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  • Salauds de pauvres

    Une étude révèle que l'absence de recours aux aides sociales est bien supérieure à la fraude sociale.
     
    Je me reconnais parfaitement dans ce rapport, je ne réclame ni mon droit à la CMU complémentaire (qui prendrait en charge la moitié de ma mutuelle) ni les aides au temps libre (qui convrirait 40 % de mes frais de location si nous prenions des vacances), ni mes indemnités de chômage partiel quand le volume de mes horaires de travail diminue, auxquels j'aurais droit, ainsi que diverses aides ponctuelles que me proposent parfois les assistantes sociales des écoles, collèges et lycées de mes enfants (des aides qui consistent à vous inciter à une dépense pour laquelle on vous aide en partie, et que vous n'auriez pas faite en tous les cas, et qui, si vous l'acceptez, vous incite à vivre au-dessus de vos moyens ...).

    L'octroi de ses droits est trop contraignant ( c'est très surveillé) et quand son dossier est complexe, il faut régulièrement des centaines de documents dont il faut fournir des copies) et cela demande du temps, et notamment avec l'administration, du temps que l'on n'a pas quand on travaille, où on ne prend pas le risque de s'absenter (ce que je réserve en cas d'extrême obligation en cas de soucis de santé de mes enfants, je travaille moi-même si je suis malade en le cachant), et quand on ne prend pas de vacances.

    Je travaille en théorie 45 heures par semaine, volume qui décroît selon la demande à laquelle je dois m'adapter et qui se détermine au jour le jour. Ayant plusieurs employeurs différents, je jongle avec les remplacements pour combler les trous le cas échéant.

    Et en effet, si l'on ne se renseigne pas soi-même, on ignore qu'on a droit à diverses aides, il est insupportable de demander, et les services sociaux sont parfois aussi chaleureux qu'ils peuvent être odieux.
    Si vous réclamez, vous prenez aussi le risque que l'on ne vous croit pas capable d'élever vos enfants, la moindre faiblesse se retourne contre vous.

    Personnellement, je fais face aux fins de mois difficiles en préparant des repas très économiques, on ne fait jamais d'extra et on ne mange pas de viande; on ne prend pas de vacances (mais nous n'habitons pas loin de la mer et je sais aménager des moments de loisir pour mes enfants), on n'a pas de frais de coiffeur (en quarante ans, j'ai dû aller cinq fois chez le coiffeur) ou autre et l'habillement est géré au plus juste -on me donne beaucoup de vêtements-, je ne jette pratiquement rien, et j'ai trouvé mes meubles dans des trocs, et mes enfants ne sont pas exigeants, ils se moquent totalement des marques ou des modes, ils ont même un souci presque consternant d'économie.
    Ils ont des bourses scolaires et même au mérite, et on leur donne des ordinateurs.
     
    Prestations sociales : chaque année, 12 milliards d'euros ne sont pas réclamés
    ladepeche.fr
    Le résumé :80% des classes moyennes sont d'accord avec l'idée qu'il "y a trop d'assistanat" en France et que "beaucoup de gens abusent des aides sociales", selon une étude Ifop datant de 2010. Cette idée très répandue 

  • Apprivoisez vos enfants

    Marion Sigaut déclare que "La France éduque et forme un peuple homosexuel, pervers et de racailles".
    La France ne fait pas cela, et les homosexuels se forment tout seuls, et les pervers et la racaille sont ainsi par la non-éducation que leur ont donnée leurs parents.

    Et une fois de plus, prenez soin de vos enfants, donnez-leur une solide éducation, et vous n'aurez rien à craindre de personne.

    Je peux en tout cas, et pour vivre dans le monde réel, rassurer cette dame, les enfants sont encore merveilleux, ceux qui emmerdent sont une minorité et ne doivent leurs "grâces" qu'à des parents qui ont loupé quelque chose à la base.
    Je dirais même que malgré certaines carences obligées dues au fait que les mamans soient souvent obligées de travailler, les petits ont de redoutables capacités d'adaptation.

    Le danger, c'est lorsque les parents les éduquent à l'américaine, dans le culte de l'argent et du futile, voilà l'horreur.

  • Lobby soit qui mal y pense

    Attisés par les lobbies qui profitent des faits divers pour accroître leurs clientèles-cible, et les détourner en réalité à d'autres fins, certains parlent de donner un statut à l'animal.
    Jusqu'à Brigitte Bardot qui parle des animaux pour mieux détester l'Homme. Qu'elle ne considère donc même pas, comme un animal.

    Dans notre civilisation, l'homme a un statut à part, le reste est considéré comme chose par notre droit.
    En Amazonie, les tribus indigènes ne font pas de différence entre l'homme et la nature, en revanche, la tribu d'en face peut, elle, être paradoxalement considérée comme du bétail. (Un peu comme les "chrétiens" pas très catholiques du Salon Beige considèrent les musulmans d'Afrique)

    Notre science nous porte à considérer l'humanité et l'animal sur un plan différent. Ce qui ne nous empêche pas d'être respectueux envers la nature, ce qui marque même un haut niveau de civilisation.

    Léonard de Vinci disait qu'un jour viendra où les personnes regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd'hui le meurtre des êtres humains.

    Je ne suis pas loin de partager cet avis. La nature m'inspire un profond respect et je ne mange pas les animaux.

    Mais vous ?
    Avez-vous réfléchi au fait que si l'animal change de statut, il vous sera alors sans doute impossible de vous en nourrir ?

    Consultez votre raison avant de voir avec vos émotions, vous serez bien avisés.