Ils leur manquent juste toute la partie structure de la nébuleuse, ils ne regardent pas d'assez haut, mais bon, ils ont remarqué quelque chose.
Je resterai encore la seule à avoir mis au jour leur réseau de lobbies et leur maison-mère américaine.
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Ils leur manquent juste toute la partie structure de la nébuleuse, ils ne regardent pas d'assez haut, mais bon, ils ont remarqué quelque chose.
Je resterai encore la seule à avoir mis au jour leur réseau de lobbies et leur maison-mère américaine.
Les fondateurs et principaux bailleurs de fonds du Planning Familial aux Etats-Unis, sont des membres de la famille Mellon Scaife des pétrole, aluminium et banques du même nom, dont les richesses proviennent de la captation de matières premières par le père Mellon Scaife, ancien dirigeant de l'OSS, ancêtre de la CIA.
Proches du Ku Klux Klan, l'idée était de contrôler les naissances des populations noires.
La famille Mellon Scaife est aussi à l'origine de la fondation du think tank libertarien Heritage Foundation (Fondation du patrimoine).
L'Heritage Foundation, située à Washington, est un des lieux où les cadres de Radio Courtoisie forment les leurs au lobbying via la Bourse Tocqueville et l'Institut de Formation Politique, dans l'objectif de propagation de l'idéologie du libéralisme total et de pénétrer les milieux économiques, médiatiques, culturels, politiques, etc..
La branche famille de ce think tank, a reçu notamment Christine Boutin, Béatrice Bourges et Frank Margain à Washington dans le cadre de La Manif Pour Tous qui est une ramification de cette organisation, qui en compte également jusqu'en Russie.
Egalement lié à l'Opus Déi, l'oligarque maffieux russe qui fait le lien -et dont les avoirs à la City ont été gelés-, est Konstantin Malofeev, qui reçoit fréquemment Aymeric Chauprade, parfois affublé de Marion Maréchal Le Pen.
John Laughland, chef advisor du Ron Paul Institute For Prosperity, lié à Exxon Mobil (dont les cadres viennent former la "dissidence " directement en France et notamment avec l'aimable contribution d'un Alain Soral par exemple), est le pion libertarien en France, Europe et Russie via son Institut pour la Démocratie et la Coopération (IDC).
Malofeev est aussi un financier et contact des forces rebelles qui ont annexé l'Ukraine au Donbass.
L'extrême-droite en France est étroitement liée à ces réseaux.
http://www.phoenixnewtimes.com/…/richard-mellon-scaifes-cas…
Sur la télévision libertarienne, entre néocons et libéraux cons, un cons parmi d'autres :
http://www.tvlibertes.com/les-idees-a-lendroit-n1/
Les idées à l’endroit n°1
NOUVELLE EMISSION AVEC ALAIN DE BENOIST LES IDÉES A L'ENDROIT est…
TVLIBERTES.COM
Nous y voilà
Invite-t-il sérieusement les musulmans à son alya ?
Israel a certes un problème démographique, mais Enrico semble oublier que c'est la manière pudibonde de certains de dire qu'il y a trop d'arabes en Palestine ...
Je ne connaissais pas Philippe Verdier, faute de regarder la télévision, mais je sais en revanche mieux que lui qu'il s'est fait récupérer par les libertariens.
Les Editions Ring naturellement et il tourne actuellement furieusement dans tout le réseau, de Contrepoints de vue de Washington à Egalité et Réconciliation sous le contrôle des think tanks les plus libéraux de la planète, Soral servant de mémère Tupperware pour refourguer la came façon Fils (à papa) de la liberté.
Bon, que l'on se fasse bourrer le mou par l'un ou l'autre camp, le but du jeu du clan libéral dur est de déstabiliser le parti du clan libéral mou qui est encore trop rattaché aux institutions étatiques alors que le but du jeu est d'accélérer e processus libéral.
N'ayez crainte, les soutiens des uns et des autres sont les mêmes et c'est bien eux qui rafleront la mise à tous les coups, les grands groupes dominent les politiques mondiales et entendent bien garder et élargir leurs parts de marché jusqu'à se bouffer entre eux in fine, c'est la règle du jeu.
Le maffieux avant le religieux, c'est le b a ba en matière de terrorisme.
Lors de sa joute verbale au sein du Parlement européen, François Hollande s'est opposé à Marine Le Pen et notamment sur les concepts de souverainisme et de souveraineté, affirmant ce que j'étais une des rares jusqu'à présent à énoncer, à savoir que l'un n'avait rien à voir avec l'autre.
François Hollande a à la fois raison et tort.
Raison sur le fait que le souverainisme ne soit pas la souveraineté.
Le souverainisme est une idéologie, d'origine anglo saxonne à la base, et qui en Europe, a pris naissance avec la Paneurope.
Le Mouvement paneuropéen a commencé à germer après guerre et notamment dans les correspondances Condenhove Kalergi-De Gaulle.
De ce mouvement seront issus les Mouvement Pour la France et autre RPF.
C'est un mouvement étroitement lié à l'idéologie libérale (dans son acception française, le "liberal" anglo saxon étant classé à gauche par les partisans libéraux du souverainisme).
C'est ainsi que le thatchérien Nigel Farage et le mouvement Libertas du multimilliardaire Jimmy Goldsmith, se sont retrouvés ou se retrouvent dans ce courant.
Le Front National ne serait a priori pas "souverainiste" a proprement parlé, Marine Le Pen ne sait pas exactement à quoi cela correspond, mais ses partisans libéraux, et notamment ceux liés au Club de l'Horloge (Marine Le Pen est conseillée par Jean-Yves Le Gallou par exemple), ou l'Institut de Formation Politique -qui se revendique ouvertement de maison-mère libertarienne/libérale cons américaine- qui alimente Marine Le Pen (mais pas seulement) en cadres, ou encore l'Ecole de Guerre Economique (également liée aux Américains, notamment via John Laughand, agent de Ron Paul en Europe et Russie), se retrouvent dans le souverainisme.
La souveraineté est autre chose.
La souveraineté française se définit clairement par les attributs de souveraineté de l'Etat depuis les siècles qui ont fondé la France.
Ce sont ces attributs de souveraineté (droit de battre monnaie, droit de faire et d’exécuter les lois, droit de rendre justice, droit de police, droit de défense extérieure) qui garantissent ou garantissaient (puisque la France a perdu peu à peu ses attributs de souveraineté) qui permett(ai)ent à la France les moyens d'assurer son grand principe fondateur d'Unité nationale.
Ce principe d'Unité qui permet à chaque Français, quelles que soient son histoire et notamment ses origines, d'être considéré comme tous les autres, quel que soit son lieu sur notre territoire.
Cette souveraineté française donnait à la France son indépendance, le droit pour les Français de décider de leur devenir.
La démocratie avait permis de transférer ce pouvoir jadis détenu dans les mains d'un Roi, dans les mains du peuple, cette population dont la France faisait des Français.
Mais François Hollande ne se réclame apparemment pas de cette souveraineté française.
Il parle d'une "souveraineté européenne".
Faisant référence à un rêve d'indépendance de l'Europe, peut-être vis-à-vis des Américains, comme tel était le projet d'un de Gaulle également.
Le fait est que le souverainisme appelle aussi cette Europe, dite des nations, à cette indépendance.
On voit mal comment une Europe libérale serait différente de l'idéologie anglo saxonne libérale, mais ne compliquons pas l'affaire.
Etant donné que peu semblent déjà maîtriser les termes du débat ...
Ce que veulent les souverainistes, c'est d'une Europe plus libérale, moins "étatiste", moins réglementée, ils appellent ainsi l'UE : "l'union soviétique européenne".
Lorsque vous faites appel à la notion de souveraineté, votre nation s'accorde et respecte, également, toutes les autres entités équivalentes dans le monde.
La France est un Etat-Nation (qui détient donc les attributs de souveraineté) est en en cela, très différente d'autres cadres politiques.
Un hypothétique principe de "souveraineté européenne" serait-il ainsi sous-tendu par le principe d'unité français, ou par le principe individualiste anglo-saxon ?
Notre unité implique un pouvoir centralisé, quand le paradigme anglo-saxon s'alimente de décentralisation.
Le souverainisme est une idéologie qui revendique par ailleurs cette décentralisation, et l'Etat est une plaie à combattre, même s'ils jouent sur le concept d' "Etat fort", car ils veulent un Etat minimal qui défende fortement la liberté individuelle.
La domination anglo américaine ayant entraîné la France dans ce processus qui nous est étranger car la France a justement toujours lutté contre les pouvoirs et petits intérêts féodaux que cela engendraient, et qui mettaient en péril notre raison d'être, celui de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.
Le modèle allemand, ou britannique naturellement, s'assimilent au modèle fédéral américain en revanche.
En sachant que ce genre d'organisation politique est très poreux aux lobbies, quand l'Etat y est un rempart.
Que l'on ne me demande pas comment un J-P Chevènement se situe dans cette idéologie, je ne suis pas responsable des incohérences des uns et des autres.
Mais depuis longtemps les souverainismes sont solubles entre eux et parlementent de façon transversale, sans trop s'avancer sur des questions qu'on ne leur pose jamais, sur leur réelle vision économique, sociale, leurs frontières en quelque sorte, et même celle de leur "indépendance", notamment vis-à-vis de l'idéologie libérale.
Quid des valeurs de François Hollande ?
De ses rapports à la souveraineté française ?
Tout cela mériterait un grand débat, qui n'a jamais eu lieu.
Coudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefitte comme Secrétaire général.
Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond Triboulet, Michel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013. Le sénateur Jean Bizet, président de la Commission des affaires européennes au Sénat, lui succède en mai 2015.
Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.
https://fr.m.wikipedia.org/…/Union_paneurop%C3%A9enne_inter…
Hollande ne sait pas ce qu'est le souverainisme.
Certes, ce n'est pas la souveraineté (ce que ne sait pas Marine Le Pen).
Mais lui parle de souveraineté européenne.
Or justement, le souverainisme a avoir avec la souveraineté européenne.
Dans l'idée des souverainistes, très liés à l'Opus Déi et au principe de subsidiarité de l'Eglise, ce principe doit également s'appliquer à l'Europe.
Il s'agit d'un principe libéral.
"La subsidiarité peut se définir comme la hiérarchisation des pouvoirs au sein d'une société en fonction des compétences propres à chacun des éléments constitutifs de cette dernière.
Le principe de subsidiarité énonce le souhait que les compétences des groupements d’ordre supérieur doivent se limiter aux tâches que les groupements d’ordre inférieur ne peuvent faire par eux-mêmes.
Les décisions devraient donc être prises à l'échelon le plus adapté (si possible au niveau de l'individu), de façon à permettre la résolution la plus rapide et la plus efficace des problèmes.
Le contraire du principe de subsidiarité est la centralisation, qu'elle soit le fait d'une autorité centrale coercitive, ou que les groupements d’ordre inférieur (individus, communes, cantons, régions...) cèdent leur droit à l'entité supérieure, en échange de subventions : on n'accepte pas aisément une atteinte à sa propre souveraineté - à moins de recevoir de l'argent en compensation !
La subsidiarité rejoint l'idée fédérale et s'oppose au modèle jacobin centralisateur de l'État-nation."