La dernière proposition de l'Association nationale des DRH visant à neutraliser certains jours fériés n'est qu'une avancée du libéralisme.
Un moyen de rentabiliser encore davantage les infrastructures tout en n'ayant pas à payer la revalorisation en cas de travail les jours fériés.
Ajoutons pour bien comprendre le phénomène, le rôle clef des DRH dans le processus mondialiste.
Ils participent de tous les fora mondiaux organisés par les organisations internationales (notamment et c'est extrêmement important en ce qui concerne le nouvel ordre éducatif mondial puisqu'ils participent à l'élaboration de cette politique pour mettre l'école au service unique du marché).
Ce sont encore les DRH qui forcent la France à revoir à la baisse la sécurité de son CDI.
La Commission européenne, dans ses dernières recommandations publiées rappelle qu'en France, les chances d'évoluer d'un CDD à un CDI sont passées de 45% en 1995 à 12,8% en 2010 -alors que ce taux est à 25,8% en Europe. Et explique que cela «nuit au marché du travail et à la qualité du capital humain».
C'est un classique, on organise les voies de fait, ensuite on établit une législation en conséquence.
Et toujours sous de fallacieux prétextes, ici on fait croire à une avancée du CDI que chacun tient pour plus protecteur qu'un CDD.
Pour la Commission, revoir «le haut niveau de protection» du CDI serait donc la solution pour favoriser l'emploi durable. Ces recommandations pourraient remettre sur le tapis l'idée du «contrat unique».
Le concept? Un seul et même contrat de travail pour tous, sans limitation de durée, dans lequel le salarié accumule des droits en fonction de son ancienneté, tout en garantissant à l'employeur la possibilité de s'en séparer plus simplement.
Une idée que défend l'Association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH).
D'après ce que l'on comprend à la lecture des rapports mondialistes de l'OCDE et de l'OMC, ce ne sont que des étapes, à terme, il est prévu une assurance-crédit éducation et formation tout-au-long-de-la vie, une sorte de chèque éducation-emploi-maladie-chômage-retraite.
Le contrat sera bien à durée indéterminé puisque de la naissance à la mort, cela payera la crèche, l'école et la suite, mais ce sera un crédit que l'on remboursera durant les périodes travaillées, cela paiera ainsi les périodes de chômage, de maladie, etc. jusqu'à la retraite.
Le tout au niveau d'un smic mondial, à ce compte-là et étant donné que les entreprises ont établi leurs besoins de main-d'oeuvre à 20% de la population active, l'organisation internationale du travail établira le planning de la population mondiale en conséquence, avec un partage de petits boulots ponctuels pour le meilleur ajustement à leurs besoins.
Ah, j'oubliais, pour occuper tout le petit monde, il est prévu de beaux évènements sportifs, paraît que ça calme, ça a été étudié au mieux.