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culture - Page 44

  • The Great Grisby, c'est juste magnifique ...

    Grisby le magnifique

    Aux Etats-Unis, la dette étudiante des 65 ans et plus a atteint en 2013 quelque 18,2 milliards de dollars, contre 2,8 milliards en 2005.
    LATRIBUNE.FR

     

  • Le projet Eurabia ou l'escroquerie libérale pure et dure

    Ceux qui me connaissent et connaissent mon blog savent que j'ai toujours dénoncé l'escroquerie Eurabia dont j'ai même reconstitué les réseaux et les financements (David Horowitz et certains dits think tanks, Heritage Foundation au premier chef, et autres réseaux libertariens dont Opus Déi).
    Mais on ne dénonce jamais assez cette foutaise qui se sert du prétexte d'une prétendue invasion islamique et de la peur de l'islam pour répandre le seul véritable danger qui nous menace et qui est le libéralisme contre l'Etat en général.



    « Eurabia » ou l’impact fracassant d’un essai fumeux

    Le mythe de l’invasion arabo-musulmane

    La maison du maître d’école « vendue par la mairie et transformée en mosquée »… Ces propos — pour le moins approximatifs — tenus le 11 avril sur Europe 1 par le philosophe Alain Finkielkraut révèlent des fantasmes désormais très répandus. Notamment grâce à « Eurabia », paru en 2005.

    par Raphaël Liogier, mai 2014

    A l’automne 1956, la France et le Royaume-Uni, alliés d’Israël, occupent pendant quelques jours le canal de Suez, récemment nationalisé par le président égyptien Gamal Abdel Nasser. Mais, sous la pression soviétique et américaine, ils sont contraints de se retirer. En réaction à cette attaque, Nasser décide d’expulser des milliers de Juifs d’Egypte. Parmi eux se trouve une jeune femme dont le regard sur le monde sera surdéterminé par le traumatisme de l’expatriation : Gisèle Orebi, devenue plus tard célèbre sous le nom de plume de Bat Ye’or (« fille du Nil » en hébreu), mettra au point la version la plus radicale du complot musulman contre l’Occident.

    Après avoir « gangrené » le Vieux Continent, affirme-t-elle, la« civilisation arabo-musulmane » en fera la conquête. Cette prédiction apocalyptique constitue la trame du best-seller qu’elle publia aux Etats-Unis en 2005, après plusieurs décennies de maturation : Eurabia,traduit en hébreu, italien, néerlandais et français (Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 2006). Le sous-titre, L’axe euro-arabe, renvoie aux « forces de l’Axe » coalisées autour de l’Allemagne nazie durant la seconde guerre mondiale. D’après Bat Ye’or, citée en référence dans le manifeste du tueur norvégien d’extrême droite Anders Behring Breivik, un monde arabo-musulman conquérant serait en passe de submerger une Europe décadente et cynique. Celle-ci aurait marchandé, en échange d’une pluie de pétrodollars, son soutien indéfectible à la Palestine, l’ouverture béante de ses frontières méditerranéennes et l’acceptation, in fine, de l’islamisation.

    Ce scénario pour le moins grossier (1) a connu un succès inattendu, au point de devenir un argument majeur de l’extrême droite européenne. En France, la présidente du Front national (FN), Mme Marine Le Pen, ne cesse de fustiger l’« impérialisme islamiste », qui se manifeste selon elle par l’ampleur des investissements saoudiens et qataris à l’étranger, et l’« islamisation de l’Europe », visible à travers le port du foulard (2). Son conseiller aux affaires internationales, le géopolitiste Aymeric Chauprade, déclarait quant à lui, quelques mois après le début du « printemps arabe » : « En favorisant l’effondrement des régimes autoritaires qui formaient le dernier écran protecteur de l’Europe face à la misère africaine, nous avons libéré des énergies qui vont travailler au service de trois buts : davantage d’immigration vers l’Europe, davantage de trafics, davantage d’islamistes. » (Valeurs actuelles, 25 septembre 2011.)

    Initialement confinée à quelques groupes extrémistes (en France, le Bloc identitaire, Riposte laïque, l’Observatoire de l’islamisation, etc.), la thèse d’Eurabia s’est diffusée et banalisée. Les partis politiques qui la défendent obtiennent des scores honorables aux élections. En Suisse, elle est portée par l’Union démocratique du centre ; en Norvège, par le Parti du progrès ; en Autriche, par le Parti libéral ; outre-Manche, par le Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni. Des intellectuels la promeuvent, certains explicitement, comme la journaliste italienne Oriana Fallaci (disparue en 2006), citée dès la première ligne du premier chapitre d’Eurabia, l’économiste allemand Thilo Sarrazin ou le romancier français Renaud Camus (3). Tous rencontrent de vifs succès en librairies.

    Mais la vision de Bat Ye’or fait aussi vendre des journaux : on ne compte plus les « unes » de magazines consacrées à la « menace » musulmane. Quand L’Express met en scène le combat de « L’Occident face à l’islam » (6 octobre 2010) ou assène « Les vérités qui dérangent » sur l’islam (11 juin 2008), Le Point répond en agitant « Le spectre islamiste » (3 février 2011), promet de révéler « Ce qu’on ne dit pas sur la burqa » (21 janvier 2011) ou s’emporte face à « Cet islam sans gêne » (1er novembre 2012). Le Figaro Magazine, Valeurs actuelles, mais parfois aussi Marianne ou Le Nouvel Observateur n’ont pas des lignes très différentes (4).

    Même des chercheurs sérieux dans leur domaine participent à la diffusion de la thèse d’Eurabia, tel l’historien Egon Flaig (5) en Allemagne. En France, la démographe Michèle Tribalat a signé une préface dithyrambique au livre à succès de Christopher Caldwell qui annonce l’effondrement d’une Europe vaincue par l’islam (6).

    Existe-t-il vraiment une « menace arabo-musulmane » justifiant l’emballement médiatico-politique qu’Eurabia a contribué à provoquer ? Bat Ye’or affirme tout d’abord que les pétrodollars du Golfe permettent aux musulmans de « s’acheter » l’Europe — une émission de Canal Plus (20 mai 2013) s’intitulait « Qatar : conquérir le monde en quatre leçons ». Pourtant, si, en 2011, le Proche-Orient réalisait 22 % de ses exportations vers l’Europe et l’Amérique du Nord, il ne représentait que 5 % de celles de ces deux espaces (7). En d’autres termes, c’est l’Occident qui abreuve le Proche-Orient de ses devises, et non l’inverse.

    Le volet « relations internationales » du scénario d’Eurabia n’est pas plus réaliste. Loin de se montrer complaisants à l’égard de la Palestine, les Etats européens sont de solides alliés d’Israël. Certes, comme le souligne avec insistance Bat Ye’or, ils ont voté pour la résolution 43/177 de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) en faveur de l’indépendance de la Palestine en 1988. Mais cent quatre nations ont alors fait de même — seuls les Etats-Unis et Israël ont voté contre.

    Depuis, l’Union européenne ne s’est guère distinguée par son engagement pour la cause palestinienne, au contraire. Quand, en septembre 2011, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a remis au secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon une demande de reconnaissance de la Palestine par le Conseil de sécurité, le Royaume-Uni et la France se sont empressés de déclarer qu’ils s’abstiendraient (8).

    A défaut d’être achetée par les monarchies du Golfe, l’Europe est-elle menacée par un déferlement de populations musulmanes ? Selon les estimations les plus hautes qui circulent sur Internet, l’Union européenne serait actuellement habitée, secrètement, par cinquante millions de musulmans, et ce nombre devrait doubler dans les vingt ou trente ans à venir. Ces chiffres ne sont pas inventés par des hurluberlus, mais lancés par des gens a priori crédibles, comme le journaliste canadien Mark Steyn, père de l’expression « génocide européen » et l’un des principaux propagateurs du mythe d’Eurabia en Amérique du Nord. Selon lui, les musulmans devraient constituer 40 % de la population européenne en 2020.

    Sachant que cette communauté — entendue au sens large — représente actuellement entre 2,4 % et 3,2 % de la population de l’Union européenne (douze à seize millions de personnes), il faudrait, pour voir se réaliser les prédictions de Steyn, que ces pourcentages soient multipliés par quinze en dix ans. Une évolution possible, affirment les adeptes d’Eurabia, car des vagues de musulmans immigrent en Europe, puis s’y « reproduisent » de manière exceptionnelle et appliquent une stratégie de conversions de masse. Sur ces trois points, la réalité des chiffres contredit leurs arguments.

    Les sociétés européennes connaissent en effet un taux d’accroissement migratoire stable depuis les années 1980. Il est de 1,1 ‰ en France, de 3 ‰ au Royaume-Uni et de — 0,7 ‰ en Allemagne (chiffres de 2009). Seuls trois pays à majorité musulmane, le Maroc, la Turquie et l’Albanie, figurent parmi les dix premières communautés d’immigrants installés dans l’Union (9). De plus, les musulmans ne procréent pas davantage que les autres. Dans la plupart des pays musulmans, le taux de natalité est très proche de ceux observés dans les Etats occidentaux, et parfois même plus bas, comme en Iran (10). Et le taux de fécondité des femmes musulmanes installées en Europe connaît une baisse continue depuis les années 1970, jusqu’à rejoindre celui de la population générale au début des années 2000 (11).

    Restent les conversions. Le 4 janvier 2011, le quotidien The Independent alertait ses lecteurs sur un risque d’« islamisation du Royaume-Uni », car le nombre de convertis avait doublé depuis dix ans, passant de cinquante mille à cent mille personnes entre 2001 et 2011 (pour une population totale de soixante millions d’habitants). Une personne sur six cents serait convertie à l’islam ; à un rythme de cinq mille conversions par an (à peine plus qu’en France ou en Allemagne), il faudrait six mille ans pour que le Royaume-Uni devienne un pays à majorité musulmane.

    Une « invasion » très lente, donc, surtout quand on la compare à la croissance étourdissante des conversions au christianisme évangélique et pentecôtiste dans le monde, par exemple en Chine et en Afrique : dix mille par jour (12) ! Il s’agit de la plus rapide progression religieuse de l’histoire — de zéro à cinq cents millions d’adeptes en moins d’un siècle —, mais peu de médias s’alarment de l’« évangélisation du monde »…

    En dépit de son caractère fantaisiste, l’influence du scénario d’Eurabiane cesse de croître. L’ombre du complot musulman alimente une nouvelle logique de défense culturelle : défense des « valeurs » et du « mode de vie » des peuples européens « de souche » menacés par l’ensemble des minorités ethnoculturelles dont les musulmans représentent la quintessence idéale et terrifiante. Grâce au mythe d’Eurabia, des partis européens objectivement situés à l’extrême droite peuvent prétendre dépasser la distinction droite-gauche. Et se présenter, en falsifiant ces valeurs, comme des défenseurs du progrès, de la liberté, de la démocratie, de l’indépendance, de la tolérance, de la laïcité, séduisant ainsi au-delà de leur périmètre électoral habituel.

  • Le racialisme du Rassemblement Bleu Marine, c'est officiel !

    La saloperie à l'état pur.

    Finies les pudibonderies, Marine se cachait un peu, et pour cause, de ce genre de mixité fort encombrante, mais ça, c'était avant.

    Encore un effet Chauprade, on rallie les lobbies américano compatibles au grand jour, même plus la moindre petite façade de dédiabolisation, on pactise ouvertement, Dorian Gray tombe le masque, il est hideux Marine !

    Mais tu avais annoncé la couleur aux Européennes avec la Ligue Padane, et Marion s'était bien entichée de la Ligue du Sud sans crainte de la puanteur, ça y est, vous vous vautrez tous dans la boue à présent, la honte et la boue, voilà ton plumage, le ramage n'y fera plus rien.

    Allez, terminons sur de belles paroles :

    Source AFP :

    "Le député européen italien de la Ligue du Nord Mario Borghezio a été ovationné samedi à la convention du Bloc identitaire, à Orange(Vaucluse), lorsqu'il a crié à la tribune : "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race !" Habitué des dérapages, l'eurodéputé, qui s'exprimait en français, s'est d'abord enthousiasmé pour "notre soleil, notre ciel bleu, comme les yeux de nos femmes". "Bleu, dans un peuple qui veut rester blanc, comme d'autres cultures", a-t-il ajouté. Puis, sous les ovations des quelques centaines de personnes présentes au Palais des princes d'Orange, il a lancé : "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race ! "

    Le député européen, invité du mouvement d'extrême droite français, avait commencé son discours sur un ton résolument radical, avant d'attaquer à plusieurs reprises les musulmans. "Il faut être avec le livre, la doctrine", "mais il faut aussi bâtonner", avait-il lancé, "bâtonner" voulant visiblement dire "bastonner". "Et il faut, quand notre patrie charnelle est envahie, il faut bâtonner", avait-il ajouté, s'enflammant à la tribune. À la fin de son discours, il a aussi regretté l'écrivain antisémite et collaborationniste Robert Brasillach, fusillé à la fin de la Seconde Guerre mondiale pour intelligence avec l'ennemi. "Pour nous enthousiasmer, il nous faudrait des poètes comme Brasillach", a-t-il lancé, avant de conclure, très applaudi, sous les "Mario, Mario, Mario..."

    Avant lui, le président du Bloc identitaire, Fabrice Robert, s'en était pris à la tribune à la loi Pleven de 1972 qui punit notamment l'incitation à la haine raciale, y voyant un moyen de "bâillonner toute expression de fierté autochtone [...] pour faire passer la pilule de la submersion migratoire"."

    Nice: Identitaires et FN se rapprochent
    www.20minutes.fr
    Les relations entre Nissa Rebela et le parti de Marine Le Pen se sont «améliorées»...
  • Grand remplacement, commençons pas évacuer les idées de Renaud Camus et la France aura ses chances

    Le remplacement de population se fera si la population française devient une population américaine, personnellement j'entends préserver la population française et il s'agit d'un combat politique et non pas racial.


    Quant à l'occupation du vide dont la nature a horreur, personnellement, j'ai quatre enfants, et vous ?

    Au sujet de l'islam, je pense qu'aucun déterminisme ne guide les hommes et que ce sont eux qui décident in fine de la société qu'ils souhaitent.
    Une grande partie des gens naissent dans l'islam, ça ne les condamne à rien pour autant.

    L'islam est la deuxième religion de France, ça ne pose aucun problème si la France reste la France, évidemment si le communautarisme anglo saxon s'installe, cela sera différent, mais tous les communautarismes poseront problème et atteinte à notre unité et à notre souveraineté, pas seulement celui d'origine religieux.

  • De la condition du militant Front National

     

     
    1.  
      Il faut lui expliquer que Marine et Marion font des alliances locales et au cas par cas avec les Identitaires/Ligue du Sud qui invitent le leader de la Ligue du Nord à leurs Assises contre l’islam où il exalte la race blanche, leader avec qui Marine s'allie au Parlement Européen -Identitaires qui ne sont pas racistes pour deux sous comme chacun sait n'est-ce pas- mais que tout cela ne compte parce que la dédiabolisation -les Français-ne-sont-pas-dupes (catéchisme du militant Chapitre I) patati patata ...
      "La Prof d'instruction civique de ma fille a expliqué a ses élèves que le racisme anti-blanc n'existait pas et que Marine Le Pen était raciste malgré sa volonté d'apparaître plus ouverte que son père.
      Je ne suis pas sûr de pouvoir attendre la réunion parents profs du 10 novembre pour aller discuter avec elle..."
       
  • Boycott des marques et prétendu pouvoir du citoyen



    Les multinationales qui détiennent le véritables pouvoir et donnent les ordres sous forme de directives sont peu nombreuses -une centaine- et tiennent toutes les autres dans les nébuleuses des conseils d'administration, des réseaux et autre sous-traitants.

    Or, elles détiennent aussi l'ensemble des matières premières, alimentaires bien comprises.

    Le citoyen ne peut rien contre elles, la couillonnerie de boycotter les marques est de la vulgaire propagande démagogique (ce sont de plus les même qui produisent les produits sans marque).

    Des marques peuvent même servir aux multinationales de moyen d'éviter ou de baisser leurs impôts, tout est calculé pour faire le maximum de profit.

    Une entreprise en déficit par exemple, sert à sucer des subventions étatiques ou à déduire ces dettes du bénéfice réalisé ailleurs.

    Seuls les Etats ayant repris tous les leviers de commande -y compris au niveau commercial et au niveau de l'emploi- peuvent lutter contre ces pouvoirs illégitimes.

    Ce genre de propagande n'est là que pour asseoir leur hégémonie en détournant le citoyen de la véritable façon de lutter.

  • Le monde de la littérature ne suffit pas

    Invité du journal de 20h, dimanche soir, sur France 2, Fabrice Luchini a délivré quelques conseils à l'attention de François Hollande et de Manuel Valls.
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      La littérature -et Dieu sait combien je l'aime et que je préfère grandement à la philosophie, la littérature nous parlant de vérité quand la philosophie semble vouée à ne jamais l'atteindre, chaque philosophe s’évertuant d'ailleurs à montrer combien ses prédécesseurs étaient dans l'erreur- ne suffit pas à rendre un homme intelligent hélas, car Luchini met la charrue avant les bœufs, s'en prend aux conséquences et en ignore d'autant mieux les causes, c'est Bossuet qui nous apprend que c'est inconvenant.

      Ma culture littéraire -même si elle ne peut sans aucun doute pas se comparer à celle de Luchini- me dit que Luchini n'est qu'un liseur, il n'a pas su tirer de notre génie littéraire la substantifique moelle, il n'a assimilé ni Rabelais, ni Montaigne, ni Molière dont on dirait une précieuse, ni La Fontaine et sa grenouille, ni Saint Exupéry et le Petit Prince qui est en chacun de nous, ni la formation des hussards reçue par Pagnol et qui permet de sonder les âmes et les cœurs et d'admirer tout ce qui est admirable, et qu'il demande encore à Voltaire qui l'a formé et comment !

      Si grand soit Corneille, Corneille n'est rien sans monsieur Bled ou, pour ne pas faire d’anachronisme, sans la grammaire au sens large, dont nos anciens dressaient des statuts.
      On ne vous a pas entendu monsieur Luchini depuis 40 ans que les gouvernements  assassinent la transmission de notre langue et par-delà, de la pensée. 

      Pour ne rien dire des néo misérables et des nouveaux assommoirs.

      Personnellement, depuis les socialistes, la bourse scolaire de mes enfants -qui lisent au demeurant beaucoup- passe à payer la taxe d'habitation de mon HLM ...

       

      Bref, Luchini, que nous pouvons beaucoup apprécier par ailleurs, est un con.

      Avant que la littérature ne reprenne ses droit, il faut rétablir l'instruction -celle-là même qui permet au cerveau de s'activer progressivement pour le mener le plus loin possible- et avant encore, rétablir l'Etat, et pour cela il faudrait qu'un homme se lève, un homme qui ait la pleine conscience de ce que la France a laissé comme héritage en la matière.

      Et pour l'instant, cet homme qui aurait une véritable conscience/intelligence nationale n'existe pas aux portes du pouvoir.

       
  • Le cercle de Moscovici vous explique pourquoi cela ne tourne pas rond

    L’Umps vice-préside le Cercle de l‘Industrie (puissant lobby patronal) en les personnes de Pierre Moscovici (il a quitté le poste en entrant au gouvernement) et d’Alain Lamassoure; allié à l'Institut de l'Entreprise, ces organisations regroupent tous ceux que l'oligarchie industrialo financière compte comme donneurs d'ordre. 

     

    Cercle de l'industrie

     

    Le Cercle de l'industrie est un lobby patronal français auprès des institutions européennes.

     

    CréationModifier

    En février 1993, les membres du futur Cercle de l'industrie (une idée de Dominique Strauss-Kahn et Raymond Lévy PDG deRenault) se réunissent au siège de Publicis. Y sont représentés : Rhône-PoulencLafargePechineyElfL'OréalBullSchneider,RenaultTotalBSN, …

    En juin 1993, Raymond LévyPDG de Renault, crée le Cercle qui emménage à Neuilly-sur-Seine, au 171, avenue Charles-de-Gaulle, l'objet déclaré à la préfecture est le suivant :

    Assurer une veille permanente auprès des différentes instances que sont la Commission des CE, le Parlement européen, le GATT, etc., concevoir et diffuser par les moyens adéquats l'information nécessaire auprès de ces instances, organiser les interventions au plus haut niveau politique[1].

    Le cercle s'efforce de répartir équitablement les pouvoirs entre des membres de l'UMP et du Parti socialiste.

    Dominique Strauss-Kahn en devient le vice-président à titre bénévole tout en bénéficiant d'un bureau, d'une secrétaire[2] et de notes de frais[3].

    ObjectifsModifier

    d'après la Plaquette il s'agit d'

    « Un lieu de dialogue et d’échanges destiné aux grandes entreprises industrielles, le Cercle de l'industrie rassemble une vingtaine de présidents de grandes entreprises françaises intervenant dans tous les secteurs industriels ainsi que des hommes politiques.
    Les entreprises membres du Cercle de l’industrie représentent en 2004 un chiffre d’affaires cumulé d’environ 600 milliards d’euros et 2 millions d’emplois dans le monde. La majorité d’entre elles sont cotées au CAC 40.
    Le Cercle de l’industrie se distingue par sa spécificité industrielle, son engagement pour la construction européenne et son bipartisme politique, la promotion de l'image et des intérêts de l'industrie auprès des institutions publiques nationales et européennes.

    Le Cercle de l’industrie participe à la réflexion sur la définition et l’articulation d’une nouvelle politique industrielle et d’une amélioration de la gouvernance économique en Europe. Il s’implique dans les propositions et débats des institutions européennes en la matière. »

    ContactsModifier

    Il entretient des contacts avec le MEDEF, l’AFEPBusinessEurope, la Table ronde des Industriels européens (ERT), le Transatlantic Partnership Network (TPN), ou encore l'Institut de l'entreprise (IE).

    Membres[4],[5]Modifier

    Président :


    Deux vice-présidents, un de gauche, un de droite :


    Trésorier :

    • Jean-Yves Naouri (frère de Jean-Charles Naouri), directeur des opérations du groupe Publicis


    Membres du conseil d'administration :

     

    Membres fondateurs

    Entreprises membres (représentées par leurs président, directeur général ou président-directeurs général :


    Autres membres :

    ActivitésModifier

    D'après la plaquette : « Des rencontres de haut niveau ».

    Les débats

    Régulièrement, le Cercle de l’industrie organise pour ses membres un dialogue autour d’une personnalité, responsable politique ou syndical français ou européen (chefs d’État ou de gouvernement membres de l’Union européenne, président de la Commission, commissaires européens).

    Ces échanges, sous forme de dîner, sont l’occasion d’aborder des sujets concrets, de tester ces personnalités sur les sujets industriels et de relayer auprès d’elles les préoccupations des industriels.

    Les entretiens européens à Bruxelles

    Ces rencontres avec des Commissaires, des parlementaires européens et des officiels de haut niveau répondent au souci du Cercle de l’industrie de se situer le plus en amont possible des décisions, de développer un dialogue constructif et permanent avec les responsables politiques et de faire partager les points de vue des industriels.

    Études, groupes de travail et conférences

    Le Cercle de l'industrie s'est associé en 2011 à l'UIMM et au Groupe des fédérations industrielles pour créer un think-tank (laboratoire d'idées) "La Fabrique de l'Industrie".

    Notes et référencesModifier

    1.  Journal officiel du 29 septembre 1993, annonce numéro 1242
    2.  Jean-Marie Pontaut, « Quand Elf salariait la secrétaire de DSK »L'Express,‎ 25 novembre 1999 (lire en ligne).
    3.  Olivier Toscer, « À gauche... mais proches des milieux d’affaires »Le Monde diplomatique,‎ décembre 2003 (lire en ligne).
    4.  Liste des membres du Cercle de l'Industrie en Juillet 2011
    5.  Cercle de l'Industrie | Qui-sommes-nous ? | Organisation | Le Bureau
    6. ↑ a et b Francis Mer président du Cercle de l'industrie, Les Échos n° 18542 du 30 Novembre 2001 • page 5

    Liens externes

     

    http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_l'industrie

  • Chouardise

    Chouard est le plan B du capitalisme, pauvre petite marionnette qui nous ferait simplement tomber de Charybde en Scylla.

    Le mouvement dans lequel il s'inscrit est celui des libertariens, à la clef, les mêmes multinationales, les mêmes lobbies, les mêmes cocus.
    BOOOM! - Étienne Chouard brise l'omertà en direct à la télé!!!
    www.facebook.com/InfoVendetta

  • Marine et les enfants perdus

    Mais c'est un grand classique chez les bourgeois d'extrême-droite (qui peuvent être à gauche tout autant) qui n'ont pas élevé leurs enfants qui sont en perpétuel manque d'amour et d'affection, ils font chier leurs parents en leur rendant tout ce qu'ils ne leur pas donné.
    Ces parents ne savant plus par quel bout les prendre, les refourguent dans des pensionnats où ils espèrent qu'ils sauront les contrôler.

    Pour info, ce lycée couru par les élites, est classé parmi les bons derniers au niveau du département et de la région.
    Marine Tartuffe
    www.politis.fr
    Marine Le Pen n’a pas de mots assez durs contre l'élite. Mais elle scolarise sa fille de 15 ans dans le sélect établissement catholique Notre-Dame-d’Orveau.