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Européennes - Page 17

  • Lancement de la campagne des européennes

    Lancement de la campagne du Front National pour les Elections Européennes du 7 juin 2009, à Nantes autour de notre candidate Brigitte Neveux.

    http://www.dailymotion.com/video/x8y53t_brigitte-neveux-devant-la-presse-na_news

     

    Nantes équipe de campagne.jpg

     

    L'Union Européenne qui devait nous apporter le bonheur, ne sème que la désolation sur son passage, services publics menacés, licenciements continus avec une crise qui a bon dos mais qui ne sert que de prétexte pour accélérer le processus.

    Le principe de concurrence libre et non faussée implique de rentabiliser toujours en réduisant les coûts, la logique est implacable : soit les entreprises vont s'installer dans les pays où l'on est peu regardant sur les droits sociaux, soit elles importent de la main-d'oeuvre humaine via l'immigration pour tirer les salaires à la baisse, du MEDEF à Besancenot, même combat, le grand patronat déroule le tapis rouge devant le petit facteur-de-troubles qui lui sert la soupe.


    Fidèle à l'unique objet de son existence, le Front n'aura de cesse de défendre les nôtres, nos emplois, nos salaires, l'âme de notre pays dont l'histoire plus que millénaire lui a forgé une identité propre que nous ne nous résolvons pas à abandonner, et que nous entendons léguer à nos enfants comme le plus précieux des trésors.


    L'Europe que nous appelons de nos voeux est bien celle de l'échange dans le respect de chaque peuple dont la nation est la seule garante.

     Protection au milieu de la jungle mondiale où la loi du marché n'est que le loi du plus fort, nous souhaitons remettre l'homme au centre en érigeant à nouveau le politique au-dessus de l'économique. L'homme qui n'est pas ce nomade déraciné dont rêve monsieur Attali. L'homme qui n'est pas cet homo economicus, consommateur interchangeable et jetable, citoyen du monde de Sarkogolène, nous n'avons pas les moyens d'une Carlita ou d'un Séguéla pour traverser le monde comme notre jardin.                                           L'homme normal n'a que sa patrie pour seule richesse.

    Non, nous ne voulons pas de ce gouvernement mondial dont l'Union Européenne n'est qu'une courroie de transmission.

    A Bruxelles qui se demande de quoi se mêle le peuple, nous osons prétendre avoir encore un droit de regard sur notre avenir, et nous aurions aimé le faire sans sa permission.

    Que vaut une mère adoptive qui a volé l'enfant de la mère légitime pour le vendre pieds et mains liés à un système abusif ?

     

  • Visite de la 5ème en cartes postales

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  • Visite de la 5ème en cartes postales

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  • Les fossoyeurs des Services Publics

     

    Les fossoyeurs du service public à la française

     

    L'avenir de l'hôpital d'Ancenis suscite de vives inquiétudes depuis le début de l'année 2008.

    L'égalité de nos concitoyens devant le service public et l'aménagement de notre territoire est un droit imprescriptible, il n'est pas monnayable.

    Le Front National demande l'arrêt des ronds de jambes et le brassage de vent du député Ménard.

    Etre en représentation ne sert à rien, on n'est pas chez Guignol.

    L'utilité voudrait qu'on défende le Service Public là où il est menacé, c'est-à-dire au niveau de l'Union Européenne.

    La définition même du service public à la française est remise en cause par la construction européenne qui ignore toute notion de service

    public dans son droit.

    En effet la logique européenne considère toute activité comme relevant potentiellement de l'activité marchande, et par conséquent à

    encourager partout la mise en concurrence.

    Les recommandations de l'OCDE et les négociations au sein de l'OMC, dont Bruxelles n'est qu'une courroie de transmission, laissent présager

    le pire.

    On ne peut à la fois dire OUI à la concurrence libre et non faussée et s'insurger ensuite de la logique libérale !

    L'UE tient le budget de la France en tenaille, ne laissant au gouverneur Sarkozy que le choix de coupes sombres.

    Ce n'est pas à l'économique de gouverner le politique mais bien l'inverse.

    Il est grand temps de remettre l'Homme au centre du système.

    Nous ne sommes pas pour briser les ménages, mais la lune de miel de l'UMPS dans le lit du libéralisme non débecte.

    Si Delanoe a fait son « coming out » là où Ségolène montre encore quelques pudeurs, tout le monde sait bien qu'elle est aussi la maîtresse du

    tout économique, mais elle n'assume pas et préfère cacher ce syndrome qu'elle ne saurait voir.

  • La nouvelle donne militaire

     
     

    Quand le président déserte

     

    Face à un monde de plus en plus instable, la réduction d'un quart de nos forces armées déjà amputées lors de la professionnalisation de 1996, est des plus inquiétantes.

     

     

    - les conséquences économiques locales:

     

    La nécessaire modernisation de nos armées et la vigilance à l'égard des deniers publics souvent chèrement gagnés par nos compatriotes, ne doivent pas être un leurre. Sarkozy ne se sert des coupes sombres au sein des armées que pour se donner une marge de manoeuvre budgétaire dont les différents Traités européens nous ont privés.

    Or les conséquences économiques de ce réajustement sur le dos des hommes et de la défense sont importantes: Nantes, pour ce qui est de la Loire-Atlantique, sera privée de ses bataillons militaires. Outre le symbole, la délocalisation des garnisons engendrera des pertes inhérentes au niveau de l'économie locale (recherche, emploi), d'autant que le délai de reconstruction sur des terrains militaires peut prendre près de vingt ans.

     

     

    - la mise sous tutelle de l’OTAN :

     

     

    L'amputation de 25 % du budget militaire a d'autres conséquences, la France, jadis reconnue et respectée ne pourra plus maintenir son image et son rôle dans le monde. En entrant dans l' OTAN avec des moyens qui nous font passer d'un des premiers rangs au rang de l'Italie ou de l'Espagne, derrière l'Allemagne et l'Angleterre, sans même passer par la case Europe puissance, nous faisons directement allégeance au monde anglo-saxon sous commandement des Etats-Unis d'Amérique, qui mènent une politique qui était jusqu'à présent diamétralement opposées à la nôtre.

    Les soldats français n'ont pas à servir de variable d'ajustement au commandement américain, nos fils n'ont pas raison à devenir de la chair à canon pour servir les intérêts de puissances financières ou d'un impérialisme qui n'aspire qu'à asseoir sa domination sur le monde en contrôlant les ressources énergétiques des autres peuples.

     

     

    Retrouver votre esprit de résistance !

    La France est un grand pays et les français un grand peuple, nous sommes fiers de nos soldats et nous voulons recouvrer la souveraineté qu'on nous a volée dans tous ses pans, en particulier le droit de se défendre et d'être maître de notre destin.

    Les élections européennes de 2009 seront pour nous l'occasion de retrouver notre dignité d'hommes libres.

    Ensemble, battons-nous !

  • Provinces et Nation

    Une partie du texte publié en réponse au Pacte des Langues Régionales :

    Chers camarades,

    je sais qu’on a toujours deux patries :

    Intepide gardian de nostre parla gènt

         Intrépides gardiens de notre parler gentil

    Garden lou franc e our e clar comme l’argènt

         Gardons-le franc, et pur, et clair comme l’argent

    Car tout un pople aqui s’abeurs

         Car tout un peuple, là, s’abreuve,

    Car, de mourre, bourdoum qu’un pople tombe esclau,

         Car, face contre terre, qu’un peuple tombe esclave,

    Se ten sa lengs, tèn la clan

         S’il tient sa langue, il tient la clef

    Que di cadeno lou deliéro.

         Qui le délivre des chaînes.

    Mistral (les Isdes d’ Or)

     

     D’autres auteurs enracinés comme les Daudet, Pagnol, Giono ou encore un certain maître de Martigues, sont très chers à mon coeur.

     Pour autant, je ne me laisse pas berner par la récente fronde de demande de reconnaissance constitutionnelle des langues régionales qui est l’oeuvre d’un lobby pour partie issu du troisième Reich, retranscription nationale de directives bruxelloises par la chambre d’enregistrement qu’est devenue notre parlement, et qui vise à terme au démantèlement des nations.

     L’objectif est de brosser dans le sens du poil les régionalistes pour asseoir une europe fédérale sur des territoires vassaux, à l’américaine. Le tout sous pilotage atlantiste auquel nous achevons de nous livrer et dont Bruxelles sert de base arrière.

    Oriane Borja