en place en France, respectant ainsi les desiderata des grands groupes industrialo financiers.

    Et puis quelle galéjade que le puritanisme des chaisières quand le sarkozyste Richard Descoing introduit les Gender Studies façon suppo …


     Idem en matière judiciaire où l’on voit que les juges et législations rouges sont en train de faire le lit de la justice libérale, laissant libre champ au super lobby atlantiste, mondialiste (pléonasme) : l' Institut pour la Justice/Rassemblement pour la Justice 2012, monte ne puissance et se permet même de convoquer les politiques qui rappliquent le doigt sur la couture.



    Alors comme ce n'est pas dit, je le dis :

    Sarkozy, c'est Hollande, en pire !

    Les deux ne sont que des valets mondialistes (L’Umps vice-préside le Cercle de l‘Industrie en les personnes de Pierre Moscovici et d’Alain Lamassoure, allié à l'Institut de l'Entreprise, ces organisations regroupent tous ceux que l'oligarchie industrialo financière compte comme donneurs d'ordre. Il suffirait seulement de savoir que ce sont tant Terra Nova et la Fondation Jaurès, que Fondapol, l'Institut Montaigne et l'Institut Turgot, dont les "experts" sont interchangeables, qui nourrissent les politiques,  et qui ne sont aussi qu'à la bottes des mêmes puissances industrialo fiancières), mais Sarkozy n'a aucune tenue quand Hollande se sentira retenu, avec Sarkozy on va dans le mur à Vitesse grand V quand Hollande devra prendre son trantran. Sans compter qu'au pire, nous récupérerions un peu de proportionnelle ...

    Gagnons toujours un peu de temps, le temps, c'est de la France !