La saloperie à l'état pur.
Finies les pudibonderies, Marine se cachait un peu, et pour cause, de ce genre de mixité fort encombrante, mais ça, c'était avant.
Encore un effet Chauprade, on rallie les lobbies américano compatibles au grand jour, même plus la moindre petite façade de dédiabolisation, on pactise ouvertement, Dorian Gray tombe le masque, il est hideux Marine !
Mais tu avais annoncé la couleur aux Européennes avec la Ligue Padane, et Marion s'était bien entichée de la Ligue du Sud sans crainte de la puanteur, ça y est, vous vous vautrez tous dans la boue à présent, la honte et la boue, voilà ton plumage, le ramage n'y fera plus rien.
Allez, terminons sur de belles paroles :
Source AFP :
"Le député européen italien de la Ligue du Nord Mario Borghezio a été ovationné samedi à la convention du Bloc identitaire, à Orange(Vaucluse), lorsqu'il a crié à la tribune : "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race !" Habitué des dérapages, l'eurodéputé, qui s'exprimait en français, s'est d'abord enthousiasmé pour "notre soleil, notre ciel bleu, comme les yeux de nos femmes". "Bleu, dans un peuple qui veut rester blanc, comme d'autres cultures", a-t-il ajouté. Puis, sous les ovations des quelques centaines de personnes présentes au Palais des princes d'Orange, il a lancé : "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race ! "
Le député européen, invité du mouvement d'extrême droite français, avait commencé son discours sur un ton résolument radical, avant d'attaquer à plusieurs reprises les musulmans. "Il faut être avec le livre, la doctrine", "mais il faut aussi bâtonner", avait-il lancé, "bâtonner" voulant visiblement dire "bastonner". "Et il faut, quand notre patrie charnelle est envahie, il faut bâtonner", avait-il ajouté, s'enflammant à la tribune. À la fin de son discours, il a aussi regretté l'écrivain antisémite et collaborationniste Robert Brasillach, fusillé à la fin de la Seconde Guerre mondiale pour intelligence avec l'ennemi. "Pour nous enthousiasmer, il nous faudrait des poètes comme Brasillach", a-t-il lancé, avant de conclure, très applaudi, sous les "Mario, Mario, Mario..."
Avant lui, le président du Bloc identitaire, Fabrice Robert, s'en était pris à la tribune à la loi Pleven de 1972 qui punit notamment l'incitation à la haine raciale, y voyant un moyen de "bâillonner toute expression de fierté autochtone [...] pour faire passer la pilule de la submersion migratoire"."