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  • Si la France était une phrase, elle serait celle-là

    La France est un continuum, il s'agit d'une idée politique de départ, la grande idée d'unité nationale contre le tribalisme.

    Toutes nos institutions, notre histoire, découlent de ce principe.

    Si vous ne comprenez pas cela, l'esprit de nos lois, c'est que vous n'avez rien compris à la France.

  • Pourquoi l'Europe sera TOUJOURS une impasse

    Il est assez simple de comprendre pourquoi et comment l'Europe, qu'elle soit politique ou économique est une impasse.

    Les divergences européennes, et sociales, viennent des principes de base de chaque pays et notamment de la place qu'ils attribuent à l'Etat, ce dernier étant le seul rempart protecteur des populations contre les intérêts privés.

    Or la plupart des pays européens ont choisi ou se sont vu imposer par les aléas de l'histoire et de façon constitutive, une conception anglo saxonne de l'Etat, qui est celle du moindre Etat et de la place accordée au régionalisme pour fixer la norme.

    Le système éducatif anglo saxon est caractérisé par une large décentralisation, et une grande autonomie accordée aux établissements scolaires, par exemple.

    C'est d'ailleurs ce qui classe les écoles ayant ce modèle, dans le lot de tête des classements de l'OCDE qui sont des baromètres anglo saxons, qui vont donc accorder des satisfecits aux systèmes les plus éloignés de notre façon française d'envisager l'instruction dans un but plus intellectuel qu'utilitaire au sens du marché.

    C'est ce qui permet la main-mise du privé, du monde de l'entreprise, sur le système scolaire, et la formation à la demande du monde marchand qui n'envisage la transmission que comme la fabrique d' entités jetables adaptées à la flexibilité d'exige la rentabilité.

    C'est une conception de l'homme qui nous est étrangère, nous envisageons les hommes comme égaux, nous ne les condamnons pas socialement s'ils ne s'accordent pas avec la vision de la réussite selon les lois du marché.

    C'est ainsi que tous les enfants de France auront droit à une école publique de qualité, une médecine publique de qualité, une justice publique de qualité, la sécurité physique, sociale, l'accès aux services, à l'énergie, etc.

    Notre modèle national français est assez unique, avec un Etat conçu à la base pour être protecteur, unificateur, interventionniste.

    Autant dire que la seule Europe possible est une Europe à l'anglo saxonne, tournée vers la responsabilité individuelle et donc le libéralisme, c'est-à-dire vers le moins disant socialement protecteur.

  • La république est plus royaliste que l'Action Française et dérivés anti-France

    S'il faut bien comprendre une chose de l'extrême-droite, c'est sa volonté de s'en prendre à l'Etat.

    C'est le point commun, le point de ralliement, de Maréchal Le Pen à Macron, en passant par Rama Yade, Bruno Le Maire, La Manif Pour Tous, Nuit Debout, Pierre Rabhi, Soral et tant d'autres, l'idée est de déstabiliser l'Etat.

    Et vous trouverez toujours le soutien des réseaux libertariens issus des grands think tanks de Washington, autour de ces entités qui servent de tremplins pour atteindre l'Etat.

    L'AF n'est pas plus royalistes que MMLP, nos Rois ont toujours eu à lutter contre les velléités décentralisatrices des baronnies locales qui voulaient s'accaparer une partie du pouvoir royal.

    Petites maffias voulant s'approprier des pans de souveraineté en sabrant dans l'unité nationale qui fait la France.



    "Marion Maréchal-Le Pen se dit d'une "génération saoulée par les valeurs de la République qu'on...
    Marion Le Pen se dit d'une "génération saoulée par les valeurs de la République qu'on nous serre en permanence".
    LELAB.EUROPE1.FR"

  • Et les révélations de l'année sont ...

    VA, le propagandier de service qui t'aide à révéler le facho qui sommeille en toi ...
    Anti-démocrate, anti-républicain, anti-Etat, VA est fait pour toi.
    :

    Choix numéro 1, Valeurs Actuelles de l'extrême-droite :


    "Chiva Christian
    46 min ·
    Le sondage caché et révélé par Valeurs actuelles .....

    Enfin, un sondage qui n'est pas truqué !
    Sondage caché stupéfiant dans (Valeurs Actuelles n° 4026, page 19) Aïe, aïe, aïe... infos qui font mal !!!
    C'est un véritable bouleversement d'opinion chez les Français.
    On comprend pourquoi le gouvernement et la Presse musellent cette information.
    Sondage "caché", une véritable bombe !
    La publication des résultats de l'enquête annuelle publiée chaque année dans le Monde, menée par l'institut Opinionway et le Centre
    de Recherche Politique de Sciences Po, intitulé "Baromètre de la confiance politique".

    C'est la 5e édition mais, pour la première fois cette année, le 13 janvier, la presse n'en a dévoilé que 41 pages sur 84.
    Cela a mis la puce à l'oreille de Valeurs actuelles qui s'est demandé ce qu'on voulait nous cacher, et s'est procuré les résultats de l'enquête, qu'elle publie dans son n° 4026.

    Les résultats sont stupéfiants, c'est un séisme politique.

    En voici le résumé fidèle :

    1. 75% des Français ne font plus confiance à l'État, ni à la république.

    2. 88% rejettent catégoriquement les partis politiques.

    3. 87% jugent que Hollande n'a pas l'étoffe d'un président, ça c'est moins étonnant.

    4. 61% sont prêts à manifester, alors qu'ils n'étaient que 30% en 2010

    5. 71% ne font pas confiance aux syndicats.

    Mais la stupeur :

    1. 50% ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays un homme fort (ou une femme) qui n'a pas à se préoccuper du parlement ni des élections.
    Traduction en clair : un roi ou un dictateur, ou du moins un pouvoir personnel fort ?
    2 . 12% souhaitent même que l'armée dirige le pays !

    C'est du jamais vu depuis 200 ans et ça montre la crise où ces gouvernements d'énarques coupés des réalités du pays, et d'hommes politiques profiteurs de droite ou de gauche ont plongé le pay Sans surprise

    1. 30% placent Sarkozy en tête,

    2. 34% Marine Le Pen, tous les autres hommes politiques de tous

    bords sont très loin derrière.

    3. 67% pensent qu'il y a trop d'immigrés en France,

    4. 50% sont pour le rétablissement de la peine de mort(ils n'étaient que 35% en 2001

    Quelles que soient les réflexions que nous suggèrent ces résultats,
    on voit en tout cas à quel degré de crise profonde nous a mené la politique de ces dernières décennies.
    Les Français ne veulent plus être gouvernés par les énarques, ils aspirent à un changement radical.

    Fantastique : Enfin la FRANCE réagit.
    C'est bon à faire savoir car ça redonne le moral et l'espoir !
    (Valeurs Actuelles n° 4026, page 19
    Il est inadmissible et regrettable que les médias ne diffusent pas ce genre d'information, cela prouve bien qu'ils sont à la botte du pouvoir

    Il est important que les vrais Français soient informés du résultat de cette enquête. Partager pour le faire savoir , yalla et fissa."


    Choix numéro 2, un valeur à crédit toxique jaugée par les spécialistes du marché :



    PDR.
    Si après ça ce groupe n'est pas la "révélation" de l'année ...
    Bah, ils ne sont plus à une secte près dans le milieu dans le fan-club de Marion Maréchal Le Pen.
    Bon, Bourbon a beau être aussi illuminé et bedonnant, pas sûre qu'il rallie à lui des raéliens en puissance, la concurrence est rude à l'extrême-droite.

    Les Brigandes : quand une secte antichrétienne et occultiste tente de subvertir la droite...
    « Les Brigandes », un groupe de jeunes filles maniant la guitare et abordant des thèmes politiquement incorrects : il n’en fallait pas plus pour susciter l’engouement soudain…
    CONTRE-INFO.COM

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    Commentaires
    Oriane Borja
    Oriane Borja http://www.medias-presse.info/deprogrammation-par.../53470

    Déprogrammation par Civitas du concert des brigandes le 8 mai 2016
    MEDIAS-PRESSE.INFO


    Choix numéro 3, enfin une valeur sûre :


    En parlant de révélation, mais bon, à sa décharge qu'il fait pâle figure à côté de la Verdier-Molinié.

    Gattaz bide.jpg

  • Putain, après Eh Oh la gauche, Alléluia la droite ...



    Une rencontre entre Marion Maréchal Le Pen et Madeleine de Jessey ?

    Le Monde consacre un article à Marion Maréchal Le Pen et à l'Institution privée Saint-Pie X tenue par des religieuses à Saint Cloud.

    "Le Salon beige, le blog de référence de l’extrême droite catholique, relaie jusqu’aux petites annonces de l’école quand des postes d’enseignantes sont à pourvoir."


    L'article se focalise sur deux anciennes élèves de l'Institution : Marion Maréchal Le Pen et Madeleine de Jessey, porte-parole de Sens Commun et secrétaire nationale des Républicains :

    "Les deux anciennes de Saint-Pie-X se talonnent. En août 2014, Madeleine de Jessey intervient à l’université d’été de la Sainte-Baume, organisée par le très conservateur Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon ; Marion Maréchal en est la vedette l’été suivant. En mai 2015, la députée FN est invitée à la soirée des Veilleurs de Versailles ; la porte-parole de Sens commun lui succède un mois plus tard, sur ce terrain qu’elle pensait conquis. Aux dernières nouvelles, elles seraient enfin prêtes à se reparler : devant témoins, pour une interview commune dans la presse catholique."


    Une école qui semble bien reproduire des produits dérivés d'une idéologie sectaire, incapable d'un début de commencement de pensée propre, en revanche, une fabrique de perroquets libéraux de la meilleure facture.

  • Le contrat du demi-diècle, entre salaire de la peur et raisins de la colère ?


    Le fils de ma sœur étant jeune ingénieur dans la navale et mon arrière grand-père ayant été amiral, je suis fière à plus d'un titre, familial et national, des exploits français dans le domaine, mais je me pose quelques questions au sujet du contrat "du demi-siècle" annoncé.

    Tout d'abord, il s'agit d'un transfert de technologie, que nous avons vendu, si le contrat paraît avoir une durée importante au regard du capitalisme, il est très faible au regard de l'histoire.

    Cela signifie que nous pourvoyons l'Australie de plusieurs siècles de savoir-faire dont elle sera habilitée à disposer dans cinquante ans comme si elle était elle-même à l'origine de ce long processus.

    Elle va fabriquer les sous-marins elle-même, et sera donc capable de nous concurrencer dans cinquante ans, nous lui offrons donc, non seulement le travail pour ses propres ouvriers, au détriment des nôtres, mais encore auront-ils alors une expérience dans le domaine que nous aurons perdue si nous continuons à faire bâtir par d'autres nos projets technologiques théoriques.

    Nous voyons bien aujourd'hui combien prétextant de la pénurie de main-d'oeuvre formée, les chantiers font appel à de la manutention étrangère, profitant par là même de la directive travailleurs détachés qui permet de payer les hommes à des tarifs très bas et dans des conditions indignes d'une grande civilisation, laissant là encore nos propres citoyens sur le chemin.

    Mais encore faut-il écouter le discours de François Hollande, qui ne manque pas de remercier les ouvriers qui ont maintenu l'entreprise à flot "pour leurs efforts de compétitivité", ce qui signifie naturellement pudiquement que leurs salaires et conditions de travail ont été rognés, autant dire qu'on les a sacrifiés.

    Ce à quoi il rajoute que le contrat gagné implique aussi qu'il faille alors nous plier à ce qu"il nous "dicte", à savoir les conditions d'efforts que cela engendre et que le client, l'Australie nous dictera.

    Faut-il comprendre que l'on conditionne d'ores et déjà ceux qui travaillent à poursuivre les conditions drastiques demandées alors qu'elles n'étaient que la dure participation exigée pour décrocher les marchés dont il semblerait qu'il faille les contenter ad vitam aeternam selon des lois propres qu'ils pérennisent ?

    Les emplois ne seront non seulement pas aussi massifs que le Président Hollande tente de le faire gober, mais encore faut-il voir à quel prix on nous les achète, ou vend, selon le point de vue ...

  • Nuit Debout, Frédéric Lordon s'est couché

    Frédéric Lordon tient de ses amis des réseaux libertariens de dire "néolibéralisme" au lieu de "libéralisme" tout court.

    A-t-on entendu Lordon dénoncer Jacques Sapir comme jouet de John Laughland (Institut pour la Démocratie et la Coopération) ?

    John Laughland, grand thatchérien de la première heure et aujourd'hui agent du Ron Paul Institute en Europe et en Russie.


    Lordon a, comme d'autres (Soral, Chouard, Sapir) était approché par les réseaux libertariens, là où les autres ont pris le wagon en route, Lordon avait envoyé bouler Contrepoints (de vue de Washington).

    Mais le mouvement de Démocratie Directe, autre moyen d'action internationale des libertariens, aura eu raison du Haut Commercial.

    Tout déstabilisateur de l'Etat, qu'il vienne de l'extrême-gauche à l'extrême-droite en passant naturellement par les Ni droite Ni gauche Moins d'Etat, est un flanqué de la véritable extrême-droite internationale dont l'objet est l'expansion du libéralisme pur, et pour qui ce qui reste de France est à abattre.

    Vous avez des tas d'opposants au libéralisme ou prétendus opposants, qui luttent contre, mais tout contre.

    Et ils parlent tous toujours de "néolibéralisme", pour expliquer que le véritable "libéralisme" n'a pas encore été adopté, le libéralisme actuel, si on leur accorde qu'il n'est pas encore entièrement poussé à son paroxysme, est encore trop bridé par l'Etat pour être considéré par eux, comme non liberticide.

    Ils ne se rendent parfois pas compte qu'ils ont été cooptés, ou comme Chouard, sont au courant (je lui ai mis cent fois le nez dedans, pareil pour Soral, qui lui, a au moins reconnu devant moi que c'était son business), mais préfèrent prendre les gens pour des cons en prenant un air de benêt innocent, et ça marche pas mal. Demandez à Ruffin.


    La démocratie directe est le paradis des libertariens, c'est le royaume des lobbies et des puissances d'argent.


    C'est la négation absolue du politique dans son sens noble, qui est un projet de civilisation, ce qui compte, c'est l'idée, pas les bonhommes.

    La démocratie directe fait l'inverse, elle part de la table rase, elle prétend construire sur du néant alors que le politique est un empirisme qui s'étend sur le temps long, justement pour corriger les erreurs de la démocratie représentative le cas échéant et pour s'adapter au moment en fonction des principes de base.

    Dans "démocratie" il y a le "demos", le territoire et les habitants de la Cité 'équivalent de notre conception française de nation), et le "kratos", celui qui est capable de gouverner.

    Le gouvernement par et pour le peuple, or la démocratie directe ignore le gouvernement, gouverner, c'est prévoir.

    La seule démocratie possible est la démocratie représentative, que rien n'empêche d'améliorer, une civilisation est sans cesse en mouvement, elle s'affine toujours en s'ajustant face aux défauts que le réel fait surgir.

    Une grande civilisation comme la France a d'ailleurs su bâtir sa civilisation avec plein de garde-fous, lorsque son Etat a les moyens de sa puissance, il fonctionne le mieux du monde, même s'il est toujours perfectible.

    Nos échecs sont dus, sous les coups de boutoir du libéralisme, à l'altération des prérogatives de l'Etat, qui vont pour la France, bien au-delà des attributs régaliens, notre Etat étant garant de notre unité et de notre prospérité, tous ses services devant être tournés dans cet esprit.

    Le tout est de garder l'esprit de nos lois, dont notre Constitution est garante.

  • Le clivage interne progressisme/conservatisme, deux versions de la destruction du modèle français

    Macron exprime parfaitement ce que signifie le «progressisme», la gauche étant tout autant d'essence libérale que la droite, le progrès signifie l'avancée dans le libéralisme. Ils pensent libérer l'homme en l'asservissant à sa libéralisation.
    Le «conservatisme» de droite est le même libéralisme mais l'attache à la conservation utopique et finalement plus hypocrite d'une cellule de base familiale traditionnelle.
    La seconde option du libéralisme est plus incohérente même si elle est tout aussi compatible puisqu'il suffit de pousser la liberté individuelle à vivre dans d'autres sectes.
    Macron autorise avec le progrès la secte des fumeurs de chichon, Boutin celle des familles incestueuses, la différence est plus de degré que de nature.

  • Le libéralisme enfin compris par une journaliste, on avance

    Koenig, Verdier-Molinié... La nouvelle vague libérale pro-Macron
    Ils détestent l’Etat obèse, les normes, les impôts, et chérissent les entrepreneurs. Certains sont libertaires, d’autres conservateurs. Qui sont ces jeunes loups du…
    CHALLENGES.FR|PAR PAR GAËLLE MACKEVOIR TOUS SES ARTICLES

  • Quand on accuse l'Etat des vices du marché

    Il est facile de mettre sur le dos des contrôles nécessaires de l'Etat ses propres turpitudes, il a avoué avoir fauté, l'Etat a fait son travail en contrôlant, la pollution nous touche tous.

    Quant à son entreprise, c'est le libéralisme qui l'a tuée (er), elle n'était visiblement pas viable, l'économie actuelle est faite pour les gros, les petits artisans, agriculteurs, commerçants n'ont toujours pas intégré que sans la concentration des mesures de gestion et de communication, leur monde est mort, du fait du libéralisme.

    Pour les sauver, il aurait fallu plus d'Etat, que l'Etat interdise les concentrations et subventionne les entreprises non rentables au regard du marché.



    Quant aux grosses entreprises, là encore, il faut utiliser les moyens de l'Etat pour les encadrer, l'Etat est tout à fait capable de remplir son rôle, il suffit que la volonté politique y soit, en utilisant au besoin nos services secrets pour contrer ses puissances qui défit les Etats en s'arrogeant ses prérogatives et en le concurrençant, appliquant les lois de la jungle du marché aux institutions.



    Éclachrome: «L’État m’a tué»
    François Vasseur, fils du gérant et directeur commercial d’Éclachrome, a mis fin à ses jours jeudi. - Région - Le Courrier picard
    M.COURRIER-PICARD.FR|PAR LE COURRIER PICARD