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Municipales - Page 3

  • Robert Ménard, l'homme de l'ouverture à l'extrême

    Toujours avec le soutien de Marine Le Pen ...
    Béziers : Robert Ménard s'entoure de personnalités d'extrême-droite
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      Oriane Borja Dans la capitale du Haut Vaucluse, les voies de la communication semblent passer par celles du seigneur. Après le départ de son fidèle communicant, le très sulfureux et radical André-Yves Beck, le maire extrême-droite d'Orange Jacques Bompard (Ligue du Sud), chrétien fervent, a lancé une campagne de recrutement en orientant ses recherches du côté des gens d'Eglise. Il a ainsi auditionné un ancienne carmélite avant de porter son choix sur un ancien abbé ayant évolué dans les milieux les plus traditionnalistes.
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      Oriane Borja 
      André-Yves Beck
      Ancien militant du FNJ, de Troisième Voie, de Nouvelle Résistance et d’Unité Radicale, il a appartenu à la direction des Identitaires (sous pseudo). Il est également parti combattre en 1991 en Croatie avec des militants nationalistes Français. Au sein de Nouvelle Résistance il avait tenté d’infiltrer Socialisme International et Ecolo-J à Grenoble. Il a été le directeur de la communication du maire d’Orange, Jacques Bompard, membre du MPF de Philippe de Villiers et ancien d’Occident et du FN et a été élu conseiller municipal de Bollène en 2008 sur la liste conduite par l’épouse de J. Bompard.


      Personnage de l’ombre, on ne peut pas dire qu’il possède une très bonne image dans les milieux nationalistes, en particulier parmi les cadres historiques du Front National comme en témoigne un article du blog « Union des Patriotes », de Jacques Vassieux (décédé en 2010) dont voici un très large passage :

      « Pour rendre justice aux Identitaires, il faut reconnaître qu’ils ne sont pas très bien lotis en matière de conseils politiques. En effet, c’est un bien curieux personnage qui a en charge la délicate question de conseil en stratégie et analyse politique au sein de la mouvance de Fabrice Robert. Un personnage qui n’a reculé devant aucun revirement depuis une quinzaine d’années : André-Yves Beck. Ancien militant NR (ou prétendu tel…), ex gudard, Beck a commencé sa carrière d’agité du bocal au FNJ de Grenoble (Isère), puis dans les milieux tercéristes (Malliarakis…), avant de cautionner à son modeste niveau l’OTAN, bras armé du mondialisme, dans son entreprise de nettoyage ethnique des Serbes de Krajina au début des années 1990 avec le « suivi » dans le sud-est de la France de mercenaires destinés à s’engager chez les paramilitaires extrémistes croates. Des milices, mêlant toutes sortes d’aventuriers, de néo-nazis de tous horizons et autres sociopathes de premier choix, qui étaient totalement gangrenées par les « services » occidentaux et mises à disposition des projets mondialistes en charge de redessiner la carte de l’Europe du Sud-Est pour des intérêts ouvertement supranationaux. Ces mêmes milices firent cause commune avec les islamistes de Bosnie à l’occasion de l’offensive de l’été 1995 chassant près de 250 000 Serbes de souche de Krajina et en massacrant plusieurs milliers d’autres. Mais, contrairement à la rumeur, André-Yves Beck ne s’engagea pas directement sur le terrain préférant laisser ce risque à d’autres…

      Il tente insidieusement de se reconvertir dans la respectabilité politique, par l’intermédiaire du Front national dans les années 1990. Mais bien vite, André-Yves Beck se taille une solide réputation de thuriféraire pro-Mégret lors du pu-putch du polytechnicien de choc en 1998-1999, sans toutefois aller jusqu’à franchir le Rubicon. Là aussi, il laissa cela à d’autres… Courageux, mais pas téméraire !

      La rupture avec le Front se fit tout de même quelques années plus tard, puisqu’il suivit avec une servilité exemplaire son bon maître Jacques Bompard dans la dissidence puis rejoignit, avec tout autant de docilité, le villiérisme sarkompatible. Et le voilà propulsé SD du MPF du Vaucluse : la gloire ! Aussi, l’ancien dir comm’ de la ville d’Orange a été élevé en mars dernier, au poste de maire adjoint de Marie-Claude Bompard, en charge des… finances ! Espérons tout de même que Christian Baeckeroot, expert comptable de la mairie, saura avoir un œil vigilant sur le travail de l’énergumène en question… Parce que ce dernier semble passer plus de temps sur Internet, que dans les livres de comptes !

      Andre-Yves Beck est un garçon discret : alors qu’il est directeur de publication du magazine Nord Vaucluse, le journal du député Bompard, il préfère se faire appeler XXXXXXX sur le pdf disponible sur internet : des fois que de petits curieux taperaient son nom dans un moteur de recherche…
      Mais c’est en tant que membre actif et officieux du Bloc identitaire qu’André-Yves Beck a pu dévoiler son authentique talent : celui de comploteur à la petite semaine. Bien que n’apparaissant jamais officiellement dans l’organigramme identitaire, il est de toutes les décision importantes qui doivent être prises, aux côtés de Fabrice Robert, de Guillaume Luyt, de l’ex ( ?) trotskiste Jean-Baptiste Santamaria et, accessoirement, de Philippe Vardon. Ainsi, lors de la dernière campagne présidentielle, Beck fut à la pointe du combat anti-Le Pen, combat partagé par la mouvance identitaire, à tel point que d’aucuns ont cru voir dans « les-nationalistes-contre-Le Pen » sa griffe personnelle.

      Aujourd’hui, Beck a largement son mot à dire dans les délicates négociations qui s’annoncent entre les Identitaires et l’initiative scissionniste de Carl Lang pour la campagne des européennes de 2009 ; tout comme dans l’intention du clan Bompard de lancer, avec l’aide de la mouvance identitaire, une liste dans le grand Sud-Est contre celle menée par Jean-Marie Le Pen, et vraisemblablement sans l’accord du villiériste Patrick Louis qui mènera celle du MPF dans cette euro-circonscription.

      Grand amateur éclairé de Cotes du Ventoux, « le vin qui permet de laver le sol » selon ses dires, André-Yves Beck, depuis deux ou trois ans, s’est déniché une mission à la hauteur de ses capacités : devenir le gourou des sales mioches qui polluent la galaxie cybervilliériste. Aussi, à la quarantaine bien tassée, notre dadet bompardien se fait fort de donner des leçons de politique à une poignée de cyberwarriors boutonneux au potentiel cérébral comparable à celui d’un poisson rouge. Mais, qu’on se le dise, notre maire adjoint désoeuvré est un intellectuel… Un cerveau même ! « 7,5% à Paris, c’est un très bon score. 7,5% à Croix, c’est 400 voix. Vu la taille de la ville, il devait y avoir 35 gus sur la liste. Mathématiquement, 35 gus, avec les amis, la famille, c’est 200 voix assurées. Grand grand minimum. Ce score est donc passable pour le % et mauvais sur le fond », assure-t-il sur un ton professoral sur le forum des morveux de UMPF, France Espoir. Outre que Beck vient de nous réinventer le vote familial, voire le vote amical, ce qui en sciences politiques est une hérésie absolue, voire un non sens, si l’on suit son raisonnement aviné, gagner la mairie de Bollène, en somme, ce serait minable, parce que Bollène est bien plus petite qu’Avignon en nombre d’habitants… Voilà un raisonnement qui va certainement intéresser sa patronne, Marie-Claude Bompard. Cette dernière ne se doute vraisemblablement pas que son adjoint préféré passe une bonne partie de son temps sur Internet à refaire le monde comme d’autres au bistro du coin.« 

      Taupe des Identitaires et partisan de la scission du FN en 1998, on comprend mieux pourquoi Ménard ne tient pas à ce que la présence d’André-Yves Beck dans son équipe soit évoquée.

  • Marion Maréchal Le Pen, Aymeric Chauprade, Béatrice Bourges, Farida Belghoul, Tugdual Derville, by God ...

    http://bouteillealamer.wordpress.com/2014/02/04/ils-ont-vaincu-francois-hollande-farida-belghoul-ludovine-dutheil-de-la-rochere-marion-marechal-le-pen-et-les-autres/



    "Farida Belghoul

     

    Fille d’un éboueur et d’une femme de ménage dans une fratrie de 5 enfants, elle est encartée au parti communiste quand elle rejoint Convergence 1984, la deuxième marche pour l’égalité et contre le racisme. « Elle est arrivée dans notre collectif après la marche en 1984 – elle n’a eu de cesse de casser ce collectif en nous accusant d’être des intégristes  du repli communautaire – que nous étions pour l’endogamie – que nous voulions un mouvement d’arabes alors qu’elle voulait créer un mouvement antiraciste generaliste ouvert en génereux », raconte un marcheur de 1983, «elle a abandonné ses troupes en ne leur fixant pas de perspectives et s’est consacrée à sa vie personnelle». 

    Elle est alors en maîtrise d’économie et a réalisé deux films qu’on imagine subventionnés par le PCF ou une MJC quelconque. A Tolbiac, elle a dirigé durant deux ans le cercle communiste et a ferraillé contre Julien Dray, le trotsko du coin. Elle publie un roman Georgette que réédite Kontre-Kulture, la maison de son ami Soral. Elle se marie, opère un virage vers le soufisme et devient professeur de français et d’histoire-géographie dans un lycée technologique. Elle aurait découvert à cette occasion la misère de l’éducation nationale en banlieue et se désole du niveau des élèves. Farida sort la copie d’un de ses élèves scolarisé, en terminale professionnelle maintenance. C’est la copie d’une dictée. «Et voilà le résultat :"Gavroch rempait a plat ventre, galopé a quatres pâttes, prennait sont paniè au dents, ceux tordair, glissait, ondulait, cerpenté d’un mort à l’otre."»

    En 2007, elle retire ses trois enfants, Meriem, Hussein, et Zine, de l’école publique et leur fait cours dans son pavillon de Bezons (Val-d’Oise) présenté par Libération en 2008, comme un simple F3. Libé la trouve alors, drôle comme tout. C’est de là que naît son projet de cours particuliers pour les enfants perdus, le Reid (pour Remédiation éducative individualisée à domicile). Elle ne trouve pas les financements. On l’avait vu arpenter les bureaux de Martin Hirsch, Haut commissaire aux solidarités nouvelles, à la quête de subventions ou de publicité.

    «Je ne compte plus sur les financements publics. Je n’y crois plus. Mon dernier recours est de m’adresser à la société civile. Si 25 000 personnes donnent chacune 10 euros pour ce projet, la somme permet de couvrir la totalité des frais de la première année de fonctionnement du Reid. J’ai déjà créé moi-même l’association loi 1901. Tout est prêt : les jeunes candidats au Reid attendent, les instructeurs sont disponibles, le programme est conçu, il ne manque que l’argent. Nous voulons démarrer en septembre 2008. Il y a même un comité d’experts qui se constitue pour suivre ce dispositif. Ce seront des experts qui connaissent le terrain, pas des experts d’en haut qui noieraient le poisson. Des enseignants de lycée professionnel notamment.»

    La réalisatrice Samia Chala avait filmé un huis-clos paranoïde voulue par une mère qui craignait que l’école ne transforme ses enfants en « barbares »« Je ne peux pas sauver mes élèves, mais je peux vous sauver vous », répond-elle à sa fille de 14 ans qui lui répète que l’école et ses amis lui manquent. « Méthodes d’apprentissages bidons, programmes bidons. On fabrique des délinquants, demain des barbares », souffle Farida Belghoul. Deux ans plus tard, elle revient en politique, soutenant la candidature de Dominique de Villepin à la présidence. « Elle a essayé de m’enrôler », se souvient Nordine Gasmi, un ancien du Mouvement de l’immigration et des banlieues, ancêtre des Indigènes de la République.

    Sur Internet, Farida Belghoul a testé l’impact des vidéos vite montées, vite postées et diffusées sous le label « télé libre ». Depuis plusieurs mois, elle donne libre cours à ses obsessions : la faillite de l’éducation nationale, le parti socialiste « allié aux homosexuels » ou les complots des étudiants juifs de France derrière SOS Racisme. Visiblement la CAF et le salafisme y sont épargnés.  On y apprend que des étudiants juifs ont importé le rap en banlieue « dans une opération de destruction de la jeunesse ».  Doublant Adjani sur sa droite, elle a proposé sur les ondes de Radio camp des saints l’« année de la robe… puisque la théorie du genre veut de manière définitive nous faire porter le pantalon ! ». Farida Belghoul dit sa haine du projet tertio-républicain : "Couper l’école de l’église, de la religion, du ciel, d’une certaine façon." Marianne a remplacé le Christ dans les salles de classe. Une Marianne qu’en 2013 on a choisi d’incarner en une "Femen hystérique", tandis que le ministère de l’Éducation s’applique à faire des jeunes des "LGBT" (du nom du mouvement Lesbien, Gay, Bi, Trans) en puissance et à mettre à bas l’identité masculine – quitte à pousser les petits garçons à la masturbation puis à la mutilation. Elle a évidemment reçu de la part de Dieudonné, une quenelle d’or.

    Mediapart / Le Monde /  Libération / Le Point / BAM

     

     Ludovine Dutheil de la Rochère, de son nom de jeune fille Ludovine Megret de Serigny d’Etigny, fille d’un cadre bancaire et d’une mère au foyer, ancienne pensionnaire de la maison d’éducation de la Légion d’honneur et mère de quatre enfants. « J’ai grandi entourée d’une vingtaine de cousins germains et de trois frères. Aujourd’hui, deux d’entre eux vivent en Amérique du Sud, nous nous parlons chaque semaine sur Skype. ». Cette ancienne professeurE d’histoire-géographie qui fume comme un pompier en mission se déclare fière d’avoir réussi son capes du premier coup mais botte en touche quand il s’agit d’évoquer le concours d’entrée de l’école des chartes. En 1999, elle est engagée par la revue conservatrice-libérale, Commentaire en tant que secrétaire générale. Elle rejoint, en 2003, l’équipe de com’ de la conférence épiscopale où elle rencontre Frigide Barjot qui a aussi ses entrées. Enfin elle est adlectée au sein de la fondation Jérôme Lejeune, bastion français du national-lapinisme intégral. « Pour moi, l’homme est au cœur de la cité et la cité est au service de l’homme. L’homme est le cœur de tous les sujets. La cité est le fait de vivre ensemble et le fait d’être là pour chacune des personnes. C’est ça qui me “drive”. Quelles que soient les fonctions que j’aie pu occuper, c’est toujours ça qui m’a guidée. »

    Tugdual Derville, forrest gump résilient vendéen, père de 6 enfants, diplômé de la petite école des porcs d’Etat (sciences-pipo) et de l’ESSEC, il est le fondateur du site Ecologie humaine avec Pierre-Yves Gomez, économiste et Gilles Hériard Dubreuil, spécialiste du développement durable. La CroixPèlerin et La Vie ont beaucoup relayé le lancement de ce groupe de réflexion. Sur Internet, la "cathosphère" ( l’ensemble des blogs et des sites qui se revendiquent catholiques) se sont aussi montrés très intéressés par ce think tank. Deuxième d’une famille de quatre enfants, il ne comprend rien de ce qu’on lui demande à l’école, se croit un cancre. Deux premières, trois terminales, trois baccalauréats de français… « La dyslexie a été une énorme souffrance, relit-il. Le cerveau est vraiment fait différemment, c’est une contrainte de tous les jours, jusqu’à la fin de sa vie. ». En 1994, il dirige l’alliance Vita créée par Christine Boutin dont il est, désormais le délégué général. En 1999, il organise le mouvement anti-pacs avec le succès que l’on sait. Son frère est le directeur spirituel de la prélature de l’Opus Dei dont le bon Tugdual semble appliquer les sages conseils compassionnels néo-franquistes. Aussi, sur les conseils de son père spirituel de 87 ans, cet ­ultra-actif se plonge chaque matin dans son « sanctuaire » intérieur. En outre, il donne des conférences à la fondation Guilé, sise en Suisse. Celle-ci se charge de sensibiliser les acteurs économiques aux grands dangers de notre temps comme la laïcité. Cette fondation a témoigné devant l’OSCE contre la « laïcité à la française » et fait du lobbying intensif pour obtenir des sanctions économiques contre la France. Elle offre, par ailleurs, aux « décideurs » des « conditions  privilégiées d’échanges interdisciplinaires et des parcours d’enrichissement personnel dans des lieux et des moments de qualité ». Il est aussi proche des légionnaires du Christ, une congrégation de prêtres catholiques. Elle forme de très jeunes garçons à rejoindre la militia christi des temps modernes. Son fondateur, l’Abbé Marcial Maciel, vénéré comme un Saint vivant par le Pape Jean-Paul II, fut débarqué lorsque les témoignages s’accumulèrent. En effet, l’abbé, sans doute inspiré par le Baphomet des templiers, avait tendance à sodomiser en série quelques jeunes recrues. Scicluna, responsable de l’instruction des crimes sexuels au sein de la Congrégation pour la doctrine de la foi, fut mandaté par son patron, le cardinal Ratzinger pour enquêter. Les témoignages concordent sur le mode opératoire. Prétextant être malade, Maciel s’alitait et faisait appeler un petit séminariste dans sa chambre. Il le forçait à le masturber pour apaiser ses douleurs. Puis il infusait le saint esprit de ses gonades dans le fion de ses victimes. Le prêtre leur faisait jurer de garder le silence, assurant qu’il avait pour cela une permission spéciale du pape. Miséricordieux, il allait jusqu’à donner l’absolution aux garçons qui se sentaient coupables. On apprendra en 2009 que Maciel, par ailleurs toxicomane, avait eu trois enfants de deux femmes différentes. Il y a quelques jours, le 1er mai, le Vatican déclarait que l’homme était un imposteur : "Les comportements très graves et immoraux du père Maciel, confirmés par des témoignages irréfutables, se présentent parfois comme de vrais délits et démontrent une vie sans scrupule ni authentique sentiment religieux." mais Tugdual connaît bien les mille et un tours du Malin et la sagacité de l’Eglise militante. Sa confiance n’en est qu’accrue.

    Béatrice Bourges : Désignée par The Independent comme la femme la plus dangereuse de France, une sorte de nouvelle Jeanne d’Arc selon Shakespeare, elle est l’autricE de l’insignifiant, l’homoparentalité en question, dont elle assure elle-même la promotion. Elle souligne ses racines auvergnates mais est née en Algérie, elle est la fille d’un père ingénieur chez Total et d’une mère graphologue et mène des études de droit, puis entame un 3e cycle à HEC ; de 1988 à 1997, elle collabore avec le RPR Franck Borotra, au Conseil général des Yvelines puis à l’Assemblée nationale. En 2002, elle se présente aux législatives, dans ce même département, sous l’étiquette "divers-droite" et obtient 7,8% des suffrages. Celle qui se décrit volontiers comme "pugnace" récidive en 2012, (7,1%) soutenue, cette fois, par le Parti chrétien démocrate. Intarissable sur la famille, son union, son rôle primordial de cellule de la société, elle est divorcée et remariée. Spécialisée dans le domaine de l’action parallèle, elle vient de créer sa société de coaching et de formation en entreprise, évoquant son expérience en tant que "secrétaire générale d’une association de chefs d’entreprise" pendant dix ans. Elle compose la troisième figure du trio Jean-Claude Martinez, Christine Boutin parti à l’assaut de l’Assemblée soporifique des députés doryphores de Strasbourg où les douze étoiles de la Vierge qui ornent le drapeau de l’UE lui rappelleront la sienne, "j’ai une étoile là-haut, je ne la quitte pas des yeux", lâche-telle en regardant le plafond. Puis, quelques instants plus tard : "Certains vont penser que je suis malade, je le suis peut-être, peu importe".

    Les Veilleurs : Ils sont jeunes et bien élevés du moins selon la norme petite-bourgeoise élargie, mais comme Marie-Capucine ont connu des heures de gardes à vue. Peut-être, à l’instar de Nicolas qui s’est vu affublé de 2 mois ferme de prison, ont-ils assisté, expérience insoutenable, à un rapport anal entre deux transsexuels tandis qu’ils récitaient le Notre Père frappés d’une turgescence désagréable ? On leur a jeté leur plateau-repas au sol, on ne leur a pas dit « bonjour, Monsieur ou Mademoiselle », on leur a distribué un petit coup de matraque et peut-être ont-ils aimé cela (le voies du Malin sont si chamarrées), aussi les Veilleurs sont des martyres de la foi dans un monde de brutes totalitaires socialo-franc-maçonnes. « J’ai l’impression de jouer un rôle pour mon pays. » crie Marie-Capucine. Samuel a été poignardé par des racailles, les réseaux asociaux bruissent de rumeurs de représailles organisées en coulisse par le Béria franco-sioniste-métèque, Manuel Valls. Articulé sur la démonstration publique et commune de leur foi, leur éveil est tissé de paranoïa infantile. Les voici prisonniers politiques quand on les embarque au commissariat pour une garde à vue ou montant des campings pour tous afin de dénoncer les mensonges pour tous car tout est pour tous, chez ces garnements pneumatiques prenant en charge le troupeau des hyliques pervertis par l’athéisme d’Etat et ses écoles marxistes. Madeleine fut encartée à l’UMP dès l’âge de 16 ans mais refuse l’hédonisme et la médiocrité. C’est la génération rebelle selon Valeurs Actuelles, on a juste envie de leur dire, rentrez chez vous dans 20 ans, vous serez notaires, cadres, haut ou bas fonctionnaires voire pharmaciens.

     

    Marion Maréchal (nous voilà)-Le Pen

     

    Arnaud Stephan, pseudo d’un quadragénaire, est plus qu’un simple collaborateur parlementaire : conseiller médias et communication de la députée du Vaucluse, il gère dans l’ombre sa trajectoire politique.  Sous son véritable nom, le consigliere est issu des JAN (les Jeunesses d’action nationaliste, dissidents du FN). Il fut l’homme de confiance de l’ex-conseiller régional d’Ile-de-France Jean-François Touzé, qui a alterné postes de responsabilités au FN et années de dissidence envers Jean-Marie Le Pen.

    Pendant vingt ans, il a fréquenté les groupuscules de Touzé : Espace nouveau, Alliance populaire, Parti national républicain (PNR – dont il est secrétaire général et candidat aux législatives en 1997), fusion entre le CNI (Cercle national des indépendants) et le PNR, en 1998, Nouvelle Droite républicaine (NDR) en 2008. Il collabore alors à plusieurs revues, Persiste et signeLe Choc du mois ou encore Patrie liberté. Entre 1991 et 1993, il intègre le directoire du GRECE (Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne), où il gère les relations presse et les « initiatives culturelles ».

    C’est donc un médiateur culturel.

    Comme d’autres membres de l’équipe Maréchal-Le Pen, Arnaud Stephan est arrivé sur la planète Le Pen par l’intermédiaire de Yann, la sœur cadette de Marine. La mère de la députée tient une place importante dans le dispositif. A la tête de la direction nationale des grandes manifestations frontistes, « elle la conseille sur sa façon de faire de la politique, explique Arnaud Stephan. On discute, on prépare des émissions ensemble, parfois à Saint-Cloud, au domicile de sa mère, dans un cadre familier »« Elles sont très proches et très fusionnelles », confirme Maxime Ango-Bonnefon, un mariniste-gollnischiste. « C’est un soutien de vie », tempère Marion Maréchal.

    Autre personnage clé dans la construction de son identité politique, son père, Samuel qui fut le président du FNJ dans les années 1990 et l’un des artisans de la stratégie de « dédiabolisation » mégrétiste. « C’est son plus proche conseiller », assure Maxime Ango-Bonnefon. Retiré de la politique, à la tête d’une société de conseil aux entreprises ivoiriennes à Paris et Abidjan, il a « encore quelques réseaux, notamment dans la communication », raconte Rémy Rayé. « Il fait partie de mes exemples politiques, il a marqué les esprits, il a participé à façonner le concept de “ni droite ni gauche” », explique la députée frontiste.

    Marion Maréchal s’est aussi entourée, la première année, d’une assistante parlementaire passée par le GUD (Groupe union défense) à Lyon. Victoria Dufour, 23 ans. Son père, Marc Dufour, un ancien des groupes Yann Tran Long, ancienne figure de la FANE et mercenaire à ses heures perdues, figure parmi les militants « très actifs » du noyau d’une trentaine de personnes fédérées à Carpentras, selon les assistants parlementaires de la députée. En juin 2012, il expliquait au Nouvel Observateur avoir « commencé à activer les réseaux » en amont des législatives. C’est lui qui pilote aujourd’hui la logistique de la campagne du suppléant de Marion Maréchal à Carpentras. « On se voit souvent, je le connais bien. Il fait partie du cercle amical de Marion », raconte Rémy Rayé. Sa femme, Antonia Soton, milite elle aussi pour Marion Maréchal. Elle a surtout été citée dans l’affaire Dulcie September, cette représentante du Congrès national africain (ANC) en France, assassinée en 1988. À l’époque compagne de l’ancien chef du GUD et mercenaire Richard Rouget, Soton a expliqué à un journaliste l’avoir aidé à surveiller des militants de l’ANC.

    Aujourd’hui, le GUD est toujours présent dans la vie d’Antonia : sur sa page Facebook, où elle affiche l’emblème ; dans les « dîners celtiques » auxquels elle participe ; et à travers les anciens gudards qu’elle fréquente (Frédéric Chatillon, vieil ami de Marine Le Pen ; Marie-Dominique Klein, dont le fils, Édouard Klein, a relancé le GUD en 2010). Elle côtoie parallèlement toute une galaxie catholique traditionaliste, à travers l’institution Saint-Louis, où elle enseigne. Elle conserve des liens étroits avec Yann Tran Long, avec qui elle a créé en 2012 « Veni Sancte Spiritus », une association catholique traditionaliste où l’on retrouve au poste de trésorier Benoît Rigolot, l’expert-comptable qui a contrôlé les comptes du micro-parti de Marine Le Pen.

    D’un peu et on se croirait dans le Da Vinci God.

    C’est à Lyon, épicentre de la droite catholique identitaire, que l’on trouve les autres « cercles politiques » et « amicaux » de Marion Maréchal nous voilà. À commencer par les dirigeants du FNJ, les Lyonnais Julien Rochedy et Paul-Alexandre Martin. La députée les considère comme « des amis » et a effectué « des déplacements à l’étranger avec eux, car ils aiment entretenir les liens avec les autres partis européens ». Comme en septembre, lorsqu’ils sont reçus par le Vlaams Belang, parti populiste flamand, ou en juin, lorsqu’ils rencontrent en Suède plusieurs homologues européens. C’est aussi à Lyon qu’est installée Janus International, la société qui gère sa communication sur Internet. Derrière cette agence « spécialisée dans l’intelligence économique, la communication de crise et le Web politique », on trouve Olivier Giot-Bordot et Sylvain Roussillon, issus des rangs de l’Action française. Contacté, le premier ne fait pas mystère de sa « formation politique » et estime « avoir cette chance, en tant que maurrassien, d’être indépendant ». Cette « collusion » se serait faite « dans le giron de la Manif pour tous », selon Julien Rochedy.

    Car pour acquérir une certaine autonomie par rapport à l’appareil frontiste, Marion Maréchal s’est appuyée sur la nébuleuse des anti-mariage pour tous. Elle-même le reconnaît, « on est assez autonomes, j’ai ma fédération dans le Vaucluse avec Hervé (de Lépinau) ». Jean-Marie Le Pen ? « Je l’appelle peu, je le vois peu. Même Marine Le Pen, je la vois assez peu. » Quant à la demeure familiale, à Montretout, elle n’y « passe quasiment plus. Ce n’est plus un lieu politique comme ça a été le cas avant ». Pour se construire ses propres réseaux, elle a profité du discrédit de Marine Le Pen auprès de la frange catholique de l’extrême droite, agacée par sa « dédiabolisation » et son absence des « manifs pour tous ». « Marion a pris un positionnement très clair, elle était présente à toutes les manifestations contre le mariage homosexuel. Elle séduit cet électorat-là », glisse Maxime Ango-Bonnefon.

    Elle est donc allée soutenir Nicolas Bernard-Buss, le martyre anti-mariage pour touscondamné pour rébellion, et plusieurs mouvements spécialisés dans le happening catholique (les Veilleurs, les Sentinelles).

    La députée s’exprime dans Présent, quotidien de la droite catholique traditionaliste, elle monte au créneau contre la recherche sur l’embryon et contre l’IVG, qu’elle souhaite « dérembourser » pour « responsabiliser les femmes », et a récemment demandé la suppression d’un article du projet de loi sur l’égalité hommes-femmes visant à protéger les femmes étrangères victimes de violences. En mai, elle s’est rendue au pèlerinage de Chartres où elle a reçu un « accueil sensationnel », selon son entourage. « Elle est bien accueillie par ces manifestants, par le Printemps français, même si la plupart ne sont souvent pas des frontistes, mais plutôt des UMP, des centristes, des militants de l’UNI, des souverainistes tendance Dupont-Aignan ou RPF », raconte Rémy Rayé.

    Pour rayonner, le Printemps français est entré en contact avec Marion Maréchal. En août, elle a reçu une invitation pour leur université d’été. À Lyon, c’est l’association « les Enfants des Terreaux », (qui a défilé le 26 janvier avec « Jour de colère ») qui l’a approchée, via Olivier Giot-Bordot. À Paris, la députée frontiste est venue soutenir Béatrice Bourges, la porte-parole du Printemps français, en grève de la faim devant l’Assemblée nationale mais qui ne finira pas comme Bobby Sands. Elle s’est aussi rendue plusieurs fois au Carré parisien, « club d’événements » du 15e arrondissement où se croise le gratin des droites post-pétainistes. Le 15 juillet, elle y intervenait sur l’engagement des jeunes. Le 15 octobre, elle était invitée à la conférence du géopataphysicien Aymeric Chauprade. Ce jour-là, le rallye rassemblait des piliers du Printemps français (comme Frédéric Pichon) mais aussi des gudards (comme Édouard Klein).

    Bénéficiant de réseaux solides, notamment au sein du Printemps français, Aymeric le conquérant conseille aussi bien Marine que Marion. « Ils ont une certaine complicité, ils travaillent beaucoup ensemble », confirme Maxime Ango-Bonnefon. « Je lui demande son avis sur certaines questions, comme la situation en Afrique. C’est quelqu’un de reconnu dans son domaine », estime-t-elle.

    Dans le Vaucluse, l’assomption de la benjamine inquiète Roger Martin, son adversaire du Front de Gauche en déroute. « Sur les marchés, c’est comme si elle guérissait par l’imposition des mainsIl y a autour d’elle un phénomène médiatique qui va plus loin que Marine Le Pen ou Gilbert Collard. Elle est reçue comme la réincarnation de Jeanne d’Arc. » Cette année, les pompiers de Velleron, qui l’avaient déjà invitée à leur bal, ont posé avec la députée FN sur six des dix clichés de leur calendrier 2014.

    A star is born."

    Mediapart / BAM

  • Marion Maréchal le Pen membre de l'Opus Déi ?

    On peut émettre l'hypothèse de façon plausible, et garder cela dans un coin de l'oreille.

    On sait tout le bien qu'en pense Christine Boutin qui soutient Marion Maréchal Le Pen comme Guillaume Pelletier.

    On connaît les liens avec l'Heritage Foundation et le Cato Institute, lobbies extrêmes libéraux états-uniens qui travaillent main dans la main avec l'Opus Déi à ce monde économique de droite forte où Dieu bénit la réussite matérielle, l'alliance avec les évangélistes protestants se justifie via leur foi commune en le libéralisme total.

    On retrouve tout ce petit monde dans l'Agenda Pour tous :

    Père Daniel Ange
    Marc Baudrier
    Nicolas Bernard-Buss
    Véronique Besse
    François Billot de Lochner
    Anne-Laure Blanc
    Marie-Claude Bompard
    Jacques Bompard
    Béatrice Bourges
    Christine Boutin
    Cyril Brun
    Aymeric Chauprade
    Gabrielle Cluzel
    Anne Coffinier
    SAR le Prince Charles de Bourbon de Parme
    Ludovine de La Rochère
    Père Emmanuel-Marie de l'Abbaye de Lagrasse
    Henry de Lesquen
    Alexandre de Miller de La Cerda
    Guillaume de Prémare
    Bruno de Saint-Chamas
    Guillaume de Thieulloy
    Hélie Denoix de Saint Marc
    Tugdual Derville
    Un moine bénédictin de l'Abbaye du Barroux
    Cécile Edel
    Alain Escada
    Jean-Pierre Fabre-Bernadac
    Père Cyril Gordien
    Daniel Hamiche
    Vivien Hoche
    Michel Janva
    Chanoine Benoît Jayr
    Virginie la Mère Veilleuse
    Adélaïde la Sentinelle
    Mathilde l'Antigone
    Jean-Yves Le Gallou
    Axel et Alix les Veilleurs
    Marie-Capucine l'étudiante
    Fabien l'Hommen
    Marion Maréchal-Le Pen
    Agnès Marion
    Jean-Pierre Maugendre
    Philippe Maxence
    Yves Meaudre
    Robert Ménard
    Aude Mirkovic
    Frédéric Pichon
    Aymeric Pourbaix 
    Gregor Puppinck
    Antoine Renard
    Mgr Dominique Rey
    Reynald Secher
    Jeanne Smits
    Jean-Eudes Tesson
    Jérôme Triomphe
    David Van Hemelryck


    Toutes les personnes sus-citées ont reçu la bénédiction des réseaux issus des lobbies américains.

  • Municipalités Bleu Marine et symboles libertariens

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    The Cato Institute

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    • Why America Leads the World in Medical Innovation
      Studies that compare America's health care sector to other countries typically o
       
       
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    La mairie d'Hénin-Beaumont a recouvré ses couleurs françaises mais va être gérée par l'Austrian School of Economics, soit la plus américaine des couleurs économiques. Chercher l'erreur ...
     

  • L'autodiktat

     

     

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      Estrosi, valet de la folie des grandeurs :
      "Pour être fort, il faut être grand".

      Rassurez-vous, il ne va pas annexer Monaco (Monaco, on laisse la nature lui régler son compte un jour, une bonne vague et on tirera la chasse ...), non, il exécute simplement les ordres.

      Nice a été une des premières villes à s'adosser au statut de métropole, Nantes a fait la même demande l'été dernier.
      Cela s'inscrit dans le projet de mégapoles européen -on se calque sur les USA, sur le "modèle" Los Angeles", avec les projets européens de "villes apprenantes".

      Tout cela est évidemment piloté par l'OCDE et donc, les multinationales.

      On va éliminer physiquement toutes les petites communes non rentables, et accrocher aux grandes villes, toutes les communes attenantes, pour toujours plus de rentabilité.
      C'est le principe des multinationales, absorber, fusionner, concentrer, créer des géants.

      Cela donnera évidemment des mégapoles inhumaines, avec le cortège d'insécurité qui va avec, de ségrégation riches/pauvres, avec, on le sent pointer, les milices privées qui iront aussi bien avec.

      Un bon gros modèle américain de merde pour résumer ...
      1J’aime ·  · Promouvoir · 
  • Nos enfants malbouffent, les actionnaires s'engraissent

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        Oriane Borja a partagé un lien.
         
        Cantines scolaires : le marché de la mal bouffe
        www.viva.presse.fr
        Chaque année, un milliard de repas sont servis à six millions d'élèves dans les cantines scolaires. Cet énorme marché, confié à 80 % au privé, ne connaît qu'une règle, celle du moindre coût... Ce qui rejaillit...
        J’aime ·  · Promouvoir · Pour remporter les marchés, les sociétés de restauration se livrent à une guerre des prix sans merci. »

        Pour cela, pas de miracle, elles ont recours à des produits bas de gamme issus du secteur agro-industriel : pas de chair, mais de la peau de volaille dans les cordons bleus et des miettes de poisson dans les nuggets. Et lorsque, dans certaines grandes villes, il s'agit de fournir 30 000 repas par jour, pas question bien sûr d'éplucher des légumes frais.

        L'externalisation des cantines vers le privé a commencé dans les maternelles et les écoles primaires et gagne aujourd'hui les départements (pour les collèges) et les régions (pour les lycées). « Economiquement et écologiquement, c'est un choix aberrant. Pis encore, petit à petit, même les crèches renoncent à la cuisine sur place », s'indigne Philippe Durrèche qui rêve d'une refonte de tout l'arsenal réglementaire français.

        « Lorsque j'étais cuisinier en collectivité, je pouvais aller le matin à Rungis pour acheter mes fruits en fonction de leur qualité et de leur prix. Aujourd'hui, le code des marchés publics impose aux collectivités de se fournir auprès de deux grossistes. Elles n'ont aucun pouvoir de choisir la qualité, la production ou le prix. »

       
    2.  
      Oriane Borja a partagé un lien.
      La Sodexo avale pour 7 ans le marché des cantines marseillaises
      www.marsactu.fr
      C’est un des plus gros marchés de restauration collective d’Europe. Un contrat de 45 000 repas par jour, pendant 7 ans. Environ 140 ...
      1J’aime ·  · Promouvoir · 
  • La recette lepéniste qui tue

    Dans les cantines, le problème, c'est l'attribution du marché à des grands groupes privés qui servent de la merde à nos enfants, trop salée, trop sucrée, trop grasse, mal équilibrée, mauvaises matières grasses, mauvais modes de cuisson, objectifs de rentabilité, etc., adieu la cuisine faite sur place à base de produits simples mais sains, et les cantinières à la marmite.

    Bref, avant de s'atteler à rajouter la viande de porc qui est la pire -pour ne rien dire de l'élevage intensif des multinationales de l'agro alimentaire qui ont tué la Bretagne, quand ils ne font pas entièrement disparaître notre agriculture - il y en avait des raisons de crier sa colère et d'agir.

    Marine a encore préféré jouer petit, idiot, et remplir son cahier des charges dû à Wilders/Horowitz, et a priori, on n'a pas fini d'en bouffer ...

  • Pourquoi voulez-vous qu'à 27 ans, je commence une carrière de dictateur !?!

    Oriane Borja a partagé un lien 

     
    La France n'est pas la Russie, va falloir apprendre à être Français, si ce n'est pas trop demander ...

    On a déjà cinq chefaillons dissidents stipendiés par la Russie (et Washington en arrière-plan) pour flatter un régime qui devrait faire vomir la France, et t'as tous les moutons qui suivent, au nom de la France.

    Quant aux mésalliances, ce n'est malheureusement pas demain la veille que le Front va comprendre qu'il se fourvoie, puisque les conneries continuent aux européennes et la YEAH (Young European Alliance for Hope) -outre le ridicule du nom et la grande victoire de la francophonie (mais quand on commence à se coucher, on s'écrase ipso facto très facilement)- n'en est qu'une autre navrante manifestation de plus.
    Fréjus. Le nouveau maire FN interdit l'Express en conférence de presse
    www.ouest-france.fr
    À peine élu, David Rachline, le nouveau maire frontiste de Fréjus (Var), a interdit son point presse à un journaliste de l'Express qui avait...

  • Extrême-droite, vos papiers

    La création d'une police municipale est toujours une hérésie anti-France, elle consacre le démantèlement d'une prérogative nationale issue des attributs souverains de l'Etat.
    Et c'est évidemment une activité caractéristique de l'extrême-droite.

    Il aurait convenu que nous gardions en ce domaine aussi une cohérence, dénoncer avec véhémence la perte des moyens de l'Etat, et en aucun cas s'y substituer pour s'accaparer les faveurs d'une clientèle locale asservie au népotisme qui va avec.