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Libertariens (Libéralisme) - Page 65

  • Patte libertarienne

    Les libertariens à l'oeuvre.
    Rappelons à la dissidence à la con - l'extrême-droite, pion éternel du libéralisme intégral- qu'ils sont les plus redoutables ennemis de la France et de la liberté en général.

    Les tentatives sont les mêmes aux USA et en France (On se souvient comment Jovanovic, Soral, Dieudonné, l'abruti Cantona, tous les réseaux libertariens -bien installés en Russie- avaient été activés et avaient joué un rôle dans la tentative de déstabilisation).

    Je rappelle qu'un des
     maillons entre les libertariens de Washington, la France et la Russie se nomme John Laughland, agent de Ron Paul et de l'Institut Pour la Coopération et la Démocratie lié à Poutine et à Exxon Mobil.
    Panique bancaire en Bulgarie : la banque centrale avance la thèse du complot
    www.latribune.fr
    La Banque Nationale Bulgare a jugé que les attaques contre les banques bulgares visaient à déstabiliser l'Etat. Une attaque à peine dissimulée contre Moscou.

  • Libertariens et petite mise au Point

    Je pense être légitimement à l'origine de l'entrée de ce terme dans le dictionnaire.
    Je l'ai traduit et propagé sous les risées et les moqueries au début.
    On m'a dit ensuite que c'était quelque chose comme les "reptiliens".

    Je suis les réseaux français et les liens qui existent avec les USA, l'Amérique latine et qui passent par l'Europe et qui se sont implantés jusqu'en Russie depuis plus de vingt ans.

    J'ai forcé les journalistes à s'y intéresser en leur envoyant les informations, mais rien, n'a encore été analysé dans sa globalité.

    J'ai écrit et écrit toujours de nombreux articles sur le sujet, qui est énorme et de la plus grande importance.

    Des erreurs d'analyse existe dans cet article.

    Les libertariens sont contre une certaine forme d'immigration.
    Cela est attesté par la dernière victoire du Tea Party en Virginie où le candidat libertarien a écarté celui qui était considéré comme le potentiel futur président du Congrès, et où le vainqueur avait axé sa campagne sur l'immigration.

    Il y a eu en effet de nombreux candidats libertariens issus de l'immigration hispanique qui ont plébicité la libre circulation des personnes et il est exact que ce soit une revendication libertarienne.

    Cependant les libertariens - et ils sont en cela et tout, l'avant garde du libéralisme- sont pour une immigration choisie, et surtout qui ne coûte pas un rond à l'Etat.

    Marine Le Pen cite d'ailleurs souvent les libertariens Gourevitch et Laulan pour étayer ses thèses sur le sujet.
    Or ces deux-là sont pour l'immigration, mais pas celle dont ils ont calculé à 70 millions le facture pour l'Etat, et notamment le coût des écoles et des hôpitaux, école et santé qui doivent aussi également être entièrement privées.

    Le libertarianisme est le libéralisme poussé à son paroxysme, c'est à dire le libéralisme tout court.
    Ils sont aussi libertaires, mais ils fonctionnent en micro sociétés de lobbies où se regroupent les gens qui pensent la même chose.
    Faut-il prendre les libertariens au sérieux ?
    www.lepoint.fr
    Le mot fait son entrée dans le Larousse, mais pas dans les tête

  • Rejetons les femmes et les enfants d'abord !

    Les femmes et les enfants d'abord, mais pas dans le sens que l'on croit.

    Le maire-de-propagande du Pontet (Vaucluse) ignore sans doute que les familles les plus démunies sont en France les familles monoparentales, ces mères qui élèvent seules leurs enfants et dont les revenus sont ou seraient inférieurs au frais de garde et de transport qu'ils occasionne(rai)ent.
    Il souhaite supprimer la gratuité de la cantine pour les plus démunis.
    Relevons que cet édile si soucieux des deniers publics a commencé par prendre en toute première mesure, sa propre augmentation d'indemnité d'élu, une augmentation qui permettrait d'offrir 500 repas par mois.

    Comme Ménard, il assène la double peine aux catégories les plus fragilisées de nos concitoyens.

    On peut garantir que plus l'acharnement contre les faibles est fort, moins les attaques contre les puissants le seront, c'est quasiment un théorème de base.

    Les électeurs et tous ceux qui reconnaissent la France comme la patrie du petit, du sans grade, contre l'injustice, apprécieront.

    Ceux qui traitent les pauvres d'assistés feraient mieux de mouler le ton, j'en ai rencontré beaucoup de ces tueurs qui font les malins quand ils ont du travail, et quand ils tombent eux aussi -car chacun peut être touché par la maladie, l'accident, l'abandon, la faillite, le licenciement 
    etc.- ils tombent de haut.
     
    Etre au chômage ou autres formes de précarité aujourd'hui n'a rien à voir avec sa volonté ni ses capacités, ce serait mal comprendre le fonctionnement du système actuel.

    Sachons ce qui oppose notre pays au monde libéral anglo américain.
    Nous sommes un pays de redistribution, notre sytème d'éducation,de santé, de retraite, de justice, de police, d'assurances même, ou de banques, tout dans notre droit contient ce principe d'unité et d'égalité des droits.
    La France organise la société de façon à ne laisser personne au bord du chemin.
     
    Ceux qui sont prompts à définir ce système comme de l'assistanat, ignorent parfois qu'ils ne défendent pas le modèle français, mais la conception anglo américaine où les écoles sont différentes en fonction de la fortune des parents, où les plus aisés s'offrent une police privée, une justice plus favorable, peuvent s'offrir des soins de santé inaccessibles aux plus démunis, etc.
    Nos chevaliers jadis, défendaient la veuve et l'orphelin.
    Choisissez bien vos références, nous, c'est la France.

    Un maire FN supprime la gratuité de la cantine pour les familles pauvres
    www.huffingtonpost.fr
    Le conseil municipal du Pontet, commune du Vaucluse conquise par le Front national aux élections de mars dernier...

  • Le petit dernier media lobby des libertariens de Washington

    1. J'ai félicité le dernier Prix Razel (Institut de Formation Politique/IFRAP/ lobbies libertariens de Washington et de l'oligarchie industrialo fonancière) au nom de tous les véritables défenseurs de la France :

      "Maintenant que vous avez obtenu le label officiel des extrêmes libéraux américains, vous nous permettrez d'annoncer très officiellement votre naissance en tant qu'ennemi officiel de la France, de son histoire, de ses institutions et de son âme.

      Les tenants de la France doivent toutefois vous être redevables de votre franchise.

      Nous savons lire à présent à travers tous vos pseudo arguments, le langage propagandiste des pères fondateurs des Etats-Unis, ce qui n'est guère catholique vous en conviendrez.

      Vous serez donc une parfaite représentation de l'inversion des valeurs et du langage, ne doutez pas une seconde que nous ne puissions vous reconnaître comme tel.

      Nationalement Française et à jamais votre meilleure ennemie
      Oriane Borja"
    2.  
      Le dernier prix libertarien anti France de la toile, and the winner is :

      http://www.lerougeetlenoir.org/les-breves/media-le-r-n-remporte-le-prix-razel-de-la-toile
      [MEDIA] Le R&N remporte le Prix Razel de la Toile
      www.lerougeetlenoir.org
      Chaque année depuis 2010, le Prix Razel de la Toile, organisé par l'IFP, récompense « la meilleure campagne par Internet (…) pour diffuser très (...)

  • Pas de pétrole pas d'idées, les nouvelles puissances internationales

    Il n'est pas si important de savoir qui est le pays le plus producteur de matières premières.
    On s'en fout, c'est pas ça qui compte.
    Certains pays ont du pétrole, ou du gaz, mais n'ont ni le savoir-faire, ni les moyens pour l'exploiter, ni les réseaux pour le vendre.
    C'est ainsi que l'IOC Exxon Mobil -qui a acquis aujourd'hui une puissance supérieure aux Etats et qui n'a pas attendu le Traité transatlantique pour avoir ses propres règles dont sa propre politique étrangère qui passe même par-dessus celle des USA - obtient les droits d'exploitation tant du pétrole ukrainien que du gaz russe.
    C'est bien Exxon Mobil qui tient l'Ukraine et la Russie, Poutine est une de ses marionnettes.
    De la même manière que le Qatar, l'Arabie Saoudite et les autres émirats sont des sous-fifres.
    Ces derniers sont encore cependant des pions à renverser dans la mesure où les NOC y ont encore la main.

    On peut analyser à peu près tous les conflits actuels au regard de ce prisme et voir quel rôle jouent les International Oil and Gaz companies dans la déstabilisation des Etats.
    Ces pour les compagnies privées une question de survie, elles ne lésinent pas sur les moyens.

  • Dis-moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es

    Encore un nouvel économiste mariniste, ancien de la BNP et de Natixis, formateur à First Finance, proche des libertariens et de l'Opus Déi.
    Se fait-on innocemment mettre en avant par ceux dont la mission consiste à promouvoir l'idéologie anglo américaine la plus libérale ?

    Entretien avec Philippe Murer, président du Manifeste pour un débat sur le libre-échange et...
    LIBERTEPOLITIQUE.COM
     
    J’aimehttp://www.libertepolitique.com/L-assoc.../Sites-partenaires


    Evidemment, il n'est pas le seul.
    Personne ne se pose jamais la question de savoir pourquoi les économistes "souverainistes" sont portés par les extrêmes libéraux.
    C'est une question qu'il faudrait leur poser à eux-mêmes.

    http://www.libertepolitique.com/.../Jacques-Sapir-Euro-l...
    www.libertepolitique.com
    Jacques Sapir est économiste, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS). Spécialiste de l’économie russe et des questions monétaires, il a consacré son dernier ouvrage à la crise de la monnaie unique : Faut-il sortir de l’euro ? (Seuil, Janvier 2012). Il e…


    www.libertepolitique.com
    Depuis sa création, l'Association pour la Fondation de Service politique travaille avec des associations et des partenaires engagés qui partagent les mêmes valeurs.


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    • ICHTUS

      ICHTUS au service de la cité

      Héritier de la Cité catholique fondée par Jean Ousset, ICHTUS, fort aujourd'hui de soixante ans d'expérience, s'adresse à toutes les personnes, groupes ou associations qui entendent participer au renouvellement de la vie sociale, politique et culturelle. ICHTUS a pour vocation de favoriser l'action des laïcs, afin de les aider à exercer leurs responsabilités en fonction de la place qu'ils occupent dans la société, pour " pénétrer d'esprit chrétien les mentalités et les moeurs, les lois et les structures de la communauté où ils vivent " (CEC, n° 2105). Pour ce faire, ICHTUS propose une formation doctrinale, culturelle et méthodologique, et encourage la mise en place de réseaux sociaux naturels.

      http://www.ichtus.fr/
    • AEC - Association des économistes catholiques

      AEC - Association des économistes catholiques

      L'Association des économistes catholiques (AEC) a été créée en France en 2000. Elle regroupe des économistes (universitaires ou professionnels en entreprise) qui entendent rester fidèles aux enseignements du Magistère, notamment dans de la doctrine sociale de l'Église. Le réseau qu'ils constituent travaille par échanges d'informations, de publications, de réflexions communes... au service de l'Église et de la société. L'AEC organise des colloques sur l'actualité économique et de la doctrine sociale de l'Eglise. Ses membres peuvent aussi fournir une expertise économique, intervenir lors de rencontres et publier des articles ou des ouvrages dans leur domaine de compétence.

      Président : Jean-Yves Naudet

      http://aecfrance.fr/
    • College des Bernardins

      Collège des Bernardins

      Le Collège des Bernardins est un lieu dédié aux espoirs et aux questions de notre société et à leur rencontre avec la sagesse chrétienne.

      Ouvert à tous, il invite à participer à ces dialogues par des travaux de réflexion ou de recherche, de formation ou d’expression artistique. Pour toucher l’homme dans toutes ses dimensions, spirituelle, intellectuelle et sensible, le Collège des Bernardins propose une démarche pluridisciplinaire à travers :

      - des expositions d’art contemporain, des arts vivants, de la musique et des activités pour le jeune public ;

      des rencontres et débats (conférences, tables rondes, colloques) ;

      -  de la formation théologique et biblique (École Cathédrale).

      Le Collège des Bernardins s’appuie sur un pôle de recherche composé de six départements : « Sociétés humaines et responsabilités éducatives », « Économie, Homme, Société », « Éthique biomédicale », « Société, Liberté, Paix », « Judaïsme et christianisme », « La parole de l’art ».

      La Chaire des Bernardins, présidée chaque année par une personnalité internationale, contribue au rayonnement du pôle de recherche. En 2009, la Chaire a été présidée par René Girard de l’Académie française. Marcel Gauchet, directeur de recherche à l’EHESS, préside la Chaire des Bernardins pour les années 2010 et 2011 sur le thème « Transmettre, apprendre ».

      http://www.collegedesbernardins.fr/
    • European Sunday Alliance

      European Sunday Alliance

      L'Alliance européenne pour le dimanche (European Sunday Alliance) est un réseau d'alliances, de syndicats, d'organisations de la société civile et de communautés religieuses nationaux engagé dans la sensibilisation à la protection du dimanche comme valeur unique du temps libre synchronisé pour nos sociétés européennes.

      Le dimanche et, plus généralement, les heures de travail décentes sont les thèmes majeurs de nos campagnes. Dans notre Déclaration fondatrice, nous attirons l'attention sur l'équilibre entre le travail et la vie de famille ainsi que la cohésion sociale qui dépend d'une large majorité de personnes qui souhaite avoir leur temps libre légal en même temps.

      http://www.europeansundayalliance.eu/
    • Cardinal Van Thuân International Observatory

      Cardinal Van Thuân International Observatory

      L'Observatoire international Card. Van Thuân a été crée dans le but de promouvoir la doctrine sociale de l'Église dans le monde entier. Il fournit de l'information rationnelle en ce qui concerne la Doctrine sociale de l'Église; il entreprend également de rassembler de façon systématique les données, documents et études afin qu'ils soient accessibles aux personnes intéressées. L'Observatoire prépare aussi des travaux de réflexions et d'évaluation ainsi que des études approfondies sur la doctrine sociale de l'Église, dans une perspective universelle et interdisciplinaire. L'Observatoire collabore avec les conférences épiscopales et autres entités ecclésiales, des centres d'études dédiés à la doctrine sociale de l'Église et des agences internationales appropriées. L'Observatoire international Card. Van Thuân est en parfaite communion d'intention avec le Conseil Pontifical pour la Paix et la Justice dont le mandat guide ses activités en tant que telles.

      http://www.vanthuanobservatory.org/?lang=en
    • Espace Bernanos

      Espace Bernanos

      Partenaire de l'AFSP depuis plusieurs années, l'Espace Georges Bernanos est un lieu de culture et d'enseignement riche d'initiatives.

      4, rue du Havre - 75009 Paris
      Metro Havre Caumartin ou St-Lazare

      http://www.espace-bernanos.com/
    • IFP

      IFP – Institut de Formation Politique

      Créé en 2003, l'Institut de Formation Politique est une association loi 1901 qui forme les étudiants et jeunes actifs aux idées et à l'action politique. Régulièrement, l'IFP organise des séminaires et des conférences dédiés aux étudiants attachés à la primauté de la personne, et aux valeurs de liberté et de responsabilité. Indépendant des partis politiques, l'IFP n'accepte aucun financement public. 

      http://www.ifpfrance.org/
    • France Audace

      France Audace

      Le collectif France Audace s'est constitué pour redonner confiance aux Français en recommandant aux candidats aux élections des mesures décisives pour réorienter la politique dans le respect des valeurs humaines et universelles qui ont fait la France et l’Europe. En 2012, sous le nom d'Audace 2012, il a rassemblé 116 associations représentant plus de 2.140.000 adhérents. 

      http://www.france-audace.fr/
    • Collectif pour la confiance

       

      Les membres du Collectif pour la Confiance sont convaincus qu’il est possible de faire émerger des crises que nous traversons une société solide juste et libre.

      Un très grand nombre de Français et d’Européens doutent de la capacité des politiques à réguler la mondialisation, à retrouver des équilibres économiques et sociaux équitables et à refonder l’initiative et la volonté de vivre ensemble de nos sociétés.

      Le retour de la confiance nécessite de croire que l’on peut construire au niveau mondial une société qui respecte l’homme ; en articulant les opportunités et les contraintes économiques et politiques, à chaque niveau de communauté : entreprises, territoires, États, Europe comme au niveau mondial.

      L’éclairage chrétien de certains de ses membres fonde la volonté commune de bâtir un projet de société, ni confessionnel ni communautariste, sur la dignité de l‘homme, le bien commun et l’espérance qu’une crise peut mener à une renaissance, par un changement des comportements et le respect d’une morale et d’une politique capables de dépasser les intérêts économiques, culturels ou corporatistes, pour s’adresser à tous, dans une vraie recherche du bien commun.

      http://www.collectifpourlaconfiance.com/

  • Les idiots-utiles des libertariens à la manoeuvre

    C'est un débile ce type ou il le fait exprès.
    Le seul rempart au mondialisme, c'est l'Etat selon son acception française avec tous ses attributs (monnaie, défense, police, législatif, exécutif, judiciaire, unité, prérogatives stratégiques comme l'énergie et les transports, école).
    Les religions, quelles qu'elles soient, sont entièrement manipulées par les puissances privées dont le seul et unique ennemi est l'Etat.
    L'Etat est en revanche une création de nos rois catholiques, ils avaient bien compris quelles institutions bien temporelles permettaient de lutter contre la barbarie.

    "Le seul contrepoids au mondialisme, c'est la Croix du Christ."
    Adrien Abauzit

  • A contre vent du nouveau monde

    Envoyé ce jour au site Atlantico

    A l'attention de la rédaction du site Atlantico


    Bonjour,

    Je souhaiterais vivement ne pas être mentionnée par votre media comme l'a fait Barbara Lambert dans sa dernière revue de presse datée du 20 juin 2014.
    Que je sache, je ne vous ai jamais accordé d'entretien et tiens à ne jamais le faire.
    J'ai déjà expliqué à Alexandre Latsa combien ce site si bien nommé était la voix de son maître et comment je m'appliquais à dénoncer les allégeances dont il fait preuve.
    Latsa croit travailler pour la Russie, ce qui serait bien drôle si je ne prenais pas cela au sérieux.
    En vous remerciant de m'oublier.
    Nationalement
    Oriane Borja

  • Marine, le Grisbi, et autre esprit de groupe

    Si tu veux l'oseille, rejoins-nous.

    C'est en substance ce que disent Marine Le Pen et son attelage européen.

    Ils tentent un dernier gros coup de bluff en faisant fuiter dans les réseaux d'extrême-droite que le groupe serait formé afin de faire céder les dernières digues et que ceux qui ont décidé de rejoindre le thatcho Farage, les rejoignent in extremis pour toucher le magot.

    Le conseiller à deux balles indexé sur l'étalon-or des libertariens, Ludovic de Danne (ceinture bannière étoilée), met en garde contre les fausses rumeurs, lesquelles ? Les siennes ?

    Jusqu'où Marine Le Pen va-t-elle descendre ?
    Le suppléant de Fritz Bolkestein ne lui suffisait pas (j'ai changé de teinture disait-il), elle veut la clique libérale au grand complet, ultra libéraux du 
    Congrès de la nouvelle droite (KNP) polonais bien compris.

    Marine ne veut pas s'embarrasser que de l'extrême-droite folklorique, elle veut aussi un peu de sérieux, elle la veut aussi économique.


    Bon, si elle n'y arrive pas, elle fera porter la faute sur le Vieux (c'est ainsi qu'on l'appelait au Paquebot, ou Neunoeil, selon l'humeur).

    Ce ne sera pas la première fois qu'un dérapage de Le Pen servira de prétexte aux libéraux me dira-t-on, sans doute, sans doute, et que derrière la petite histoire, une autre se déroule.

    Et Marine qui ne comprend pas que pour certains "antisémite" signifient surtout, "pas encore assez libérale".

    "Je ne comprends pas Nigel Farage, on est tout comme lui et il ne veut pas de nous."

    Mais non, Marine, tu n'as pas écouté Nicolas Dupont Aignan, tu es encore un trop infâme gauchiste à leurs yeux, ils disent "antisémite" comme Soral dit "Inuit" pour cacher "antisémite", Soral qui a bien fait l'allégeance libertarienne suffisante, lui, on ne lui reproche pas son soufre.

    C'est que pour les libertariens durs, les tiens sont trop mous, tu diras à  Monot et Sulzer qu'ils se font traiter de sous-libertariens par les copains, demande à Gaspard Koenig, ta race libertarienne est batarde, du sang-de-bourbe, voilà, ton parti est de sang mêlé, c'est cela qui fait que tu ne peux pas encore appartenir à la race des seigneurs.


    Soigne ta droite Marine, autrement tu vas le perdre ton combat de catch, demande à ton père ce que le Bourreau de Béthune lui a appris, derrière la parade, il faut un minimum de préparation.


  • Connaissez-vous le Powell Memorendum, parce que lui, vous connaît bien


    Les "think tanks" qui pénètrent le spectre politique français jusqu'au Front National, sont issus du Powell Memorendum.
    (Il est à noter que des résistances étatiques subsistent et notamment aux USA, dont les batailles incessantes entre l'oligarchie industrialo financière et les Etats)

    Le mémo Powell: un appel à-bras pour les sociétés

     

    Dans cet extrait de Winner-Take-All Politics: Comment Washington Fait les riches plus riches - et tourné le dos à la classe moyenne , les auteurs Jacob S. Hacker et Paul Pierson expliquer l'importance de la Powell protocole, un appel aux armes pour sociétés américaines écrits par Virginie avocat (et futur justice de la Cour suprême) Lewis Powell à un voisin de travailler avec la Chambre de commerce des États-Unis.

    Winner-Take-All Politics veste du livreÀ l'automne de 1972, le vénérable National Association of Manufacturers (NAM) a fait une annonce surprenante: Il a prévu de déménager ses bureaux principaux de New York à Washington, DC Comme son chef, Burt Raynes, observé:

    Nous avons été à New York depuis avant le tournant du siècle, en raison 
    nous avons considéré cette ville comme le centre des affaires et de l'industrie. 
    Mais la chose qui touche les entreprises le plus aujourd'hui, c'est le gouvernement. La 
    relations de l'entreprise avec les entreprises n'est plus si important
    que la relation de l'entreprise avec le gouvernement. Au cours des dernières 
    ans, qui est devenu très évident pour nous. [ 1 ]

    Pour être plus précis, ce qui était devenu très évident pour la communauté d'affaires était qu'il devenait son horloge nettoyé. Utilisé pour avoir une large domination, les employeurs confrontés à une série de défaites surprenantes dans les années 1960 et au début des années 1970. Comme nous l'avons vu, ces défaites ont continué sans relâche lorsque Richard Nixon a remporté la Maison Blanche. Malgré les revers électoraux, le libéralisme de la Grande Société avait surprenant élan politique. "De 1969 à 1972," comme le politologue David Vogel résume dans l'un des meilleurs livres sur le rôle politique de l'entreprise, "la quasi-totalité de la communauté d'affaires américaine a connu une série de revers politiques sans précédent dans la période d'après-guerre." En particulier , Washington a entrepris une vaste expansion de son pouvoir de réglementation, d'introduire des restrictions et des exigences strictes et exhaustives sur les activités dans des domaines de l'environnement à la sécurité au travail pour la protection des consommateurs. [ 2 ]

    Dans les milieux d'affaires, ce changement prononcée et soutenue a été accueillie avec incrédulité, puis alarme. En 1971, l'avenir de la Cour suprême de justice Lewis Powell s'est senti obligé d'affirmer, dans une note de service qui était d'aider à galvaniser les milieux d'affaires, que le «système économique américaine est en grande attaque." Cette attaque, Powell maintenue, la mobilisation nécessaire pour le combat politique: " Les entreprises doivent apprendre la leçon. . . que le pouvoir politique est nécessaire; que ce pouvoir doit être assidûment cultivé; et que lorsque cela est nécessaire, elle doit être utilisée de manière agressive et avec détermination, sans gêne et sans hésitation qui a été si caractéristique de l'entreprise américaine "En outre, Powell a souligné, l'ingrédient essentiel à la réussite serait l'organisation:". force réside dans l'organisation, Attention à la planification à long terme et la mise en œuvre, en cohérence de l'action pendant une période indéterminée d'années, dans l'ampleur du financement disponible que par un effort commun, et dans le pouvoir politique disponible que par l'action unie et les organisations nationales. "[ 3 ]

    U.S. President Richard Nixon holds a commission that he will present to Lewis F. Powell Jr., left, and another will be given to William Rehnquist, right, at a White House ceremony in Washington, D.C., Wednesday, Dec. 22, 1971. Both Powell and Rehnquist are commissioned as Associate Justices of the Supreme Court and will take their oath Jan. 7, 1972. The two men were appointed to the Supreme Court by President Nixon. (AP Photo/Charles Tasnadi)

    Le président américain Richard Nixon est titulaire d'une commission qu'il présentera à Lewis F. Powell Jr., à gauche, et un autre sera donnée à William Rehnquist, à droite, à une cérémonie à la Maison Blanche à Washington, DC, le 22 décembre 1971. Les deux hommes ont été nommés à la Cour suprême par le président Nixon. (AP Photo / Charles Tasnadi)

    Powell est un de ceux qui a poussé à relancer le poids politique des employeurs.Avant les vents politiques décalées dans les années 60, l'entreprise avait vu peu de nécessité de mobiliser quelque chose de plus que d'un réseau d'associations professionnelles. Elle s'appuie essentiellement sur des contacts personnels, et le rôle principal de lobbyistes à Washington était à la traîne des marchés publics et des allégements fiscaux. L'explosion de l'activisme politique, et la montée des groupes d'intérêt public, comme ceux qui sont affiliés avec Ralph Nader, a créé un défi fondamental. Et comme les années 1970 ont progressé, les problèmes semblent s'aggraver. Powell a écrit en 1971, mais même après Nixon a balayé à une réélection écrasante l'année suivante, la marée législatif a continué à venir en jeu. Avec Watergate conduit à la démission de Nixon humiliante et une victoire démocratique spectaculaire en 1974, la situation s'est encore plus désastreuse. "Le danger avait soudainement augmenté," Bryce Harlow, représentant Washington senior pour Procter & Gamble et l'un des ingénieurs de la renaissance politique de l'entreprise devait dire plus tard. «Nous avons dû empêcher les entreprises d'être roulé et mis dans la poubelle par le Congrès." [ 4]

    Powell, Harlow, et d'autres ont cherché à remplacer de club avec un appareil plus moderne, sophistiqué et diversifié - capable de faire avancer les employeurs garçons intérêts même dans des circonstances politiques les plus difficiles. Ils ont reconnu que l'entreprise avait à peine commencé à exploiter son potentiel pour exercer le pouvoir politique. Non seulement les ressources financières à la disposition des chefs d'entreprise hors pair. Les structures hiérarchiques des sociétés ont permis à une poignée de décideurs de déployer ces ressources et de les combiner avec des capacités énormes, mais sous-utilisées de leurs organisations éloignées. Ce sont les conditions préalables à une révolution organisationnelle qui était à refaire Washington en moins d'une décennie - et, dans le processus, de jeter les bases critique pour winner-take-tout politique.

    Les hommes d'affaires du monde, unissez-vous!

    La contre-attaque de l'organisation de l'entreprise dans les années 1970 a été rapide et radicale - une version domestique de Shock and Awe. Le nombre de sociétés ayant leur siège social aux affaires publiques à Washington est passé de 100 en 1968 à plus de 500 en 1978. En 1971, seulement 175 entreprises ont enregistré des lobbyistes à Washington, mais en 1982 près de 2500 fait. Le nombre de PAC d'entreprise est passé de moins de 300 en 1976 à plus de 1200 d'ici le milieu de 1980. [ 5 ] Sur toutes les dimensions de l'activité politique de l'entreprise, les chiffres révèlent une œuvre dramatique, une mobilisation rapide des ressources de l'entreprise au milieu des années 1970.

    Qu'est-ce que les chiffres seuls ne peuvent pas montrer quelque chose de potentiellement encore plus d'importance: les employeurs ont appris à travailler ensemble pour atteindre des objectifs politiques communs. En tant que membres de coalitions, les entreprises pourraient mobiliser plus activement et sur un front beaucoup plus large. Les dirigeants d'entreprise sont devenus des défenseurs non seulement pour les intérêts étroits de leurs entreprises, mais aussi pour les intérêts communs de l'entreprise dans son ensemble.

    Ironiquement, cette nouvelle capacité est en partie un cadeau inattendu de la Grande Société libéralisme. L'un des traits distinctifs de la grande expansion de l'autorité du gouvernement dans les années 60 et au début des années 70, c'est qu'elle a créé de nouvelles formes de régulation qui ont affecté simultanément de nombreuses industries. Auparavant, les compagnies aériennes auraient fait pression sur le Conseil de l'aéronautique civile, les entreprises sidérurgiques auraient porté sur la restriction de la concurrence étrangère, les producteurs d'énergie pourraient avoir gagné allégements fiscaux spéciaux à partir d'un membre du Congrès préféré. Maintenant, les entreprises à travers un large éventail de secteurs confrontés à une menace commune: les organismes de réglementation de plus en plus puissants superviser leur traitement de l'environnement, les travailleurs et les consommateurs. Les entreprises individuelles ont peu de chance de repousser ces grandes initiatives de leur propre chef; pour élaborer une politique suffisamment large défense, ils ont besoin l'organisation.

    L'activité a été galvanisé par plus de portée excessive du gouvernement perçu. Il répond également aux défis économiques croissants auxquels elle est confrontée. Renforcement Organisation a commencé avant même que l'économie aigri au début des années 1970, mais l'économie tumultueuse de cette décennie - battue par deux grands chocs pétroliers, qui ont poussé l'inflation et traîné la croissance - la panique créée dans les secteurs sociaux ainsi que l'insatisfaction croissante parmi les électeurs . Les années 1970 n'était pas le désert économique que les comptes rétrospectives suggèrent souvent.L'économie a en fait augmenté plus rapidement en général (après ajustement pour l'inflation) pendant les années 1970 que dans les années 1980. [ 6 ] Mais dans le contexte des années 1960 rugissantes, la turbulence économique était une secousse désagréable qui a renforcé le cas des chefs d'entreprise que les nouveaux approche régissant était nécessaire.

    Quand il a écrit sa note influent, Lewis Powell était le président du Comité de l'éducation de la Chambre de commerce. La Chambre a été l'un d'un certain nombre de groupes d'entreprises qui ont répondu à la menace émergente en devenant beaucoup plus organisée. La Chambre doublé de composition entre 1974 et 1980. Son budget a triplé. La Fédération nationale des entreprises indépendantes (NFIB) doublé ses effectifs entre 1970 et 1979. [ 7 ]

    Reconnaissant que légiférer à Washington est devenu plus ouvert et plus dynamique, des groupes d'entreprises se refait pour s'adapter à son temps.

    L'expansion de la Chambre et la NFIB signalé non seulement une augmentation de la capacité collective de l'entreprise; il a une forme plus difficile tranchant de la mobilisation. Composé de manière disproportionnée des petites entreprises, ces organisations ont été particulièrement livide de la montée de la réglementation gouvernementale. Les grandes entreprises ont une absorption des coûts administratifs pour se conformer aux nouvelles règles, et plus de possibilités de répercuter les coûts sur les consommateurs plus facile temps. En outre, les associations professionnelles basées sur une multitude de petites entreprises se sont révélées particulièrement capable de mobiliser l'indignation de masse, qui se révèlent être une arme politique très efficace.

     

    Bien sûr, les grandes entreprises ont riposté ainsi. En 1972, trois organisations d'entreprises ont fusionné pour former la Business Roundtable, la première association d'affaires dont la composition a été limitée aux premiers dirigeants de l'entreprise. En partie à la demande de Bryce Harlow, lobbyiste pour Procter & Gamble, cette nouvelle organisation a combiné deux groupes ont porté sur des questions d'affaires relativement étroits avec une organisation informelle appelé le Groupe Mars. Le Groupe Mars avait grandi d'une réunion avec de hauts responsables de l'administration Nixon et d'éminents dirigeants et a été conçu pour réunir un grand nombre de chefs d'entreprise les plus puissants de la nation. Dans les cinq ans, la nouvelle méga-organisation avait enrôlé 113 des meilleurs Fortune 200 entreprises, représentant près de la moitié de l'économie. [ 8 ]

    La Business Roundtable a rapidement développé en un groupe formidable, destiné à mobiliser PDG de haut niveau en tant que force collective de faire pression pour la promotion des intérêts communs. Vice-secrétaire du Trésor de président Ford Charls Walker, un organisateur entreprise leader dont nous dirons plus dans un moment, plus tard mis de cette façon: «La Table ronde a fait beaucoup de différence. Ils savent comment obtenir les PDG dans Washington et le lobby; ils entretiennent de bonnes relations avec les états-majors du Congrès; ils ont juste appris beaucoup de choses sur Washington qu'ils ne connaissaient pas auparavant. "[ 9 ]

    Garder le contact avec les Naders

    Le rôle de la communauté d'affaires non seulement augmenté mais élargi, passant de nouveaux modes d'organisation qui avaient été confinés à ses détracteurs. Reconnaissant que légiférer à Washington est devenu plus ouvert et plus dynamique, des groupes d'entreprises se refait pour s'adapter à son temps.L'extension du réseau des groupes d'affaires serait bientôt capable de hisser les groupes d'intérêt public sur leurs propres pétards. L'utilisation d'outils en émergence rapide de marketing et de communication, ils ont appris à générer des campagnes de masse. création de réseaux d'employés, actionnaires, les entreprises locales et les entreprises ayant des intérêts communs (par exemple, les détaillants et les fournisseurs), ils pourraient bientôt inonder Washington avec des lettres et des appels téléphoniques. En quelques années, ces organisations top-down classiquement étaient à prospérer à générer "bottom up" campagnes de style qui non seulement correspond aux efforts de leurs rivaux mais dépassé.

    Ces nouvelles stratégies "extérieurs" étaient mariés à ceux "à l'intérieur". Les organisations d'entreprises ont développé des listes de premier plan dirigeants capables de faire des contacts personnels avec les chiffres législatives clés. Au cours de réunions privées organisées par le Conference Board, PDG comparé leurs notes et discuté de la façon d'apprendre et de déjouer les syndicats. Dans les mots d'un exécutif, "Si vous ne connaissez pas vos sénateurs sur la base du premier nom, vous ne faites pas un travail adéquat pour vos actionnaires." [ 10 ]

    Affaires aussi massivement augmenté ses dons politique - précisément au moment où le coût des campagnes a commencé à monter en flèche (en partie à cause de la montée de la télévision). Le besoin insatiable de l'argent donné politiciens bonnes raisons d'être attentif à ceux qui ont les poches profondes.Affaires et de loin, les poches les plus profondes, et il était heureux de verser des cotisations aux membres des deux parties. Clifton Garvin, président à la fois Exxon et le Business Roundtable dans les années 1980, a résumé l'attitude envers l'impartialité de cette façon: «La Table ronde essaie de travailler avec n'importe quel parti politique est au pouvoir. Nous pouvons avoir chacun individuellement nos propres alliances politiques, mais comme un groupe de la Table ronde travaille avec chaque administration dans la mesure ils nous ont laissé. "[ 11 ]

    Les groupes d'entreprises nouvellement mobilisés compris que les démocrates et les républicains pourraient jouer des rôles distincts mais complémentaires. En tant que partie d'une serrure apparemment permanent sur le Congrès, les démocrates devaient être fouillait loin de leur alliance traditionnelle avec les syndicats. L'argent est la clé ici: De la fin des années 1970 à la fin des années 1980, PAC entreprises ont augmenté leurs dépenses dans les courses du Congrès presque quintuplé. Les dépenses de main-d'œuvre PAC n'a augmenté que près de la moitié aussi vite. Au début des années 1970, PAC d'activité ont contribué à moins courses du Congrès général de PAC du travail fait. Vers le milieu des années 1970, les deux étaient à parité approximative, et par la fin de la décennie, PAC d'affaires étaient en avance. En 1980, les syndicats représentaient moins d'un quart de toutes les contributions PAC - en bas de la moitié six ans plus tôt. Le changement a été plus grand chez les démocrates, qui étaient bien sûr les plus dépendants de l'argent du travail: Près de la moitié des fonds de campagne des titulaires du Sénat vient de PAC de travail dans le milieu des années 1970. Une décennie plus tard, la part était inférieure à un cinquième. [ 12]

    A cette époque, cependant, PAC d'affaires ont été détournent de leur accent traditionnel sur la pommade titulaires (surtout démocratique) vers une stratégie qui mélange des dons à ceux au pouvoir avec le soutien de challengers politiques conservatrices. Cette tendance se manifeste dans l'année électorale cruciale de 1978. Grâce à Septembre de la saison électorale, près de la moitié des contributions de campagne entreprise coulait dans les coffres des démocrates.Dans les semaines cruciales avant les élections de 1978, toutefois, seulement 29 pour cent 
    fait. À la fin de la campagne 1978, plus de 60 pour cent des contributions des entreprises était allé aux républicains, les deux challengers du GOP et les titulaires républicains de défense hors démocrates libéraux [. 13 ] Une nouvelle ère de financement de la campagne est née: Non seulement les contributions des entreprises de plus en plus jamais plus, les démocrates ont dû travailler plus dur pour eux. De plus en plus, pour recevoir les largesses de l'entreprise, ils ont dû faire plus que détiennent le pouvoir; ils devaient l'exercer de façon que les entreprises aimé.

    Lire le mémo Powell . Télécharger le PDF).

    Notes

    •  1. National Journal, 1974, 14.
    •  2 David Vogel, vicissitudes: le pouvoir politique de l'entreprise en Amérique (New York: Basic Books, 1989)., 59; R. Shep Melnick, "De l'impôt et de dépenses à Mandat-et-Sue: libéralisme Après la Great Society», dans La Grande Société et la marée haute du libéralisme, Sidney Milkis et Jérôme Mileur, eds. (Amherst, MA: University of Massachusetts Press, 2005).
    •  3 Lewis Powell, "protocole d'accord confidentiel: Attaque sur le système de libre entreprise", 23. Août 1971, cité dans Kim Phelps-Fein, Invisible Hands: The Making of du Mouvement conservateur du New Deal de Reagan (New York: Norton, 2009), 158, 160.
    •  . 4 Thomas Byrne Edsall, La Nouvelle Politique de l'inégalité (New York: Norton, 1984), 114.
    •  5. Vogel, vicissitudes, ch. 8.
    •  6. Calculé à partir http://www.bea.gov/national/xls/gdplev.xls .
    •  7. Ibid., 198.
    •  8. Vogel, vicissitudes, 198; John Judis, Le paradoxe de la démocratie américaine: Elites, des intérêts particuliers, et la trahison de la confiance publique (Panthéon: New York, 2000), 121.
    •  . 9 Cité dans Sidney Blumenthal, The Rise of the Counter-création: de l'idéologie conservatrice au pouvoir politique (New York: Times Books, 1986), 80.
    •  10. Cité dans Leonard soie et David Vogel, éthique et profits: la crise de confiance dans American Business (New York: Simon & Schuster, 1976), 65.
    •  11. Blumenthal, Rise of the Counter-Création, 78.
    •  12. E. Taylor foncé, les syndicats et les démocrates: une alliance durable (Ithaca, NY: Cornell University Press, 1999), 149.
    •  13. Vogel, vicissitudes, ch. 8

     

    Extrait du Winner-Take-All Politics par Jacob S. Hacker et Paul Pierson 
    Copyright © 2010 par Jacob S. Hacker et Paul Pierson. Reproduit avec la permission de Simon & Schuster, Inc, NY. Pour plus d'informations s'il vous plaît visitez www.SimonandSchuster.com.